Le groupe bancaire suisse SYZ a annoncé la nomination de Katia Coudray en tant que CEO de SYZ Asset Management, la division de gestion institutionnelle du groupe qui gère notamment les fonds Oyster. A ce titre, elle fait aussi partie du comité exécutif du groupe. Entrée en 2011 chez SYZ en tant que Head of Product Development, Katia Coudray a été ensuite responsable des investissements de SYZ Asset Management. Par ailleurs, Florent Guy-Ducrot rejoint SYZ Asset Management en tant que Head of Business Development, en remplacement de Xavier Guillon. Avant de rejoindre SYZ en 2011, Katia Coudray a travaillé dix ans auprès de l’Union Bancaire Privée (UBP) à Genève, où elle était membre du Comité Exécutif Asset Management et membre du comité en charge de la définition des investissements du groupe. Au cours de ces 20 dernières années, elle a notamment occupé des postes dans la gestion de portefeuille, l’analyse financière et la sélection de gérants de fonds. Florent Guy-Ducrot rejoindra SYZ Asset Management le 1er septembre 2015 en tant que Head of Business Development. Il a notamment occupé le poste de Head of Sales & Distribution dans différentes grandes entreprises de la gestion d’actifs, dont notamment HSBC et Crédit Agricole (aujourd’hui Amundi), avec la mission de définir la stratégie marketing et vente pour une clientèle internationale, y compris en Asie. Durant sa carrière, il a occupé des fonctions qui lui ont permis de couvrir tous les segments de clients, tout en gardant un contact étroit avec la force de vente. Membre du comité exécutif de SYZ Asset Management, Florent Guy-Ducrot aura un rôle-clé dans la mise en oeuvre de la stratégie d’expansion du groupe.
Le fonds Apax Global Alpha boucle aujourd’hui une introduction en Bourse et compte lever 250 millions d’euros pour racheter les participations personnelles des managers du fonds de private equity. Selon L’Agefi, une première cotation est prévue le 15 juin. La stratégie d’investissement de ce nouveau fonds consistera à racheter PCV Lux et ses filiales, un véhicule d’investissement créé en août 2008 par certains associés d’Apax Partners LLP, la branche londonienne de la société de private equity, issue de la fusion des activités américaines et européennes (hors France) du groupe.
Old Mutual se prépare à vendre des actions dans sa filiale américaine de gestion d’actifs pour un montant pouvant aller jusqu’à 200 millions de dollars, profitant d’une forte hausse de l’action de la société introduite en Bourse l’an passée, rapporte le Financial Times. Le groupe anglo-sud-africain a indiqué mardi qu’il allait appuyer sur le bouton de la vente de titres supplémentaires de la société basée à Boston, qui gère 224 milliards de dollars, dans les trois prochaines semaines. Old Mutual a lancé OM Asset Management sur la Bourse de New York en octobre à 14 dollars par action. Depuis, le titre de la société multi-boutiques a bondi à 18,99 dollars lundi.
