The real estate fund Credit Suisse Real Estate Fund Global (CS REF Global) has acquired its first property in North America. Credit Suisse Real Estate Fund Global, launched last year, is purchased a commercial property in Houston, Texas, which is wholly leased, for a total of about CHF35.5m, Credit Suisse announced in a statement on 3 December. After its acquisitions in Europe and Asia Pacific, the portfolio of the real estate fund Credit Suisse Real Estate Fund Global now consists of six properties. It is now coherently pursuing its investment strategy. As of 31 October 2012, CS REF Global had an investment volume totalling about CHF309.6m. Other acquisitions are being examined in Europe and South America, a statement says. CS REF Global is, according to Credit Suisse, the first Swiss real estate fund that makes diversified investments in foreign real estate and is listed on the SIX Swiss Exchange. The fund is therefore not only open to institutional investors, but also provides private investors with access to this type of investment.
Effective from 3 December, Amundi Luxembourg SA has increased the management commission for two sub-funds of its Amundi Funds, Absolute Volatility Euro Equities (EUR2.93bn) and Absolute Volatility World Equities (EUR2.91bn) by 20 basis points. I-class shares now cost 0.70%, up from 0.50%, and A-class shares are 1.20%, up from 1%.
Sweden’s Catella is increasing its stake in IPM Informed Portfolio Management AB from approximately 5 per cent to 25 per cent through an SEK 33 million new issue private placement. The new issue is conditional on an approved ownership assessment.As part of the development of Catella’s asset management, in November 2011 Catella acquired a shareholding of just over 5 per cent in IPM Informed Portfolio Management. Catella thereby became the sole institutional shareholder in IPM. IPM is a provider of systematic investment services within discretionary management and fund management. The company is a specialist within Systematic Global Macro-management and Systematic Equity portfolio management, among other things, within fundamental indexation. IPM manages assets valued at approximately USD 7 billion on behalf of major institutional investors, pension funds, insurance companies, and foundations. The company has 43 employees and its head office is located in Stockholm.
Renaissance Asset Managers will be launching a Global Emerging Market Yield fund for its new recruit, Michael Kollo, formerly of Fidelity, Investment Week reports. It will also be managed by Plan Monovski, chief investment officer. The fund will invest in businesses from emerging markets which pay dividends.
La société suédoise de services financiers Catella a étoffé sa participation dans la société de gestion IPM Informed Portfolio Management d’environ 5 % à 25 % par le biais d’une augmentation de capital réservée de 33 millions de couronnes suédoises.Dans le cadre du développement de sa gestion d’actifs, Catella avait en novembre 2011 acquis un peu plus de 5 % dans IPM Informed Portfolio Management, devenant le seul investisseur institutionnel de la structure.IPM, spécialisé dans la gestion systématique, gère environ 7 milliards de dollars pour le compte d’investisseurs institutionnels, fonds de pension, compagnies d’assurances et fondations. La société compte 43 employés et est basée à Stockholm.
Dexia a annoncé être entré en négociations exclusives avec le fonds asiatique GCS Capital pour la vente de sa filiale de gestion d’actifs Dexia Asset Management (Dexia AM), marquant une nouvelle étape dans le processus de démantèlement de la banque franco-belge. La filiale, qui gérait près de 79 milliards d’euros d’encours fin juin 2012, serait valorisée entre 500 et 750 millions d’euros. Dexia explique que GCS Capital prévoit de conserver les implantations de Dexia AM à Bruxelles, Paris, Luxembourg et Sydney. Les deux groupes ne disent toutefois pas quand ils espèrent boucler l’opération. Le mois dernier, Karel De Boeck, directeur général de Dexia, a fait savoir que la banque s’attendait à afficher une perte de l’ordre d’un milliard d’euros l’an prochain. En Bourse, l’action Dexia gagnait plus de 11% à 13h20, à 0,10 euro, loin de son plus haut de 22,30 euros atteint en mai 2007.
Le groupe américain a annoncé que sa filiale de gestion en Allemagne, WestLB Mellon AM, s’appellera désormais Meriten Asset Management. La structure avait été établie début 2006 en tant que joint-venture à 50/50 entre BNY Mellon et Portigon. Bank of New York a racheté les parts restantes en octobre 2012. Meriten AM emploie 170 collaborateurs et gérait 26,3 milliards d’euros à fin octobre pour une clientèle institutionnelle.
La banque Dexia a engagé des négociations exclusives avec le fonds de capital-investissement asiatique GCS Capital en vue de lui céder sa filiale de gestion d'actifs.
