La croissance de l’activité dans les services a ralenti nettement plus que prévu en janvier aux Etats-Unis pour revenir à son rythme le plus lent depuis février 2014, montraient hier les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM). L’indice non-manufacturier ISM s’est établi à 53,5 le mois dernier contre 55,8 en décembre, alors que les économistes s’attendaient en moyenne à 55,1. La composante de l’activité des entreprises a également baissé bien plus que prévu en janvier, à 53,9 contre 59,5 en décembre. Le consensus était à 58,5 pour le mois dernier.
Suite à la décision d’instaurer des taux de dépôts négatifs, le Trésor japonais a annulé hier une adjudication d’obligations d’Etat (JGB) à 10 ans prévue vendredi destinée aux investisseurs particuliers. Le rendement des JGB à 10 ans est tombé à un plus bas historique de 0,04%. Parallèlement, la BoJ a indiqué qu’elle allait se pencher sur les raisons qui ont permis au journal Nikkei d’annoncer sa décision prise la semaine dernière quelques minutes avant qu’elle le soit officiellement.
Le président de la Commission chinoise de développement et de réforme, Xu Shaoshi, a indiqué que le pays se fixait un objectif de croissance de son PIB compris entre 6,5% et 7% pour cette année. Il était de 7% en 2015, pour une croissance effective de 6,9%. Tout en reconnaissant que les pressions baissières sur l’activité sont «relativement importantes» et en maintenant l’objectif de nettoyage des sociétés non rentables, Xu Shaoshi a estimé que la Chine avait les moyens d’atteindre cet objectif.
Le représentant de la Russie auprès de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole a jugé peu probable la tenue prochaine d’une réunion entre l’Opep et des producteurs non membres du cartel, rapportait hier l’agence Interfax. Vladimir Voronkov a expliqué que le sentiment dominant à Moscou est qu’il sera difficile de parvenir à un consensus sur la convocation d’une telle réunion où serait évoquée une baisse de production pour soutenir les cours du brut.
Les conditions financières se sont nettement durcies depuis que la Réserve fédérale a entamé en décembre le relèvement de ses taux d’intérêt et les responsables de la politique monétaire devront prendre ce facteur en considération s’il persiste, a déclaré mercredi William Dudley, président de la Fed de New York, à l’agence MNI. Il a ajouté que la dégradation des perspectives mondiales et l’appréciation du dollar pourraient avoir des conséquences «importantes» sur la santé de l’économie américaine. La Fed, en relevant mi-décembre le taux des fonds fédéraux pour la première fois depuis 2006, a évoqué la possibilité de quatre hausses supplémentaires cette année, mais rares sont désormais les économistes qui jugent encore ce scénario valable. La prochaine réunion du FOMC doit avoir lieu les 15 et 16 mars. Le marché des futures de taux intègre une probabilité très faible d’une nouvelle hausse de taux à cette occasion.
La Grèce va connaître aujourd’hui une journée de grève nationale et de manifestations contre la réforme des retraites au moment même où ses créanciers internationaux sont à Athènes pour établir un premier bilan, crucial, des mesures mises en place par le gouvernement d’Alexis Tsipras. Des agriculteurs avaient déjà établi hier des barrages routiers près de la frontière bulgare pour protester contre le projet d’augmentation des cotisations pour la sécurité sociale.
Après avoir plongé de 81% l’an dernier contre le dollar, et de 16,9% au cours du mois de janvier, la devise vénézuélienne a désormais franchi le seuil de 1.000 bolivars pour un dollar sur le marché noir, rapportait hier soir Bloomberg en se référant au site dolartoday.com. Le gouvernement vénézuélien conserve de son côté plusieurs taux de change officiels. Pour les achats de produits importés de première nécessité, ce taux s’élève à 6,3 bolivars pour un dollar. Il est complété par deux taux complémentaires fixé à respectivement 13,5 bolivars et environ 200 bolivars pour un dollar.
