Les 2 mutuelles historiques assurant la protection sociale (santé-prévoyance) des agents territoriaux en Isère engagent ainsi un partenariat actif fondé sur des valeurs partagées. Mutuelle incontournable de la Ville et de l’Agglomération de Grenoble, La Fraternelle des Territoriaux compte 5 500 adhérents pour environ 9 000 personnes protégées. La MNT est la 1ère mutuelle de la Fonction publique territoriale avec plus d'1,1 million personnes protégées. Présidée par Damien Guiguet en Isère, elle y assure la couverture sociale de 5 500 agents territoriaux en complémentaire santé pour environ 10 000 personnes protégées et 10 000 en garantie maintien de salaire. Ce rapprochement s’explique pour les deux présidents par la nécessité de préserver la solidarité entre territoriaux, alors que les collectivités locales peuvent participer financièrement à la protection sociale de leurs agents depuis le 31 aout 2012. Pour Michel Vanotti, Président de La Fraternelle des Territoriaux, il s’agit « de défendre ensemble les valeurs de solidarité », mais « aussi les valeurs et le statut de la Fonction publique territoriale ». Sur ce point en effet, la MNT et La Fraternelle des Territoriaux portent une analyse critique sur le décret du 8 novembre 2011 et sur la circulaire du 25 mai 2012 définissant les modalités de la participation financière de l’employeur territorial. Elles revendiquent la mise en place de garanties solidaires entre agents actifs et retraités en santé et en prévoyance grâce à la solidarité la plus large possible dans le cadre des mécanismes mis en place par les territoriaux eux-mêmes partout en France. Au-delà de cette communauté de valeurs, ce partenariat se traduira par l’entrée de La Fraternelle des Territoriaux au Comité de liaison des mutuelles territoriales. Cette structure permet l'échange entre mutuelles territoriales et la recherche en commun de solutions pour améliorer la protection sociale et la solidarité entre territoriaux.
While positive sentiment towards the global economy and equities continues to repair, concerns are growing about the impact of the U.S. fiscal cliff, according to the BofA Merrill Lynch Fund Manager Survey for October. Nearly three-quarters (72 percent) of global investors (269 panelists, with total assets of USD734bn, interviewed between 5 and 11 October) believe that the fiscal cliff is not substantially priced into global equities and macroeconomic data. The fiscal cliff is identified as the number one tail risk by 42 percent of respondents – up from 35 percent in September and 26 percent in August. EU sovereign debt funding risk is seen as less of a threat. A net 27 percent of the panel sees it as their number one risk, down from a net 33 percent a month ago and far lower than the reading of 65 percent in June. Equity allocations rose significantly month-on-month. A net 24 percent of asset allocators are overweight equities, up from a net 15 percent in September. The cash allocation has been slightly reduced to 4.3% from 4.5%. The survey finds that contrarians tend to be long on Japan, short on US, long on US industrials, short on US tech, long on EU retail, short on EU energies, long on telecommunications and commodities in emerging markets, and short on consumer products in these countries. The contrarian bet of the month in October is to be long on energies worldwide, and short on discretionary consumer goods worldwide.
Assurance vie et mixte Au deuxième trimestre 2012, les sociétés d’assurance vie et mixte investissent principalement en obligations (+5,2 milliards de progression d’encours) et en titres d’OPCVM monétaires (+5,2 milliards). Assurance non vie Poursuite de l’augmentation des placements en titres obligataires (+1,9 milliard). Lire la suite : cliquez ici
CNP Assurances annonce avoir placé une dette subordonnée perpétuelle d’un montant de 500 millions de dollars (USD), principalement auprès d’investisseurs asiatiques. L’opération a été lancée à la suite des retours positifs d’un roadshow effectué en Asie. Le carnet d’ordre a atteint 10 Md€, réparti sur 160 investisseurs. L’offre a ainsi été sursouscrite 20 fois. Cette émission a rencontré un grand succès auprès des investisseurs asiatiques et témoigne de la confiance des marchés obligataires dans la signature CNP Assurances. Cette première émission du Groupe en dollars américains, qui s’ajoute aux opérations en euros et livres sterlings menées l’année dernière, ouvre un marché de financement supplémentaire pour CNP Assurances. Les fonds levés permettront d’accompagner le groupe dans son développement. Les obligations porteront intérêt au taux fixe de 7,5% jusqu’en 2018, puis au taux fixe révisé tous les 6 ans et calculé sur la base des taux d’intérêt « mid swap » 6 ans en dollars. La notation attendue des obligations est de A- pour l’agence Standard & Poor’s, conformément à la méthodologie relative aux titres subordonnés. Les titres émis sont inclus dans le capital réglementaire, ainsi que dans le calcul du capital économique selon Standard & Poor’s, dans les limites admissibles.
Julien Le Louët est responsable du service financier et immobilier de l'OCIRP. A l'occasion du 4ème Panel Instit Invest de l'année, il a partagé son expérience sur la gestion des risques au sein d'une union d'organismes de prévoyance régie par le code de la Sécurité sociale. Ses garanties, diffusées par ses membres, s'expriment sous la forme de rentes auxquelles souscrivent les entreprises par des contrats collectifs ou par accord de branche.
The fund platform from the UniCredit Fineco Bank group will soon add funds from Legg Mason and Meridian, the CEO of the firm, Alessandro Foti, has announced in an interview with Bluerating. In the first nine months of the year, the platform has posted net subscriptions of EUR1.5bn.
Et s’il n'était pas indispensable de prendre plus de risque pour générer plus de performance ? Un tel postulat reviendrait tout bonnement à infirmer la théorie moderne du portefeuille de Markowitz et le modèle d'évaluation des actifs financiers (CAPM, Capital Asset Pricing Model), encore utilisés de nos jours par de nombreux investisseurs pour définir leurs objectifs de couples rendements/risques. C’est pourtant sur ce constat que se développe actuellement la gestion minimum variance, un thème abordé à l’occasion d’une récente conférence organisée par bfinance. « Les hypothèses à la base du CAPM sont discutables. Chacun sait par exemple que les marchés ne sont pas efficients, que les coûts de transaction ne sont pas neutres et qu’il est impossible de s’endetter à l’infini », a pointé Fabien Dornier, directeur des investissements et de la recherche d’Ossiam, une filiale de Natixis Global Asset Management spécialisée dans la gestion indicielle intelligente (smart beta) et les ETF de stratégie. Ainsi, les gestions minimum variance cherchent à générer sur le long terme une performance plus élevée que les indices actions traditionnels tout en abaissant le niveau de volatilité. « Les indices de marché ne sont pas des portefeuilles efficients dans la mesure où ils sont pondérés par les capitalisations », signale David Schofield, président de la division internationale d’Intech, la filiale de Janus Capital spécialisée dans la gestion systématique. Par définition, les indices capi-pondérés sont concentrés sur les plus grandes capitalisations, à l’instar du S&P 500 dont les 50 principales composantes (parmi les 500 couvertes) constituent la moitié du poids de l’indice. L’exemple d’Apple est symptomatique, la société représentant désormais 5 % de l’indice alors que son influence était à peine perceptible quelques années plus tôt. « En reproduisant les indices de marché, la gestion indicielle traditionnelle achète à cours élevé et vend à prix bas », observe Fabien Dornier. « Les indices sont construits pour être des références, et non des supports d’investissement », plaide-t-il. Lire la suite : cliquez ici
Selon toute vraisemblance, c’est Jean-Yves Dagès qui prendra la succession de Jean-Luc Baucherel à la présidence de Groupama. Agé de cinquante-quatre ans, Jean-Yves Dagès est aujourd’hui président de la caisse régionale Groupama d’Oc et depuis mai dernier, vice-président de Groupama. Sa candidature est soutenue par Jean-Luc Baucherel qui a annoncé dès le mois de mai qu’il abandonnerait tous ses mandats à la fin de l’année afin de permettre d’organiser « sa succession dans un climat de sérénité et de transparence ».
L’Oréal a été désigné lauréat du Prix Spécial du jury, décerné par l’agence indépendante spécialisée dans la notation sociale et environnementale, Vigeo et le FIR (Forum pour l’Investissement Responsable). Le Groupe L’Oréal a ainsi été récompensé au titre de l’entreprise ayant le mieux intégré les principes de la RSE dans sa chaîne d’approvisionnement. Il s’agit de la prise en compte des performances sociales des fournisseurs et des sous-traitants. L’Oréal a également remporté le Prix Spécial « Entreprise Responsable », ex-aequo avec Michelin, lors du « Grand Prix des Actions », organisé par le magazine Mieux Vivre Votre Argent en partenariat avec Vigeo. Ces trophées récompensent les meilleures sociétés, tant sur leurs performances boursières à moyen terme, que sur le respect de leur environnement et de leurs actionnaires individuels.
Faut-il les appeler DAF ou CFO ? En France, cela dépend principalement de la taille et de la nationalité de l'entreprise, un peu aussi du secteur d'activité. Au-delà de leur titre, qui sont-ils, quelles sont leurs responsabilités, leur rémunération, leurs aspirations ?
