Amundi Private Equity Funds (PEF) et Bpifrance investissent à parts égales dans le groupe Villas Prisme pour accompagner son plan de développement. A cette occasion, les actionnaires historiques UI Gestion et Sofipaca cèdent leur participation. Le groupe Villas Prisme est un des principaux acteurs de la commercialisation et la construction de maisons individuelles dans la région PACA. Basé à Vitrolles, Villas Prisme propose une large gamme de maisons construites en style traditionnel, contemporain et design, ainsi que des maisons construites sur mesure. Le groupe, qui emploie une cinquantaine de personnes et génère plus de 25 millions de chiffres d’affaires, s’appuie sur un maillage géographique fort dans les Bouches du Rhône et dans le Var à travers une vingtaine de commerciaux opérant dans une dizaine d’agences. Dirigé par Marc Vicendone et Jean Marc Sarkissian, également actionnaires, le groupe a pour ambition de poursuivre son développement géographique par l’ouverture de nouvelles agences et des opérations de croissance externe.
Natixis a annoncé le 9 février la nomination de Tanguy Pincemin au poste de responsable du numérique ou «Chief Digital Officer» de Natixis, membre du comité exécutif. Il est rattaché à Laurent Mignon, directeur général de Natixis. Tanguy Pincemin était directeur retail en charge du secteur de la grande distribution chez Google France.Tanguy Pincemin prendra ses fonctions début avril 2016 et il aura pour mission de coordonner l’ensemble des projets d’innovation de Natixis dans le domaine du numérique. Il assurera également l’articulation de ces initiatives avec les projets que le Groupe BPCE mène dans le cadre de sa transformation digitale.Tanguy Pincemin a débuté sa carrière chez Ford avant d’entrer chez Mistergooddeal.com en 2000 en tant que directeur marketing. En 2007, il devient directeur général chez Meilleurmobile.com et, en 2010, il intègre Google France. Tanguy Pincemin, 40 ans, est diplômé de l’EDHEC School of Management.
BNY Mellon a décidé de liquider l’un de ses fonds actions émergentes au sein de sa gamme Global Funds, a appris Citywire Selector. Dans une lettre aux actionnaires, la société annonce la fermeture du fonds BNY Mellon Global Emerging Markets Equity Value suite à d’importants rachats. Le fonds, lancé en juillet 2002, a vu ses encours monter à 365 millions de dollars en avril 2006, avant qu’ils ne retombent à 3,77 millions de dollars fin janvier 2016, selon Lipper.
Le groupe Siparex a poursuivi sa stratégie de développement en 2015, tant par croissance organique - avec des niveaux d’activité en forte hausse (investissements, cessions, levées de fonds) – que par croissance externe, avec l’acquisition de XAnge Private Equity. Une progression qui permet à Siparex de franchir le cap de 1,5 milliard d’euros sous gestion et le conforte parmi les acteurs de premier plan au niveau européen. Les investissements et les cessions montrent une nette augmentation des volumes, notamment en raison du dynamisme de l’activité Midmarket. Les investissements ont ainsi atteint près de 150 millions d’euros dont la moitié ont concerné le Midmarket. Ce pôle d’activité, qui peut désormais viser des tickets unitaires allant jusqu’à 25 millions d’euros, affiche un rythme d’investissement de 70 à 80 millions d’euros annuels (contre 40 à 50 millions d’euros il y a quelques années). Parmi les principales participations prises en 2015, on peut citer le fabricant de fenêtres FPEE (145 millions d’euros de chiffre d’affaires), le biscuitier Bouvard (260 millions d’euros) ou le voyagiste Voyamar (1,2 milliard d’euros de volume d’affaires). Le fonds de Mezzanine Siparex Intermezzo réalise ses premiers investissements et bénéficie d’un deal-flow important, généré pour moitié par les équipes Midmarket et le pôle Régional. Des investissements qui confirment le positionnement de Siparex comme partenaire des ETI en développement. Côté cessions, le groupe enregistre également une forte progression avec 200 millions d’euros d’actifs vendus, contre 115 millions d’euros en moyenne au cours des trois dernières années. Ces désinvestissements ont été portés dans le