Pour accompagner les sociétés de gestion dans la mise en œuvre prochaine de la directive OPCVM 5, l’AMF met à leur disposition en guide descriptif des nouvelles dispositions concernant le dépositaire et les politiques de rémunération.
Spécialiste de l’investissement dans l’industrie financière, NewAlpha vient de lancer le premier fonds d’investissement exclusivement dédié aux Fintechs. L’occasion de rencontrer Lior Derhy (membre du directoire, directeur du Private Equity) et Jonathan Cohen-Sabban (directeur de participations) et d’évoquer avec eux le développement de NewAlpha, les spécificités de ce premier fonds Fintech et la place de la France dans le concert international des Fintechs.
Afin de trouver de nouvelles ressources pour son action pour le développement des soins palliatifs en France, le Fonds pour les soins palliatifs lance un nouveau fonds commun de placement. Celui-ci, qui sera géré par Meeschaert Gestion Privée, aura la forme d’un fonds de partage, ouvert à un large éventail d’investisseurs. « Il s’agit d’un dispositif particulièrement innovant qui permet aux investisseurs de placer leur argent dans un investissement sûr, tout en contribuant au financement de notre action », explique Laëtitia Dosne, directeur général du Fonds pour les soins palliatifs. Concrètement, le fonds sera investi très majoritairement en obligations et une partie des frais de gestion, de l’ordre de 0,50 % à 0,60 %, sera attribuée au Fonds pour les soins palliatifs. Avec un objectif à moyen terme de 35 millions d’euros, ce sont ainsi de 150.000 à 160.000 euros qui seront reversés. Pour voir le jour, le fonds de partage doit lever 10 millions d’euros. D’ores et déjà, un grand groupe français s’est engagé verbalement à investir 2 millions d’euros. Le Fonds pour les soins palliatifs est un fonds de dotation, une structure de financement privée et indépendante, créé en 2011 et présidé par le docteur Gilbert Desfosses. Grâce à ses mécènes - grandes entreprises, dont plusieurs mutuelles, particuliers et fondations -, il a déjà soutenu 43 projets innovants de développement des soins palliatifs en France.
La croissance de l’activité dans les services a ralenti nettement plus que prévu en janvier aux Etats-Unis pour revenir à son rythme le plus lent depuis février 2014, selon les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM), publiés mercredi. L’indice non-manufacturier ISM s’est établi à 53,5 le mois dernier contre 55,8 en décembre, alors que les économistes s’attendaient en moyenne à 55,1. La composante de l’activité des entreprises a aussi baissé nettement plus que prévu en janvier, à 53,9 contre 59,5 en décembre. Le consensus était à 58,5 pour le mois dernier.
Le représentant de la Russie auprès de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole a jugé mercredi peu probable la tenue prochaine d’une réunion entre l’Opep et des producteurs non membres du cartel, rapporte mercredi l’agence Interfax. Vladimir Voronkov explique que le sentiment dominant à Moscou est qu’il sera difficile de parvenir à un consensus sur la convocation d’une telle réunion où serait évoquée une baisse de production pour soutenir les cours du brut.
The European securities markets authority (ESMA) on 2 February released a statement which describes work in progress concerning the phenomenon of ‘closet indexing,’ meaning funds which claim to be actively-managed, but which are managed rather as index-tracking funds, with the sole objective of tracking an index as closely as possible. This practice runs a risk of causing damages for investors, since the service or risk/return profile which they had been expecting is not really implemented, though they are paying higher commissions than those charged for passive management.ESMA studied a sample of 2,600 funds over the period 2012-2014 to determine whether indications made it possible to identify this closet indexing phenomenon throughout Europe. The quantitative data, such as the percentage of a UCITS portfolio which does not correspond to the underlying equity benchmark indicator, suggest that about 5% to 15% of UCITS format equity funds are likely to meet the definition of a ‘closet’ fund. ESMA then reviewed the documentation for the funds concerned, to check their management strategy, and were able to observe that the documentation appeared to confirm the results of quantitative analysis.“The protection of invetors is at the heart of our mission and the first conclusions raise questions which deserve a deeper analysis. Fund managers need to provide investors with honest and clear information which does not mislead them. In partnership with national regulators, we are going to study this issue more closely,” says Steven Maijoor, chairman of ESMA, cited in a statement.
