Nicolas Gonet, associé du gestionnaire de fortune Gonet et Cie, constate une tendance claire à la diminution du nombre de banquiers privés, rapporte l’agence AWP. Le groupe genevois a lui-même décidé de quitter ce club de plus en plus restreint pour se transformer en société anonyme, d’ici la fin du premier semestre 2016. La maison familiale, fondée en 1845 et forte de 120 employés, a enregistré des souscriptions en 2015, année marquée notamment par le versement d’une amende de plus de 11 millions de dollars aux autorités américaines. «La notion de banquier indéfiniment responsable ne me semble plus dans l’air du temps, le monde a changé», a indiqué à AWP Nicolas Gonet, qui deviendra CEO de la nouvelle société anonyme (SA). Pour le banquier genevois, la SA présente en plus les avantages de la transparence «privilégiée dans le nouveau paradigme de notre industrie». La gouvernance de l'établissement sera également améliorée, grâce à la création d’un conseil d’administration.
Vontobel a annoncé le 7 mars la nomination de Matthew Benkendorf au poste de directeur des investissements ou «chief investment officer» de sa «Quality Growth boutique». Matthew Benkendorf remplace le gérant de fonds Rajiv Jain qui va quitter la banque Vontobel à fin mai, à sa propre demande pour suivre ses propres projets entrepreneuriaux, précise Vontobel dans un communiqué. La désignation de Matthew Benkendorf, un suppléant de longue date de Rajiv Jain, permet de régler la succession sans retard et assure la meilleure protection de performance pour les clients.Matthew Benkendorf prend la position de «Lead Portfolio Manager» des fonds Global Equity, Global hors Amérique (Europe, Australasie et Extrême-Orient) et Emerging Market Equity. Donny Kranson, auparavant suppléant Portfolio Manager pour la stratégie actions européennes, reprend à Rajiv Jain le poste de Lead Portfolio Manager European Equity Fonds. Brian Bandsma, auparavant suppléant Portfolio Manager Far East Equity Fonds, devient Lead Portfolio Manager en remplacement de Rajiv Jain.
Coûts opérationnels en hausse, pression sur les marges, difficulté à attirer de nouveaux clients: des banques genevoises cherchent à diversifier leurs revenus en dehors de la seule gestion privée, rapporte L’Agefi suisse. «Nous avons lancé une plateforme de trading de devises orientée sur les clients institutionnels fin 2014, qui offre des spreads fixes, cette activité représente actuellement 25% de nos revenus et nous visons 30% à terme», décrit Grégoire Penonne, CEO ad interim de Geneva Swiss Banque, l’un des plus récents établissements de la place genevoise. GS Banque (35 employés, pour des actifs sous gestion non divulguée), l’ancienne Banque Hentsch, veut aussi développer une activité de conseil, dans un rôle d’«agrégateur»: «les clients veulent de plus en plus investir dans des thématiques qui leur tiennent à cœur, nous pouvons les structurer pour eux, par exemple sous la forme de certificat», explique la banque qui développe également une activité de private equity avec une dimension locale. Le groupe Reyl a aussi très rapidement misé sur la diversification de ses sources de revenus. Il compte dorénavant cinq pôles d’activités: gestion privée, gestion d’actifs (lancée en 2007), Corporate & Family Governance (2006), conseil aux entreprises (2012), et «Asset Services», qui regroupe, depuis mars 2015, des prestations de dépositaire et de gouvernance de fonds de placement.
Après avoir occupé un certain nombre de postes à responsabilités au sein du groupe Credit Suisse, Lars van den Bosch avait quitté la société en 2015 pour rejoindre Julius Baer. Il est aujourd’hui de retour chez Credit Suisse, selon les informations de Finews. Il y occupera le poste de directeur des ressources humaines pour la division International Wealth Management. Il occupait un poste similaire chez Julius Baer, précise Finews.
Les hedge funds informatisés « suiveurs de tendances » ou « trend following » en anglais battent leurs homologues humains depuis le début de l’année, après avoir lutté pour gagner de l’argent sur quatre des cinq dernières années, rapporte le Financial Times. Maintenant, la question est de savoir si ces fonds, souvent connus sous le nom de CTA, peuvent encore prospérer. Ces fonds « systématiques », qui surfent sur les tendances en utilisant des modèles financiers et des algorithmes, tirent leur épingle du jeu lorsqu’il y a une claire direction sur les marchés. Au 17 février, les fonds CTA étaient en hausse de 7 %. Maintenant, le gain sur l’année semble davantage tourner autour de 5,4 %, selon Société Générale.