Midmarket (102 millions d’euros de cessions) notamment par les sorties Stef, Sicame, Legallais et dans l’Innovation par de très belles valorisations d’entreprises comme MakeMeReach, Docea Power La Ruche qui Dit Oui! ou A Little Market. Dans la continuité des années précédentes, Siparex a enregistré une forte dynamique en matière de levées de fonds en 2015, avec une collecte totale de 243 millions d’euros. Ce niveau record a été tiré par le succès du pôle Régional, qui a levé 120 millions d’euros - et gère désormais 400 millions d’euros dans ce domaine, ce qui en fait un des tout premiers acteurs français, et le bon accueil de Siparex Intermezzo, le fonds dédié à la mezzanine, qui a de son côté réuni 85 millions d’euros. Par ailleurs, le FCPI IR Siparex Xange Innovation 2016 a collecté plus de 18 millions d’euros. Siparex fait ainsi partie des rares acteurs du marché ayant levé en moyenne chaque année depuis 5 ans près de 170 millions d’euros. Le rapprochement avec XAnge PE permet notamment à Siparex de renforcer son expertise dans le domaine des nouvelles technologies, principalement du numérique, dont les enjeux concernent tous les secteurs, de la PME à l’ETI. Le portefeuille Innovation s’enrichit d’entreprises de grande qualité telles que Believe Digital, KisskissBankBank, Chauffeur Privé ou Mister Spex. Siparex étend également son réseau européen en bénéficiant désormais d’une implantation en Allemagne. Celle-ci vient compléter son maillage, puisque, outre sa couverture complète du marché français, Siparex est déjà présent en Italie et en Espagne. L’année 2016 devrait être riche en opportunités pour le groupe, notamment avec l’extension de l’offre produit Midmarket à des opérations de taille plus importante et le lancement de fonds de nouvelle génération. Fort de l’expertise et du track record d’une équipe renforcée, le groupe vise également des levées de fonds dans l’Innovation avec les lancements d’un nouveau fonds institutionnel de la gamme XAnge Capital et un deuxième fonds d’Impact Investing.
La société de gestion anglaise Colville Capital Partners, qui participe à la gestion du fonds Silver Autonomie (voir Newsmanagers du 03/12/2015), va lancer dans un mois environ la Sicav Megatrends’ Champions. Cette dernière s’inscrit dans le cadre d’une joint venture avec le multi-family office international Square Capital, où Square Capital a la responsabilité de l’approche macro économique tandis que Colville Capital Parners qui opère en tant que conseil financier, se charge de l’approche microéconomique. Destinée à une clientèle institutionnelle, la Sicav Megatrends’ Champions a identifié cinq grandes thématiques pour sa gestion. La première porte sur le vieillissement de la population, la deuxième sur la digitalisation de l’économie, la troisième sur croissance des classes moyennes dans l’univers émergents, la quatrième sur l’industrie fragmentée en phase de consolidation et,enfin, la cinquième sur l’importance croissante de la réglementation. Pour composer son portefeuille plutôt concentré avec une vingtaine de valeurs, la gestion ne retient que les champions dans ces différentes thématiques en veillant au respect de quatre critères de sélection : un business de qualité avec notamment un retour sur capitaux investis de 20 % minimum et des barrières à l’entrée, ainsi qu’un faible risque de disruption technologique ; un excellent management ; des opportunités de réinvestissement et, enfin, une valorisation raisonnable avec une ‘target return’ de 12 % net par an sur dix ans et un free cash flow yield de plus de 10 % d’ici à la dixième année. Le fonds de droit luxembourgeois a pour objectif de surperformer l’indice MSCI Monde. Deux types de parts sont proposés : l’une couverte en euros, l’autre non, libellé au choix des investisseurs en livres et en dollars. La distribution du fonds est assuré actuellement auprès d’une dizaine d’investisseurs institutionnels avec lesquels Colville Capital Partners travaille plus particulièrement et de grandes familles d’entrepreneurs et d’industriels clients de Square Capital. Cette population d’investisseurs a néanmoins pour vocation de s’étoffer.