Le Fonds stratégique d’investissement a apporté 4,6 millions d’euros sous la forme de nouvelles obligations convertibles dans le cadre du refinancement du groupe éolien français. Après mise en œuvre de cet accord et avant conversion des obligations convertibles, le FSI détient 38% du capital de Vergnet. La société transforme par ailleurs sa gouvernance devenant une SA à directoire et conseil de surveillance.
La société de private equity a signé conjointement avec Equistone Partners Europe et le management un accord en vue de la vente de la totalité du capital d’Alvest à LBO France. Alvest est à travers sa filiale TLD leader mondial du secteur des équipements d’assistance aéroportuaire.
Les deux pays ont annoncé ce matin un accord permettant aux banques des deux pays d’emprunter des fonds par le biais de «swaps» de change afin d’encourager les règlements commerciaux en won et yuan. Une ligne de 64.000 milliards de won (45 milliards d’euros) sera ainsi mise à disposition des sociétés des deux pays. Un accord qui permettrait de réduire «les risques de change et les coûts de transactions pour les sociétés» indique le communiqué commun.
Eurostat souhaite en première analyse que la recapitalisation de la banque soit enregistrée comme une dépense budgétaire et non comme un investissement
Le quotidien croit savoir de sources proches que Cerberus Capital Management est en pourparlers pour s’associer à l’offre de Virtu Financial destinée à prendre le contrôle du courtier Knight Capital. Virtu fait face à une offre rivale émanant de son concurrent Getco Holdings. Aucune décision imminente n’est attendue de la part du conseil de la cible.
Tadbir Energy, filiale de la fondation Imam Khomeiny, devrait selon le quotidien déposer aujourd’hui une offre de reprise de la raffinerie de Petroplus. Une offre «pour le moins inattendue» garantissant le maintien des 550 emplois concernés. «Un tout petit problème», souligne le quotidien: le pétrole iranien est actuellement interdit d’importation au sein de l’Union européenne.
La Chine se doit d’améliorer encore ses réglementations concernant les offres publiques de titres, les sociétés de private equity, le marché obligataire, la gestion d’actifs, les marchés à terme et dérivés. C’est ce qu’assure dans un entretien au Shanghai Securities News le président du régulateur des métiers de titres (China Securities Regulatory Commission), Guo Shuqing.
La hausse des indices manufacturiers au-dessus du seuil de contraction devrait permettre à Pékin de maintenir son objectif de croissance à 7,5% en 2012
Des stratégies ESG pour mieux maîtriser les risques à long terme Près d’un tiers du panel met en avant la maitrise des risques de long terme pour justifier la prise en compte de critères ESG. Ce phénomène, en hausse constante depuis trois ans, prend de l’importance au détriment d’un objectif plus général de contribution au développement durable. Ceci témoigne d’une progressive prise de conscience des investisseurs de la nécessité d'évaluer le poids économique des crises environnementales et sociales. Ces résultats indiquent aussi que les motivations des investisseurs reposent beaucoup moins sur la protection de la réputation (citée par 17% d’entre eux) et la quête d’une performance financière (mentionnée par 9%). Des pratiques visant à influencer les entreprises L’enquête témoigne de la grande hétérogénéité de pratiques d’investissement responsable chez les investisseurs interrogés. Les exclusions normatives sont la pratique dominante puisque 57% d’entre eux déclarent avoir mis en place des listes excluant des entreprises à l’origine de violations graves des droits humains et de dégradations majeures de l’environnement. L’exclusion la plus répandue est celle des armes controversées (mines antipersonnel et bombes à sous-munitions). Les exclusions sectorielles, d’ordre éthique (tabac, alcool, armement, etc), sont, elles, mises en ??uvre par 47% des investisseurs. Ils les combinent souvent avec des démarches d’engagement qui sont déployées par 54% du panel. L’approche de sélection dite best-in-class, particulièrement fréquente en France et en Allemagne, progresse pour atteindre 37%. Enfin, l’intérêt pour l’investissement thématique à connotation environnementale varie d’un pays à l’autre : les institutionnels allemands et néerlandais sont les plus enclins à le pratiquer mais seul un tiers du panel européen déclarent avoir des placements verts. Les résultats sont du même ordre pour les investissements sur des thématiques sociales, que 34% des investisseurs déclarent pratiquer. Des politiques consolidées et plus transparentes Le nombre d’institutions ayant une charte ou une politique d’investissement responsable formalisée est passé de 42% en 2011 à 61% en 2012 et elles sont près de 20% à souhaiter s’en doter dans l’année à venir. Ces politiques sont davantage pilotées à haut niveau hiérarchique puisque c’est la direction des investissements qui en a la charge dans près d’un tiers des institutions étudiées et le conseil d’administration pour 17%. Moins d’un tiers des investisseurs interrogés disposent d’une équipe d’analyse ESG interne et quand ils délèguent la gestion de leur politique d’investissement responsable, ces investisseurs le font majoritairement au travers de listes d’exclusions (40%). Les appels d’offre dédiés arrivent ensuite (29%). En ce qui concerne les classes d’actifs sur lesquelles les investisseurs déploient des critères ESG, ils le font systématiquement pour 54% de leurs encours actions, 45% de leurs encours obligataires entreprises et 31% pour leurs encours obligataires souverains. Pour télécharger l’enquête de Novethic : cliquez ici