Eric Pictet, who founded the Paris office of Muzinich & Co in 2009 and then headed it, has been promoted to global head of distribution, based in New York. Pictet joined the asset management firm specialised in corporate debt in 2003, as chief development officer for the entire French-speaking region, from London. Before that, he served in a variety of roles in private banking and asset management in Paris, at the Banque Bruxelles Lambert, Franklin Templeton and JP Morgan Fleming AM.Following the departure of Pictet from Paris, Anne Petit has been appointed as country manager for France, Belgium, Luxembourg and Monaco. Petit had previously been head of institutional clients for France and Monaco, since 2012. Before that, she worked for 14 years at BNP Paribas Investment Partners, first as head of institutional client development at CamGestion, and then as head of development for clients in France at FundQuest.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Macquarie Investment Management has made two recruitments one after another as additions to its teams in Europe and the United States. The asset management firm, an affiliate of the Australian investment bank Macquarie, has recruited Luisa Greselin as head of distribution for Italy. Greselin had previously worked at MFS Investment Management, where she served for 17 years in various positions in the area of distribution in the Americas and Europe. Macquarie IM has also recruited Dominic Janssens to the position of global chief operating officer. The new recruit will be based in Philadelphia, and will be responsible for developing strategy to grow the global platform of Macquarie IM. Janssens will join the firm on 4 April this year, and will report to Ben Bruck, global head of Macquarie Investment Management and chairman of Delaware Investments. Though he will be based in Philadelphia, Janssens will also oversee the operations of Macquarie IM in Sydney, and of Delaware Investments in Philadelphia. Janssens joins from T. Rowe Price, where he had worked as director of the global investment and institutional client services department since 2008. Before that, he worked at State Street Global Advisors, Deutsche Asset Management, Cargill Investor Services and Deutsche Bank.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The British asset management firm Old Mutual Global Investors (OMGI), an affiliate of Old Mutual Wealth, has appointed Sharon Power to the position of head of client services. Power, who began in the role on 1 February 2016, will report to Warren Tonkinson, managing director of OMGI. In her new role, Power will be responsible for managing all client offers for wholesale and institutional activities. Power, who has over 13 years of experience, joins OMGI from Wellington Management International Limited, where she had been working as business manager for Europe, the Middle East and Africa (EMEA), responsible in this role for management of client relationships.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Sycomore Asset Management in 2015 posted “record inflows” of EUR690m, its chairman, Laurent Deltour, announced at the annual conference of the asset management firm, held on Tuesday. The French asset management firm has reached record assets of EUR3.4bn. “This is higher than the peak of 2007,” says Deltour. In this environment, “we are continuing to invest,” the chairman of Sycomore AM stated, adding that he has recruited two fund managers in 2015, and announced that he is seeking to recruit two more this year. The asset management firm currently has 44 employees, including 14 “seasoned” managers. The product range has also been added to, with the launch of two socially responsible funds: Sycomore Eco Solutions, a fund investing in equities in publicly-traded businesses which contribute to the energy and ecological transition, and Sycomore Happy@Work, a fund centered on human capital. To continue in this SRI vein, this year Sycomore AM is merging Sélection Responsable and Sycomore Eurocap, so that Sycomore Sélection Responsable “becomes the flagship for the asset management firm in European equities.”
