NewAlpha Asset Management, spécialiste mondial de l'accélération de jeunes sociétés de gestion, a le plaisir d'annoncer un accord de seeding avec Prime Capital AG.
L’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) a lancé un appel d’offres pour la tenue de compte et la gestion financière du plan épargne entreprise (PEE) et du plan épargne pour la retraite collectif (PERCO) de ses salariés. Date limite de réception des offres : 29 mars 2016 à 16h. L’avis complet ici
A compter du 25 février, la plate-forme ETFplus de Borsa Italiana s’enrichira de deux fonds de Silk Invest, société de gestion indépendante spécialiste des marchés frontières, rapporte Bluerating. Il s’agira d’un produit actions et d’un produit obligataire exposés à l’Afrique. Le Silk African Lions Fund et le Silk African Bond Fund seront accessibles aux investisseurs italiens, qu’ils soient institutionnels ou retail.
En janvier, malgré les soubresauts des marchés financiers, les fonds commercialisés en Italie ont enregistré des souscriptions nettes de 1,2 milliard d’euros, selon les dernières statistiques de l’association italienne des professionnels de la gestion, Assogestioni. En 2015, le secteur avait engrangé 94,3 milliards d’euros. La collecte de janvier, qui est néanmoins inférieure à celle de décembre 2015 (près de 3 milliards d’euros), a été alimentée par les fonds monétaires (1,75 milliard d’euros), les fonds flexibles (801 millions d’euros), les fonds actions (321 millions d’euros) et les fonds diversifiés (263 millions d’euros). En revanche, les fonds obligataires ont vu sortir 1,845 milliard d’euros.En dépit de cette collecte, les encours des fonds italiens ont baissé en janvier, à 831 milliards d’euros, contre 850 milliards d’euros fin décembre 2015. En prenant en compte les fonds fermés et la gestion discrétionnaire, le secteur de la gestion d’actifs a dans son ensemble enregistré des souscriptions nettes de 6,1 milliards d’euros. Il s’agit du vingt-quatrième mois de collecte consécutif. L’encours s’élève à 1.814 milliards d’euros, également en repli par rapport à décembre (1.834 milliards d’euros).Anima Holding est la société de gestion ayant collecté le plus fortement en janvier avec 3,79 milliards d’euros. Generali la talonne avec 3,23 milliards d’euros. Gruppo Intesa Sanpaolo arrive loin derrière avec 686 millions d’euros. Pioneer Investments, le quatrième géant de la gestion italienne, n’a pas été au diapason de ses concurrents, avec la plus forte décollecte du mois, à 2,2 milliards d’euros. Franklin Templeton arrive ensuite avec 619,8 millions d’euros. Suivent M&G Investments (-370 millions) et Invesco (-324 millions d’euros).
Vontobel Asset Management vient de recruter Gianluca Cecchini en tant que product marketing manager afin de développer la stratégie marketing pour les segments retail et wholesale en Italie et en Espagne. L’intéressé vient de Fidelity International. Il a également occupé diverses fonctions dans le marketing chez Zurich Investments et Franklin Templeton et il a été responsable marketing chez Deutsche Bank Asset Management. Chez Vontobel, il sera basé à Milan.
State Street Global Advisors va introduire 15 ETF à la Bourse de Milan, dont 9 sectoriels sur les actions américaines, 4 ETF obligataires, un sur le Japon et un exposé aux sociétés immobilières cotées et aux trusts d’investissements immobiliers (Reits). Les ETF sectoriels américains couvrent les secteurs des biens de consommation de base et des biens cycliques, de l’énergie, des financières, de la santé, des industrielles, des matériaux, de la technologie et des utilities appartenant à l’indice S&P 500. Les ETF obligataire couvrent les titres d’Etats des marchés émergents libellés en dollars et les titres d’Etats des Etats-Unis.
Les actifs sous gestion de Delta Lloyd ont terminé l’année 2015 à 70 milliards d’euros, en recul de 18% par rapport à l’année précédente en raison de la cession des activités en Belgique (Delta Loyd Bank Belgium) et en Allemagne (Delta Lloyd Deutschland), soit un encours de l’ordre de 13,5 milliards d’euros, a annoncé la société le 24 février. Les seuls encours externes se sont contractés de 20% à 23,79 milliards de dollars.Globalement, l’année s’est terminée sur une décollecte de 249 millions d’euros après -200 millions d’euros en 2014. Côté institutionnels, l’année se solde par une collecte nette de 154 millions d’euros après des sorties nettes de 224 millions d’euros en 2014. Les encours externes ont subi une décollecte de 403 millions d’euros alors qu’ils avaient enregistré des souscriptions nette de 24 millions d’euros en 2014.Malgré le recul des encours, le résultat brut d’exploitation des activités de gestion d’actifs a fait un bond de 114% pour s'établir à 57 millions d’euros en raison de la hausse des revenus tirés des frais et commissions, une hausse liée à l’augmentation des commissions de performance.
Les fonds souverains devraient céder pour près de 400 milliards de dollars d’actions cotées en 2016, selon des estimations du Sovereign Weath Fund Institute reprises par Les Echos. En 2015, ils ont déjà vendu pour 213 milliards de dollars d’actions cotées. Pour la banque JP Morgan, les fonds vont céder cette année entre 110 et 170 milliards de dollars d’actions cotées, et entre 150 et 200 milliards d’obligations d’Etat. L’objectif poursuivi est de disposer de liquidités pour répondre aux besoins de leurs Etats qui subissent un brutal contre-choc pétrolier. Les fonds souverains vont céder en priorité les actifs plus liquides (actions cotées et obligations d’Etat) qu’ils peuvent céder facilement, sans trop de dégâts. Les fonds pétroliers du Golfe ont des capitaux de l’ordre de 2.700 milliards de dollars. Si l’on y ajoute les autres fonds (Norvège, Russie…), ils s’établissent à 4.000 milliards de dollars, soit 56 % du total des actifs des fonds souverains.
Heungsik Choo, le directeur des investissements (« chief investment officer ») du fonds souverain coréen Korea Investment Corporation (KIC), ainsi que deux autres membres du comité de direction, ont décidé de démissionner de leurs postes, rapporte le site spécialisé Asia Asset Management. Heungsik Choo avait rejoint KIC en 2014. Avant cela, il a été responsable de la gestion des réserves chez Bank of Korea de novembre 2011 à février 2014.En parallèle, Young Kim, directeur des opérations (« chief operating officer »), et Taeg Ki Hong, directeur des risques et de la conformité, ont également fait part de leur intention de quitter leurs fonctions le 19 février 2016. Young Kim avait intégré KIC en 2007 tandis qua Taeg Ki Hong avait intégré KIC en 2012.
La banque privée allemande Berenberg va lancer un fonds dédié aux PME dans le cadre d’un partenariat avec Universal Investment, selon un communiqué de la société. Le fonds, qui sera cogéré par Ingo Koczwara et Tobias Bänsch, a pour objectif d’offrir aux investisseurs un accès privilégié à la performance des petites et moyennes entreprises en Allemagne, en Autriche et en Suisse.Le fonds investira dans une moyenne de 25 entreprises dont la capitalisation maximum est de 5 milliards d’euros. Il utilisera le MDAX comme indice de référence mais ne s’interdit pas d’investir dans des titres qui ne sont pas inclus dans l’indice. Le ticket minimum pour un institutionnel est de 750.000 euros et la commission de gestion s'élève à 0,75%.
Afin de renforcer son positionnement comme partenaire financier des entreprises et de diversifier son offre en produits d’investissement innovants, Inter Invest, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 1,6 milliard d’euros, a annoncé sa décision de se rapprocher de la société de gestion K Partners pour créer Inter Invest Capital par le biais d’une prise de participation majoritaire dans cette société. Agréée par l’AMF, Inter Invest Capital est animée par une équipe de quatre dirigeants bénéficiant d’expériences complémentaires dans les domaines de l’entrepreneuriat, du conseil, de la finance et du capital investissement.Ayant pour vocation d’investir en minoritaire dans des PME de croissance à fort potentiel avec un chiffre d’affaires supérieur à 1 million d’euros, Inter Invest Capital ambitionne de devenir un acteur de référence dans le capital-développement tout en proposant aux souscripteurs des solutions d’investissement innovantes dans leur structuration. En se rapprochant d’un partenaire financier solide et en bénéficiant des moyens du groupe Inter Invest, Inter Invest Capital renforce sa capacité à accompagner sur le long terme des entrepreneurs ambitieux dans leurs choix stratégiques et leurs projets de développement.
La société indépendante de capital investissement Motion Equity Partners a annoncé le 24 février être entrée en négociations exclusives avec Azulis Capital (actionnaire majoritaire), Gimv et leurs co-investisseurs (Arkéa, BNP Développement et Croissance Nord Pas-de-Calais) en vue de l’acquisition du groupe Altaïr. La réalisation de la transaction est assujettie à la consultation des représentants du personnel du groupe et à l’approbation de l’Autorité de la concurrence.Basé à Wasquehal dans le Nord, Altaïr, fondé en 1946 par les frères Brunel, est le leader français des produits d’entretien et de rénovation pour la maison et des insecticides ménagers vendus sur les circuits de distribution spécialisés. Au cours des cinq dernières années, Altaïr a consolidé ses positions en France, grâce aux lancements successifs de nouvelles gammes à succès telles que Starwax the Fabulous (produits d’entretien vintage) ou sa gamme d’accessoires ménagers.La prochaine phase de développement d’Altaïr sera axée sur le renforcement des positions du groupe sur les circuits de distribution spécialisée en capitalisant sur ses marques fortes et sur les initiatives de croissance initiées au cours des dernières années, ainsi que sur son expansion européenne. Altaïr est aujourd’hui présent à l’international dans six pays principaux (Pologne, Belgique, Italie, Espagne, Roumanie et Russie) où il réalise environ 10% de son chiffre d’affaires.Pour Gimv, cette cession aura un impact positif net de 2,8 millions d’euros par rapport à la dernière valeur des fonds propres au 31 décembre 2015. Sur la durée totale de détention, l’investissement dégage un rendement supérieur à la moyenne historique de Gimv. «Aucun autre détail financier ne sera publié», conclut le communiqué.
Scor Global Investments (Scor GI), la filiale de gestion du réassureur Scor, a enregistré en 2015 un rendement de ses actifs de 3,1%, soit une progression de 0,2 point par rapport à 2014, a annoncé le groupe à l’occasion de la publication de ses résultats annuels. « En prenant en compte les fonds déposés chez les cédantes, le taux de rendement net des placements atteint 2,6% en 2015 », précise le réassureur dans un communiqué. Le taux de réinvestissement s’établit, quant à lui, à 2,5% à la fin de l’exercice 2015. « Dans un environnement économique et financier de plus en plus incertain, Scor Global Investments a renforcé la gestion prudente de son portefeuille et, de façon temporaire, a décidé d’augmenter le niveau de liquidité de son portefeuille à 11% tout en gardant la duration du portefeuille obligataire (hors liquidités) à un niveau globalement stable de 3,9 ans au 31 décembre 2015 », détaille Scor. Pour 2016, Scor se montre relativement prudent. Ainsi, « compte tenu de l’environnement de plus en plus difficile, le rendement des actifs estimé pourrait être compris entre 2,8% et 3,1% », avance le réassureur.A fin 2015, les actifs (hors fonds déposés chez les cédantes) s’élèvent à 17,96 milliards d’euros contre 16,24 milliards d’euros fin 2014, soit une progression de 10,6% sur un an. Au 31 décembre 2015, les liquidités représentent 9% de ces actifs tandis que les obligations représentent 78% du total (dont 2% de placements à court terme). Le solde des actifs est composé de 4% de prêts, de 3% d’actions, de 4% d’immobilier et, enfin, de 2% d’autres placements.Le montant total des placements, y compris les fonds détenus chez les cédantes à hauteur de 9,58 milliards d’euros, s’élève à 27,55 milliards au 31 décembre 2015 contre 24,85 milliards d’euros au 31 décembre 2014, soit une croissance de 10,9% sur un an.La qualité du portefeuille obligataire est maintenue avec une notation moyenne stable d’AA-. Au 31 décembre 2015, les cash flows financiers attendus au cours des 24 prochains mois s’élèvent à EUR 6,6 milliards (y compris les liquidités, coupons et remboursements), soit plus d’un tiers des actifs, « permettant une gestion dynamique de la politique de réinvestissement dans la perspective éventuelle d’une hausse des taux d’intérêt », précise Scor.En 2015, le portefeuille d’actifs a généré une contribution financière de 534 millions d’euros. En outre, «la politique de gestion active conduite par Scor Global Investments a permis au groupe de réaliser des plus-values de 170 millions d’euros durant l’exercice 2015 provenant principalement du portefeuille actions et, dans une moindre mesure, du portefeuille obligataire», conclut Scor.
