p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Axa Investment Managers – Real Assets, a real estate asset management affiliate of Axa Investment Managers, has announced the appointment from 1 May of Germain Aunidas as global head of development. He replaces Jean-Manuel Rossi, who has decided to retire after 25 years at Axa IM – Real Assets. Aunidas will be based in Paris, and will be responsible for development projects for France, and will oversee all development activities at the asset management firm in Europe, covering all geographical regions and sectors, as well as special transactions and fundraising. In this role, he will “support the continued growth and development of the platform, by providing coordination between each local development team, in Germany, Belgium, Spain, France, the United Kingdom and Switzerland, as part of ongoing future projects,” the firm says in a statement. Aunidas will also be responsible for developing relationships with partners. Aunidas, who has over 10 years of experience in managing redevelopment or the construction of new projects, joined AXA IM – Real Assets in 2014 as deputy head of development. He had previously served as chief development officer at Unibail-Rodamco, where he had overseen major development projects in the commercial and leisure sectors.
Standish Mellon Asset Management, the bond management specialist of the BNY Mellon Investment Management group, has recruited Vincent Reinhart as its economist in chief. Reinhart, who will report to David Leduc, CEO and chief investment officer at Standish, will work in close collaboration with the investment team at the company, and will be responsible for developing the macroeconomic framework, which will be used as a working basis for the investment process for all strategies from Standish. Reinhart replaces Tom Higgins, who passed away late in 2015.Before joining Standish, Reinhart had served as economist in chief for the United States and managing director at Morgan Stanley. Before that, he worked 24 years at the US Federal Reserve.
Le bureau néerlandais pour l’analyse des politiques économiques (CPB) a révisé sa prévision de croissance pour 2016 à la baisse, à 1,8% contre 2,1% en décembre. La reprise du pays à la suite de la crise de 2008 continue d'être « graduelle, pas exceptionnelle », mais l'économie continue à progresser à un rythme plus important que la moyenne européenne cette année. Le CPB évoque des « incertitudes substantielles » dans l'économie mondiale, pour « leur grande majorité à la baisse ». Parmi les risques, l’agence mentionne la perspective d’un Brexit et le délitement de l’espace Schengen de libre circulation face à l’afflux de réfugiés.
La demande mondiale de fret aérien a augmenté de 2,7% en janvier, sa plus forte hausse depuis avril 2015, a annoncé l’Association internationale du transport aérien (Iata). Mais les capacités disponibles ont de leur côté augmenté de 7%, si bien que le coefficient de remplissage des avions a reculé de 1,8 point à 41,3%. « Malgré ce bon début d’année, la performance commerciale sous-jacente reste faible et une accélération significative de la croissance paraît peu probable dans les prochains mois », indique l’Iata. « La croissance des volumes est une bonne nouvelle, mais les rendements et revenus continuent de subir d'énormes pressions », déclare son directeur général Tony Tyler.
La réunion monétaire de la Réserve fédérale (Fed) mardi et mercredi prochains pourrait être le lieu d’une bataille rangée entre banquiers centraux américains sur le rythme de la hausse des taux, comme l’attestent les déclarations faites hier par deux d’entre eux. Lael Brainard, chef de file des modérés, recommande la « patience ». « Au vu d’une demande externe faible et qui décélère, il est primordial de préserver avec soin les progrès accomplis en interne par le biais d’ajustements prudents de la politique monétaire », a-t-elle déclaré à la conférence annuelle de l’Institute of International Bankers. Stanley Fischer, le vice-président de la Fed, est au contraire rigoriste. « Il se pourrait bien que nous observions actuellement les prémices d’une augmentation des taux d’inflation », a-t-il déclaré dans une adresse à la National Association for Business Economics, ajoutant qu’une telle augmentation était souhaitable.
La progression des prêts à la consommation en janvier aux Etats-Unis a été la plus faible depuis novembre 2013, a indiqué la Réserve fédérale hier. Le montant des crédits a progressé de 10,5 milliards de dollars, soit plus de deux fois moins que les 21,4 milliards de hausse enregistrés en décembre dernier – qui est, il est vrai, une période des fêtes. Les prêts renouvelables, qui incluent les cartes de crédit, ont même reculé de 1,1 milliard, première décrue depuis février 2015. Cette tendance démontre une certaine prudence des ménages américains, qui ne s’est toutefois pas ressentie dans les crédits automobiles, aux taux d’intérêt faibles, ni dans les prêts étudiants. Les prêts non renouvelables, qui comprennent ces deux catégories, ont progressé de 11,6 milliards de dollars en janvier, après un gain de 15,9 milliards en décembre.