La deuxième édition du baromètre CFO Michael Page International met en lumière ce qui caractérise le directeur financier français et l'évolution de sa carrière par rapport à ses homologues de 39 autres pays.
Comme l’a indiqué Philippe Messager lors du petit déjeuner du 9 octobre, l’AFTE à fait connaître à l’ensemble des acteurs économiques de la Place ses analyses et propositions pour un meilleur financement des entreprises. Celles-ci s’articulent autour de 5 thèmes : Les capitaux propres Le crédit inter-entreprises Le crédit bancaire Le financement obligataire La Banque Publique d’Investissement. Ces analyses et propositions de l’AFTE sont consultables en pièce jointe
Depuis le printemps, la confiance des investisseurs institutionnels vis-à-vis des actions a subi une légère dégradation. C’est ce qui ressort du deuxième Baromètre Allocation Actions réalisé par L’Agefi et Axa Investment Managers à partir de réponses de 56 investisseurs entre le 11 septembre et le premier octobre dernier. Six mois après le premier baromètre, réalisé en mars, le niveau de confiance des investisseurs institutionnels envers les actions à horizon trois mois reste positif ou médian pour le trois-quarts d’entre eux. On constate, néanmoins, qu’en mars, les sondés étaient 14 % à afficher une confiance élevée, proportion qui s'élève aujourd’hui à 0%. Il y a six mois, 5 % des institutionnels n’affichaient aucune confiance en les actions à trois mois, contre 12 % en septembre. Concernant les perspectives d'évolution de leur poche actions à 12 mois, les investisseurs institutionnels sont 36 % à la maintenir. 36% prévoient de l’augmenter, alors que 14 % souhaitent la diminuer. Les sondés sont 14 % à ne pas savoir comment ils feront évoluer cette poche. Dans une approche par zone géographique, la zone Asie reçoit 71 % de suffrages favorables, ce qui en fait la zone géographique sur laquelle les institutionnels sont les plus positifs à horizon 12 mois. Tous les autres marchés perdent la faveur des investisseurs avec les actions France en bas de tableau, la zone recevant plus de sentiments négatifs que positifs (-30 points par rapport à la première édition du baromètre) et des chutes de niveau de confiance de plus ou moins 20 points sur les actions Pacifique, Amérique, Europe, Amérique Latine et la zone Autres. L’attrait des investisseurs pour les actifs américains résiste mieux, même s’il s’essouffle, avec 64 % d’optimistes, contre 86 % au mois de mars. D’un point de vue sectoriel, les valeurs phares du précédent baromètre (technologie de l’information, Energies et Santé) restent très prisées avec toujours plus de 4 investisseurs sur 5 positifs sur ces secteurs. A l’opposé, les perspectives sur les secteurs des télécommunications et de l’industrie ont été revues nettement à la baisse : les télécommunications passant de 45% d’avis favorables en mars à 21% et l’industrie de 68% à 21%. Le secteur Finance gagne 11 points mais reste en deçà de la moitié d’opinions positives avec 43% d’investisseurs confiants à horizon 1 an. Pour effectuer les investissements en actions, les investisseurs institutionnels sont toujours plus nombreux à donner la priorité à la gestion active, avec 79% d’adeptes parmi les sondés contre 71% au mois de mars. L’Agefi et Axa IM soulignent toutefois que l’on peut nuancer ces résultats en prenant en compte les modèles hybrides de gestion, qui allient les deux méthodes que sont la gestion active et la gestion passive.
Back office is no longer a top ambition for asset management firms, according to a survey on the impact of portfolio accounting systems on growth strategy at asset management firms, published by SimCorp. The financial sector software provider interviewed 75 heads at over 50 firms in the sector in the United States and Canada.The survey finds that nearly half of respondents estimate that their current accounting systems are “not able to support the launch of new products in a timely fashion,” SimCorp says. Nearly 40% say that their portfolio accounting systems are not able to unite all asset classes in a single system, which leads to errors in agglomerating the data, evaluating the portfolio and calculating performance levels and exposure to risk. Among the other shortfalls in the back office are a lack of presentation of data in the form of charts, limits in configuration of new securities, handling of derivatives, management of asset classes, confirmation of transactions, reporting and intra-day operation monitoring.
