Alors que les fonds de pension sont confrontés à une liste croissante de difficultés, une enquête commanditée par State Street, menée dans 20 pays auprès de 400 professionnels des régimes de retraite, révèle que ces institutions prévoient d’effectuer un ou plusieurs changements dans leur modèle de gouvernance, selon 92 % des participants. Plus des deux-tiers d’entre elles (68 %) prévoient au moins trois changements.La transparence et la fréquence du reporting et de la diffusion des données figurent parmi les principales améliorations considérées. Plus de deux participants sur cinq (41 %) prévoient d’accroître le degré de granularité et la fréquence du reporting au conseil d’administration en 2016, tandis qu’un pourcentage comparable compte augmenter la transparence dans la communication avec leurs membres concernant la gouvernance et la performance des investissements de leurs fonds de pension. Ces actions s’inscrivent dans un contexte général de plus grande vigilance à l’égard des régimes de retraite et de la complexité croissante de leur environnement opérationnel.Ces changements interviennent alors que selon l’enquête, seulement 38 % d’entre eux jugent comme « très solide » le niveau d’expertise financière de leurs organes fiduciaires. Le dossier, publié le 23 février sous le titre « Pensions with Purpose: Meeting the Retirement Challenge », révèle également que seuls 36 % d’entre eux estiment comme « très solides » leurs capacités à comprendre les risques encourus par les fonds de retraite qu’ils supervisent. Seuls un tiers (32 %) confèrent à leurs organes fiduciaires un niveau de confiance élevé pour, au-delà des problèmes à court terme, réfléchir aux facteurs stratégiques qui affectent le portefeuille à long terme.Les régimes qui adoptent une approche plus avancée de la gouvernance estiment pouvoir éliminer leurs déficits plus rapidement que le reste de l’industrie, et ils augmenteront également leur exposition aux produits alternatifs. 60 % d’entre eux prévoient ainsi d’investir davantage dans les hedge funds au cours de l’année à venir. En même temps que ces changements de gouvernance, ces régimes de retraite envisagent aussi une réduction des coûts et une diversification des portefeuilles. Par exemple, 80 % d’entre eux prévoient de fusionner les actifs et les dettes de multiples régimes de retraite. Les participants citent la réduction des coûts (24 %) et l’amélioration de l’efficacité opérationnelle (22 %) comme les deux principaux avantages d’une telle consolidation.« Compte tenu d’un environnement économique et de conditions démographiques difficiles, les fonds de pension les plus innovants procèdent avec confiance pour répondre aux enjeux de la retraite », affirme Oliver Berger, directeur Sector Solutions chez State Street, chargé des solutions pour les investisseurs institutionnels et des initiatives commerciales stratégiques. « Il n’existe pas de stratégie unique pour résoudre les problèmes de l’industrie dans son ensemble, mais les fonds de pension s’efforcent de concilier au mieux les compétences, les stratégies et les gains de productivité dont ils disposent ».« Entre autres enjeux démographiques, nous avons une population active moins nombreuse pour soutenir un plus grand nombre de retraités, et il est temps pour l’industrie—tant pour les prestataires que pour les membres de ces institutions—de trouver de nouvelles solutions innovantes. Notre recherche souligne la nécessité pour les fonds de pension de développer une mission claire et des stratégies durables pour assurer le succès de générations croissantes d’épargnants pour la retraite ».
Trois grands fonds de pension américains ont dévoilé des projets énergiques de réduction des coûts, mettant la pression sur les gérants de hedge funds et de private equity, rapporte le Financial Times fund management. Le fonds de pension du Massachusetts (60 milliards de dollars) prévoit de réduire la taille de ses portefeuilles de capital investissement de 12 % à 6 milliards de dollars et réclame des réductions de frais à ses gérants de hedge funds externes. Le fonds investit 5,4 milliards de dollars dans une dizaine de gérants de hedge funds. Ocers, le fonds de pension californien, a aussi présenté un projet de réduction du niveau des frais payés aux gérants de private equity et de hedge funds. Le fonds de 11,5 milliards de dollars ne veut plus verser de commissions de performance lorsque un gérant ne parvient pas à battre le marché. Enfin, le fonds de pension de la ville de Philadelphie (4,8 milliards de dollars) prévoit de réduire son exposition aux hedge funds, ayant déjà diminué la taille de ces investissements de 40 % à 338 millions de dollars depuis 2014, afin de réduire ses coûts. Le fonds compte réduire encore cette allocation de 50 millions de dollars cette année.
