Arthur de Mortemart, ancien relationship manager de Merril Lynch, vient de rejoindre la société de gestion Matignon Finances en tant que gérant de portefeuille. Un recrutement qui confirme le développement de la société de gestion parisienne qui compte aujourd'hui 230 millions d'euros d'encours sous gestion.
Certains « robo-advisors » cherchent à capter une clientèle directe, mais les conseillers patrimoniaux peuvent voir leur intérêt dans le recours à ces solutions de gestion de portefeuilles automatisée. Une position que défend Jean-Marc Bourmault, Directeur des partenariats de Patrimonia, dans ce Focus Expertise.
La progression de 6,9% du PIB chinois sur la période juillet-septembre signifie que la Chine pourrait faire mieux sur l’ensemble de l’année que la croissance de 6,8% attendue par le FMI, a estimé mercredi Changyong Rhee, directeur du département Asie-Pacifique au sein du FMI. «Le taux de croissance global pour 2015 pourrait en fait être proche de 7% et au-dessus de notre 6,8%», a-t-il précisé lors d’une intervention devant le Carnegie Endowment for International Peace. Changyong Rhee a ajouté que le FMI ne s’attendait pas à un atterrissage brutal pour l’économie chinoise mais qu’il était davantage préoccupé par les conséquences potentielles d’un ralentissement de la croissance sur les voisins de la Chine, en particulier en raison de leurs liens commerciaux de plus en plus étroits.
Les stocks américains de pétrole brut ont augmenté comme prévu la semaine dernière, alors que les niveaux des stocks d’essence et de distillats ont baissé nettement plus que prévu, rapporte mercredi l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA). Les stocks de brut ont augmenté de 3,4 millions de barils la semaine dernière aux Etats-Unis, à 479,96 millions. Cette hausse est inférieure au chiffre de 4,1 millions de barils annoncé mardi par l’American Petroleum Institute (API) et aux anticipations des marchés. Les stocks d’essence en revanche ont diminué de 1,1 million de barils, un volume supérieur au 817.000 ressortant du consensus Reuters. Les stocks de distillats, dont le diesel et le fioul, ont baissé de trois millions de barils, alors que les analystes attendaient un repli de 1,7 million, selon les données de l’EIA.
L’indicateur de confiance des ménages en France est retombé d’un point en octobre à 96, contre une stabilité attendue par le consensus des économistes, montrent les données publiées mercredi par l’Insee. L’opinion des ménages sur leur situation financière passée a poursuivi son amélioration mais celle qui concerne leur situation financière future s’infléchit, sous l’effet notamment d’une forte remontée des craintes sur le chômage.
La banque centrale de Suède (Risksbank) va augmenter son programme de rachats obligataires de 65 milliards de couronnes à un total de 200 milliards (21,4 milliards d’euros). Son taux d’intervention est maintenu à -0,35%. La Riksbank se félicite que l’inflation se redresse mais elle craint que les mesures de stimulation monétaire d’autres banques centrales ne se traduisent par un renforcement de la couronne. «Pour préserver la qualité du redressement de l’inflation, le conseil exécutif de la Riksbank estime nécessaire de rendre la politique monétaire encore plus accommodante», explique l’institution. Elle se dit prête à prendre toute nouvelle mesure d’ordre monétaire si les perspectives d’inflation viennent à se dégrader, «même entre deux réunions ordinaires de politique monétaire». Elle a également déclaré qu’une première remontée des taux d’intérêt serait repoussée d’environ six mois par rapport à sa précédente estimation.
Le fonds souverain norvégien a essuyé une deuxième perte trimestrielle consécutive. Norges Bank IM a connu un retour sur investissement négatif de 4,9% au troisième trimestre, après une perte de 0,9% au cours des 3 mois précédents. A lui seul, Volkswagen a fait perdre 4,9 milliards de couronnes norvégiennes au fonds (575 millions de dollars environ). NBIM détient 1,22% du capital de Volkswagen. Le fonds a également souffert de sa position au capital de Glencore.