Une très bonne année pour Barings en France. Malgré un environnement difficile, Barings en France a terminé l’année 2015 sur une collecte nette de 200 millions d’euros, a indiqué à Newsmanagers Benoît du Mesnil du Buisson, président de Baring Asset Management France. Les actifs sous gestion, qui s'étaient repliés à environ 700 millions d’euros en 2014, ont pu ainsi s’inscrire fin décembre à environ 900 millions d’euros. Les stratégies gagnantes de l’année écoulée ont notamment été les petites et moyennes capitalisations européennes, le fonds Europe Select, dont les actifs sous gestion s'élèvent à quelque 2 milliards d’euros, et le fonds Korea Trust, une spécialité de Barings qui dispose d'équipes sur place pour suivre ce marché. Barings a bien évidemment souffert de la défection en 2014 d’une partie de son équipe d’asset allocation mais depuis, la société de gestion s’est remis en ordre de marche, avec notamment l’arrivée, à l’automne 2014, de Ken Lambden, en provenance de Schroders, en qualité de directeur des investissements («CIO»). Le renfort de l’ex-Comgest Jean-Louis Scandella a également fait beaucoup de bien au renouveau de la gestion actions. Pour l’année 2016, Barings compte beaucoup sur la très bonne tenue de sa gamme émergente, notamment le Korea Trust, qui poursuit sur sa lancée de l’an dernier et affiche depuis le début de l’année une progression de près de 18% alors que l’indice marque une avance de moins de 7%. Les principales stratégies de Barings font d’ailleurs mieux que leur indice de référence, à l’instar du Baring Asia Growth Fund, qui gagne presque 10% alors que l’indice s’avance péniblement de 1,48%.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Assets under management in Swiss funds last year rose 2% to a record total of CHF891bn as of the end of December, according to the Swiss Fund and Asset Management Association (SFAMA). “The CHF900bn mark was reached, but could not be maintained,” a statement says. Growth was largely supported by “equity fund, and to a lesser extent, bond funds, for which capital inflows and increases in value genearted nearly CHF20bn.” As of the end of the year, 8,740 funds were listed for trading in Switzerland, 524 funds more than the previous year. Swiss-registered funds represent 17.6% of all funds. For the current year, the main themes for the regulatory and fiscal lobbying association will be draft laws concerning financial services and establishments which “contribute in a decisive manner to ensuring the exportability and therefore the future competitiveness of Swiss providers,” says Markus Fuchs, director of Sfama.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The British authorities on 9 February announced that they have levelled against a former JP Morgan head for his lack of cooperation during the “whale of London” affair, which caused losses of USD6bn for the US bank in 2012. The Financial Conduct Authority (FCA) has announced that Achilles Macris, former director of international investments at the London-based firm, will have to pay GBP792,000, or about EUR1m. “He was responsible for a number of portfolios, including the synthetic debt portfolio, at the time of the brokerage operations known as the whale of London”, the FCA explains in a statement. The name was given to an employee at JPMorgan, the Frenchman Bruno Iksil, due to his enormous risky bets on European credit derivatives, which became too visible in early 2012. Other traders turned against him, forcing the US bank to pare back its positions, ultimately costing it USD6bn. As his direct superviser, Macris should have spoken to the authorities in an “open and cooperative” manner, but in reality concealed the scale of the problem in his conversations with regulators when they began to investigate, the FCA says. “Not communicating in an open manner with us can affect the course of the markets and cause undue damages to investors, particularly at times of stress or financial crisis,” says Mark Steward, director of market suppression and supervision at the FCA, cited in a statement. “Regulators require open communication with businesses so that the correct decisions can be taken as soon as possible. Mr. Macris should have explained the situation more honestly, particularly when he learned that losses on the synthetic credit portfolio had worsened”, he added.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Italian asset management firm Azimut recorded total net inflows of EUR666m in January 2016, 130% more than in January 2015. This includes subscriptions of about EUR180m coming from sub-funds of the Luxembourg-registered AZ Fund 1 and AZ Fund Multi Asset. Inflows benefited from the consolidation of RJ Toowoomba, an advising firm acquired by Azimut in Australia. Aside from this acquisition, the Azimut group has earned net inflows of EUR506m. As of the end of January, assets under administration at Azimut totalled EUR36.2bn, including EUR30.6bn in assets under management.