AXA Investment Managers, qui a déjà développé ces dernières années une forte expertise en investissement socialement responsable, estime que la COP 21 et surtout le vote d’une loi en France sur la transition énergétique pourraient donner un coup d’accélérateur au développement durable. «Avec la nouvelle loi et son décret d’application qui entre en vigueur début 2017, des investisseurs moins sophistiqués, dont le bilan est inférieur à 500 millions d’euros, pourraient être amenés à s’intéresser de plus près à l’investissement responsable», a souligné Luisa Florez, analyste senior au sein du département Investissement responsable chez AXA IM, le 23 février à l’occasion d’un point de presse. Tous ces acteurs, peut-être moins bien préparés pour couvrir toutes les problématiques de l’investissement durable, à l’instar de petites mutuelles, de caisses de retraite ou encore de sociétés de gestion de portefeuille, ont aussi un cahier des charges moins exigeant que les grands institutionnels avec pour l’essentiel la publication annuelle des éléments démontrant les modalités d’intégration des critères ESG dans leur politique d’investissement. Ce premier volet, AXA IM peut le mettre en œuvre d’autant plus aisément qu’il affiche quelque 347 milliards d’euros d’encours intégrant des critères ESG. Le deuxième volet, qui concerne les bilans supérieurs à 500 millions d’euros, est un peu plus complexe puisqu’il se concentre sur le critère environnemental et requiert la publication annuelle des moyens mis en oeuvre par les acteurs concernés pour contribuer à la transition vers une économie bas-carbone. Là aussi, AXA IM accompagne ses grands clients avec un dispositif renforcé, qui comprend par exemple une batterie d’indicateurs maison pour l’analyse des secteurs les plus émetteurs de CO2 ou encore des campagnes d’engagement centrées cette année comme l’an dernier sur le changement climatique. Outre les actifs intégrant les critères ESG, AXA IM gère un encours de 7 milliards d’euros de stratégies ISR et d’impact. Le gestionnaire a d’ailleurs lancé, en novembre 2015, un fonds d’obligations vertes, AXA IM World Funds (WF) Planet Bonds, participant directement au financement de l’économie bas-carbone. Le fonds, dont les encours se rapprochent des 70 millions d’euros, comprend 60% d’obligations vertes et 40% de «convictions environnementales», c’est-à-dire des entreprises qui favorisent la transition énergétique.
Le fonds souverain de Singapour GIC a annoncé, ce 24 février, la signature d’un partenariat avec PT Trans Retail, la branche distribution du conglomérat indonésien CT Corp. Dans le cadre de cet accord, GIC va investir 5.2000 milliards de roupies (soit 350 millions d’euros) dans Trans Retail, société qui gère des hypermarchés, des supermarchés et d’autres magasins aux enseignes Carrefour et TRANSmart.
Le groupe américain BNY Mellon a annoncé, ce 23 février, la nomination avec effet immédiat de Mitchell Harris au poste de directeur général (« chief executive officer ») de son activité « Investment Management ». L’intéressé, qui a déjà supervisé au quotidien les activités de gestion de fortune et les activités des boutiques de gestion d’actifs, sera rattaché à Gerald L. Hassell, « chairman » et directeur général du groupe BNY Mellon.Mitchell Harris remplace Curtis Arledge, qui a décidé de poursuivre d’autres opportunités de carrière à l’extérieur du groupe, précise BNY Mellon dans un communiqué.Mitchell Harris, qui officiait dernièrement en tant que « president » de BNY Mellon Investment Management (BNY Mellon IM), a rejoint le groupe américain en 2004 et compte plus de 30 ans d’expérience. Il a notamment été directeur général de Standish, une des boutiques de BNY Mellon IM, de 2004 à 2009. Il avait rejoint Standish en provenance de Pareto Partners où il avait officié en qualité de directeur général de 2000 à 2004 et de « chairman » à compter de 2001.
Kyle Bass, le gérant de hedge funds basé à Dallas, a restitué la quasi-totalité des 700 millions de dollars levés l’an dernier pour une campagne très médiatisée contre des compagnies pharmaceutiques et leurs brevets, rapporte le Financial Times. Son fonds Hayman Capital a lancé une série de défis sur le plan juridique aux brevets des médicaments et prévoyait d’en profiter en pariant contre les actions des compagnies ciblées. Mais la stratégie s’est effondrée en raison de revers juridiques et de turbulences sur les marchés.