Van Eck Global et Merk Investments ont annoncé que Van Eck intervenait désormais en qualité de distributeur de l’ETF physique sur l’or Van Eck Merk Gold Trust, précédemment connu sous l’appellation Merk Gold Trust. Cet ETF présente une particularité, l’option d’une livraison physique de l’or lorsque l’investisseur le souhaite. L’ETF rejoint ainsi la famille des stratégies liées à l’or déjà proposées par Van Eck, à l’instar du Market Vectors Gold Miners ETF (NYSE Arca: GDX), du Market Vectors Junior Gold Miners ETF (NYSE Arca: GDXJ) ou encore du Van Eck International Investors Gold Fund (ticker: INIVX). L’ETF, qui garde son acronyme OUNZ, est chargé comme précédemment à 0,40%.
A quelques semaines de son introduction en Bourse, Amundi a publié hier ses résultats financiers faisant état d’une collecte nette au troisième trimestre de 19,2 milliards d’euros. Un montant qui marque un ralentissement par rapport au premier semestre, attribué au retournement de marché et à l’effet saisonnier lié aux mois d’été.Par segments de clientèle, la collecte nette du trimestre s’est répartie à égalité entre le Retail et les Institutionnels. Pour le premier groupe, la collecte nette s’est élevée à 9,6 milliards d’euros tirée par les joint ventures (JV), à 8,1 milliards d’euros. Pour le second groupe, la collecte nette a atteint 9,6 milliards, dont 6,9 milliards pour les Institutionnels & Corporates et 2,7 milliards pour les assureurs des groupes CA et SG. 66% du total de la collecte nette trimestrielle, soit 12,6 milliards d’euros, a été réalisé à l’international. Les encours sous gestion à l’international s’élevaient à fin septembre 2015 à 216 milliards (soit 23% des encours sous gestion totaux). Sur les neuf premiers mois de l’année, la collecte nette atteint 65,8 milliards, répartie de façon équilibrée entre les segments de clientèle Retail (34,3 milliards) et institutionnels (31,5 milliards). La collecte nette à l’international atteint sur neuf mois 60% de la collecte nette totale (39,4 milliards sur 65,8 milliards). « Elle est principalement réalisée en Europe et en Asie, plus de 95% de la collecte nette neuf mois provenant de ces deux zones », indique Amundi. Les encours sous gestion sont restés quasiment stables sur le trimestre, à 952 milliards à fin septembre 2015 contre 954 milliards à fin juin 2015. En pratique, l’effet marché négatif de 21,2 milliards d’euros sur la période a plus que compensé la collecte nette du trimestre. En revanche, sur les neuf premiers mois de l’année 2015, les encours sous gestion ont progressé de 9%, quasi exclusivement grâce à la collecte.Par classes d’actifs, au troisième trimestre, la collecte nette sur les produits de Trésorerie a atteint 11,7 milliards, celle sur les Actifs Longs s’est élevée à 7,5 milliards, dont 3,8 milliards pour les actions, notamment grâce aux ETF et aux mandats institutionnels. Sur les neuf premiers mois de l’année, la répartition par classes d’actifs est de 30,7 milliards investis sur les produits de Trésorerie et 35 milliards sur les Actifs Longs, dont 4,5 milliards pour les actions, 19 milliards pour les obligations et 11 milliards pour la gestion diversifiée.Sur les neuf premiers mois de 2015, le résultat net part du Groupe, à 394 millions, a progressé de 8% par rapport à la même période de l’an dernier. Ce résultat reflète une progression des revenus nets de 6%, une hausse des coûts de 7,6% et une forte hausse de la contribution des joint ventures d’Asie. Les revenus nets se sont élevés à 1,226 milliards d’euros soit une hausse de 6% par rapport à la même période de l’an dernier. Ils reflètent des commissions de gestion nettes en hausse de 11%, en ligne avec la hausse des encours sous gestion. Cela étant, les commissions de performance ont baissé de 38% en raison du contexte de marché moins favorable. Elles ne représentent que 6% des revenus nets contre 11% sur les neuf premiers mois de 2014.Au troisième trimestre 2015, le résultat net part du Groupe, bien qu’à un niveau élevé à 120 millions d’euros, s’est inscrit en baisse de 15% par rapport au même trimestre de l’an dernier qui constituait une référence très élevée. Enfin, sous réserve d’une éventuelle variation significative des paramètres de marché, le groupe confirme les prévisions de résultat pour l’exercice 2015 figurant dans le Document de Base déposé à l’AMF le 6 octobre 2015, à savoir un résultat net part du Groupe de 515 à 535 millions hors charges liées à la cotation des titres de la Société, soit une croissance de 5 à 9% par rapport au résultat net part du Groupe 2014 (490 millions) retraité de l’interprétation IFRIC21 applicable au 1er janvier 2015.
