C’est le 22 septembre que la Securities and Exchange Commission va se prononcer sur une proposition relative à la gestion du risque de liquidité pour les gérants. En mai dernier, le régulateur a déjà soumis de nouvelles exigences en matière de communication afin d’améliorer la collecte des données.
C’est le 22 septembre que la Securities and Exchange Commission va se prononcer sur une proposition relative à la gestion du risque de liquidité pour les gérants. En mai dernier, le régulateur a déjà soumis de nouvelles exigences en matière de communication afin d’améliorer la collecte des données.
Apollo Credit Management, qui cherche à élargir sa base de clientèle en ciblant les particuliers, a noué un partenariat avec OppenheimerFunds. Le pôle interviendra en tant que «sub-sub advisor» du fonds «Oppenheimer Global Strategic Income», qui affichait environ 6,1 milliards de dollars d’actifs à la fin du mois de juin. Le fonds pourra ainsi accéder à des opportunités de marché alternatives, telles que des investissements immobiliers directs ou du crédit structuré.
Une cour d’appel britannique a jugé non conforme la décision du régulateur britannique Financial Conduct Authority (FCA) de bannir du secteur financier le responsable d’une société de gestion accusé d’avoir trompé les investisseurs avec des «death bonds», des produits d’assurance vie titrisés. Les juges ont considéré que la FCA ne disposait pas d’éléments suffisants pour empêcher Andrew Wilkins de continuer à occuper des postes de direction dans la sphère financière.
Membre du directoire de la BCE, Benoît Cœuré, a déclaré qu’«il y a sans doute des améliorations à apporter en France à la manière dont on nomme les responsables des grandes institutions publiques, en termes de transparence et en termes de processus de sélection, au-delà des noms et des profils des uns et des autres, qui sont différents». Le nom de Benoît Cœuré avait circulé comme faisant partie des candidats possibles à la succession de Christian Noyer à la tête de la Banque de France.
Le gouvernement de centre gauche de Matteo Renzi, qui prévoyait en avril une croissance économique de 0,7% pour 2015, prévoit désormais 0,9%. Pour 2016, le PIB devrait augmenter de 1,6%. La précédente prévision était d’une croissance de 1,4%. L’objectif de déficit pour cette année est maintenu à 2,6% du PIB, mais le chiffre pour l’an prochain passe de 1,8% à 2,2%. Le ratio dette/PIB devrait rester quasi stable : 132,8% prévu cette année et 132,5% l’an prochain.
La Banque d’Angleterre (BoE) risque de devoir réduire les taux plutôt que les remonter en raison d’une inflation atone et du risque de voir les difficultés des pays émergents affecter la croissance mondiale de manière durable, a estimé vendredi Andy Haldane, chef économique de la BoE. Des chiffres de l’emploi qui fléchissent et des indicateurs médiocres de production manufacturière et d’activité dans le secteur du bâtiment laissent penser que la croissance ralentit au second semestre en Grande-Bretagne et que l’inflation ne se redresse peut-être pas autant qu’attendu, a-t-il ajouté.
Les fonds investis sur les actifs des pays émergents ont continué de subir des sorties nettes sur la semaine au 16 septembre, avant la réunion de la Fed, selon l’étude hebdomadaire de BofA Merrill Lynch. Les fonds spécialisés sur les actions émergentes ont subi 2,2 milliards de dollars de retraits nets, enregistrant une dixième semaine consécutive de dégagements. Ceux investis en dettes émergentes ont accusé une huitième semaine de sorties nettes pour 1,9 milliard.
Cinq groupes de mesures quantifiables de la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques devraient générer 0,3% de croissance supplémentaire en France à un horizon de cinq ans, estime l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE). L’OCDE estime cet impact à 0,4% de croissance à un horizon de dix ans, selon un document d’évaluation remis vendredi au ministre de l’Economie, Emmanuel Macron.
L’agence Standard & Poor’s a décidé de faire passer la note souveraine du Portugal de «BB» à «BB+», tout en abaissant la perspective de «positive» à «stable». Pour justifier cette décision officialisée vendredi, S&P indique que la reprise économique et la consolidation budgétaire du Portugal se poursuivent conformément à ses attentes, «poussant la dette publique nette par rapport au PIB sur une trajectoire déclinante après 15 années consécutives d’ascension».
Le nouveau Premier ministre australien, Malcolm Turnbull, a annoncé hier la désignation de plusieurs ministres, tentant de satisfaire toutes les composantes de sa coalition et d’éviter de subir le sort de son prédécesseur Tony Abbott qui a démissionné mardi. Malcolm Turnbull a notamment confié les clés du Trésor au conservateur Scott Morrison, connu en Australie pour ses positions tranchées sur les questions d’immigration.
L’agence de notation a indiqué vendredi avoir abaissé la note souveraine à long terme de la France, à Aa2 contre Aa1, estimant que les perspectives de croissance du pays devraient rester faibles jusqu’à la fin de la décennie. Selon Moody’s, le potentiel de croissance du pays est au mieux à 1,5% par an sur le moyen terme. L’agence a relevé la perspective associée à sa note à «stable» contre «négative», ce qui signifie qu’elle n’anticipe pas de modification dans les 12 à 18 mois. La France est notée «AA» avec une perspective négative par S&P et «AA» avec une perspective stable par Fitch. Le ministre des Finances Michel Sapin a pris acte de cette décision, tout en notant que les dernières données économiques et budgétaires «témoignent de la capacité du gouvernement à faire renouer l’économie avec plus de croissance et plus d’emploi, avec des finances publiques assainies».