Le monde de la Fintech accueille un nouvel acteur. Avec pour ambition de démocratiser la gestion d’actifs en France, la start-up française Yomoni mise sur une offre à 100 % numérique dédiée aux épargnants particuliers et des frais de gestion limités au maximum. La société créée par Mourtaza Asad-Syed qui préside la structure et dirige la gestion, Laurent Girard, directeur des opérations et Guillaume Yribarren, directeur marketing, prépare actuellement le lancement de la première société digitale de gestion sous mandat en France. Pour soutenir son développement, Yomoni a lancé un premier tour de table, qui a levé 3,5 millions d’euros. Il a permis de faire entrer à son capital Crédit Mutuel Arkéa et Iena Venture - l’incubateur de la Financière de l’Echiquier. Ces deux acteurs détiennent chacun un tiers du capital, le troisième tiers apparentant aux salariés fondateurs. Actuellement en cours d’agrément auprès de l’AMF, pour un lancement officiel prévu en juillet, la structure proposera une offre de gestion accessible à partir de 1.000 euros, qui sera facturée 1,6 % par an. « Aujourd’hui la majorité des Français n’a pas accès à un service de gestion de fortune, réservé aux patrimoines les plus élevés. Ils sont également rebutés par des produits d’épargne complexes parfois difficiles à cerner dans leur construction et leur tarification », souligne Mourtaza Asad-Syed. Yomoni proposera un contrat d’assurance vie composé entièrement d’ETF. Le fonds en euros a volontairement été laissé de côté car pas assez rentable selon les dirigeants de Yomoni. Le portefeuille proposé par le site sera adapté au profil de risque du client. Au total, 10 différents profils de risque sont disponibles. La clientèle visée est celles des « digital natives », ces jeunes de 25 à 35 ans, souvent primo-épargnants, nés avec internet et à l’aise dans l’utilisation de supports numériques, mais souvent peu familiarisés avec les produits d’épargne. La France - où le créneau des Fintech a séduit d’autres grands acteurs comme Amundi qui, selon L’Agefi, aurait investi dans la société Anatec - constituera la première étape de développement de Yomoni, avant l’Europe francophone et le reste du continent. En chifffres, la jeune start up estime à entre 50 milliards et 100 milliards d’euros de marché des « robo-advisors » (services de gestion de portefeuille automatisée en ligne, NDLR) sur le vieux continent. La structure a pour ambition d’atteindre le milliard d’euros d’encours d’ici 3 à 5 ans et de devenir l’un des leaders de la gestion d’actifs en ligne en Europe d’ici à 5 ans. Yomoni compte actuellement huit collaborateurs. L’équipe devrait passer à 10 d’ici à fin juin.
L’Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (ERAFP) a décidé d’activer un mandat de gestion de portefeuille d’Actions de petites capitalisations – France à Amiral Gestion dans le cadre de sa politique d’élargissement de son univers d’investissement et en conformité avec les cinq valeurs de sa charte ISR.L’ERAFP avait lancé en mars 2013, un appel d’offres restreint dont l’objet était la gestion d’un fonds d’actions de petites capitalisations françaises. A l’issue de la procédure de sélection, l’Établissement avait décidé d’attribuer le mandat actif à Sycomore Asset Management et deux mandats dit « stand-by » à Amiral Gestion et Moneta Asset Management.Dans la cadre de la nouvelle réglementation et afin de favoriser le financement de l’économie française en particulier des PME et ETI, l’ERAFP a décidé d’activer le mandat stand-by confié à Amiral Gestion, précise un communiqué.
Aviva Investors a recruté Rahul Khasgiwale en tant que spécialiste senior des investissements basé à Toronto. L’intéressé vient de Manulife Asset Management où il était directeur des investissements pour les solutions multi-classes d’actifs. Il a aussi travaillé chez Standard Life Investments et HSBC Global Asset Management et cumule 14 ans d’expérience dans les services financiers.Chez Aviva Investors, Rahul Khasgiwale travaillera en étroite coopération avec les partenaires stratégiques et les clients en Amérique du Nord, avec un focus sur les solutions multi-stratégies et à revenus.
Le fonds de pension canadien CPPIB (Office d’investissement du régime de pensions du Canada) a annoncé le 9 juin avoir conclu le rachat auprès de General Electric, pour 12 milliards de dollars, de sa filiale Antares, spécialisée dans le financement d’opérations de capital-investissement. La confirmation en fait d’une transaction déjà évoquée par la presse et dont on attendait la conclusion officielle.Basé à Chicago, Antares est le numéro un américain du financement de transactions impliquant des sociétés de capital-investissement et portant sur des entreprises de taille intermédiaire. Au cours des cinq dernières années, Antares a fourni plus de 120 milliards de dollars de financements. Cette transaction va significativement renforcer l’activité de crédit du plus important des fonds de pension canadiens. Cette acquisition «garantit une activité chef de file de son secteur qui est exceptionnellement bien positionnée», a déclaré dans un communiqué le directeur général de CPPIB, Mark Wiseman. GE a annoncé en avril son intention de céder pour 200 milliards de dollars d’actifs financiers afin de se concentrer sur ses activités industrielles.