La société de gestion italienne Sofia Sgr, spécialisée dans la gestion de fortune, a recruté quatre personnes pour son équipe de banque privée à Milan et Biella : Tommaso Signori, Cristian Fontana, Gianluca Venturelli et Paola Lavagnini, rapporte Bluerating. Les trois premiers seront banquiers privés à Milan, après avoir travaillé au sein de Che Banca ! Paola Lavagnini rejoint Sofia Sfr comme banquier privée pour la région de Biella. Elle vient de Banca Euromobiliare.
La société de gestion alternative Aquila Capital a annoncé, ce lundi 7 mars, la nomination de Manfred Schraepler au poste nouvellement créé de « managing director » et de responsable de l’activité « Financial Asset and Liquidi Private Markets ». Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, l’intéressé sera responsable de la direction stratégique et du développement de l’activité dédiée aux actifs financiers de la société de gestion. Manfred Schraepler rejoint Aquila Capital en provenance de Bank of America Merrill Lynch où il travaillait en tant que directeur de la division « Fund Solutions ». Auparavant, il a été directeur du marketing chez IKOS CIF Limited et responsable des fonds structurés chez Deutsche Bank AG à Londres.
Deutsche Asset Management vient de lancer ce 7 mars un nouvel ETF d’obligations d’entreprises de sa gamme db x-trackers sur Xetra, la plateforme de négociation de Deutsche Börse, a annoncé l’opérateur boursier. Baptisé db x-trackers Barclays USD Corporate Bond Ucits ETF, ce nouveau véhicule offre aux investisseurs la possibilité de bénéficier de la performance des obligations d’entreprises libellées en dollar américain. Son indice de référence, le Barclays USD Liquid Investment Grade Corporate EUR Hedged, comprend des obligations émises par des entreprises des secteurs de l’industrie, des « utilities » et des services financiers et notées « investment grade ». Les frais totaux sur encours sont à 0,25%.
Securis Investment Partners (Securis IP), une société de gestion spécialisée dans la titrisation assurantielle, a annoncé, ce lundi 7 mars, le lancement d’un fonds d’obligations catastrophe, le Securis Catastrophe Bond Fund, un compartiment de la sicav Northill Global Funds. Ce nouveau véhicule cible un rendement net en dollar américain de 4,5% au-dessus du Libor, avec une faible corrélation avec les classes d’actifs traditionnels. Il s’agit surtout du premier fonds d’obligations catastrophe au format Ucits géré par Securis. Les investissements du fonds sont diversifiés à travers une large gamme de titres exposés aux risques d’événements catastrophiques (ouragan, seisme..) dans différentes zones géographiques du monde.
Fidelity a décidé de fermer aux nouvelles souscriptions de nouveaux investisseurs son fonds UK Smaller Companies dédié aux petites capitalisations britanniques à la suite de l’intérêt massif des investisseurs, rapporte FT Adviser. Le fonds, géré par Alex Wright et Jonathan Winton, sera fermé à toute nouvelle souscription le 6 avril prochain afin de protéger les investisseurs existants. Fidelity a précisé que cette décision doit permettre « aux gérants de portefeuille de conserver de la flexibilité dans la mise en œuvre de leur stratégie d’investissement ». Le fonds sera ainsi retiré des plateformes de distribution. Le produit avait été rouvert aux nouvelles souscriptions en mai 2015 après avoir été partiellement fermé pendant deux ans.
Ian Aylward vient de quitter ses fonctions de responsable de la recherche multi-manager chez Aviva Investors, rapporte le site spécialisé FT Adviser. Isabel Emo Capodilista dirigera l'équipe en attendant que soit trouvé un successeur à Ian Aylward qui avait rejoint la société en 2011.La société avait récemment annoncé une restructuration de ses équipes «marchés liquides», comprenant le multi-classes d’actifs, l’obligataire et les actions, dans le sillage du départ de David Lis, responsable des investissements du multi-classes d’actifs et des actions.
Le gestionnaire de fortune britannique Rowan Dartington a nommé John Betteridge au poste nouvellement créé de directeur des investissements pour le groupe, rapporte Investment Week. L’intéressé avait rejoint la société en septembre 2014 en qualité d’administrateur non-exécutif et de président (« chairman ») de son comité d’allocation d’actifs. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, John Betteridge supervisera la stratégie d’allocation d’actions pour les clients privés et les conseillers financiers. Il dirigera également toute l’équipe d’investissement de la société de gestion. Avant de rejoindre Rowan Dartington, John Betteridge a officié en qualité de directeur des investissements pour la division assurance de Prudential UK. Rowan Dartington a été acquis en juillet 2015 par le gestionnaire d’actifs britannique St James’s Place.
Le gérant alternatif Alan Howard a fait mieux que ses concurrents au mois de février, ont indiqué à l’agence Bloomberg deux personnes proches de la société. Le Brevan Howard Master Fund, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 18,6 milliards de dollars, a dégagé un gain de 0,5% en février si bien que la stratégie affiche une performance légèrement supérieure à 1% sur les deux premiers mois de l’année, ont précisé les sources.Les hedge funds global macro ont perdu près de 3% au mois de février, selon les premières estimations de Lyxor Asset Management, ce qui porte le recul sur les deux premiers mois de l’année à 2,3%..
EFG Asset Management (EFGAM), la société de gestion d’actifs de la banque privée EFG International, a annoncé ce lundi 7 mars, sa décision de reprendre en interne la gestion du fonds actions américaines New Capital US Growth Fund. Cette stratégie a été lancée par EFGAM en juillet 2010 et elle repose sur un portefeuille de conviction de grandes capitalisations américaines.L’équipe en charge de ce fonds a rejoint EFGAM dans le cadre de cette démarche d’internalisation. Ainsi, Joel Rubenstein, qui était co-gérant principal du fonds depuis son lancement, officiera désormais en qualité de gérant principal. Il travaillera aux côtés des gérants de portefeuille senior Tim Butler et Mike Clulow, de l’analyste Chelsea Wilson et du gérant de portefeuille client Don Klotter. Tous assurent la gestion de la stratégie depuis son lancement. La reprise en main de la gestion du fonds n’entraîne aucun changement dans le processus d’investissement, a précisé EFGAM dans un communiqué. L’équipe de gestion américaine continuera d’être basée à Portland.
Euronext a annoncé le lancement ce 8 mars sur Euronext Paris d’un nouvel ETF d’Ossiam. Le nouveau produit, Ossiam ETF JPVM HC ( code ISIN : LU1254453902), pour sous-jacent l’indice Japan Minimum Variance Euro Hedge Index NR. Le fonds est chargé à 0,65%.
La société de hedge funds Visium Asset Management a annoncé lundi qu’elle faisait l’objet d’une enquête par les autorités fédérales sur des problèmes de transactions et de valorisation, rapporte le Wall Street Journal. C’est le signe que le régulateur accentue sa surveillance des transactions du secteur du hedge funds.
Ruulke Bagijn, jusque-là directrice des investissements de la division « private market » de PGGM, a décidé de quitter le fonds de pension néerlandais pour rejoindre Axa Investment Managers Real Assets, a annoncé PGGM ce lundi 7 mars. Basée à Paris, Ruulke Bagijn va devenir à compter du 1er mai 2016 « Global Head of Real Assets Private Equity » au sein de la société de gestion française. A ce titre, elle sera plus particulièrement en charge des investissements en private equity et en infrastructure. Ruulke Bagijn avait rejoint PGGM en 2009 en tant que responsable de l’équipe en charge du capital-investissement. En 2012, elle a été promue au poste de directrice des investissements en charge du « Private Markets » et membre de l’équipe de direction de PGGM Asset Management. Avant d’intégrer PGGM, elle avait été « managing director » chez 4RAE, un fonds de private equity spécialisé dans les investissements dans le secteur de l’énergie. Avant cela, elle avait occupé le poste de responsable du département « Principal Investment » chez ABN Amro à Londres.
Des sociétés comme Invest Securities, Amplegest, Portzamparc ou encore Financière d’Uzès pourraient être intéressées par la société de gestion d’Arkeon placée en liquidation judiciaire la semaine dernière, rapporte Les Echos. Ses actifs feront bientôt l’objet d’appel d’offres. La société de gestion compte plus de 1.500 clients en gestion de patrimoine ou en gestion privée, et une soixantaine de petites et moyennes sociétés suivies.
BlackRock propose un fonds multi classes d’actifs de performance absolue qui sera géré par Ked Hogan, responsable des investissements pour les stratégies factorielles, rapporte le site spécialisé Investment Week. Le fonds BlackRock Strategic Funds Style Advantage investira dans différentes classes d’actifs en utilisant différents facteurs (momentum, qualité, volatilité) et mettra en œuvre ses stratégies au sein d’un univers de plus de 2.500 titres.Selon BlackRock, le fonds ne sera pas dépendant des mouvements de marché et affichera une corrélation très faible avec les classes d’actifs traditionnelles. L'équipe dirigée par Ked Hogan gère environ 125 milliards de dollars de stratégies factorielles et smart beta.
Selon le rapport annuel du bureau du Comptroller de l’Etat de New York, l’un des principaux superviseurs financiers locaux, les rémunérations variables versées par les banques de marché enregistrées à la Bourse de New York au titre de 2015 ont reculé de 9% en moyenne, à 146.200 dollars, rapporte L’Agefi. La tendance suit celle des bénéfices du secteur qui, selon l’estimation du Comptroller, ont reculé de 10,5% l’année dernière. La volatilité des marchés fin 2015 a pesé sur les revenus de trading et sur les activités d’émission. Mais la baisse du bonus n’implique pas la baisse de la rémunération totale. Alors que le chiffre pour 2015 n’est pas encore disponible, la rémunération (salaire plus bonus) avait augmenté de 14% en 2014 (à 404.800 dollars), a révélé hier le comptroller, alors que les bonus avaient chuté de 5,6%...
Axa Investment Managers – Real Assets (Axa IM – Real Assets), filiale de gestion d’actifs immobiliers d’Axa Investment Managers (Axa IM), a annoncé, ce 7 mars, la nomination effective au 1er mai de Germain Aunidas au poste de responsable mondial du développement (« Global Head of Development »). Il remplace ainsi Jean-Manuel Rossi qui a décidé de prendre sa retraite auprès 25 années au sein d’Axa IM – Real Assets. Basé à Paris, Germain Aunidas sera chargé des projets de développement en France tout en supervisant l’ensemble des activités de développement de la société de gestion en Europe, couvrant toutes les zones géographiques et secteurs, ainsi que des transactions spécifiques et les levées de fonds. A ce titre, il « soutiendra la croissance et le développement continu de la plateforme en assurant la coordination entre chaque équipe locale de développement, en Allemagne, en Belgique, en Espagne, en France, au Royaume Uni et en Suisse, pour les projets en cours et futurs », indique la société dans un communiqué. Germain Aunidas aura également pour responsabilité de développer les relations avec les partenaires. Germain Aunidas, qui compte plus de dix années d’expérience en gestion de redéveloppement ou construction de nouveaux projets, a rejoint AXA IM - Real Assets en 2014 en tant que responsable adjoint du développement (« Deputy Head of Development »). Précédemment, il occupait le poste de directeur de développement chez Unibail-Rodamco, où il supervisait des projets de développement majeurs dans les secteurs du commerce et des loisirs. Avant cela, Germain Aunidas était, pendant sept ans, développeur immobilier chez Sodearif où il gérait plusieurs projets à grande échelle en région parisienne.
Standish Mellon Asset Management, le spécialiste de la gestion obligataire du groupe BNY Mellon Investment Management, a recruté Vincent Reinhart en qualité de chef économiste. L’intéressé, qui est rattaché à David Leduc, directeur général et directeur des investissements de Standish, travaillera en étroite collaboration avec l’équipe d’investissement de la société et sera chargé de développer le cadre macro-économique qui servira de base de travail pour le processus d’investissement de toutes les stratégies de Standish. Vincent Reinhart remplace Tom Higgins qui est décédé fin 2015.Avant de rejoindre Standish, Vincent Reinhart a occupé le poste de chief économiste pour les Etats-Unis et de « managing director » chez Morgan Stanley. Avant cela, il avait travaillé pendant 24 ans au sein de la Réserve fédérale américaine.