Alberto Gallo, l’ancien stratège macro de Royal Bank of Scotland, a quitté la banque pour rejoindre Algebris en vue d’élargir la spécialisation de la société de gestion au delà des institutions financières en lançant un fonds destiné à un monde de taux négatifs, rapporte le Financial Times. « Il y a très peu de fonds disponibles qui peuvent aller n’importe où dans le crédit et peuvent aussi couvrir les risques macro », commente Alberto Gallo. Le nouveau venu va rejoindre l’équipe d’investissement supervisée par David Serra qui a fondé la société en 2006. Ce dernier indique que le recrutement va élargir la portée de la société et qu’Alberto Gallo sera impliqué dans le développement de nouvelles stratégies d’investissement.
Le gestionnaire d’actifs britannique Kames Capital vient de nommer Sam Carter au poste nouvellement créé de responsable des institutions financières mondiales, rapporte Investment Week. L’intéressé, qui travaille dans l’équipe de distribution « wholesale » de Kames Capital depuis janvier 2013, sera désormais rattaché à Steve Kenny, directeur « wholesale ». Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Sam Carter est chargé de coordonner l’activité de la société de gestion auprès des grandes institutions financières internationales.Avant de rejoindre Kames Capital en 2013, Sam Carter avait travaillé chez Matrix Asset Management au sein de l’équipe en charge du développement de l’activité. Au cours de sa carrière, il a également exercé des fonctions commerciales chez Fidelity International.
AEW UK, en partenariat avec Aviva Investors Global Indirect Real Estate (GIRE), vient de lancer un fonds de rendement réel, rapporte BusinessImmo. Cette nouvelle stratégie vise à aligner les avantages réels de l’immobilier avec les passifs des fonds de pension. Dans le cadre de ce lancement, Aviva Investors GIRE a investi 55,2 millions d’euros dans le nouveau fonds. Ce dernier investit dans tous les secteurs au Royaume-Uni, tout en s’affranchissant du benchmark d’IPD, précise le site d’information. Le fonds peut cibler des placements alternatifs comme le logement, les loisirs, la santé, les hôtels et les infrastructures sociales. Le nouveau véhicule vise un rendement total réel de 4% par an.
Bellevue Group envisage d’acquérir le gestionnaire de fortune indépendant allemand StarCapital, dont les actifs sous gestion s'élevaient à 2,5 milliards d’euros à fin décembre 2015. L’acquisition serait financée par une augmentation de capital de 30 à 40 millions de francs suisses, a précisé Bellevue dans un communiqué publié le 23 février. L’acquisition de StarCapital doit toutefois encore être validée par les autorités de la concurrence suisses (Finma) et allemandes (BaFin). Une fois l’opération réalisée, les actifs sous gestion de Bellevue dans l’asset management augmenteront à 7,8 milliards de francs suisses.L’opération permettra à Bellevue Group de se diversifier dans de nouvelles classes d’actifs et d'élargir le portefeuille de produits dans d’autres secteurs que celui de la santé, selon le communiqué. L’orientation de Bellevue sur une stratégie régionale et sectorielle est complémentaire avec les solutions d’investissement de StarCapital dans les domaines du marché obligataire, de la gestion de fortune et des ETF. L’augmentation de capital avec droits préférentiels est prévue pour le deuxième trimestre de l’année en cours et sera soumise au vote des actionnaires lors de l’assemblée générale le 22 mars. Les actionnaires fondateurs ont d’ores et déjà approuvé la proposition d’augmentation de capital et ont exprimé leur intention de faire valoir leur droit de souscription.
Le conseil d’administration de la banque privée bernoise Von Graffenried a nommé Philippe Lüdi comme membre de la direction, rapporte L’Agefi suisse. Le nouveau directeur prendra ses fonctions en mai. Il était auparavant membre de la direction de Swisscom Banking Provider.
Reyl & Cie a perdu l’un de ses administrateurs en la personne d’Alexander Notter, rapporte L’Agefi suisse. Agé de 65 ans, il est décédé subitement vendredi 19 février. M. Notter était également président du gestionnaire de fortune Bruellan, basé à Genève.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Magallanes Value Investors vient de loger sa sicav luxembourgeoise, Magallanes Value Investors UCITS Sicav, sur les plateformes Allfunds Bank et Allfunds International, rapporte le site spécialisé Funds People. Ainsi, la sicav sera désormais disponible pour tous les distributeurs espagnols et internationaux qui utilisent la plateforme d’Allfunds. Cette sicav a été lancée en décembre 2015 et ses fonds répliquent les fonds Magallanes Iberian Equity et Magallanes European Equity.Avec le lancement de cette sicav, l’objectif de la société de gestion, fondée par Ivan Martin et Blanca Hernandez, est de pouvoir séduire les investisseurs internationaux et faciliter sa distribution à travers les banques privées en Espagne. Les fonds sont enregistrés auprès du régulateur espagnol, la CNMV, et ils sont en cours d’enregistrement en Suisse et en Allemagne.