Olivier Arlès, directeur général adjoint en charge du pilotage économique et financier de la Macif dans un article paru dans Option Finance numéro 1193 : La gestion d’actifs est déléguée à Macif Gestion, qui a elle-même intégré depuis deux ans le groupe OFI tout en conservant une certaine autonomie. Tous les placements, en dehors de l’immobilier ou des participations directes stratégiques, sont donc gérés par Macif Gestion, soit 22 milliards d’euros d’encours sur les 24 milliards d’euros détenus par la Macif. Nous confions des mandats à notre société de gestion qui peut investir en direct dans des fonds OFI ou sélectionner des gérants externes. La Macif fait donc appel indirectement à une cinquantaine de sociétés de gestion externes. Tout dépend cependant des classes d’actifs. Par exemple, comme OFI ne possède pas dans sa gamme les actions hors zone euro, nous travaillons avec d’autres gérants pour les actions américaines, émergentes et japonaises. Même si nous déléguons la gestion et la sélection de fonds à Macif Gestion, la direction fixe à notre gestionnaire un cadre général très précis. Ce dernier est déterminé chaque année par le conseil d’administration qui détaille par exemple les plafonds d’investissement pour les actifs risqués et les limites d’investissements pour les obligations. Et plus finement, les minimums en obligations d’Etats, les maxima en obligations notées BBB ou A, etc.
L’activité dans le secteur manufacturier aux Etats-Unis s’est contractée au mois de novembre, à son plus bas niveau depuis plus de trois ans, selon les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM est ressorti à 49,5 contre 51,7 en octobre, alors que les économistes l’attendaient à 51,3. Il contredit l’enquête Markit qui fait état d’un chiffre final à 52,8 le mois dernier, contre 52,4 en estimation «flash» et 51,0 en octobre.
Le président de la Fed de St. Louis estime que la banque centrale américaine pourrait remplacer son Opération Twist, qui expire à la fin de l’année, par un programme de rachat de Treasuries à hauteur de 25 milliards de dollars par mois. «Vous obtiendriez probablement le même impact», a-t-il souligné dans les colonnes du Wall Street Journal.
Les dépenses de construction ont augmenté de 1,4% en octobre, leur plus forte hausse depuis cinq mois, au taux annuel de 872,1 milliards de dollars - un niveau sans précédent depuis plus de trois ans - selon les données du département du Commerce. Le chiffre de septembre a été révisé à +0,5% après avoir été initialement annoncé en hausse de 0,6% il y a un mois.
Diamant Bleu Gestion a fait part de l’acquisition de la société de gestion Orchidée Finance, fondée par Daniel Larrouturou en 2008. L’intégration des équipes d’Orchidée Finance se concrétise par le renforcement du pôle gestion actions au sein de Diamant Bleu Gestion. Daniel Larrouturou, fondateur d’Orchidée Finance, entrera au capital de Diamant Bleu Gestion.
Le fonds East Capital Baltic Property Fund II de la société de gestion suédoise East Capital a acquis Gedimino 9, un centre commercial haut de gamme de 17.000 mètres carrés situé dans le centre Vilnius. Il s’agit de la plus grosse opération immobilière à Vilnius depuis le début de l’année, indique un communiqué d’East Capital.
BlackRock vient de nommer Bart Geer en qualité gérant principal de son fonds coordonné de grandes capitalisations américaines BGF US Basic Value, rapporte Citywire. Bart Geer, qui a rejoint BlackRock pendant l'été, remplace dans cette fonction Kevin Rendino, qui fait valoir ses droits à la retraite.Le fonds BGF US Basic Value, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 1,1 milliard de dollars, a dégagé sur les trois dernières années un rendement de 44,34% contre 65,21% sur la même période pour le S&P 500 TR.
Virtu Financial a soumis une offre pour le market maker d’ETF Knight Capital Group qui concurrence celle lancée par Getco. Virtu propose une transaction entièrement en cash qui valorise Knight à 3 dollars par action, tandis que celle de Getco propose 3,5 dollars en numéraire pour environ la moitié des actions de Knight plus des actions dans la nouvelle entité issue de la fusion, selon Index Universe qui cite le Wall Street Journal.