« Nous avons annoncé ce que nous allions faire il y six ans mais il faut bien admettre que nous constatons une accélération des événements ». Les propos de Jean-Eric Mercier, directeur général de CPR AM interrogé par Newsmanagers, ne cherchent pas à dissimuler une évidente satisfaction sur l'évolution de sa société de gestion. Il est vrai que 2015 est qualifiée d’année record pour cette dernière qui a vu son encours bondir à 37,6 milliards d’euros, contre 28 milliards un an plus tôt. Certes, 2 milliards d’euros correspondent à l’apport de la gestion thématique qu’Amundi, sa maison mère, lui a confiée fin 2015. Cependant, la progression s’explique surtout par une collecte nette de plus de 4,8 milliards d’euros, jamais égalée jusque-là. Dans le détail, les souscriptions nettes se sont réparties sur le monétaire pour 1,8 milliard, les diversifiés pour 1,6 milliard, les actions pour 930 millions et les taux pour 460 millions. En matière de clientèle, la société de gestion maintient l’équilibre : près de 55% de la collecte a été réalisée auprès de ses grands clients institutionnels et entreprises. Toutefois, les souscriptions ont aussi continué à progresser auprès de la distribution et des conseillers en gestion de patrimoine. Cet ensemble représente aujourd’hui près de 30% des actifs sous gestion –contre 10 % en 2009. Pour son activité dédiée aux conseillers en gestion de patrimoine avec « Le Comptoir », la collecte nette a atteint plus de 511 millions d’euros - contre 290 millions d’euros en 2014. Et pour 60 %, les souscriptions ont porté sur des produits financiers - de CPR AM ou d’Amundi – le solde ayant été affecté à des produits immobiliers. Avec un autre prisme, le poids de l’international représente désormais 10% de la collecte globale, en progression de 30% par rapport à 2014. A ce titre, le succès nourrissant l’ambition, la société de gestion entend pousser ses pions en 2016 et poursuivre son développement hors des frontières de l’Hexagone. Jean-Eric Mercier a confirmé qu’il s’agissait d’un des axes majeurs de CPR AM. « En 2015, les actifs sous gestion issus de l’international ont représenté deux milliards d’euros et nos ventes nettes se sont élevées à 490 millions d’euros ». A moyen terme, le responsable vise haut et table sur une part des souscriptions nettes issue de l’étranger à 50 % de l’ensemble. Pour cela, la société de gestion a d’ores et déjà tissé sa toile. Elle est présente dans une dizaine de pays après avoir renforcé sa présence en Europe occidentale et sur la zone Asie-Pacifique avec l’appui d’Amundi. Et ce n’est pas tout. « Nous sommes en train de lancer un fonds Global Silver Age en Corée pour la joint-venture NH-CA », a confirmé Jean-Eric Mercier, en précisant que la campagne de promotion démarrait cette semaine. A l’international, la société de gestion utilisera tous les leviers à sa disposition. Outre sa stratégie à succès « Silver Age », dont la commercialisation a été étendue depuis un an à la zone Asie-Pacifique (Hong-Kong, Taïwan, Thaïlande, Singapour…) et dont l’encours sous gestion s'élève à plus de 1,57 milliard d’euros après une collecte nette globale en 2015 de 810 millions d’euros, CPR AM s’appuiera sur ses expertises phares - en allocation d’actifs, en Fixed Income avec les Credixx et en actions thématiques. A ce propos, Jean-Eric Mercier a confirmé que ses équipes de recherche continuaient à identifier de nouveaux thèmes, et que l’un d’entre eux verra le jour en cours d’année. Le fonds en question viendra rejoindre une gamme qui, en 2015 s’est étoffé de trois OPCVM supplémentaires, «élaborés à partir de demandes de la part de nos clients», a tenu à rappeler son responsable. Le premier, CPR GEAR Emergents, a ainsi pour vocation de permettre de réinvestir sur les marchés émergents. Le second, CPR Europe Low Carbon, doit contribuer à la prise en compte du réchauffement climatique, et à son coût direct ainsi que son risque financier. Enfin, le troisième, CPR Credixx Active US High Yield permet d’accéder au marché du haut rendement américain en tenant compte par ailleurs des problèmes de liquidité pour les investisseurs. Pour 2016, au rang des innovations, après avoir constaté un changement de paradigme dans la gestion obligataire, la société de gestion travaille sur une réponse appropriée, qui pourrait conduire à la mise en place d’une « gestion obligataire 2.0 » concoctée par les équipes de recherche et de gestion de la société. En outre, CPR AM compte développer fortement son offre de solutions d’investissement adaptée à la contrainte réglementaire « Solvabilité 2 ». Enfin, l’épargne retraite est également au menu de la société de gestion...