Les cours du pétrole ont terminé en forte hausse sur le marché new-yorkais Nymex. Le contrat avril sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a gagné 1,98 dollar, soit 5,51%, à 37,90 dollars le baril. Le Brent échéance mai a, lui, pris 2,12 dollars (5,48%) à 40,84 dollars le baril. Les cours ont regagné plus de 40% depuis deux mois, après être tombés à leur niveau le plus bas depuis douze ans. Ils ont par ailleurs tiré parti lundi de données montrant une hausse des stocks moins importante que prévu au terminal de Cushing (Oklahoma) et de rumeurs indiquant que l’Opep recherche un cours plancher de 50 dollars le baril.
Une solution sur la réduction du service de la dette grecque devrait être négociée en même temps que la conclusion de la première revue du troisième programme d’aide à la Grèce.
Visium Asset Management, hedge fund qui gère plus de huit milliards de dollars, est visé par une enquête du ministère de la Justice américain et de la Securities and Exchange Commission (SEC, le gendarme de la Bourse), concernant certaines transactions et de possibles erreurs de valorisation, indique Reuters. L’associé-gérant de Visium AM, Jacob Gottlieb, a envoyé une lettre à ses clients datée du 7 mars (et consultée par l’agence de presse), dans laquelle il indique que les autorités étudient les valorisations de titres d’un fonds de dette, fermé en 2013. Les questions concernent également un consultant qui a cessé de travailler pour la société en 2011.
Placé en liquidation judiciaire, comme l’annonçait la Lettre A la semaine dernière, Arkeon Finance cherche des repreneurs, indiquent Les Echos. Des sociétés comme Invest Securities, Amplegest, Portzamparc ou encore Financière d’Uzès pourraient être intéressées par les actifs du gestionnaire spécialisé dans les valeurs moyennes, qui feront bientôt l’objet d’un appel d’offres. Arkeon affiche plus de 1.500 clients en gestion de patrimoine ou en gestion privée et suit une soixantaine de PME.
Les superviseurs financiers s’inquiètent de l’effet potentiellement procyclique que les lignes de crédit signées récemment par des grands gestionnaires d’actifs, comme Amundi ou BlackRock, pourraient poser. Selon un officiel cité de manière anonyme par le FT, ces lignes montées pour se prémunir contre un risque de liquidité pourraient en fait encourager les souscripteurs de fonds à retirer leurs avoirs en cas de crise, en estimant que les gestionnaires seraient de toute façon couverts. Or, la taille de ces lignes de crédit est sans commune mesure avec les encours gérés. Selon le FT, les superviseurs pourraient soumettre les asset managers concernés à des tests de résistance sur ce sujet précis dans les prochaines semaines.
Dans le numéro de mars de Funds Magazine, Pierre Bismuth, directeur général de Myria AM, discute de la couverture d'un portefeuille flexible et des moyens de l'optimiser.
Lancée en 1994 pour le segment des CGPI, l’offre de multigestion parisienne d’Invesco AM s’est depuis internationalisée pour devenir son pôle mondial. Dirigée aujourd’hui par Bernard Aybran, et composée de 3 analystes-gérants, l’équipe gère près de 2,5 milliards d’euros d’encours dans une dizaine de fonds de fonds, principalement distribués au sein de réseaux de distribution couvrant l’Europe de l’Ouest.
La vie de Claudia Raoul, multigérante chez Invesco, démarre très loin des marchés financiers. Née à Fagaras, une petite ville multicommunautaire de Transylvanie, Claudia a grandi dans la Roumanie communiste. « Je m’estime très chanceuse d’avoir vécu cette période sans véritablement en avoir subi les désagréments. Mais la chute du communisme en Roumanie et la période qui s’en suivit m’ont profondément marquée », confie-t-elle.
Suite à une injection de liquidités, de l’ordre de 250 millions d’euros, la fondation suisse Copré a réalisé plusieurs investissements d’importance au cours de l’année 2015. L’institution a notamment augmenté son exposition aux actions et a introduit une poche dédiée au private equity au sein de son portefeuille. Copré, dont l’encours s'élève 930 millions d’euros, a également réalisé ses premiers placements en 2015 dans les infrastructures et l’immobilier international. Copré a affiché une volonté de diversification pour son allocation, avec un mixte de gestion indicielle et de gestion active. La poche dédiée au private equity atteint dorénavant 5% de l’allocation. L’allocation d’actifs au 1er janvier 2015 est la suivante : 35% immobilier en Suisse, 14% actions en francs suisses 14% actions en devises étrangères, 16% obligations en franc suisse, 6% obligations en devises étrangères, 10% actifs alternatifs (dont private equity et infrastructures). Copré a sélectionné CBRE Genève pour gérer son patrimoine immobilier depuis 2014. En revanche, la liste complète des gérants par classes d’actifs n’a pas été divulguée.
