Créée il y a neuf ans, La Financière Tiepolo est une société de gestion parisienne qui cultive sa différence. Avec près de 770 millions d'encours sous gestion et une vingtaine de collaborateurs, la société concentre la quasi totalité de son activité sur la gestion privée, sous mandat ou par l'intermédiaire de quatre fonds dont les encours combinés atteignent environ 185 millions d'euros aujourd'hui.
La Lorraine, région de naissance de Dominique Villeroy de Galhau, directeur général de La Financière Tiepolo, est au centre de son histoire familiale et personnelle. Né à Nancy en 1965, il a passé toute son enfance entre la Sarre et la Lorraine, non loin de la frontière franco-allemande. Cette proximité avec l'Allemagne, il a su en faire sa force, perpétuant ainsi plus de deux siècles et demi de tradition familiale.
A l'écoute de leurs clients comme à l'écoute des marchés, les CGP et leurs partenaires sont-ils pour autant des mélomanes ? Découvrez les réponses détonantes, amusantes, charmantes de vos confrères à notre quiz musical.
L’Ircantec vient de signer l’Appel de Paris et rejoint ainsi 850 organisations, près de 400 entreprises, 120 investisseurs et 150 villes et régions représentant 150 millions de personnes et 11.000 milliards US dollars.
La Réserve fédérale américaine relèvera probablement ses taux d’intérêt avant le moment anticipé pour l’instant par les marchés financiers car les risques internationaux auxquels est exposée l'économie sont en train de diminuer, a déclaré lundi Eric Rosengren, le président de la Fed de Boston. Dans un discours prononcé lors d’une conférence sur la cyber-sécurité, il a jugé «surprenant» que les marchés à terme anticipent une seule voire aucune hausse de taux cette année, une prévision qui pourrait selon lui se révéler «trop pessimiste».
L’autorité de la concurrence en Afrique du Sud va réclamer un délai pour examiner le projet de rachat du brasseur SABMiller par son concurrent Anheuser-Busch InBev, numéro un mondial du secteur. «Cette transaction soulève certaines inquiétudes qui devraient être prises en compte et examinées», a dit le porte-parole de la commission sud-africaine de la concurrence, Itumeleng Lesofe pour justifier ce délai. