Le fonds public des retraites japonais voit ses ambitions entravées. Government Pension Investment Fund (GPIF), qui a plus de 1.000 milliards d’euros d’actifs sous gestion, cherchait à obtenir au Japon l’autorisation d’acheter et de vendre directement en Bourse sans passer par l’intermédiaire de sociétés de gestion afin d’optimiser ses coûts et d’accroître la taille de ses investissements. Selon l’agence Kyodo, cette liberté lui a été refusée par les autorités de régulation en raison des inquiétudes des entreprises qui craignaient une intervention accrue de l’Etat si ce projet était mis en œuvre.
Compte tenu de la faiblesse prolongée attendue des cours de l’énergie et des matières premières, le Fonds monétaire international (FMI) va réfléchir à un renforcement et à un élargissement de ses instruments financiers de précaution, a déclaré hier dans un discours prononcé à l’université du Maryland sa directrice générale, Christine Lagarde. Elle juge que les économies développées devraient prendre des mesures de soutien à la croissance via une politique monétaire accommodante et des investissements dans les infrastructures, tandis que les économies émergentes devraient s’efforcer de développer leurs recettes hors matières premières et faire preuve de plus de souplesse en matière de taux de change. Christine Lagarde a précisé que la réforme des droits de vote ayant renforcé le poids de pays émergents comme la Chine et le Brésil au sein de son institution avait doublé les ressources permanentes du Fonds.
Les salaires réels ont augmenté de 2,5% l’an dernier en Allemagne, montrent les chiffres publiés hier par L’Office fédéral de la statistique, soit le pourcentage le plus élevé depuis 1992. Le niveau très faible de l’inflation et une solide revalorisation des bas salaires ont stimulé une consommation privée devenue le principal moteur de croissance outre-Rhin. Les prix de détail non harmonisés ont augmenté de 0,3% au cours de l’année écoulée et la hausse des salaires nominaux a été de 2,8%.
La banque centrale du Mexique a maintenu hier son principal taux directeur inchangé à 3,25%, conformément aux attentes du consensus des économistes. Elle a toutefois indiqué qu’elle surveillerait les risques sur l’inflation découlant d’une baisse du peso, la devise du pays, alors même qu’elle a constaté une détérioration des perspectives de croissance de l’économie.
L’Autorité des marchés financiers et l’Association française de la gestion financière lancent FROG, un groupe de place confié à la présidence de Didier Le Menestrel, pour accroître la visibilité et la distribution des fonds d’investissement français à l’étranger. Infrastructures, structures juridiques, évolution technologique : FROG devrait dévoiler ses recommandations l’été prochain.
Selon nos informations la société de gestion Amplegest vient de recruter l'ancien directeur général adjoint de CCR AM, afin de développer son activité d'asset management. en charge du développement commercial
L'étau se resserre autour des closet trackers, ces fonds d’investissement qui répliquent un indice tout en facturant des frais identiques à ceux de la gestion active, selon l’Agefi Quotidien datée du 3 février 2016.
Les commandes à l’industrie américaine ont baissé le plus fortement depuis un an au mois de décembre aux Etats-Unis sous l’effet conjugué de la vigueur du dollar et d’une baisse de la demande étrangère. Ces commandes ont fléchi de 2,9%, leur plus net repli depuis décembre 2014, après un recul de 0,7% en novembre, chiffre révisé à la baisse, a annoncé jeudi le département du Commerce. Le consensus des économistes anticipait un repli de 2,8% en décembre sur la base du recul de 0,2% initialement annoncé pour novembre. Sur l’ensemble de 2015, les commandes à l’industrie ont baissé de 6,6%.
Les inscriptions au chômage aux Etats-Unis ont augmenté de 8.000 unités à 285.000 en données corrigées des variations saisonnières pour la semaine au 30 janvier contre 277.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 280.000 inscriptions au chômage. Le chiffre de la semaine dernière est moins bon qu’attendu mais n’en reste pas moins sous le seuil de 300.000, associé à une bonne santé du marché du travail, pour la 48éme semaine consécutive.
Le projet de loi sur la lutte contre la corruption et la transparence de la vie économique sera transmis la semaine prochaine au Conseil d’Etat en vue d’une présentation le 23 mars en conseil des ministres, a déclaré jeudi le ministre des Finances Michel Sapin. Baptisé projet de loi Sapin 2, ce texte intègrera aussi un statut pour les lanceurs d’alerte et créera un registre obligatoire des lobbyistes.
la Commission européenne a publié, jeudi, ses prévisions économiques d'hiver qui corrigent légèrement celles publiées d'automne, pour la croissance comme pour l'inflation
Dédié au financement des équipements industriels stratégiques, le fonds de dette Predirec Leasing Stratégique est le fruit d’un partenariat entre ACOFI, précurseur pour la création et la gestion de fonds de prêts à l’économie, et ChetWode, spécialiste reconnu des financements industriels. C’est en compagnie de l’équipementier automobile Saint Jean Industries avec 15,8 millions d’euros déployés à l’occasion d’une opération de sale and leaseback (cession-bail), que Le Fonds vient de franchir la barre des 100 millions d’euros d’opérations financées.Ce fonds issu d’un partenariat conclu entre ACOFI et ChetWode a réuni en deux closing à l’été 2014 puis début 2015, plus de 200 millions d’euros auprès d’investisseurs institutionnels. Avec des opérations unitaires comprises entre 5 et 25 millions d’euros, le fonds Predirec Leasing Stratégique est dédié aux financements des actifs industriels des PME et ETI. La stratégie d’investissement permet d’apporter des financements aux sociétés faisant face à des situations souvent complexes, en valorisant et en rachetant leurs outils de production.
A l’occasion de la publication de ses résultats annuels, la société de gestion alternative Apollo Global Management a annoncé que ses actifs sous gestion se sont inscrits à 170,1 milliards de dollars au 31 décembre 2015, en hausse de 5% par rapport au troisième trimestre 2015 (161,8 milliards) et de 6,5 % par rapport à fin 2014 (159,8 milliards). Au cours de l’exercice écoulé, Apollo a enregistré une collecte nette de 19 milliards de dollars.Pour autant, la société a vu ses résultats financiers plonger drastiquement. Ainsi, son résultat net économique s’établit à 385,1 millions de dollars sur l’ensemble de l’année 2015 contre 569,4 millions de dollars en 2014, soit une chute de de 32,3%. Dans un tel, contexte, Apollo a annoncé un programme de rachat d’actions pour un montant de 250 millions de dollars.
Le hedge fund activiste Orange Capital ferme ses portes dix ans après sa création, citant des performances décevantes et un décalage de liquidité entre les investisseurs et les marchés. Le fonds, qui gère environ 1 milliard de dollars, avait dégagé 12,1 % nets de frais entre 2005 et fin 2013. Mais ces deux dernières années, les rendements avaient baissé.
Lazard Asset Management a recruté Adam Borneleit en qualité d’analyste et gérant de portefeuille au sein de son équipe dédiée à la dette des marchés émergents. L’intéressé officie également en tant que responsable de la dette d’entreprises des marchés émergents. Selon le site Internet de la société de gestion, Adam Borneleit a rejoint Lazard fin 2015. Avant cela, il était gérant de portefeuille et responsable de la recherche sur les obligations d’entreprises des marchés émergents chez BlueBay Asset Management. Auparavant, il a travaillé au sein de l’équipe de gestion de portefeuille en charge des marchés émergents chez Pimco, en se concentrant tout particulièrement sur les obligations d’entreprises. Au cours de sa carrière, Adam Borneleit a également travaillé en qualité d’analyste chez SunAmerica Investments.
Tout sourit à DoubleLine Capital ! La société de gestion, dirigée par Jeffrey Gundlach, a en effet enregistré une collecte nette de 1,95 milliard de dollars en janvier, signant ainsi un 24 mois consécutif de souscriptions nettes positives, rapporte Reuters. Le DoubleLine Total Return Bond Fund, le véhicule phare du gestionnaire d’actifs américain, a engrangé à lui seul 1,67 milliard de dollars de flux nets entrants en janvier. Ce fonds, qui investit principalement dans des titres adossés à des prêts hypothécaires (« mortgage-backed securities »), totalise désormais 54 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Pour sa part, le DoubleLine Core Fixed Income Fund, qui investit dans une large gamme de titres obligataires et d’instruments de dettes, a réalisé une collecte nette de 221,23 millions de dollars en janvier. Enfin, le fonds actions Double Line Shiller Enhanced CAPE, a capté 81,99 millions de dollars de flux nets entrants en janvier, soit sa plus importante collecte nette mensuelle depuis son lancement le 31 octobre 2013. Ce véhicule, géré par Jeffrey Gundlach et Jeffrey Sherman, affiche désormais 700 millions de dollars d’encours.Basée à Los Angeles, la société DoubleLine Capital supervise à ce jour 85 milliards de dollars d’actifs sous gestion.
A Plus Finance a bénéficié en 2015 du succès de son offre immobilière auprès des institutionnels, qui ont totalisé 75% de ses entrées, rapporte L’Agefi. Ses cinq stratégies ont attiré 108 millions d’euros en 2015, soit une hausse de 54% portant les encours sous gestion ou conseillés à 650 millions (+8%). D’où des encours qui se répartissent à 70% dans le retail et à 30% dans le monde institutionnel. Interviewé, Fabrice Imbault, le directeur général d’A Plus Finance, a confirmé son souhait d'équilibrer ces deux masses voire légèrement déplacer le curseur au-delà de 50%. Le gérant, qui collecté l’an dernier 30 millions d’euros auprès de deux institutionnels via un club deal dédié au venture capital, a également confirmé qu’il travaillait sur des opportunités de croissance externe pour développer son activité de private equity visant les institutionnels. A Plus Finance a identifié trois pistes dont une pourrait aboutir d’ici la fin du premier trimestre.
Euronext a annoncé la cotation à compter du 5 février sur Euronext Paris de deux nouveaux ETF de BNPP Easy. Le premier, BNPP EASYETF (code ISIN : LU1291109293), qui a pour indice sous-jacent le NMX 30 Infrastructur Global, est chargé à 0,91%. Le second, BNPP EASY ETF(code ISIN : LU1291091228), qui réplique le FTSE EPRA/NAREIT Europe, est chargé à 0,45%.
La société de capital-investissement BlackFin Capital Partners, spécialisée dans les investissements dans les services financiers, a annoncé avoir finalisé la levée du BlackFin Financial Services Fund ce 25 janvier avec des engagements cumulés supérieurs à 400 millions d’euros. Les parties prenantes à cette levée de fonds sont des investisseurs institutionnels et des des family offices européens.Suite au deuxième « closing » réalisé en juillet pour son deuxième fonds (plus de 300 millions d’euros collectés), la société avait déjà réalisé plusieurs investissements d’envergure. BlackFin a ainsi signé, en août 2015, l’acquisition auprès de Royal Bank of Scotland (RBS) de son activité de gestion indépendante pour compte de tiers au Luxembourg, RBS (Luxembourg). Une opération finalisée le 31 décembre 2015. En septembre 2015, BlackFin avait pris une participation majoritaire au capital du courtier en assurances santé et prévoyance Santiane. Enfin, en octobre 2015, la société a acquis une participation majoritaire au capital de New Access Banking Software, une société basée à Genève spécialisée dans les progiciels financiers pour les banques privées internationales.Disposant désormais de 400 millions d’euros de capitaux, le fonds BlackFin Financial Services Fund II se concentrera sur le segment du « lower mid-cap » du secteur des services financiers.
Franklin Templeton fait grise mine. A l’occasion de la publication de ses résultats portant sur son premier trimestre fiscal, clos au 31 décembre 2014, la société de gestion américaine a en effet dévoilé une décollecte nette de 20,6 milliards de dollars. Résultat : ses actifs sous gestion accusent un recul de 1%, ou 7 milliards de dollars, pour s’établir à 763,9 milliards de dollars fin décembre 2015 contre 770,9 milliards de dollars fin septembre 2015. La décollecte nette trimestrielle a en effet été partiellement compensée par un effet marché positif de 15 milliards de dollars. A l’issue de ce premier trimestre, ses revenus opérationnels se sont établis à 1,758 milliard de dollars à fin décembre 2015, en repli de 6% par rapport à fin septembre 2015 (1,87 milliard de dollars) et en recul de 15% par rapport à fin décembre 2014 (2,06 milliards de dollars). Son bénéfice net ressort, pour sa part à 447,8 millions de dollars à fin décembre 2015, en hausse de 25 % par rapport au trimestre précédent (358,2 millions de dollars) mais en recul de 21% sur un an (566,4 millions de dollars).
Selon les informations de Finews, Nils Ossenbrink rejoint EFG International. Il y rejoint Joachim Strähle, le CEO, avec lequel il a travaillé pendant de nombreuses années au sein de J. Safra Sarasin. Nils Ossenbrink sera responsable des projets spéciaux, précise le journal suisse, qui indique qu’il obtient également le titre de vice-président. L’intéressé a dernièrement occupé le poste de CEO de J. Safra Sarasin Allemagne et souhaite revenir en Suisse où réside sa famille, selon Finews.
Le Credit Suisse a enregistré une perte avant impôts pour le Groupe de 2,42 milliards de francs pour l’exercice 2015 et une perte avant impôts de 6,44 milliards de francs au quatrième trimestre, a annoncé ce matin l'établissement suisse. Les chiffres du quatrième trimestre tiennent compte «des charges substantielles qui ne sont pas représentatives de la performance de nos affaires sous-jacentes», souligne le groupe dans un communiqué. Ces résultats s’expliquent principalement par une charge de dépréciation du goodwill de 3797 millions de francs, des coûts de restructuration de 355 millions de francs en relation avec la mise en œuvre de la nouvelle stratégie, des éléments significatifs liés aux litiges de 564 millions de francs, une perte avant impôts de 1122 millions de francs dans Strategic Resolution Unit (SRU) et l’impact négatif de la valeur juste sur la dette du Credit Suisse de 697 millions de francs. Le groupe explique toutefois que dans le cadre de la mise en œuvre de sa nouvelle stratégie, il est important de mesurer les progrès accomplis dans la performance des affaires sous-jacentes. «Pour ce faire, nous nous concentrons sur les résultats de base adaptés (qui excluent les résultats de la SRU), qui sont mesurés en excluant la dépréciation du goodwill, les coûts de restructuration, les transactions immobilières, la déconsolidation et les ventes d’activités, certaines des dépenses pour litiges importantes, les activités de la SRU et l’impact de la valeur juste sur la dette du Credit Suisse», explique Credit Suisse. «Nous utiliserons cette même base adaptée pour présenter nos résultats trimestriels jusqu’en 2018 au niveau du Groupe, des résultats de base et des affaires, afin que les investisseurs puissent suivre nos progrès dans la mise en œuvre de notre nouvelle stratégie, compte tenu des charges de restructuration importantes et d’autres impacts non représentatifs de notre performance sous-jacente qui devront être supportés durant cette période transitoire». Le Credit Suisse fait ainsi état d’un bénéfice avant impôts (résultats de base) de 88 millions de francs pour 2015, contre 7,2 milliards de francs en 2014 et, sur une base adaptée, d’un bénéfice avant impôts (résultats de base) de 4,2 milliards de francs, contre 6,3 milliards de francs en 2014. La division IWM (International Wealth Management) a enregistré un bénéfice avant impôts adapté de 1 milliard de francs, soit une baisse de 16% par rapport à 2014, qui reflète une croissance solide du bénéfice avant impôts adapté de 6% dans le Private Banking. Asset Management a enregistré une performance plus basse en raison d’une baisse des commissions de performance, due au fait que le secteur des placements alternatifs a connu sa plus mauvaise année depuis le début de la crise financière. Asset Management a généré des entrées nettes de 26,5 milliards de francs, reflétant une croissance annualisée de 9%, avec plus de 25% issus des placements alternatifs. Les sorties nettes de capitaux de 3 milliards de francs dans le Private Banking s’expliquent par des sorties de capitaux en Europe de l’Ouest dues à la régularisation, qui est sur le point d'être finalisée. En excluant la régularisation et d’autres éléments non récurrents, la collecte nette du Private Banking a atteint 2,2 milliards de francs. «Nous avons recruté 150 nouveaux Relationship Managers sur les marchés en croissance et allons continuer d’investir massivement dans nos affaires pour améliorer notre rentabilité et atteindre notre objectif de bénéfice avant impôts de 2,1 milliards de francs en 2018", souligne le groupe. Au sein de la division IWM, les actifs gérés dans le Private Banking ressortent à 289,6 milliards de francs au terme du quatrième trimestre contre 286,5 milliards de francs à fin septembre, ceux gérés dans l’Asset Management s’inscrivent à 321,3 milliards de francs contre 314,6 milliards de francs à fin septembre. Dans la division Asia Pacific, les encours du Private Banking s’affichent à 150,4 milliards de francs contre 139,1 milliards de francs, grâce notamment à des entrées nettes de 3 milliards de francs. Dans la division Swiss Universal Bank, les encours du Private Banking ressortent à 241 milliards de francs contre 237,1 milliards de francs malgré des sorties nettes de 2,9 milliards de francs.
A l’issue de l’année 2015, les actifs sous gestion des fonds communs de placements (« mutual funds ») de BBVA en Espagne se sont inscrits à 33,67 milliards d’euros contre 29,65 milliards d’euros à fin 2014, soit un bond en avant de 13,6% en l’espace d’un an. Dans le reste du monde, les encours des « mutual funds » ressortent à 22,9 milliards d’euros, en léger recul de 0,9% sur un an (23,1 milliards d’euros). En parallèle, les encours de ses fonds de pension ont connu une croissance de 4,7 % en Espagne pour atteindre 22,89 milliards d’euros à fin 2015 contre 21,87 milliards d’euros à fin 2015. Dans le reste du monde, les actifs des fonds de pension ont bondi de 57,6% pour s’établir à 8,64 milliards d’euros fin 2015 contre 5,48 milliards d’euros fin 2014.Sur l’ensemble de l’exercice 2015, BBVA a dégagé un bénéfice net de 2,64 milliards d’euros, en hausse de 0,9% par rapport à 2014.
Frank Wielers, qui a exercé plusieurs fonctions de 2010 à 2015 chez BlackRock, a rejoint le mois dernier NN Investment Partners comme responsable de la gestion des canaux et du marketing stratégique («head of channel management & strategic marketing»), rapporte le site spécialisé Fondsnieuws.
Kempen Fiduciary Management vient de recruter Johan Cras en tant que managing director à Londres à compter du 1er mars 2016. Cette arrivée fait suite à la décision de Remco van Eeuwijk d’accepter un poste de direction dans une société d’investissement institutionnelle au Canada.Johan Cras vient d’Achmea Investment Management où il était membre du comité exécutif avec des responsabilités dans la gestion fiduciaire. Avant cela, il a occupé plusieurs postes au sein de Russell Investments, dernièrement en tant que directeur général EMOA à Londres. Johan Cras va diriger l’équipe de gestion fiduciaire à Londres.
Zenit Asset Management, le premier hedge funds suédois, ferme après presque 20 ans d’activité, rapporte le site suédois Realtid.se. La raison de cette liquidation est que Brummer Multi-Strategy, le principal investisseur du fonds, prévoit de vendre ses parts le 29 février. Zenit a dégagé une performance de 14,1 % depuis son lancement, mais ces trois dernières années, le rendement moyen était de 2,9 %.