Natixis et La Banque Postale ont annoncé, le 24 février, négocier les conditions d’un rapprochement de leurs gestionnaires d’actifs immobiliers AEW Europe, qui totalise 18,1 milliards d’euros d’actifs gérés, et Ciloger, dont les encours s’élèvent à 4,5 milliards d’euros. « Ce projet renforcerait la position du nouvel ensemble comme l’un des leaders européens de la gestion d’actifs immobiliers en Europe avec des encours combinés dépassant 23 milliards d’euros », soulignent les deux établissements bancaires dans un communiqué commun. Grâce à cette opération, le nouveau groupe deviendrait également le troisième acteur du marché grand public français. Cette plateforme française pour la gestion de fonds immobiliers destinés à la clientèle des particuliers (SCPI et OPCI grand public) disposerait également d’une capacité d’investissement européenne pour servir l’ensemble des réseaux de banques de détail et assurance du Groupe BPCE et de La Banque Postale ainsi que la clientèle externe, en particulier les Conseillers en Gestion de Patrimoine Indépendants (CGPI).« Pour Natixis Global Asset Management, ce partenariat stratégique avec La Banque Postale renforce AEW Europe et sa gamme d’expertise sur les actifs réels et s’inscrit pleinement dans sa stratégie multi-affiliés », note Natixis. . La société Ciloger est aujourd’hui détenue à 90 % par la Banque Postale et à 10% par CNP Assurances. Pour sa part, AEW Europe est détenu à 60% par Natixis Global Asset Management et 40 % par le Groupe CDC. « La participation de 40 % de la Caisse des Dépôts dans AEW Europe serait acquise par Natixis Global Asset Management préalablement à la réalisation du projet », précisent les deux partenaires. Ainsi, à l’issue des opérations envisagées, les parties visent une détention de AEW Europe à hauteur de 60% par Natixis Global Asset Management et de 40% par La Banque Postale.
Le gestionnaire d’actifs américain Pimco a annoncé, ce 23 février, la nomination de Jamil Baz en qualité de « managing director » et de « Head of Clients Analytics ». Basé au siège de la société de gestion à Newporte Beach, l’intéressé sera rattaché à Ravi Mattu, « managing director » et « Global Head of Analytics », et à Mihir Worah, « managing director » et directeur des investissements en charge de l’allocation d’actifs. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Jamil Baz pilotera l’équipe chargée de fournir des solutions et des études personnalisées aux clients de Pimco en matière d’allocation d’actifs, de gestion des risques et de construction de portefeuille. Il prendra officiellement ses fonctions le 2 mai 2016. Jamil Baz, qui compte plus de 30 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, arrive en provenance de Man GLG Partners où il officiait en qualité de « senior managing director » et de stratégiste d’investissement en chef (« Chief Invesment Strategist »). L’intéressé a déjà évolué chez Pimco en 2007 et 2008, période au cours de laquelle il assurait la gestion de portefeuilles internationaux en Europe. Au cours de sa carrière, Jamil Baz a également occupé des postes à responsabilités chez Goldman Sachs, Deutsche Bank et Lehman Brothers.
Morgan Stanley Alternative Investment Partners (Morgan Stanley AIP), filiale de Morgan Stanley Investment Management, a annoncé, ce 23 février, avoir levé plus de 225 millions de dollars pour son véhicule d’investissement Private Markets Income Fund I (PMIF). La stratégie de ce fonds consiste à investir dans des stratégies de niche orientées revenus sur les marchés privés à travers des engagements dans des fonds primaires, des co-investissements et des fonds secondaires permettant la distribution de cash à moyen terme. Il s’agit du premier fonds lancé en totale autonomie par Morgan Stanley AIP, précise l’établissement dans un communiqué. Le fonds PMIF cherchera des expositions à travers une vaste palette de classes d’actifs, comprenant des actifs réels, du crédit privé et des situations spéciales.A fin décembre 2015, Morgan Stanley AIP gère 37 milliards de dollars d’actifs, dont 10,1 milliards de dollars dans des actifs logés dans des fonds primaires et secondaires de private equity.
L’Actif Net Réévalué d’Altamir par action s’élève à 18,60 euros au 31 décembre 2015, soit une progression de 16% par rapport au 31 décembre 2014 (16,04 euros) et de 8,7% par rapport au 30 septembre 2015 (17,11 euros), selon les chiffres communiqués le 24 février par la société. En incluant le dividende de 0,50 euro par action versé au cours de l’exercice 2015, la progression de l’ANR par action est de 19,1%. Elle s’explique essentiellement par les bonnes performances opérationnelles des sociétés du portefeuille et par l’accroissement des multiples de valorisation. La croissance moyenne de l’EBITDA sur l’année a été de 7,2% sur le portefeuille d’Apax Partners France et de 7% pour les sociétés détenues via le Fonds Apax VIII LP. Le multiple moyen pondéré est passé de 9,46x fin 2014 à 10,66x fin 2015 sur le portefeuille d’Apax Partners France, tiré pour l’essentiel par la hausse des cours de Bourse des sociétés cotées ; il est resté stable à 11,9x pour les sociétés détenues via le Fonds Apax VIII LP. L’Actif Net Réévalué (capitaux propres en IFRS) au 31 décembre 2015 s’élève à 679,3 millions d’euros (contre 585,8 millions d’euros au 31 décembre 2014 et 624,9 millions d’euros au 30 septembre 2015. Les produits et cession et revenus au titre des opérations réalisées et signées l’an dernier se sont élevées à 88,2 millions d’euros. Les investissements et engagements dans douze nouvelles sociétés ont de leur côté totalisé 143,2 millions d’euros.