BFT Investment Managers souhaite faire évoluer son positionnement avec une gamme de produits plus équilibrée, aller davantage vers la clientèle de distribution et se développer à l’international avec l’appui du groupe Amundi auquel la société de gestion est adossée, a indiqué à Reuters son directeur général. «Les investisseurs institutionnels et les entreprises devraient représenter 80% de cet objectif et la clientèle de distribution 20%», a précisé dans un entretien à l’agence d’informations Gilles Guez, directeur général de BFT IM. La distribution représente actuellement environ 10% des encours de la société de gestion, qui s'élevaient à 23,4 milliards d’euros à fin juin. «Nous voulons aller davantage vers la clientèle de distribution. Pour cela, il faut des produits avec un rendement supérieur aux contrats en euro. Nous avons donc une stratégie qui accentue le développement de notre gamme à même d’adresser cette clientèle-là ", a expliqué Gilles Guez. «Nous voulons être le spécialiste des solutions de rendement sans contrainte de benchmark. Nous voulons faire entre 3% et 5% de rentabilité par an tout en maîtrisant la volatilité, limitée entre 5% et 10%. C’est ce qui est demandé aujourd’hui», a-t-il ajouté. Le dirigeant a toutefois souligné la problématique liée à la recherche d’un rendement de 5%, qui nécessite d’investir dans des classes risquées d’actifs très volatils. Pour capter cet objectif de 3% à 5%, BFT IM s’intéresse aux obligations à haut rendement sélectives et convergentes, soit les titres à haut rendement les mieux notés avec une stratégie à échéance. S’agissant de son développement à l’international, BFT IM compte s’appuyer sur Amundi, qui lui donne des moyens plus importants par rapport à une société de sa taille avec un accès à des bureaux d’analyse ou encore des synergies dans les fonctions support. «Pour les nouveaux produits, avant d’aller à l'étranger, il faut d’abord réussir en France», a toutefois estimé Gilles Guez. Par ailleurs, à côté du développement de son offre, BFT IM développe également un service de partenariat de gestion pour lequel la société de gestion monte en puissance. Il s’agit d’un partenariat avec une délégation de gestion à un partenaire extérieur sélectionné sur des expertises ciblées, et BFT IM participe à des appels d’offre sur la base de ce schéma, a précisé Gilles Guez.
La société de gestion américaine Highland Capital Management, qui gère environ 20 milliards de dollars d’actifs, a recruté Jeff Seaver en qualité de «managing director» au sein de son équipe dédiée aux investisseurs institutionnels. A ce titre, la nouvelle recrue sera directement rattachée à Jess Larsen, «managing director» et responsable commercial auprès des institutionnels. Dans le cadre de ses fonctions, Jeff Seaver sera chargé d’accélérer le développement des relations de la société de gestion avec les investisseurs institutionnels, plus particulièrement avec les compagnies d’assurances et les fonds de pension américains.Avant de rejoindre Highland Capital Management, Jeff Seaver a officié en qualité de «managing director» pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) chez Loomis Sayles et de co-responsable du bureau de Londres de Loomis Sayles. Plus tôt dans sa carrière, il a travaillé chez Harris Investment Management en qualité d’associé et responsable commercial auprès des institutionnels et chez Nuveen au sein du service commercial et de relations clients.
Les principaux fonds de pension néerlandais ont vécu un troisième trimestre trimestre aux performances décevantes. Progress, le fonds de pension du groupe Unilever (4,7 milliards d’euros d’encours), a perdu 6,5 % au cours des trois mois sous revue, plombé par les taux d’intérêt en baisse et la chute des marchés actions, qui ont coûté 9 % de performance au fonds, selon IPE. L’allocation de Progress se compose à 42,2 % d’actions et 5 % de matières premières à fin 2014. Le fonds de pension Pensioenfonds Vervoer (19,5 milliards d’euros) a pour sa part perdu 1,1 % sur le trimestre, portant ses pertes à 2,2 % depuis le début de l’année. Et Pensioenfonds PostNL a enregistré une baisse de 1,9 % sur les trois mois en question, due à des pertes de 11,4 % sur les actions.
Credit Suisse a dévoilé le 27 octobre les détails de la prochaine assemblée générale extraordinaire destinée à faire valider les deux augmentations de capital annoncées par la banque à l’occasion de la présentation de sa nouvelle stratégie. Les actionnaires se réuniront le 19 novembre pour se prononcer sur ces deux opérations, destinées à renforcer les fonds propres durs du groupe.Dans une première étape, le conseil d’administration propose une augmentation du capital-actions de 2,32 millions de francs suisses, faisant passer ce dernier d’actuellement 65,54 millions de francs à 67,9 millions de francs, par l'émission de 58 millions de nouvelles actions nominatives, d’une valeur nominale de 0,04 franc suisse chacune et au prix d'émission de 0,04 franc suisse auprès d’"un nombre limité d’investisseurs qualifiés», a-t-il précisé dans un communiqué. Le prix de souscription est de 22,75 francs suisses par action. Les produits bruts de ce placement privé se chiffrent à 1,32 milliard de francs suisses.Credit Suisse veut ensuite effectuer une augmentation de capital ordinaire sous la forme d’une offre de droits de souscription ultérieure d’un maximum de 10,44 millions de francs par l'émission d’un maximum de 260,98 millions de nouvelles actions nominatives à émettre, d’une valeur nominale de 0,04 franc chacune et au prix d'émission de 0,04 franc chacune. Cette opération sera ouverte à tous les actionnaires existants. Ceux-ci reçoivent un droit de souscription par action détenue au 20 novembre. 13 droits de souscription permettent d’acquérir 2 nouvelles actions nominatives au prix de souscription de 18 francs suisses par action. Les produits bruts de cette offre devraient atteindre au maximum 4,7 milliards de francs suisses.La période de négoce des droits de souscription à la Bourse suisse Six Swiss Exchange durera du 23 novembre au 1er décembre et la période d’exercice des droits du 23 novembre au 3 décembre.
La banque Vontobel a désigné Jean-Daniel Morandi responsable de la clientèle banque privée pour la Suisse romande. Jean-Daniel Morandi prendra ses nouvelles fonctions à Genève le 1er novembre, précise l'établissement suisse dans un communiqué.Âgé de 49 ans, le nouveau responsable justifie d’une trentaine d’années d’expérience bancaire. Avant de rejoindre Vontobel, il a été chargé de la clientèle fortunée (HNWI) et très fortunée (UHNWI) auprès d’UBS. Cette nomination souligne «l’attachement de Vontobel pour Genève comme centre de banque privée en Suisse, son marché d’origine, d’importance stratégique», a déclaré Lionel Pilloud, directeur général (CEO) de Vontobel Genève, cité dans le communiqué.