Les fonds à performance absolue ne sont pas une nouveauté, mais ils répondent aux besoins de certains investisseurs, de leur profil de risque et de leurs projets. En tant que CGPI, ces fonds me permettent de bâtir une allocation d’actifs originale et, pour ne pas subir la tyrannie des indices boursiers, je privilégie les approches discrétionnaires, ce qui me permet de diversifier les risques.
En berne depuis plusieurs années, les recrutements dans la gestion d’actifs reprennent, soutenus à nouveau par des créations de postes. Les sociétés de gestion recherchent en priorité des profils très expérimentés.
Au-delà des conséquences du statu quo de la Réserve fédérale, le FTSE-100 a connu une journée agitée. L’indice de référence de la Bourse de Londres a brutalement chuté de 70 points à 13h39, soit une baisse de 1,15%, avant de regagner progressivement le terrain perdu. Selon des courtiers interrogés par Bloomberg, le FTSE-100 aurait été victime d’erreurs dans des passages d’ordres, des «gros doigts» dans le jargon, sur plusieurs valeurs, dont HSBC, la première capitalisation de l’indice. Le cours de la banque a chuté de 4,8% avant de rebondir. Vodafone, Diageo et BHP Billiton ont également connu d’étonnants passages à vide. Le London Stock Exchange a indiqué examiner ces mouvements en précisant que ses systèmes fonctionnaient normalement.
C’est la première réaction publique de Benoît Cœuré, membre du directoire de la Banque centrale européenne, à la nomination attendue de François Villeroy de Galhau à la tête de la Banque de France. Benoît Cœuré faisait partie des candidats possibles à la succession de Christian Noyer, en fin de mandat et atteint par la limite d’âge. Interrogé lors d’une conférence à Paris, le banquier central a regretté que le débat sur le futur nom du gouverneur de la Banque de France se soit posé dans la presse en termes personnels. «S’il y a une conclusion plus profonde à tirer de ce débat, c’est qu’il y a sans doute des améliorations à apporter en France à la manière dont on nomme les responsables des grandes institutions publiques, en termes de transparence et en termes de processus de sélection, au-delà des noms et des profils des uns et des autres, qui sont différents», a déclaré Benoît Cœuré. «Il y a une sorte de standard international maintenant en termes de nomination et la France a un peu de retard dans ce domaine», a ajouté Benoît Cœuré.
Les fonds investis sur les actifs des pays émergents ont continué de subir des sorties nettes sur la semaine au 16 septembre, avant la réunion de la Fed, selon l’étude hebdomadaire de BofA Merrill Lynch. Les fonds spécialisés sur les actions émergentes ont subi 2,2 milliards de dollars de retraits nets, enregistrant une dixième semaine consécutive de dégagements. Ceux investis en dettes émergentes ont accusé une huitième semaine de sorties nettes pour 1,9 milliard. Les fonds en actions américaines ont collecté 16,7 milliards, dont 11,4 milliards sur le principal ETF sur le S&P 500. Les fonds spécialisés sur les actions européennes et japonaises ont continué de bénéficier de la faveur des investisseurs, collectant respectivement 2 milliards de dollars et 5,1 milliards de dollars.
La Banque d’Angleterre (BoE) risque de devoir réduire les taux plutôt que les remonter en raison d’une inflation atone et du risque de voir les difficultés des pays émergents affecter la croissance mondiale de manière durable, a dit vendredi Andy Haldane, chef économique de la BoE. Des chiffres de l’emploi qui fléchissent et des indicateurs médiocres de production manufacturière et d’activité dans le secteur du bâtiment laissent penser que la croissance ralentit au second semestre en Grande-Bretagne et que l’inflation ne se redresse peut-être pas autant qu’attendu, a-t-il ajouté.
Cinq groupes de mesures quantifiables de la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques devraient générer 0,3% de croissance supplémentaire en France à un horizon de cinq ans, estime l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE). L’OCDE estime cet impact à 0,4% de croissance à un horizon de dix ans, selon un document d’évaluation remis vendredi au ministre de l’Economie, Emmanuel Macron.
Les Bourses européennes ont terminé la séance de vendredi en forte baisse, au lendemain du statu quo monétaire de la Réserve fédérale. A Paris, le CAC 40 a perdu 2,56% à 4.535 points. Le FTSE-100 a cédé 1,46% tandis que le DAX a reculé de 3,17%. A New York, le S&P 500 et le Nasdaq étaient également en baisse au moment où l’Europe fermait ses portes. Après les déclarations de la Fed, les investisseurs s’inquiètent un peu plus pour la croissance mondiale.
Les effets positifs sur le PIB potentiel de cinq groupes de mesures de la loi Macron seraient de l’ordre de 0,3% à un horizon de 5 ans et de 0,4% à un horizon de 10 ans, selon une note de l’OCDE, publiée vendredi 18 septembre 2015. Il s’agit de la réforme des professions réglementées, l’ouverture des commerces le dimanche et en soirée, la facilitation des dessertes par autocars, la simplification des Plans de sauvegarde de l’emploi, et l’amélioration des procédures de permis de conduire, poursuit la note intitulée «France, évaluation de certaines mesures de la loi pour la croissance, l’activité et l'égalité des chances économiques et perspectives de furtures réformes ".