La holding Altamar Capital Partners a décidé d’abandonner son statut de société de gestion d’entités d’investissement collectives fermées (SGEIC en espagnol) pour se transformer en société de gestion d’organismes de placements collectifs (SGIIC en espagnol), rapporte le site spécialisé Funds People. Ainsi, la société va se rebaptiser Altamar Capital SGIIC, structure qui assurera désormais le développement de son activité de gestion.Outre Altamar Capital Privado SGIIC – qui gère les douze fonds de capital-risque lancés depuis la création de la société en 2014 – la holding Altamar Capital Capital compte également la société Altan Capital SGIIC qui gère le capital-investissement et l’immobilier via trois fonds d’investissement.
CheBanca!, la banque retail du groupe italien Mediobanca, lance Yellow Advice, un robo-advisor. Ce robot-conseiller est non seulement au service des conseillers bancaires, mais il est aussi ouvert à l’ensemble des clients particuliers pouvant investir au moins 20.000 euros. « Avec Yellow Advice, nous avons voulu rendre accessible à tous un service de conseil jusqu’ici limité au monde des banques privées », commente Roberto Ferrari, directeur général de CheBanca!Via Yellow Advice, le client a aussi la possibilité de gérer son portefeuille tout seul, sans l’aide d’un opérateur, ou avec le soutien d’un spécialiste soit par téléphone, par Internet ou sur place, dans une agence. Le client peut aussi accéder à des instruments d’éducation financière et peut réaliser des simulations et des jeux. « L’objectif est d’offrir un service de conseil avancé à 360 degrés, qui puisse toujours être accessible à distance. Un défi difficile, que nous pensons pouvoir relever : aujourd’hui, plus de 35 % de nos clients accède en effet au monde de la gestion d’actifs exclusivement en ligne (…) », poursuit Roberto Ferrari.
Clearbridge Investments, filiale du groupe Legg Mason, a annoncé le 23 février l’arrivée de Ryan Virag à Londres en qualité de chargé de clientèle («client portfolio manager») afin de développer la présence de la société de gestion en Europe. Il s’agit du premier poste de ce type crée en dehors des Etats-Unis, relève la société. Ryan Virag, qui travaille chez Clearbridge depuis 2012, aura la responsabilité d’accompagner les clients sur place et d’informer la communauté des investisseurs, consultants et conseillers financiers des capacités d’investissement de Clearbridge dont les actifs sous gestion s'élevaient à 107,5 milliards de dollars à fin décembre 2015.Avant de rejoindre Clearbridge, Ryan Virag, qui a une quinzaine d’années d’expérience dans l’investissement, a notamment été stratégiste actions internationales chez Oppenheimer Funds.Il a également occupé des fonctions d’analyste chez Goldman Sachs et Morgan Stanley.