Les bonnes performances du secteur de la gestion d’actifs en Italie constituent un facteur important qui va soutenir la génération de revenus des banques italiennes au cours des deux prochaines années, estime l’agence de notation Scope Ratings dans une étude publiée le 27 octobre («Italian Banks: Asset Management Growth Supports Revenue Outlook»).La gestion d’actifs en Italie est en pleine croissance. Selon Scope, 2014 aura été la meilleure année du secteur tant en termes d’actifs sous gestion (1.500 milliards d’euros) que de collecte nette (31,7 milliards d’euros). L’année en cours semble encore plus prometteuse. En effet, au cours des seuls six premiers mois de l’année, les entrées nettes se sont élevées à 95 milliards d’euros, en tenant compte des fonds ouverts et des mandats discrétionnaires.Selon l’auteur de l’étude, Marco Troiano, analyste bancaire, cette forte collecte devrait se poursuivre en raison de la politique expansionniste de la Banque centrale européenne qui maintient à un niveau toujours très bas les taux des obligations d’Etat et ses opérations de TLTRO qui diminuent les besoins de financement des banques italiennes. L’épargne des ménages italiens, souvent investie dans l’obligataire souverain ou des banques, devrait encore davantage être canalisée vers des produits à plus hauts rendements.
Les fonds ouverts commercialisés en Italie ont enregistré en septembre des souscriptions nettes de 2,8 milliards d’euros, montrent les derniers chiffres d’Assogestioni. Sur huit trimestres consécutifs, ces fonds ont levé pas moins de 180 milliards d’euros, souligne l’association italienne des professionnels de la gestion d’actifs. Depuis janvier, la collecte s’élève à 85 milliards d’euros.Comme c’est le cas depuis le début de l’année, la collecte de septembre a été tirée par les fonds flexibles, qui attirent 3,3 milliards d’euros. Les fonds monétaires ont aussi levé un peu plus d’un milliard d’euros. Les fonds obligataires, en revanche, voient sortir 1,3 milliard d’euros, tandis que les fonds actions affichent une légère collecte. Les encours ressortent à 767 milliards d’euros.En septembre, les gestions sous mandat dédiées aux institutionnels ont par ailleurs eu du succès avec une collecte de plus de 6 milliards d’euros. Au total, le secteur italien de la gestion d’actifs a collecté 8,7 milliards d’euros et affiche un encours de 1.714 milliards d’euros.Enfin, les sociétés ayant affiché les plus fortes collectes en termes de fonds sont sans surprise les trois principaux groupes en termes d’encours : Generali (5 milliards d’euros), Intesa Sanpaolo (1,2 milliard d’euros) et Pioneer (1,1 milliard d’euros).
Le gestionnaire d’actifs britannique St James’s Place a dévoilé, ce 27 octobre, une collecte nette de 1,48 milliard de livres au cours du troisième trimestre 2015, contre 1,26 milliard de livres au troisième trimestre 2014, soit une progression de 17% sur un an. A l’issue des neuf premiers mois de l’année 2015, les souscriptions nettes atteignent 4,15 milliards de livres contre 3,7 milliards de livres sur la même période de 2014, soit une croissance de 12%. Pour sa part, sa collecte brute s’établit à 2,32 milliards de livres à fin septembre 2015 contre 1,94 milliard de livres au troisième trimestre 2014, soit un bond en avant de 20%. Sur les neufs premiers mois de l’année, la collecte brute atteint désormais 6,72 milliards de livres contre 5,78 milliards de livres un an plus tôt, soit une progression de 16%.Grâce à cette solide performance commerciale, ses actifs sous gestion ressortent à 54,5 milliards de livres au 30 septembre 2015 contre 49,1 milliards de livres au 30 septembre 2014. Toutefois, d’un trimestre sur l’autre, ses encours subissent un léger repli de 1,8%, passant en effet de 55,46 milliards de livres au 30 juin 2015 à 54,47 milliards de livres au 30 septembre 2015. La faute à un en effet marché négatif de l’ordre de 2,5 milliards de livres.
Candriam Investors Group, filiale de New York Life Investment Management (NYLIM), a annoncé le 27 octobre la nomination de Keith Dixson au poste de head of international development (responsable du développement international). L’intéressé est rattaché directement à Naïm Abou-Jaoudé, CEO de Candriam. Basé à Londres, il sera responsable de la mise en œuvre de la stratégie de Candriam hors Europe, dans le cadre des objectifs de développement international du groupe, avec un accent particulier sur l’Amérique du Nord et l’Asie. Actuellement, au moyen de ses implantations existantes en Europe continentale, au Royaume-Uni et au Moyen-Orient, Candriam développe une clientèle dans plus de 20 pays. Keith Dixson apporte son expérience en matière de développement commercial dans le secteur de la gestion d’actifs. Auparavant, en qualité d’associé au sein du département commercial de Cheyne Capital, il avait en charge depuis 2011 l’Amérique du Nord. Préalablement, il était responsable des ventes internationales et des relations auprès des investisseurs au sein de Matterhorn Investment Management LLP. «Les perspectives très intéressantes à long terme, telles que notamment les besoins d’épargne pour les retraites et le développement du patrimoine financier privé, vont entraîner une demande mondiale en matière de gestion d’actifs. Tout en renforçant sa présence en Europe, Candriam souhaite élargir son horizon afin de bénéficier du potentiel de croissance internationale et ce, en mettant à profit son expertise avérée», commente Naïm Abou-Jaoudé, CEO de Candriam Investors Group, cité dans un communiqué. «Candriam étudie actuellement un certain nombre d’opportunités internationales. En plus de ce développement prévu et relatif à la distribution, nous servons déjà, via nos contacts locaux très bien implantés, des fonds de pension en Australie et au Chili. Notre expertise est distribuée aux États-Unis par le biais du réseau de distribution retail de NYLIM. Nous examinons comment approfondir des relations avec la clientèle institutionnelle située en Amérique du Nord, et plus particulièrement aux Etats-Unis, et également comment accéder de la meilleure manière à d’autres marchés très prometteurs en Asie. Candriam Investors Group, reconnu pour ses valeurs et ses convictions depuis près de vingt ans, pourra en les mettant en œuvre avec Keith Dixson, réaliser tout son potentiel à l’International», poursuit Naïm Abou-Jaoudé.
Tony Edwards, jusque-là directeur général («chief executive officer») pour l’Asie-Pacifique chez Robeco, a démissionné et a quitté la société de gestion néerlandaise pour retourner au Royaume-Uni pour des raisons personnelles, rapporte le site spécialisé Asian Investor. Dans l’attente de lui trouver un remplaçant, Robeco a décidé de confier la supervision de l’activité dans la région à Hester Borrie, actuel responsable de la distribution mondiale et du marketing et membre du comité de direction de la société. Basé à Hong Kong, Tony Edwards avait rejoint Robeco au poste de directeur général pour l’Asie-Pacifique en septembre 2011 en provenance de Neuberger Berman où il officiait depuis octobre 2009 en tant que responsable de l’Asie-Pacifique (hors Japon). Avant cela, il avait travaillé pendant 10 ans chez AllianceBernstein.