Aberdeen Asset Management va fusionner cinq fonds anciennement gérés par Scottish Widows Investment Partnership (SWIP) dans le cadre de la réorganisation de sa gamme, rapporte Investment Week. Cela concernera un fonds US, un produit mondial, un portefeuille européen et deux fonds actions britanniques. Ils seront absorbés par d’autres fonds à compter du 10 juillet.
Hugh Little, le responsable des acquisitions d’Aberdeen Asset Management, quitte la société dans laquelle il a passé près de 30 ans, rapporte Investment Week. L’intéressé, qui avait rejoint le groupe en tant que son neuvième employé, a passé une bonne partie du début de sa carrière au sein de la division private equity d’Aberdeen, dirigeant le pôle de 1990 à 2006. Il a ensuite retrouvé ses fonctions relatives aux fusions et acquisitions, et a notamment piloté le rachat de Scottish Widows Investment Partnership. Hugh Little sera remplacé par David Boyle, qui travaille au sein de la société depuis 2003.
J O Hambro Capital Management (JOCHM) a recruté Michael Ulrich en tant que gérant pour le fonds JOCHM UK Opportunities Fund, dont les encours atteignent 1,6 milliard de livres sterling. L’intéressé vient de F&C Asset Management, où il était gérant principal sur le fonds F&C UK Mid Cap. Chez JOCHM, qu’il rejoindra début août, il travaillera aux côtés de John Wood, gérant principal, Rachel Reutter, gérante, et Todd King, analyste.
UBS a annoncé avoir arrêté la date du 14 juin pour le transfert des actifs de ses unités Retail & Corporate ainsi que Wealth Management enregistrés en Suisse vers UBS Switzerland. La banque se réserve toutefois l’option de modifier la date de cette opération et communiquera toute modification de calendrier le cas échéant, précise un communiqué publié le 9 juin.UBS Switzerland et UBS SA endosseront conjointement les obligations contractuelles sur ces actifs jusqu'à la date effective du transfert. Cette réciprocité prendra fin avec la réalisation de l’opération.
Interrogé par le Financial Times fund management, Kunio Watanabe, le nouveau directeur général de Nomura Asset Management, indique vouloir améliorer l’image de la société de gestion japonaise auprès des investisseurs étrangers, qui représentent 30 % des actifs du groupe (355 milliards de dollars d’encours). « Nous ne sommes pas bien connus dans la City. La marque est un sujet que nous avons besoin d’améliorer », indique-t-il. Au Japon, Nomura AM a profité de la décision de trois des principaux fonds de pension du pays et de deux de ses plus grandes institutions de réduire leur exposition aux obligations en faveur des actions. Kunio Watanabe se félicite aussi des réformes du premier ministre japonais Shinzo Abe d’étendre le système de retraites à contribution définies. Parallèlement, les investisseurs particuliers japonais sont encouragés à investir dans les actions domestiques via le Nippon Indivudual Savings Accounts, ce qui soutient aussi le secteur de la gestion d’actifs.
Le gestionnaire d’actifs suisse RAM Active Investments a annoncé que son fonds RAM (Lux) Tactical Funds – Quality Bond Fund, lancé en avril 2009, a été renommé RAM (Lux) Tactical Funds – Global Total Return Bond afin de mieux refléter la stratégie appliquée depuis son lancement. «Le changement de dénomination vise, d’une part, à répondre à la demande des investisseurs dans un environnement en pleine mutation et, d’autre part, à positionner le fonds sur un segment de marché plus pertinent», précise la société de gestion dans un communiqué. Outre ce changement de nom, la politique d’investissement a également été modifiée. Ainsi, l’objectif du fonds est désormais de générer un «total return» tirant profit des sources de performance décorrélées et à une gestion active des taux d’intérêt, de la courbe des rendements et du crédit, libérée de toute contrainte en termes de duration moyenne (auparavant cinq ans). De plus, le fonds investit dorénavant au minimum 75% de ses actifs dans des obligations de qualité «investment grade». Enfin, le fonds peut investir jusqu’à 25% de ses actifs dans des obligations notées entre BBB- et BB-.Toutes ces modifications «reflètent la capacité du fonds à offrir aux investisseurs une source de rendement diversifiée synonyme de revenus réguliers quelles que soient les conditions de marché, et ce sans biais sectoriels ou régionaux, précise RAM Active Investments. Elles permettront en outre à RAM de recourir à une large gamme d’obligations souveraines et privées au sein de l’univers investment grade mondial, sans limitations en termes de duration.»