Le pôle de gestion d’actifs du groupe Axa a enregistré une 2015 une collecte nette de 45 milliards d’euros, a annoncé la compagnie d’assurance ce 25 février à l’occasion de la publication de ses résultats annuels. Dans le détail, Axa Investment Managers (Axa IM) a capté 42 milliards d’euros de souscriptions nettes, principalement soutenue par les coentreprises en Asie (+34 milliards d’euros de collecte nette), ainsi que par une bonne dynamique en immobilier, infrastructure et produits obligataires, indique Axa dans un communiqué. Pour sa part, sa filiale américaine AB a enregistré une collecte nette de 3 milliards d’euros en 2015, provenant principalement de la clientèle institutionnelle.Portés par cette solide dynamique commerciale, les actifs sous gestion s'établissent à 1.124 milliards d’euros au 31 décembre 2015 contre 1.036 milliards d’euros au 31 décembre 2014, en croissance de 8,5% sur un an ou de 4 % sur base comparable. « L’impact positif des taux de change (+64 milliards d’euros, NDLR) ainsi que la hausse de la collecte nette chez AXA IM et AB ont plus que compensé l’effet de périmètre défavorable (-33 milliards d’euros) principalement en raison du retrait partiel des actifs de Friends Life », explique Axa. Le pôle gestion d’actifs a également bénéficié d’un effet marché positif à hauteur de 12 milliards d’euros.Dans le détail, les encours d’Axa IM atteignent 669 milliards d’euros fin 2015 contre 623 milliards d’euros fin 2014 tandis que les actifs gérés d’AB ressortent à 455 milliards d’euros fin 2015 contre 413 milliards d’euros fin 2014.Le chiffre d’affaires de la gestion d’actifs ressort à 3,8 milliards d’euros fin 2015, en hausse de 15% par rapport aux chiffres publiés l’an dernier et de 1% seulement en base comparable. Cette progression du chiffre d’affaires a été « soutenue par une hausse des commissions de gestion chez AXA IM liée à la croissance des actifs moyens sous gestion, partiellement compensé par un chiffre d’affaires stable chez AB en raison d’une baisse des commissions de performance et de distribution », précise le groupe. Dans le détail, le chiffre d’Axa IM s’établit à 1,24 milliard d’euros, en progression de 8% sur une base publiée et de 4% sur une base comparable. Pour sa part, AB a dégagé un chiffre d’affaires de 2,58 milliards d’euros en hausse de 19% par rapport aux chiffres publiés en 2014 mais stable sur une base comparable. Le résultat opérationnel du pôle gestion d’actifs est en hausse de 1% en comparable et de 14% en publié pour atteindre 458 millions d’euros au 31 décembre 2015. Une progression due à l’augmentation du chiffre d’affaires chez AXA IM, partiellement compensée par la baisse des commissions de performance et de distribution chez AB, précise AXA. Le résultat opérationnel d’Axa IM s’établit à 234 millions d’euros fin 2015 contre 211 millions d’euros fin 2014, en hausse de 5% sur base comparable et de 10,9% sur base publiée. Pour sa part, le résultat opérationnel d’AB ressort à 224 millions d’euros fin 2015 contre 193 millions d’euros fin 2014, soit en recul de 2% sur base comparable mais en hausse de 16% sur base publiée.
Janus Capital International, la division internationale de Janus Capital Group, vient de nommer Chris Justice en tant que directeur des opérations et responsable de l’Europe.Basé à Londres, l’intéressé développera et exécutera la stratégie de Janus Capital International dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique. Il travaillera aux côtés de Jamie Wong, responsable des institutions pour l’EMOA, et Sylvain Agar, responsable des intermédiaires financiers pour l’EMOA.Chris Justice était précédemment basé à Hong Kong en tant que responsable des initiatives stratégiques pour l’Asie-Pacifique et l’EMOA et restera rattaché à Augustus Cheh, président de Janus Capital International. Avant de rejoindre Janus en 2013, il était managing director de Quam (Hong Kong) Ltd. Au 31 décembre 2015, Janus Capital International gérait 42,4 milliards de dollars d’encours, soit plus du triple du montant de la fin 2010 lorsque la société a commencé à se diversifier à l’international. A fin 2015, les actifs de Janus Capital International ressortaient à 192,3 milliards de dollars. Janus Capital International représente 22 % des actifs mondiaux, contre 8 % en 2010.