The Robeco bank has released its annual results. As of 31 December 2015, assets under management at the group totalled EUR268.1bn, a record for the Netherlands-based asset management firm. They are up 18%, or EUR22.1bn, year on year. 47% of assets are managed on behalf of institutional clients, a statement from Robeco says.The growth of assets is the result of an “investment” effect of EUR18.6bn, of which EUR17.3bn result from appreciation of the US dollar, as well as net subscriptions of EUR4bn, compared with EUR6.2bn in 2014. Flows were positive to equity products, including US equity products and quantitative management. Bond products saw redemptions in 2015.In 2015, Robeco generated net profits totalling a record EUR237bn, largely due to an increase in management commissions, compared with profits of EUR228m the previous year. Operating procits in 2015 totalled EUR360m, an increase of EUR30m compared with 2014.
The coverage rate for corporate pension funds fell by 3.8 percentage points in January to a total of 79.7%, according to the latest BNY Mellon Institutional Scorecard. The deficit for pension funds of the S&P 500 is reported to have risen by USD83bn in January, to USD411bn, while assets fell to USD1.610trn, and engagements rose to USD2.020trn.However, despite negative returns of -5.2% in the past 12 months, the coverage rate for pension funds nonetheless rose by two percentage points in the same period.
La production industrielle française s’est contractée de 1,6% en décembre sous l’impact d’un nouveau repli de la production d’énergie mais aussi de reculs importants dans l’automobile ou les équipements électriques et électroniques, selon les données publiées mercredi par l’Insee. La seule production manufacturière accuse dans le même temps une baisse de 0,8%. L’Insee a révisé l’évolution de la production manufacturière de novembre, à +0,6% contre +0,4% en première estimation, mais confirmé la baisse de 0,9% de la production industrielle pour ce mois.
Le procès de Jérôme Cahuzac pour son compte caché à l’étranger a été renvoyé mercredi au 5 septembre prochain pour laisser le temps à la Cour de cassation et éventuellement au Conseil constitutionnel d’examiner une question soulevée par la défense. Les avocats de l’ancien ministre du Budget et de son ex-épouse avaient soulevé lundi, à l’ouverture du procès, plusieurs questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) car ils estiment que les deux ex-époux, déjà sanctionnés fiscalement, ne peuvent pas être condamnés une deuxième fois au pénal, selon le principe du non bis in idem. Les juges ont décidé de transmettre l’une de ces QPC à la Cour de cassation, qui pourra à son tour la transmettre au Conseil constitutionnel.
Attendu par les participants de marché, le report d’un an de la mise en œuvre de la directive MIF 2 se confirme. La Commission européenne a annoncé mercredi matin qu’elle avait proposé de reporter jusqu’à la date de 3 juillet 2018 l’entrée en vigueur de la régulation, arguant de la «complexité de l’infrastructure technique qui doit être mise en place afin que MIF 2 fonctionne correctement».
Le point mort d’inflation anticipé à cinq ans dans cinq ans, censé prédire le niveau d’inflation pour 2026 qui sera anticipé en 2021 et que la Banque centrale européenne (BCE) présente comme l’un de ses principaux baromètres des anticipations d’évolution des prix, est tombé à 1,4740%. La dernière fois que cet indicateur est tombé sous les 1,5% remonte à début janvier 2015, juste avant l’annonce du QE par Mario Draghi.
Les cours du pétrole ont terminé hier en forte baisse sur le marché new-yorkais Nymex. Le contrat mars sur le brut léger américain (WTI) a perdu 1,75 dollar, soit 5,89%, à 27,94 dollars le baril. Plus tôt dans la journée, le rapport mensuel de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) avait livré la prévision d’une production de pétrole excédentaire tout au long de l’année 2016. L’AIE a revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande, à 1,17 million de barils par jour (bpj), après une croissance de 1,6 million bpj en 2015.
Banco Popolare, quatrième banque italienne par l’actif, a dégagé en 2015 son premier bénéfice en cinq ans, en raison notamment de la baisse de ses provisions pour pertes sur créances, et a annoncé hier qu’elle verserait un dividende de 0,15 euro par action. Banco Popolare, qui est en discussions avec une autre banque mutualiste, Banca Popolare di Milano, en vue d’une fusion, a précisé que son bénéfice net s’était élevé à 430 millions d’euros en 2015. La banque a déprécié des créances douteuses à hauteur de 804 millions d’euros l’an dernier, soit moins d’un quart du montant de 3,56 milliards comptabilisé en 2014.