Bure lance Arcturus, un hedge fund long/short actions monde, en partenariat avec le gérant Michael Idevall, connu notamment pour avoir géré le fonds Camelot ces 12 dernières années, rapporte Realtid.se. Bure est l’investisseur principal du fonds et détient 35 % d’Idevall & Partners Fonder, qui gère Arcturus. Michael Idevall sera responsable de la gestion d’Arcturus, tandis que Jens Lindskog est le directeur général d’Idevall & Partners.
Présente dans la quasi-totalité des mandats de la plateforme amLeague, et ce dès leurs lancements, la société de gestion Roche-Brune AM présidé par Bruno Fine affiche des performances séduisantes. Avec un track-record de près six ans, le portefeuille de la société de gestion dans le giron du groupe Primonial, bat, dans le mandat Europe, l’indice de référence Stoxx 600 de plus de 30 points de pourcentage (98,59 % contre 64,22%). Invité sur Newsmanagers TV à détailler sa gestion, Bruno Fine a indiqué que celle-ci, élaborée depuis dix ans, est basée sur une seule et même thématique: la création de valeur. «Plus précisément, le moteur de la création de valeur est doté de quatre pistons», a expliqué le responsable: un piston « bottom up », un autre extra-financier, un autre encore dédié à la mesure des risques, et enfin un dernier qui prend en compte la dimension immatérielle qui peut représenter aujourd’hui plus de 60 % des actifs des sociétés. «Même dans le cadre du mandat « low carbon » où Roche-Brune AM figure également, la gestion décrite est parfaitement adaptée, sachant que l’on mesure l’impact carbone dans la gestion au sens de l’impact qu’il va avoir sur la consommation de marge d’exploitation, au regard de la taxe carbone qui serait appliqué à l’émetteur en question», a-t-il ajouté. Invité à s’exprimer sur le comportement des marchés actions en 2016, Bruno Fine a également rappelé que l’inquiétude est mère nourricière de la créativité et les gérants sont pour leur part payés pour gérer du risque. «Les craintes apportent de la complexité», a-t-il admis, «mais, en étant polarisé sur un seul risque actions, il reste au gérant à diversifier ses investissements entre différentes types d’actions, différentes tailles de capitalisations, de zones, etc, et faire en sorte que seule la thématique de la création de valeur soit prise en compte».Compte tenu des bons résultats de sa gestion sur amLeague, Bruno Fine en a profité pour rappeler que Roche-Brune AM a lancé il y a peu un nouveau produit : Capital Brain. Ce premier compartiment logé dans la sicav luxembourgeoise de la société de gestion est parti du mandat notionnel sur la plateforme amLeague et a été répliqué dans un mandat réel. « Une fois encore, c’est un fonds thématique au sens de la création de valeurs », a-t-il précisé. Et pour cela, le fonds s’est donné l’international comme univers d’investissement. Quand bien même l’Europe est surpondérée aujourd’hui car particulièrement compétitive, et avec un risque bien rémunéré, a conclu Bruno Fine. Pour regarder la vidéo, cliquez sur le lien suivant : http://www.newsmanagers.com/NewsManagersTV/lesgerantssexpliquent.aspx?id=1455
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } EFG Asset Management, the asset management firm from the private bank EFG International, has announced that it has decided to take the management of its US equity fund New Capital US Growth Fund in-house. The strategy was launched by EFGAM in July 2010, and is based on a conviction portfolio of US large caps. The team responsible for the fund has joined EFGAM as part of this internalization process. Joel Rubenstein, who had been co-principal manager of the fund since its launch, will now serve as its principal manager. He will work alongside senior portfolio managers Tim Butler and Mike Clulow, the analyst Chelsea Wilson, and the client portfolio manager Don Klotter. All of them have provided management of the strategy since its launch. The takeover of management of the fund will not entail any changes to the investment process. The US asset management team will continue to be based in Portland, Oregon.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The alternative asset management firm Aquila Capital has announced the appointment of Manfred Schraepler to the newly-created position of managing director and head of the financial asset and liquid private markets activity. In his new role, Schraepler will be responsible for the strategic direction and development of the activity dedicated to financial assets at the asset management firm. Schraepler joins Aquila Capital from Bank of America Merrill Lynch, where he had been working as director of the fund solutions division. He had previously been director of marketing at IKOS CIF Limited, and as head of structured funds at Deutsche Bank AG in London.