Les actifs sous gestion de Man Group ont progressé l’an dernier de 8% pour s'établir à 78,7 milliards de dollars, grâce à des acquisitions et à l’impact positif des marchés, selon les chiffres communiqués le 24 février par le groupe. La collecte nette de l’année s’est élevée à seulement 300 millions de dollars. Le bénéfice avant impôt s’est contracté de 17% d’une année sur l’autre à 400 millions de dollars.Dans le détail, le groupe souligne que les encours de la gestion quantitative, qui s'élevaient à 14,4 milliards de dollars en 2012, totalisent désormais 35 milliards de dollars, dont 18 milliards de dollars de stratégies actions long only, 6,6 milliards de dollars de stratégies trend following traditionnelles et 4,9 milliards de dollars de stratégies trend following non traditionnelles. Les encours de Numeric ont progressé de 25% depuis l’acquisition de la société à la mi-2014, passant de 15,2 milliards de dollars à 19 milliards de dollars dont 4 milliards de dollars de collecte nette. Durant l’année écoulée, les encours de la gestion alternative (AHL, Numeric, GLG et FRM) ont progressé à 44,6 milliards de dollars à fin décembre 2015 contre 38,2 milliards de dollars un an plus tôt grâce à une collecte nette de 2,5 milliards de dollars mais également à l’apport de 5,2 milliards de dollars liés à des acquisitions. Les encours de GLG ont d’ailleurs grossi de près de 2 milliards de dollars à 16,3 milliards de dollars grâce à l’apport d’un peu plus de 4 milliards de dollars liés à des acquisitions, l’activité commerciale se soldant sur l’année par des sorties nettes de 0,8 milliard de dollars. Du côté de la gestion long/only, les encours sont demeurés stables, passant de 32,7 milliards de dollars fin 2014 à 32,8 milliards de dollars un an plus tard, malgré une décollecte nette de 1,8 milliard de dollars. L’effet marché a représenté un impact positif de 1,7 milliard de dollars et l’apport lié aux acquisitions s’est élevé à 0,9 milliard de dollars.
L’américain Lone Star envisage de lever 5 milliards de dollars pour son prochain fonds opportuniste, centré sur l’Europe, rapporte le site spécialisé IPE. Le Real Estate Fund V sera investi à hauteur de 80% dans l’immobilier européen et il aura un objectif de rendement net de 20%, selon des sources au courant du projet.Le fonds, qui sera plafonné à 5,5 milliards de dollars, investira également dans la région Asie-Pacifique et dans les Amériques. Le précédent fonds, qui a été bouclé en avril 2015, avait attiré 5,8 milliards de dollars.
Amundi entend accélérer son développement commercial en Asie. Dans le cadre d’un entretien accordé au site spécialisé Asian Investor, Pascal Blanqué, directeur des investissements du groupe français, a ainsi indiqué que la société de gestion considère actuellement l’Indonésie, les Philippines et Taïwan comme étant les pays où elle pourrait réaliser des acquisitions ou nouer des partenariats. En termes de segments clients, Amundi va chercher à développer son activité centrée sur la distribution dans la région asiatique et Pascal Blanqué s’attend à ce que les grands assureurs, notamment en Chine et en Corée du Sud, deviennent des investisseurs encore plus influents. De fait, les clients institutionnels représentent près de 90% des encours d’Amundi en Asie à fin septembre 2015. En termes de produits, Pascal Blanqué indique qu’Amundi envisage de lancer des ETF et des fonds « smart beta » à Hong Kong et à Singapour dans le courant de l’année 2016. Au cours des dernières années, Amundi a déjà beaucoup élargi sa présence en Asie, rappelle Asian Investors. La société de gestion a en effet ouvert des bureaux à Taiwan en 2012 et en Thaïlande en 2014. Amundi a également fait l’acquisition de l’activité obligataire de la société malaisienne KAF Fund Management en mars 2014.