Les prévisions d’inflation de la BCE pour 2016 devront être révisées en forte baisse en raison de la faiblesse des cours du pétrole. La BCE en discutera lors de la réunion de son Conseil des gouverneurs début mars, a déclaré hier Jens Weidmann. «Faut-il pour autant réviser la politique monétaire ? La BCE en parlera lors de sa réunion début mars, ce que nous faisons toujours quand nous faisons de nouvelles projections», a ajouté le président de la Bundesbank. La dernière prévision d’inflation de la BCE pour la zone euro en 2016 se situe à 1%.
Le déficit commercial du Royaume-Uni avec le reste du monde s’est creusé au quatrième trimestre 2015 et a probablement pesé sur la croissance, en dépit d’un redressement en décembre. Selon les données de l’institut national de la statistique (ONS), le déficit commercial total (biens et services) a atteint 10,35 milliards de livres (13,37 milliards d’euros), contre 8,57 milliards au troisième trimestre. Sur l’ensemble de l’année, il a totalisé le montant record de 125,03 milliards, contre 123,1 milliards en 2014.
La production industrielle allemande a enregistré un repli inattendu de 1,2% en décembre, sa plus forte baisse en 16 mois, tandis que les exportations ont affiché un recul de 1,6%, montrent les statistiques officielles publiées hier. L’excédent commercial mensuel s’est ainsi élevé à 18,8 milliards d’euros, contre un consensus qui tablait sur 20,2 milliards. Ces indicateurs décevants sont de nature à alimenter les doutes sur les perspectives de croissance de l’Allemagne, toujours fortement tournée vers l’export.
L’ancien ministre grec des Finances Yanis Varoufakis a lancé hier à Berlin un mouvement paneuropéen destiné à «démocratiser» le continent. Celui qui s’était opposé frontalement l’an dernier aux politiques d’austérité prônées par l’Allemagne a inauguré Diem25 (Democracy in Europe Movement 2025) au théâtre Volksbühne, lieu historique de la gauche allemande, connu entre autres pour son rôle lors de la révolution pacifique de 1989 dans l’ex-RDA.
Les taux portugais à 10 ans ont à nouveau fortement décalé à la hausse mardi, s’écartant de 28 points de base à 3,65%. Le spread avec le Bund et avec les autres pays de la zone euro s’est élargi dans les mêmes proportions, les taux espagnols et italiens restant quasiment stables hier. Le 10 ans portugais traitait encore à 2,91% le 3 février. Le pays fait les frais du résultat du scrutin de novembre qui a vu la victoire de la gauche sur un programme anti-austérité. Lisbonne a perdu de ce fait son statut de bon élève des ex-pays sous programme d’aide financière en zone euro. Le 5 février, la Commission européenne a approuvé du bout des lèvres son budget 2016 en estimant que les règles du Pacte de stabilité et de croissance étaient toujours menacées.
A l'occasion de la réunion annuelle de DNCA Investments, les résultats du groupe pour 2015 ont été dévoilés avec des encours sous gestion qui flirtent avec les 20 milliards d'euros.
Après plus de huit ans à la tête de la sélection de fonds alternatifs chez Vega IM, Vincent Batailler lance sa propre société de due diligence de fonds traditionnels et alternatifs. Lancée en février 2016, elle se nomme "Iodda", pour "Investment & Operational Due Diligence, Advisory".
Annoncé en exclusivité sur Instit Invest, le lancement du fonds de Pro BTP sur la transition énergétique tient à innover sur le marché des infrastructures françaises. Présent sur ce marché depuis 2013, le groupe de protection sociale des professionnels du bâtiment et des travaux publics espère ouvrir la voie à une nouvelle forme d’investissement énergétiquement responsable. Gilles Garnier, directeur des investissements et Frédéric Sadaca, responsable des investissements en infrastructures, nous dévoilent les caractéristiques de ce projet baptisé « Construction Energie Plus », tout en détaillant leurs investissements déjà réalisés dans les infrastructures.