Le groupe Reyl a bouclé l’année 2014 sur un bilan globalement positif qui le voit réaliser le deuxième meilleur exercice de son histoire. Au 31 décembre 2014, les actifs sous gestion se montent à 10,7 milliards de francs suisses, soit une progression annuelle de 18 %. Les revenus nets s’établissent à 107 millions de francs suisses (-8%) et le bénéfice net à 18 millions de francs suisses (-27%). La baisse relative des revenus et du bénéfice est essentiellement due à la réduction des commissions de performance provenant de la gestion des fonds de placement institutionnels, dépendantes de l’évolution des marchés financiers, ainsi qu’à des charges exceptionnelles liées notamment à la reconfiguration des systèmes d’information. Les années 2014 et 2015 resteront comme «des années charnières» dans l’évolution du Groupe Reyl, souligne un communiqué. Avec la création du département Asset Services, qui propose des prestations de dépositaire, de conseil, de trading et de gouvernance de fonds de placement à des institutions financières tant en Suisse qu’à l’étranger, Reyl & Cie a achevé la diversification dite « horizontale » de ses principaux métiers. Le groupe se concentre à présent sur cinq pôles d’activités bien définis, distincts et complémentaires, au service d’une clientèle d’entrepreneurs internationaux et d’investisseurs institutionnels. Cette offre globale s’articule autour des métiers Wealth Management, Asset Management, Private Office, Corporate Advisory & Structuring et, enfin, Asset Services. « A partir de 2016, précise François Reyl, son directeur général, nous focaliserons d’avantage nos efforts sur un axe « vertical » visant à favoriser les synergies entre nos différents pôles d’activités, à améliorer l’ensemble de nos procédures internes et à privilégier une approche et une culture véritablement transversales au sein de l’entreprise. En parallèle, nous continuerons de renforcer notre présence en Asie, au Moyen-Orient et aux Etats-Unis. Dans un contexte difficile pour le secteur bancaire, Reyl & Cie continuera d’entreprendre dans le but d’apporter des solutions innovantes à ses clients, condition nécessaire à la sauvegarde et à la poursuite de sa croissance.»
Azimut a enregistré en mai des souscriptions nettes de 1,3 milliard d’euros, portant ainsi la collecte nette depuis le début de l’année à 3,7 milliards d’euros. La société de gestion italienne indique avoir profité de la consolidation des actifs de Quest au Brésil et d’EWM en Australie, deux sociétés récemment rachetées. En dehors de ces deux opérations, Azimut enregistre des souscriptions nettes de 413 millions d’euro en mai et de 2,2 milliards d’euros depuis janvier. Le total des encours atteint 35,6 milliards d’euros, dont 30,6 milliards d’euros sous gestion. Par ailleurs, Azimut annonce le lancement de trois compartiments de son fonds luxembourgeois AZ Fund 1, dont deux fonds émergents (Emerging Markets Local Currency Bond et Global Emerging Markets Equity) et le fonds d’arbitrage de fusions et acquisitions AZ Arbitrage. Enfin, la société italienne a bouclé l’acquisition des 25 % qu’elle ne détenait pas encore dans Katarsis, portant sa participation à 100 % du capital.
Ubi Pramerica Sgr, la société de gestion italienne née de la joint venture entre Gruppo UBI Banca et Pramerica Financial, lance le fonds de fonds Ubi Sicav Income Opportunities – Classe A, un produit flexible qui offre une croissance du capital et un rendement par le biais de l’assemblage de diverses stratégies d’investissement. Les gérants du fonds pourront investir sur différentes classes d’actifs, directement ou indirectement, sur différentes stratégies de gestion et sur différentes maisons de gestion italiennes ou étrangères. Le fonds prévoit, en outre, en août 2016, le versement d’un dividende prédéfini égal à 3 % de la valeur initiale de l’action et pour les années suivantes, en cas de performance positive par rapport à la valeur de lancement, l’investisseur pourra recevoir un coupon annuel compris entre 1 % et 5 %. Ubi Sicav Income Opportunities est un compartiment de la Sicav luxembourgeoise Ubi dont Ubi Pramerica Sgr est le distributeur principal en Italie. Il sera commercialisé jusqu’au 20 juillet 2015.
Anima a terminé le mois de mai sur des souscriptions nettes de 730 millions d’euros, après plus d’un milliard d’euros en avril, rapporte Bluerating. Cela porte la collecte depuis le début de l’année à environ 4 milliards d’euros, contre 4,5 milliards d’euros sur la période correspondante de 2014. Le total des encours sous gestion fin mai à dépassé les 63,8 milliards d’euros, soit une hausse annuelle de 21 %.
Muzinich & Co vient de recruter Francesca Campanelli en Italie pour renforcer l’équipe de dette italienne. L’intéressée était précédemment commerciale senior chez BlackRock Italie. Elle a en outre eu une longue expérience de gérante de portefeuilles au sein d’Allianz Global Investors. « Depuis 2000, année au cours de laquelle nous avons lancé notre activité en Italie, Muzinich a progressivement renforcé sa présence et peut compter aujourd’hui sur une équipe d’investissement et de marketing composée de huit professionnels basés à Milan. Nous avons l’intention de développer notre présence dans le pays et l’arrivée d’une professionnelle expérimentée confirme cet objectif », a commenté Ersilia Molnar, managing director de Muzinich.
La société de gestion alternative Aquila Capital, créée en 2001, a annoncé ce mardi 9 juin le premier «closing» de son fonds dédié aux énergies renouvelables, Aquila Renewables Funds III S.A (ARF III). Ce véhicule a en effet sécurisé «un montant significatif» d’argent auprès d’un grand investisseur institutionnel. Ni le montant ni le nom de l’investisseur n’ont été dévoilés. Ce fonds a vocation à investir dans un portefeuille diversifié de panneaux photovoltaïques et de champs d’éoliennes. ARF III a été conçu pour des investisseurs institutionnels en quête de rendement stable et prévisible et qui souhaitent également diversifier leur portefeuille pour y inclure des actifs liés aux énergies renouvelables. «Le fonds dispose déjà de nombreux actifs dans lesquels il peut investir et il a déjà sécurisé un nombre d’opérations dans le photovoltaïque et les champs d’éoliennes avec un volume total de capitaux de près de 175 millions d’euros», indique Aquila Capital dans un communiqué.
Franklin Templeton Investments a fait référencer son fonds Templeton Global Total Return au sein du PERP d’entreprise Eres 163x, lancé par Eres. Ce fonds bénéficie d’une gestion obligataire flexible et sans contrainte. Il est investi dans le monde entier et dispose de plusieurs moteurs de performance (taux d’intérêt, crédit, devises) permettant ainsi au portefeuille de s’adapter à toutes les configurations de marché.Eres est le premier acteur indépendant en épargne retraite, épargne salariale et actionnariat salarié, rappelle un communiqué. Ce nouveau PERP peut être souscrit par un salarié ou un mandataire social et sa prime est payée directement par l’entreprise.
L’éditeur de logiciels d’identification et de traçabilité unitaire Adents a annoncé le 9 juin avoir finalisé au premier trimestre une levée de fonds de 8,5 millions d’euros. Ce tour de table permettra à la PME d’étendre sa présence à l’international et d’assurer le déploiement rapide de son logiciel sur les lignes de conditionnement de produits pharmaceutiques européennes et nord-américaines. L’augmentation de capital de 8,5 millions d’euros s’est opérée au premier trimestre auprès de Naxicap Partners et CapHorn Invest, ses actionnaires historiques, d’Omnes Capital et des membres de la direction. Elle va permettre de soutenir sa croissance en Europe et en Amérique du Nord où elle vient d’ouvrir deux filiales : Adents Canada Inc et Adents US Inc.