La demande mondiale de fret aérien a augmenté de 2,7% en janvier, sa plus forte hausse depuis avril 2015 tempérée toutefois par des pressions persistantes sur les marges des compagnies, a annoncé l’Association internationale du transport aérien (Iata). Les capacités disponibles ont de leur côté augmenté de 7%, soit davantage que la demande, si bien que le coefficient de remplissage des avions a reculé de 1,8 point à 41,3%. « Malgré ce bon début d’année, la performance commerciale sous-jacente reste faible et une accélération significative de la croissance paraît peu probable dans les prochains mois », indique l’association. « La croissance des volumes est une bonne nouvelle, mais les rendements et revenus continuent de subir d'énormes pressions », déclare le directeur général de l’Iata, Tony Tyler.
L’agence néerlandaise de prévisions économiques a révisé sa prévision de croissance pour 2016 à la baisse, à 1,8% contre 2,1% en décembre. Le bureau néerlandais pour l’analyse des politiques économiques (CPB) indique que la reprise du pays à la suite de la crise de 2008 continuait d'être « graduelle, pas exceptionnelle », mais que l'économie continuerait à progresser à un rythme plus important que la moyenne européenne cette année. L’agence a évoqué des « incertitudes substantielles » dans l'économie mondiale, pour « leur grande majorité à la baisse ». Parmi les risques, l’agence mentionne la perspective d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne et le délitement de l’espace Shenghen de libre circulation face à l’afflux de réfugiés.
Les ministres des Finances de la zone Euro doivent se préparer à des discussions sur l’allégement du fardeau de la dette grecque dès avril, a déclaré aujourd’hui le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, dont les propos ont été rapportés par un responsable de la zone euro. « Jeroen Dijsselbloem a dit aux ministres des Finances de la zone euro qu’ils devraient se préparer à des discussions sur la dette commençant en avril », a affirmé ce responsable. Ces discussions ne pourront commencer qu’une fois conclu l’examen des réformes entreprises par Athènes par ses principaux créanciers.
Ahead Wealth Solutions et BFC Fund Management, spécialisés dans les services aux clients institutionnels de fonds d’investissements, ont bouclé leur fusion, rapporte L’Agefi suisse. L’opération, dévoilée en novembre 2015, a été effectuée le 1er janvier 2016. Les actifs gérés représentent 1,4 milliard de francs suisses. Le nom Ahead Wealth Solutions est conservé. Les propriétaires de la société fusionnée sont BFW Group et BFC Group Est, avec chacun une participation respective de 50%. En tant que déléguée du conseil d’administration, Doris Beck gère les activités, tandis que Heinz Frommelt occupe le poste de président.
Le mouvement de consolidation du secteur de la banque privée est dynamique dans le monde entier. Mais la Suisse fait figure de championne en termes de fusions et acquisitions, avec des transactions qui ont selon une étude de Scorpio Partnership atteint en moyenne 9,4 milliards de dollars, plus que n’importe quel autre pays. Les volumes de transactions totaux s'élèvent à 46,9 milliards de dollars. Il n’y a qu’aux Etats-Unis où cette somme dépasse celle du marché suisse, avec 279 milliards de dollars. Parmi les fusions acquisitions notables en 2015, on retrouve en Suisse la reprise de Coutts International par UBP ou encore la fusion entre les banques privées Notenstein Privatbank et Basler Bank La Roche 1787.La dynamique mondiale de la consolidation dans la banque privée est encore forte mais semble s’affaiblir doucement, selon l'étude. Dans le monde, le volume total des transactions de fusions acquisitions du secteur est en baisse par rapport à 2014, passant de 461,4 milliards à 408,5 milliards de dollars. Dernier constat, les prix. Ils sont en hausse sur un an. En 2015, le prix d’acquisition se situait en moyenne à 2,14 % des actifs gérés, contre 2,06 % en 2014.
La division immobilière de JP Morgan Asset Management a recruté Tetsuya Karasawa le mois dernier pour être son premier responsable de l’immobilier pour le Japon, rapporte Asian Investor. Basé à Tokyo, il est rattaché à David Chen, responsable de l’immobilier pour l’Asie Pacifique. L’intéressé était précédemment responsable Japon d’Axa Real Estate Investment Managers.
Les gros fonds obligataires ont doublé leurs positions en cash en cinq ans, alors que les craintes en matière de liquidités sur le marché obligataire pèsent sur les sociétés de gestion, rapporte le Financial Times fund management. Le fonds Global Bond de Franklin Templeton et le Strategic Income Opportunity de BlackRock, qui font partie des 10 principaux fonds obligataires dans le monde, ont plus que doublé leurs poches en cash à au moins 18,5 % de leurs actifs sur les cinq dernières années, selon Morningstar. Une tendance similaire est observée pour les fonds obligataires en Europe : le fonds Sécurité de Carmignac et le fonds Euro Corporate Bond d’Invesco ont plus que quadruplé leurs positions en cash depuis le début de 2011.