Jupiter Asset Management va lancer début mars le fonds Asian Income dont l’objectif est de générer des revenus et de la croissance du capital sur le long terme, rapporte FT Adviser. Ce nouveau véhicule investira principalement dans des titres d’entreprises cotées ou implantées en Asie-Pacifique hors Japon. Le fonds sera géré par Jason Pidcock, qui a récemment rejoint Jupiter en provenance de Newton IM où, de 2004 à 2015, il avait déjà assuré la gestion d’un fonds Asian Income.Le nouveau fonds de Jupiter sera surpondéré sur l’Australie, la Nouvelle Zélande et les Philippines, notamment. Son indice de référence sera le FTSE All World Asia Pacific ex-Japan. Adoptant une approchant « bottom-up », le fonds aura un portefeuille concentré de 40 à 50 valeurs de grandes capitalisations.
La société de gestion britannique Schroders a annoncé la nomination de Tom Wilson au poste de responsable des actions des marchés émergents. L’intéressé remplace Allan Conway qui a décidé de prendre sa retraite en août 2016. Tom Wilson travaille actuellement en qualité de gérant de portefeuille au sein de l’équipe en charge des actions des marchés émergents. Il a intégré Schroders en 2000 et il a notamment occupé le poste de responsable des actions Europe, Moyen-Orient et Afrique de 2007 à 2014, date à laquelle il a rejoint l’équipe actions marchés émergents.Allan Conway travaillait chez Schroders depuis 11 ans. Il continuera d’assurer la gestion des huit fonds qui sont sous sa responsabilité jusqu’à son départ à la retraite l’été prochain.
A l’occasion de la publication de ses résultats annuels, le gestionnaire d’actifs et de fortune britannique Rathbones a annoncé une croissance de 7,4 % de ses encours au cours de l’exercice 2015. Ainsi, ses actifs sous gestion s’établissent à 29,2 milliards de livres au 31 décembre 2015 contre 27,2 milliards de livres au 31 décembre 2014.Dans le détail, son pôle « Investment Management » a vu ses encours progresser de 5,7% pour atteindre 26,1 milliards de livres fin 2015 contre 24,7 milliards de livres fin 2014. Au cours de l’année écoulée, ce pôle a réalisé une collecte nette de 1,4 milliard de livres, contre 4 milliards de livres en 2014. Pour sa part, le pôle « Unit Trusts » a enregistré une croissance de 24% de ses encours pour atteindre 3,1 milliards de livres fin 2015 contre 2,5 milliards de livres fin 2014. Cette forte croissance a été principalement tirée par une collecte nette de 371 millions de livres. Porté par cette bonne dynamique, le groupe Rathbones a dégagé un bénéfice sous-jacent (« underlying profit») avant impôt de 70,4 millions de livres fin 2015 contre 61,6 millions de livres fin 2014, soit une hausse de 14,3% sur un an. Son bénéfice avant impôt ressort, quant à lui, à 58,6 millions de livres au 31 décembre 2015 contre 45,7 millions de livres au 31 décembre 2014, soit un bond en avant de 28,2%. Après impôt, son bénéfice s’établit à 46,4 millions de livres fin 2015 contre 35,7 millions de livres fin 2014, soit une croissance de 30% sur un an.
Les investisseurs institutionnels s’intéressent de plus en plus aux produits alternatifs de type retail comme un moyen peu coûteux de répondre aux pressions réglementaires et de combler l'écart de rendement créé par des allocations de dette peu performantes, selon une étude que vient de publier Cerulli Associates («European Alternative Products and Strategies 2016: Opportunity Knocks in the New Era»).Pour 86% des gestionnaires interrogés par Cerulli, la demande de fonds alternatifs au format Ucits devrait augmenter au cours des deux prochaines années. Des produits bénéficiant du label Ucits attirent les institutionnels conservateurs en France et en Allemagne, ainsi que les compagnies d’assurances dans toute l’Europe dans le sillage de l’introduction de Solvabilité II, relève l'étude. Les hedge funds estiment de leur côté que le format Ucits devrait être le plus fréquemment retenu pour les nouveaux produits au cours des deux prochaines années, même si au cours des douze derniers mois la demande de véhicules par les institutionnels a été moins importante que celle portant sur les fonds d’investissement offshore conformes à la directive AIFM."Ce qui était autrefois considéré comme la chasse gardée des banques privées internationales et régionales revêt un intérêt croissant pour les institutionnels d’Europe continentale ainsi que pour les assureurs plus généralement», remarque Tony Griffiths, analyste senior chez Cerulli et co-auteur de l'étude. «Un gérant de hedge fund suisse nous a indiqués qu’il a été surpris de constater de l’intérêt pour les versions Ucits de ses produits de la part d’institutionnels suédois et finlandais, deux des plus gros acheteurs de fonds offshore», ajoute-t-il.Les produits de beta alternatif (ou «risk premia») sont également très recherchés, considérés comme un outil de diversification et un moyen d’obtenir des performances similaires à celles des hedge funds. «L'équilibre du pouvoir est en train de basculer du côté de l’investisseur», indique Justina Deveikyte, analyste senior chez Cerulli et co-auteur de l'étude. «L’insatisfaction rampante vis-à-vis des hedge funds offshore, les performances médiocres, les commissions élevées et une certaine opacité, a contribué à la demande croissante en faveur des produits de beta alternatifs», ajoute-t-elle.