Pimco réorganise ses équipes dédiées au marché français. Outre la nomination de Matthieu Louanges comme nouveau responsable des activités de la société de gestion en France en remplacement d’Emanuele Ravano qui reste responsable de l’équipe européenne «Global Wealth Management» (lire NEWSManagers du mardi 9 juin 2015), la société de gestion porte également aux avant-postes deux autres collaborateurs. Ainsi, Matthieu Louanges est secondé par Bettina Mazzocchi, qui vient d’être promue «Executive Vice President», et Julie-Anna Miny, «Senior Vice President». Toutes deux se partagent la responsabilité commerciale des activités de Pimco sur le marché français. Matthieu Louanges couvre le marché français depuis le bureau de Pimco à Munich tandis que Bettina Mazzocchi et Julie-Anna Miny sont basées à Londres. Dans le détail, Bettina Mazzocchi couvre, avec son équipe, la clientèle des distributeurs (banques privées, multigérants, family offices, plateformes de distribution). Pour sa part, Julie-Anna Miny est en charge de la clientèle institutionnelle (caisses de retraite, compagnies d’assurances, mutuelles, etc.).Responsable de l’activité assurance en Europe et assurant la couverture des marchés suisse et français, Matthieu Louanges était auparavant co-responsable des équipes de gestion à Munich, gérant de portefeuille spécialisé sur les stratégies européennes et membre du comité d’allocation de portefeuille européen. Avant de rejoindre Pimco en 2000, il a passé deux ans au sein d’Allianz, maison-mère de Pimco. Matthieu Louanges a débuté sa carrière en 1994 à la Deutsche Bank, à Francfort et Paris, dans l’équipe commerciale obligataire, avant de devenir gérant de portefeuille à la Caisse Centrale de Réescompte en 1995.Bettina Mazzocchi-Mallarmé est «Executive Vice President» au sein de l’équipe EMEA Global Wealth Management et responsable du développement de l’activité de distribution en Europe du Nord. Avant de rejoindre Pimco en 2008, elle était commerciale de produits structurés chez Morgan Stanley. Auparavant, elle a travaillé chez Bank of America et Credit Suisse First Boston dans les divisions crédits dérivés et marchés de titres de créances. Enfin, Julie-Anna Miny est «Senior Vice President» et «Account Manager», gérant principalement les relations clients institutionnels. Avant d’intégrer Pimco en 2008, elle a travaillé pour Royal Bank of Canada Capital Markets à Londres dans la division des produits structurés. Couvrant le marché français depuis une quinzaine d’années, Pimco gère plus de 9 milliards d’euros d’actifs, au 31 mars 2015, pour le compte de clients institutionnels, distributeurs et particuliers français.
La Place française a atteint fin 2014 un nouveau record, avec 634 sociétés de gestion de portefeuille enregistrées, selon les chiffres définitifs du rapport annuel de l’Association française de la gestion financière (AFG) rendu public mardi soir. 48 nouvelles sociétés ont vu le jour l’an dernier, soit le niveau le plus haut observé depuis 2011. «Cette évolution s’explique largement par la mise en conformité des acteurs en lien avec l’entrée en vigueur de la directive AIFM (sur la gestion alternative, ndlr), explique L’AFG. Les deux tiers des créations correspondent à des sociétés spécialisées, notamment immobilières, de titrisation, forestières et de capital investissement». En net, le nombre de sociétés de gestion a crû de 21 unités, compte tenu des fermetures ou fusions de certains acteurs du secteur. Depuis 2010, les créations nettes oscillaient entre 5 et 9 par an.
Le directeur du Trésor britannique a évoqué un échec possible sur une prochaine adjudication du fait des tensions sur le marché secondaire. Les investisseurs ont néanmoins absorbé avec un ratio de 3 fois les 900 millions de livres d’obligations indexées mises aux enchères hier.
Les marchés actions européens pourraient évoluer dans deux directions opposées selon les décisions politiques qui seront prises d’ici un mois autour du cas grec.
Le DMO craint l'échec d'une adjudication. Les investisseurs ont néanmoins absorbé avec un ratio de couverture de 3 fois les indexées à 9 ans vendues hier.