Les hedge funds ayant réalisé de gros bénéfices en pariant contre les actions minières en 2015 ont vu leurs paris tourner au vinaigre, les cours des matières premières ayant rebondi et provoqué un énorme rally dans le secteur des ressources naturelles, rapporte le Financial Times. Par exemple, Anglo American et Glencore, les deux actions ayant le moins bien performé sur le FTSE 100 l’an dernier, ont vu leurs cours presque doubler depuis le début janvier. La société de hedge funds Landsowne Partners avait vendu à découvert 227 millions d’actions Glencore, selon la Financial Conduct Authority. Odey Asset Management devrait aussi voir sa position contre Anglo American prendre un sérieux coup depuis janvier.
En février, Banca Generali a enregistré des souscriptions nettes de 584 millions d’euros, soit pratiquement le double de celle de février 2015. En seulement deux mois, la collecte nette totale a dépassé 1,1 milliard d’euros, soit une hausse de 58 % par rapport à la période correspondante de 2015.
Morgan Stanley SGR, la société de gestion immobilière italienne du groupe Morgan Stanley, lance un fonds alternatif d’investissement immobilier réservé à des investisseurs qualifiés, annonce un communiqué. Le fonds a acquis un portefeuille, appelé « Great Beauty », composé de trois actifs prestigieux ayant une superficie totale d’environ 45.000 mètres carrés et une valeur supérieure à 200 millions d’euros. Les trois biens immobiliers sont situés dans le centre historique de Rome, font partie du patrimoine historique de la ville et sont intégralement loués à des exploitants de standing. Les deux investisseurs institutionnels du nouveau fonds immobilier sont Poste Vita et Zurich. Morgan Stanley SGR a souscrit une part minoritaire du fonds. Le vendeur du portefeuille est le groupe Unicredit.« L’établissement de ce fonds est cohérent avec la stratégie de Morgan Stanley SGR de créer des fonds immobiliers pour le compte d’investisseurs institutionnels de long terme désireux de profiter des capacités d’exécution et de gestion de Morgan Stanley SGR », commente Silvia Rovere, administrateur délégué de Morgan Stanley SGR.
Sal. Oppenheim vient d’annoncer deux départs : celui du directeur financier Jürgen Dobritzsch, et celui de Nicolas von Loeper, responsable de la clientèle privée. Les deux responsables quittent la banque privée allemande «pour se confronter à de nouveaux défis», selon un communiqué.Leurs deux successeurs ont d’ores et déjà été nommés et prendront leurs fonctions le 1er avril prochain. Sal. Oppenheim a fait appel à Henning Heuerding pour occuper le poste de directeur financier tandis que Marco Hauschildt prendra la responsabilité de la clientèle privée et deviendra membre de la direction élargie de la banque privée. Henning Heuerding est membre du conseil de surveillance de la banque depuis 2010 tandis que Marco Hauschildt dirige depuis 2007 l’antenne de la banque à Hambourg.
Le fournisseur de fonds indiciels cotés Source a nommé Julian Ide au poste de chief executive officer de la société Source UK Services Ltd basée à Londres. Julian Ide rejoint Source à la mi-avril après une année 2015 fructueuse pour la société, les encours sous gestion ayant progressé de 26 %. Julian Ide possède plus de 25 ans d’expérience dans les services financiers. Dernièrement, il a occupé la fonction de CEO de Old Mutual Global Investors (entre 2011 et août 2015). Il a également assumé des fonctions seniors chez BBVA Asset Management, Credit Suisse Asset Management, ABN AMRO Asset Management et Schroder Investment Management.
Nutmeg, le gestionnaire de fortune en ligne dans lequel Schroders détient une participation, a entamé des recherches pour remplacer son directeur général Nick Hungerford, rapporte Financial News, citant des sources proches du dossier.
Henderson Global Investors a recruté Stephen Deane au poste de gérant senior. L’intéressé vient de Stewart Investors (anciennement First State Stewart) où il a été analyste et co-gérant pendant plus de cinq ans. Chez Henderson, il travaillera en collaboration avec Glen Finegan, responsable de la gestion actions marchés émergents, qui est également un ancien de Stewart. Son équipe sera basée au centre de gestion d’Edimbourg.« Stephen et moi-même avons travaillé ensemble chez First State et je suis convaincu, compte tenu de notre expérience commune, qu’il est une recrue parfaite pour l’équipe. (…) L’arrivée de Stephen témoigne de l’engagement constant de Henderson envers les actions émergentes et vient renforcer l’équipe basée à Edimbourg. (…) », commente Glen Finegan. Dans le cadre du développement de l’équipe basée à Edimbourg, Michael Cahoon, initialement analyste, a été promu gérant. Il a également été nommé co-gérant du fonds commun de placement US. Nicholas Cowley sera également nommé co-gérant du Henderson Gartmore Emerging Markets Fund.