Les encours progressent de 4,5% sur le 1er semestre 2012. Les fonds ISR (+ 33%) et les fonds solidaires (+ 43%) continuent leur forte croissance L’alourdissement de la fiscalité ne doit pas casser cette dynamique vertueuse Les actifs gérés en épargne salariale s'établissent à 89,2 milliards d’euros. Ils sont en progression de 4,5 % par rapport au 31 décembre 2011 mais en baisse de près de 5 % sur un an.
L’entreprise de traitement de courrier Neopost vient de bénéficier d’un prêt de 100 M€ sur cinq ans souscrit auprès d’Axa et du Crédit Agricole CIB. C’est la première opération conjointe réalisée par l’assureur et la banque de financement et d’investissement du Crédit Agricole, dans le cadre d’un accord visant à proposer des solutions alternatives aux entreprises de taille moyenne en quête de financement. Le groupe Axa avait annoncé en juin 2012 qu’il se lançait dans le financement des PME pour diversifier ses investissements, en signant un premier partenariat avec la Société Générale. Celui-ci s’est concrétisé cet été par un prêt au profit de Sonepar, un fournisseur de matériel électrique. L’opération réalisée avec le Crédit Agricole s’inscrit dans le même schéma : des financements à moyen terme (5 à 7 ans) destinés à des entreprises réalisant plus de 250 M€, pour des montants pouvant aller jusqu'à 100 M€. L’essentiel du risque est porté par le groupe Axa.
La récession plus forte que prévu va contraindre Rome à émettre davantage d’obligations et de bons cette année, a déclaré un haut responsable du Trésor italien. Lors d’une interview accordée à Reuters, la directrice de l’Office de gestion de la dette italienne, Maria Cannata, a déclaré que l’Italie avait augmenté son objectif de financement brut pour 2012 à 460-465 milliards d’euros, contre 440 à 450 milliards précédemment. Le gouvernement italien a revu à la baisse en septembre ses prévisions de croissance pour 2012 et 2013 et relevé ses prévisions de déficit et de dette. Rome prévoit désormais une contraction de 2,4% du PIB cette année. Maria Cannata a ajouté qu’aucune émission ne serait annulée en décembre en raison de lourdes échéances de remboursement ce mois-là. En revanche, le programme d'émission de dette à court terme sera moins important en 2013 que cette année, a-t-elle indiqué.
Financière de l’Echiquier a confirmé le recrutement de Marie-Christine Korniloff à la tête de l’investissement socialement responsable (ISR), une information anticipée par Newsmanagers. Ce poste était occupé jusqu’en juin par Marie-Ange Verdickt qui a quitté la société. De son côté, Damien Mariette s’apprête à rejoindre l’équipe dédiée aux investissements value européens. Enfin, la gestion obligataire va être renforcée avec l’arrivée d’un nouveau gérant, Philippe Garrau. Marie-Christine Korniloff, qui prend les rênes de l’équipe ISR, occupait de 2004 à 2010 la fonction de directeur adjoint du développement durable à la BPCE. Pour sa part, Damien Mariette renforcera la gestion d’Echiquier Quatuor, le fonds de Financière de L’Echiquier dédié à la sélection de titres value européens. Il en sera le gérant à partir du 1er janvier 2013. Auparavant, le nouvel arrivant a exercé une fonction de gérant de portefeuilles actions au sein du Fonds de Garantie Automobile où il a travaillé trois ans. Enfin, Philippe Garrau rejoint Financière de l’Echiquier en épaulant Olivier de Berranger au titre de gérant junior. Il intervient sur le fonds Echiquier Oblig, essentiellement consacré à la sélection d’obligations d’entreprises de la zone euro, mais aussi sur le fonds diversifié Arty, et sur la poche investie en produits de taux d’Echiquier Patrimoine, précise un communiqué. A partir de 2010, Philippe Garrau travaillait au sein des équipes de Monte Paschi Invest au poste de gérant junior.
According to the most recent edition of the Russell U.S. Investment Manager Outlook (IMO), a quarterly survey undertaken by Russell Investments of US managers, nearly half of respondents (48%) expect returns in Europe to have a negative impact on the market in the next year. Managers have also cited the results of the US presidential election (30%) and the question of the fiscal ciff (28%) as events which could have the most severe impact on the US market next year. For most asset classes, respondents show muted or near-stable optimism compared with the results of June 2012. The real estate market has reached an all-time high of 55% optimists. The asset class for the first time becomes the market segment about which US managers interviewed by Russell Investments are most optimistic. Equities in developed markets outside the US also gained 11 percentage points compared with their June 2012 levels (38%). At the other extreme, the level of optimism about US large cap equities reached an all-time low of 53%, down 20 percentage points compared with their levels in September 2011.