European ETFs dedicated to equitie finished February with net outflows of EUR2.4bn, at a time when they had taken in over EUR1bn in the previous month, according to the most recent monthly statistics from Lyxor Asset Management. In all categories combined, the month brought net outflows of EUR271m. In the first two months of the year, assets were down 5% compared with their levels at the end of 2015, at EUR428.5m.All equity ETFs dedicated to developed markets have been affected by outflows. For the first time since April 2015, ETFs in the European region posted capital outflows for the month, totalling EUR1.1bn. Inflows to ETFs specialised in Asian and US equities were also in negative territory, with -EUR821m and -EUR442m respectively. Emerging market equities, however, saw very limited capital outflows (-EUR124m), while emerging market ETFs overall posted positive inflows of EUR196m. This appears to indicate that investors are making a prudent return to this segment at a time when oil prices may have flattened out. It is interesting to note that smart beta ETFs posted significant capital inflows EUR907m), largely to defensive strategies.For bonds, the past month was much more favourable. Capital inflows to bond ETFs recovered, to EUR1.9bn. It is to be noted that bond inflows went largely to government bonds from developed markets. European government bonds saw significant capital inflows (EUR871m), as a further round of quantitative easing is expected to be announced at the next meeting of the ECB in March. Investors seeking safe investments, in a highly volatile environment, also preferred US and German bonds, which took in EUR317m ande EUR332m in capital, respectively. With a total of EUR380m, inflows to ETFs dedicated to corporate and high yield bonds rebounded slightly, mainly on US indices.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Natixis Global Asset Management has recruited Jean-Michel Bourgoin based in Dubai as its new head for the Middle East and North Africa (MENA) region.Prior to joining Natixis Global AM, Bougoin served as CEO - Middle East for Amundi Asset Management based in Abu Dhabi. Bourgoin will report to Fabrice Chemouny, executive vice-chairman and head of international institutional sales, and Matt Shafer, head of international retail and wholesale distribution.
2015 was a record year for CPR AM. The firm has seen its assets rise to EUR37.6bn, compared with EUR28bn one year earlier. EUR2bn represent the contribution of themed management, which Amundi, its parent company, contracted out to it last year. However, this growth is mostly due to net inflows of over EUR4.8bn, a previously-unseen level. Net subscriptions were distributed between money markets, with EUR1.8bn, diversified, at EUR1.6bn, equities with EUR930m, and fixed income, with EUR460m.In terms of clients, the asset management firm is maintaining a balance: nearly 55% of inflows went to its major institutional and corporate clients. However, subscriptions also continued to rise from distribution and independent financial advisers. This now represents nearly 30% of assets under management, compared with 10% in 2009. For its activity dedicated to independent financial advisers, entitled “Le Comptoir,” net inflows totalled over EUR511m, compared with EUR290m in 2014. And 60% of subscriptions went to financial products from CPR AM or Amundi, while the remainder went to real estate products.Viewed from another standpoint, the weight of international assets now accounts for 10% of overall inflows, up by 30% compared with 2014. As such, the asset management firm is planning to foster this development in 2016, and to continue its development outside France. Jean-Eric Mercier, CEO of CPR AM, confirms that this is one of the major areas for development at CPR AM. “In 2015, international assets under management represented EUR2bn, and our net sales totalled EUR490m. In 2016, we would like to increase the assets in question to EUR3bn. In the mid-term, the head is aiming high, and is targeting a percentage of net subscriptions coming from abroad of 50% overall. To achieve that, the asset management firm has already begun its efforts. It is present in 10 countries, after strengthening its presence in western Europe and the Asia-Pacific region, with the support of Amundi, and that is not all. “We are in the process of launching a Global Silver Age fund in Korea for the joint venture NH CA,” says Mercier, stating that the promotion campaign was starting this week.