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The platform dedicated to ETFs at Deutsche Asset Management, db X-trackers, has posted over EUR27.8bn in inflows for 2015, the German asset management firm has announced. Due to this performance, Deutsche AM “takes a place as the third-largest recipient of net inflows among global ETF providers,” Simon Klein, head of passive management distribution for EMEA and Asia at Deutsche AM, said at a press conference in Frankfurt. Deutsche AM now accounts for a market share of 12.5% in Europe, which “solidifies its place as the second-largest ETF provider in Europe in terms of assets under management,” the asset management firm says.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Union Bancaire Privée (UBP) has announced that its assets under management have risen 11.5% in 2015 to a total of CHF110bn. This increase was made possible thanks to “inflows of capital from institutional clients and clients acquired from Coutts EMEA,” the Swiss private bank states. As a result, the total amount of net incoming assets comes to CHF15.7bn. This net inflow “offsets the volatility of the markets and the repercussions of the strong Swiss franc, whose combined impact is estimated at nearly CHF4bn,” UBP observes. At the conclusion of the 2015 fiscal year, revenues from the activity are down slightly to CHF750m, compared with CHF768m as of the end of 2014. Operating costs, for their part, have risen by only 2.4%. In this context, operating profits total CHF152m, compared with CHF163m in 2014, a decline of 6.7% year on year. UBP explains this “slight decline” as the result of a “context rendered particularly difficult by the negative interest rate environment and unfavourable currency effects.” After taking one-time costs related to the integration of Coutts EMEA and a settlement with the US Department of Justice under the “Swiss Bank Program» (USD188m) into account, net profits at UBP total CHF25.2m.
According to a study by Willis Towers Watson (“Global Pension Assets Study”), pension fund assets at institutionals in the 19 largest markets added up to USD35.438trn as of the end of 2015, a decline of 0.5% compared with 2014.Assets in pension funds worldwide now represent the equivalent of 80% of the gross domestic product (GDP) of the countries studied, compared with 84% in 2014, and about 35% of institutional assets held by investors in financial markets worldwide. Despite this slight downturn in 2015, worldwide, pension fund assets have now reached annual average growth (in US dollars) of 5% since 2005 (USD21trn at that time), Willis Towers Watson states.Another finding of the study is that assets in defined contribution (DC) pension funds have risen strongly in the 2005-2015 decade, with an annual growth rate of 7% on average, compared with slightly over 35 for assets in defined benefit (DB) funds. As a result, DC assets now represent over 48% of global pension assets.The study also throws light on a number of trends in the investment strategy of global pension funds. Allocations to alternative assets (real estate, hedge funds, private equity and commodities) have risen 5% to 24% since 1995.Lastly, the study confirms the increasing globalization of equities. As a result, a preference for domestic equities has lessend, with an average decline in the weight of domestic stocks as a part of pension portfolios, from 65% in 1998 to 43% in 2015.
Le gestionnaire d’actifs américain Capital Group a recruté Christophe Braun en tant que « investment specialist », rapporte Reuters. Selon son profil LinkedIn, l’intéressé a rejoint la société de gestion à Londres au cours du mois de janvier et il est plus particulièrement en charge des actions. Christophe Braun arrive en provenance de CBP Quilvest SA au Luxembourg où, au cours des quatre dernières années, il a officié en tant que gérant de portefeuille et conseiller en investissement.
L’année 2015 est à marquer d’une pierre blanche pour Lyxor ETF. L’an dernier, la société de gestion a en effet enregistré une « collecte record » avec 8,9 milliards d’euros, a-t-elle annoncé ce 2 février. Grâce à cette solide performance, « Lyxor ETF consolide sa position de premier émetteur d’ETF en France et de troisième en Europe », précise la société de gestion. A fin 2015, ses actifs sous gestion s’élèvent désormais à 48,3 milliards d’euros. Lyxor ETF revendique même une part de marché de 10,7%.Par ailleurs, « Lyxor ETF a conforté sa deuxième place en termes de liquidité sur le marché européen des ETF où 1 euro sur 5 est traité sur ses produits », remarque le gestionnaire d’actifs.Dans le détail, les actions européennes ont drainé l’essentiel de la collecte 2015 de Lyxor ETF, avec 5,9 milliards d’euros de flux entrants. Sur ce segment, l’offre de Lyxor ETF compte 89 fonds totalisant 24 milliards d’euros d’encours. Les ETF obligataires ne sont pas en reste, avec une collecte de 2,7 milliards d’euros l’an dernier, portant ses encours à 9,6 milliards d’euros. Enfin, le segment du Smart Beta a conclu l’anneé 2015 avec 1 milliard d’euros de nouveaux actifs, indique Lyxor ETF.