Le fonds de pension californien CalPERS a indiqué le 23 février qu’il avait lancé ses recherches pour le recrutement d’un nouveau directeur général. La mission a été confiée au cabinet Heidrick & Struggles, basé à New York.CalPERS a par ailleurs bouclé le rachat d’un immeuble de bureaux à New York pour un montant non divulgué. Selon la presse anglo-saxonne, l’immeuble situé à Manhattan se serait vendu pour un montant d’environ 1,9 milliard de dollars.
La Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé le 24 février un rendement moyen pondéré annualisé des fonds de ses déposants de 10,9 % sur quatre ans et de 9,1 % pour 2015. Au terme de l’exercice, l’actif net se chiffrait à 248 milliards de dollars, comparativement à 159 milliards de dollars au 31 décembre 2011, soit une progression de 89 milliards de dollars sur quatre ans. Sur cette période, la Caisse affiche des résultats de placement nets de 81,6 milliards de dollars, auxquels s’ajoutent des dépôts nets de 7,4 milliards de dollars.En 2015, les résultats de placement nets totalisent 20,1 milliards de dollars qui s’ajoutent à des dépôts nets de 2,1 milliards de dollars. Les portefeuilles de marchés boursiers génèrent près de la moitié de ces résultats de placement, alors que les portefeuilles moins liquides – Immeubles, Placements privés et Infrastructures – contribuent à hauteur de 5,6 milliards de dollars. Sur quatre ans, le rendement annualisé de la Caisse surpasse de 0,9 point de pourcentage celui de son portefeuille de référence qui se situe à 10 %. Cet écart représente 8 milliards de dollars de valeur ajoutée, dont 5,4 milliards de dollars générés en 2015. « En 2015, notre stratégie a été mise à l’épreuve. Les incertitudes liées aux politiques monétaires, les mouvements désordonnés de devises et l’effondrement des prix du pétrole ont nourri la volatilité, particulièrement au second semestre. L’environnement de marché a aussi été marqué par une croissance anémique dans les pays développés et un ralentissement généralisé dans les pays émergents. Dans ce contexte, la qualité des actifs qui composent notre portefeuille nous a permis de livrer des résultats solides qui confirment la robustesse de notre stratégie. Sans nous soustraire aux effets de marché, celle-ci nous permet d’être plus résilients en période de turbulence. Pour la suite, nous devons voir plus loin que la volatilité des marchés et nous concentrer sur la véritable création de valeur. Nous allons garder le cap sur notre stratégie et continuer d’investir le capital de façon sélective. Nous allons poursuivre le développement de partenariats avec des acteurs de classe mondiale et générer de la valeur en mettant l’accent sur l’efficacité opérationnelle de nos entreprises en portefeuille », a indiqué Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse, cité dans un communiqué.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } In January, despite turbulence on the financial markets, funds on sale in Italy posted net inflows of EUR1.2bn, according to the most recent statistics from the Italian association of asset management professionals, Assogestioni. In 2015, the sector took in EUR94.3bn. Inflows in January, which remained lower than those in December 2015 (nearly EUR3bn), were driven by money market funds (EUR1.75bn), flexible funds (EUR801m), equity funds (EUR321m), and diversified funds (EUR263m). However, bond funds saw outflows of EUR1.845bn. Despite these inflows, asstes in Italian funds fell in January to EUR831bn, comapred with EUR850bn as of the end of December 2015. Taking into account closed funds and discretionary management, the asset management sector overall has seen net subscriptions of EUR6.1bn. This is the 24th month of consecutive inflows. Assets total EUR1.814trn, also down compared with December (EUR1.834trn). Anima Holding is the asset management firm to have posted the largest inflows in January, with EUR3.79bn. Generali takes EUR3.23bn. Gruppo Intesa Sanpaolo is far behind with EUR686m, Pioneer Investments, the fourth-largest giant in Italian management, did not keep up with its rivals, with the heaviest outflows of the month, totalling EUR2.2bn. Franklin Templeton comes next with EUR609.8m, followed by M&G Investments (-EUR370m) and Invesco (-EUR324m).