Dans un entretien à Asian Private Banker cité par Finews, Albert Chiu, directeur de la banque privée EFG à Hong Kong, a indiqué que l’acquisition de Falcon Private Bank à Hong Kong était finalisée à 80 %. Initié en janvier 2014, ce rachat permettra au groupe suisse d’augmenter ses actifs sous gestion de 800 millions de dollars. EFG compte d’ailleurs accompagner le mouvement de consolidation dans le secteur de la banque privée en Asie, a ajouté Albert Chiu. Le groupe suisse vise tout particulièrement des petites banques privées qui n’atteignent pas le seuil de profitabilité pour survivre.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } CPR AM recently made the launch of CPR GEAR Emergents, an emerging market equity fund whose objective is to detect the best investment opportunities in emerging marktes,, official. The fund will be managed by Rodolphe Taquet, head of international equity management, and Seiha Lok, international equity manager, and has the objective of regularly outperforming the MSCI Emerging Markets index over a minimal recommended investment duration of 5 years.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Open funds on sale in Italy in September posted net subscriptions of EUR2.8bn, the most recent figures from Assogestioni reveal. In eight consecutive quarters, these funds have raised no less than EUR180bn, the Italian association of asset professionals reports. Since January, inflows have totalled EUR85bn. As at the beginning of the year, inflows in September were driven by flexible funds, which attracted EUR3.3bn. Money market funds also raised slightly over EUR1bn. Bond funds, however, have seen outflows of EUR1.3bn, while equity funds show slight inflows. Assets total EUR767bn. In September, mandated management dedicated to institutionals was successful, with inflows of over EUR6bn. In total, the Italian asset management sector collected EUR8.7bn, and has assets of EUR1.714trn. The companies which had the strongest inflows to their funds were unsurprisingly the three largest groups in terms of assets: Generali (EUR5bn), Intesa Sanpaolo (EUR1.2bn) and Pioneer (EUR1.1bn).
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The US asset management firm Northern Trust Asset Management has appointed Hazel McNeilage as managing director for Europe, the Middle East and Africa (EMEA). McNeilage will retain her position as chief development officer for activities serving institutionals and customer relationship management in the region, the asset management firm says in a statement. She will be based in London, and will report to Wayne Bowers, head for the EMEA and Asia-Pacific regions at Northern Trust Asset Management.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Good performance in the asset management sector in Italy represents an important factor which will support the generation of income for Italian banks in the next two years, the ratings agency Scope Ratings estimates in a study released on 27 October (“Italian Banks: Asset Management Growth Supports Revenue Outlook.”) Asset management in Italy is growing fast. According to Scope, 2014 will be the best year ever in the sector in terms of assets under management (EUR1.5trn) as well as net inflows (EUR31.7bn). The current year appears to be even more promising. In the first six months of the year alone, net inflows have totalled EUR95bn, taking into account open-ended funds and discretionary mandates. According to the author of the study, Marco Troiano, banking analyst, these strong inflows are expected to continue due to the expansionary policy of the European Central Bank, which is maintaining its interest rates on government bonds at very low levels, and its TLTRO borrowing allowances, which support the financing needs of Italian banks. Savings in Italian households, which are often invested in government bonds or banks, is expected to be increasingly channelled to higher-yielding products.
Vontobel Asset Management expands its fixed income offering into the global corporate bond space with hire and new strategy Christian Hantel has been appointed to Vontobel Asset Management’s fixed income team as senior portfolio manager for the Global Corporate Bond Mid Yield strategy. This appointment, alongside the new strategy, underlines Vontobel Asset Management’s commitment to further expand its USD 20 billion fixed income offering.Drawing upon the success of its multi-billion Mid Yield EUR Corporate Bond strategy, Vontobel Asset Management launches a Global Corporate Mid Yield strategy with Christian Hantel. Vontobel Asset Management launched the Vontobel Fund - EUR Corporate Mid Yield Bond more than a decade ago. Christian Hantel, who will be the lead portfolio manager of the new strategy. In the management of the fund he will be supported by Mondher Bettaieb and Jamil Bouallai, portfolio manager/credit analyst. Christian joins Vontobel from Swisscanto Asset Management, where he was responsible for global and euro credit portfolios, multi-currency mandates and also lead managed the Global Corporate Bond fund. Prior to that, he worked as head of corporate Credit for BNY Mellon Asset Management.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Vontobel bank has appointed Jean-Daniel Morandi as head of private banking clients for French-speaking Switzerland. Morandi will begin in his new role in Geneva on 1 November, the Swiss firm says in a statement. The new head, 49, has 30 years of banking experience. Before joining Vontobel, he was responsible for high net worth investors (HNWI) and ultra-high net worth investors (UHNWI) at UBS. The appointment is a sign “of the attachment of Vontobel to Geneva as a private banking centre in Switzerland, its home market, and of sttategic importance,” says Lionel Pilloud, CEO of Vontobel Geneva, in a statement.