Andrew Sandler, ancien directeur commercial pour le Royaume-Uni chez Odey Asset Management, a rejoint la société londonienne Banor Capital, révèle Investment Week. L’intéressé a quitté Odey AM fin 2015 après 14 années passées au sein de la société de gestion. Andrew Sandler a rejoint début février la société d’investissement Banor Capital en qualité de directeur commercial pour le Royaume-Uni. Banor Capital a été fondée en 2011 et compte deux filiales, Banor SIM Spa en Italie et Banor SICAV au Luxembourg.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Invesco has recruited Stefano Cascella in Italy as senior relationship manager, Bluerating reports. Cascella had previously worked for Fideuram as an analyst and portfolio manager. He has also served at BPUPramerica, Banca Popolare Commercio e Industria and Zenit Sgr in wealth management and fund analysis. He was also a private banker at Popolare Commercio e Industria. At Invesco, Cascella will report to Guiliano D’Acunti, head of sales for Italy. The recruitment comes after that of Alessandro Patruno a few months ago. Invesco has more than EUR20bn in assets under management in Italy.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } CheBanca!, the retail bank of the Italian Mediobanca group, is launching YellowAdvice, a robo-advisor. The robotic adviser is not only at the service of banking advisers, but also open to all retail clients who can invest at least EUR20,000. “With Yellow Advice, we wanted to make a consulting service available to everyone which had previously been limited to private banks,” says Roberto Ferrari, CEO for CheBanca! Via Yellow Advice, the clients also have a way to manage their portfolio themselves, without the assistance of an operator, or with the support of a specialist either by telephone, by internet or on site, at a branch. The clients can also access financial education materials, and can perform simulations and play games. “The objective is to offer an advanced, 360-degree advising service, which can always be available remotely. This is a difficult challenge, and we think we have met it: today, more than 35% of our clients are accessing the world of asset management exclusively online,” Ferrari continues.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Strategic Beta ETFs are, on average, more costly than their wap-weighted counterparts. ETFs in the US large caps category are the most expensive in relative terms. The average total expense ratio (TER) for Strategic Beta ETFs tied to the S&P 500 index is three times higher than for ordinary ETFs tied to the S&P 500 (0.43%, compared with 0.14%), according to a Morningstar study of “the real cost of Strategic Beta [or smart beta] ETFs.” The study examines the differences in cost between strategic beta tracker funds (ETF) and their traditional passively-managed counterparts. Teh study evaluates the differences in cost, costs of repllication and transaction costs for 100 strategic beta ETFs domiciled in Europe, and 77 cap-weighted ETFs tied to the most widely-used equity benchmarks. However, the average costs for strategic beta ETFs on emerging markets are only a little higher than for their cap-weighted counterparts (0.60%, compared with 0.53%). The average TER for European strategic beta ETFs has fallen from 0.43% to 0.39% in the past five years, largely due to the introduction of less expensive strategic beta ETF products. The highest turnover rate for positions in strategic beta indices compared with the more traditional cap-weighted indices implies relatively high replication costs, which are not included in the TER for a fund, and represent an additional pressure on the performance of these both physical and synthetic replication funds. Straetgic beta indices have turnover rates which generally range from 20% to 30% per year, while the average turnover rate for standard cap—weighted indices is between 3% and 8%. Investors in strategic beta ETFs may also encounter higher transaction fees. Since many strategic beta ETFs are relatively new, small and are often used as buy-and-hold investments, they can have low trading volumes and wider bid-ask spreads, which increases transaction costs. “Investors in strategic beta ETFs, like those investing in actively-managed funds, are more concerned with performance and the subtleties of a particular strategy than they are by the costs,” says Hortense Bioy, CFA and director of research for European passively-managed funds at Morningstar. “Though this is understandable, they should maintain awareness that there is a large difference in the fees charged by strategic beta funds, even the ones which offer exposure to similar strategies, and low-cost funds have higher chances of future success,” Bioy adds.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The State Street investor confidence index for February 2016 comes out at 106.5, down by 2.2 points compared with 1088.7 (corrected data) for January. The decline in confidence is the result of a drop in the European confidence index from 103.4 to 90.2. The drop of 13 points in the confidence of European investors represents the sharpest decline in 16 months. However, the confidence index for investors in Asia is at 111.9, up 9.2 points, while the North American investor conficence index is up from 108.9 to 109.3.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Since 1 January 2016, ETF Securities has posted record net inflows totalling over USD1bn. These inflows include in particular USD720m for gold-backed products, inclulding 99% for ETPs backed by physical gold, and over USD320m for ETPs backed by oil. On the day of Tuesday, 9 February alone, ETF Securities made net inflows of USD345m to its gold-backed ETPs, “the highest level ever observed in one day,” the firm says in a statement.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } At a time when pension funds are confronting a growing list of difficulties, a survey commissions by State Street, carried out in 20 countries, and covering 400 professionals at retirement regimes, reveals that these institutions are planning to make one or more changes to their governance models in 92% of cases. More than two thirds (68%) are planning at least three changes. Transparency and the frequency of reporting and diffusion of data are among the largest improvements under consideration. More than two out of five respondents (41%) is planning to increase the degree of granularity or the frequency of reporting to the board of directors in 2016, while a comperable percentage are planning to increase transparency in communication with their members concerning governance and the performance of investments in their pension fund. The changes come at a time when according to the survey, only 38% of respondents feel the level of financial expertise at their fiduciary bodies is “very solid.” The article, published on 23 February under the title “Pensions with Purpose: Meeting the Retirement Challenge,” also finds that only 36% of respondents feel their capacities to understand risks run by the pension funds they supervise is “very solid.” Only one third (32%) put a high level of confidence in their fiduciaries for considering strategic factors beyond short-term problems which may affect the portfolio over the long term. Regimes which adopt a more advanced governance approach claim they can eliminate their deficits more quickly than the rest of the industry, and they will also incurease their exposure to alternative products, with 60% planning to invest more in hedge funds in the coming year. At the same time as these governance changes, these pension regimes are also planning to reduce costs and diversify portfolios. For example, 80% are planning to merge assets and debts from multiple retirement regimes. Participants cite reduction in cost (24%) and improvement in operating efficiency (22%) as the main advantages of this consolidation.