La Financière de l’Echiquier (LFDE) étoffe sa gamme de fonds patrimoniaux. La société de gestion a officialisé le lancement d’Echiquier Global Allocation, un fonds d’allocation d’actifs flexible et diversifié lancé le 25 septembre dernier. L’OPCVM géré par Emmanuel Kragen a été conçu pour être très complémentaire du reste de l’offre, en particulier d’Echiquier ARTY dont l’univers d’investissement européen et le couple rendement-risque sont différents.L’originalité d’Echiquier Global Allocation réside dans l’utilisation du stock et du bond-picking de La Financière de l’Echiquier sur les classes d’actifs couvertes par les équipes de gestion, en complément d’une exposition en ETF pour les autres classes d’actifs. Par ailleurs, la gestion mène une double approche qui préside à la construction du portefeuille : une approche stratégique d’allocation long-terme et des décisions de gestion tactiques, à plus court terme, tenant compte des mouvements de marché.Sans benchmark, le fonds repose sur des choix forts d’allocation et sur les convictions du gérant. En outre, il investit librement et simultanément sur les grandes classes d’actifs liquides au niveau mondial (actions, obligations souveraines et d’entreprises, change et monétaire) – une allocation qui se base sur l’analyse fondamentale de l’environnement macro-financier mondial et ses perspectives d’évolution.A noter que les actifs sont investis dans des sous-jacents cotés et n’utilise ni levier, ni produits structurés. Il possède une grande latitude de mouvement sur toutes les classes d’actifs : de 0 à 80% sur la poche actions, de 0 à 80% sur la poche obligataire et de 0 à 50% sur la poche monétaire. Enfin, le gérant peut utiliser des contrats à terme pour être réactif et rapidement mettre en oeuvre ses choix.Aujourd’hui, La Financière de l’Echiquier gère près de 2 milliards d’euros d’encours dans des produits diversifiés. La création d’Echiquier Global Allocation vise à compléter son offre «tout-en-un» originale qui intègre le savoir-faire historique de LFDE en matière de stock-picking au sein d’une stratégie d’allocation globale.
Sycomore Asset Management a enregistré en 2015 une « collecte record » de 690 millions d’euros, a déclaré son président, Laurent Deltour, à l’occasion de la conférence annuelle de la société de gestion qui se tenait mardi. La maison française a aussi atteint un encours record de 3,4 milliards d’euros. « C’est plus que le top de 2007 », a précisé Laurent Deltour. Dans ce contexte, « nous continuons à investir », a indiqué le président de Sycomore AM, qui a rappelé avoir recruté deux gérants en 2015 et annoncé vouloir en embaucher deux autres cette année. Actuellement, la société de gestion compte 44 collaborateurs, dont 14 gérants « confirmés ». La gamme a aussi été étoffée, avec le lancement de deux fonds à connotation responsable : Sycomore Eco Solutions, un fonds investi en actions d’entreprises cotées contribuant à la transition énergétique et écologique, et Sycomore Happy@Work, un fonds centré sur le capital humain. Pour continuer dans la veine ISR, cette année, Sycomore AM fusionne Sélection Responsable et Sycomore Eurocap, si bien que Sycomore Sélection Responsable « devient le flagship de la société de gestion sur les actions européennes ».