Candriam Investors Group, an affiliate of New York Life Investment Management (NYLIM), has appointed Keith Dixson to the position of head of international development. Dixson will report directly to Naïm Abou-Jaoudé, CEO of Candriam. Dixson will be based in London, and will be responsible for the implementation of Candriam’s strategy outside Europe, as part of the international development objectives of the Group, with a particular emphasis on North America and Asia. Candriam is currently developing a client base in over 20 countries, via its existing locations in continental Europe, the United Kingdom and the Middle East.Dixson will provide his solid expertise in the area of commercial development in the asset management sector. Since 2011, he was previously a partner in the sales department at Cheyne Capital for North America. He was previously head of international sales and investor relationships at Matterhorn Investment Management LLP.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The US asset management firm Highland Capital Management, which has about USD20bn in assets under management, has recruited Jeff Seaver as managing director for its team dedicated to institutional investors. In this role, Seaver will report directly to Jess Larsen, managing director and head of sales to institutionals. As part of his role, Seaver will be responsible for accelerating the development of relationships of the asset maangement firm with institutional investors, and particularly US insurers and pension funds. Before joining Highland Capital Management, Seaver served as managing director for Europe, the Middle East and Africa (EMEA) at Loomis Sayles, and as co-head of the London office of Loomis Sayles. Earlier in his career, he worked at Harris Investment Management as partner and head of sales to institutionals, and at Nuveen in the sales and customer relationship department.
Virginie Maisonneuve is returning to the limelight. The former global head of equity management at Pimco, who left the US asset management firm in August 2015, in London in October launched her own investment consulting and research firm, entitled Maisonneuve Global Advisors, according to her LinkedIn profile. According to the website of the company (http://www.maisonneuvega.com/), Maisonneuve Global Advisors will focus on three areas of expertise: commentary and analysis on key themes and market trends, support services for asset managers and businesses, and lastly, public speaking services on a wide spectrum of subjects. According to the website, in addition to Maisonneuve, the firm has five employees.Maisonneuve has over 28 years of experiene in the financial and asset management sectors. She joined Pimco in January 2014 from Schroders, where she had served for nine yars as head of international equities and portfolio manager. Over her career, she has also worked at Martin Currie, Batterymarch Financial Management, State Street Research and Clay Finlay, according to her LinkedIn profile.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The British asset management firm St James’s Place on 27 October announced net inflows of GBP1.48bn in third quarter 2015, compared with GBP1.26bn in third quarter 2014, for an increase of 17% year on year. At the conclusion of the first nine months of 2015, net subscriptions total GBP4.15bn, compared with GBP3.7bn in the same period of 2014, an increase of 12%. Gross inflows, for their part, totalled EUR2.32bn as of the end of September 2015, compared with GBP1.94bn in third quarter 2014, an increase of 20%. In the first nine months of the year, gross inflows now total GBP6.72bn, compared with GBP5.78bn one year previously, an increase of 16%. Due to this solid commercial performance, assets under management totalled GBP54.5n as of 30 September 2015, compared with GBP49.1bn as of 30 September 2014. However, quarter on quarter, assets are down slightly by 1.8%, from GBP55.46bn as of 30 June 2015 to GBP54.47bn as of 30 September 2015. This is due to a negative market effect of about GBP2.5bn.