Liquid alternative funds show some promise in Asia, according to Cerulli. Cerulli estimates the size of UCITS-approved alternative funds in Asia to be USD190 billion as of November 2015. By excluding convertible bonds and real estate funds to arrive at a better liquid alternative assets under management (AUM) proxy, the AUM would have stood at USD47 billion that month.In Asia ex-Japan, private banks and some life insurers, such as AXA Life Insurance and HSBC Private Bank, have identified liquid alternatives as a strong growth segment. Further, 60% of the private banking participants from Hong Kong and Singapore who took part in a recent poll by Asian Private Banker revealed optimism toward liquid alternative fund sales. Cerulli believes that these are strong signals for AUM growth in the sector in 2016.Cerulli notes two key drivers behind the heightened interest in liquid alternatives in Asia, namely the macro-environment and easing of regulatory restrictions.First, as market conditions become increasingly turbulent, individual investors are looking to alternative investments for higher returns as well as diversification. Second, regulators in parts of the region have also started to adopt a more accommodative stance toward alternative investments.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Clearbridge Investments, an affiliate of the Legg Mason group, has announced the arrival of Ryan Virag in London as client portfolio manager, to develop the presence of the asset management firm in Europe. This is the first position of this type to be created outside the United States, the firm reports. Viragg, who has been working at Clearbridge since 2012, will be responsible for asssiting clients on site and informing the community of investors, consultants and financial advisers of the investment capacity of Clearbridge, whose assets under management totalled USD107.5bn as of the end of December 2015. Before joining Clearbridge, Virag, who has 15 years of eperience in investment, was an international equity specialist at Oppenheimer Funds. He has also served in analyst positions at Goldman Sachs and Morgan Stanley.
Moody’s a annoncé mercredi midi avoir revu la note souveraine du Brésil à la baisse, la plaçant désormais en catégorie spéculative. Le Brésil est passé d’une note Baa3 à Ba2, une baisse de deux crans, assortie d’une perspective négative. L’agence de notation a justifié sa décision par le risque de voir se détériorer les ratios d’endettement brésiliens dans un environnement de croissance atone. Elle estime ainsi que la dette publique devrait dépasser 80% du PIB d’ici trois ans. Standard & Poor’s et Fitch avaient déjà sorti la dette du Brésil de la catégorie «Investissement», avec des notes respectives à BB et BB+.
Man Group accusait dans la matinée une baisse de 7% de son cours de Bourse, après l’annonce d’un bénéfice annuel en recul de 17% et inférieur aux attentes. Le hedge fund coté à Londres a dévoilé mercredi un résultat avant impôt de 400 millions de livres (507 millions d’euros) en 2015, contre 471 millions un an plus tôt. Man Group accuse une baisse de ses commissions de performance et de ses marges. Ses actifs sous gestion on progressé de 8% l’an dernier, à 78,7 milliards de livres, grâce à une collecte nette de 480 millions et des gains de performance de 2,4 milliards (contre 3,6 milliards en 2014).
La confiance des ménages s’est repliée en France en février par rapport au mois précédent, sous l’effet notamment d’un regain d’inquiétude concernant le chômage, montrent les données publiées mercredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance a reculé de deux points, à 95, alors que les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur un indice stable, à 97. L’enquête fait apparaître une quasi-stabilité de l’opinion des ménages sur leur situation financière passée (-1 point), mais une inflexion de deux points de celle relative à leur situation future.
La confiance du consommateur américain s’est nettement dégradée en février, montre l’enquête du Conference Board publiée hier. L’indice de cette organisation patronale s’est établi à 92,2 ce mois-ci, après 97,8 en janvier. Les économistes l’attendaient à 97. Il s’agit de son plus bas niveau depuis juillet dernier. Le chiffre de janvier a été révisé à la baisse après avoir été annoncé initialement à 98,1. Le sous-indice du sentiment du consommateur sur la situation actuelle a reculé à 112,1 contre 116,6 (révisé) en janvier. Celui sur la situation à venir chute à 78,9 après 85,3 (révisé) le mois dernier.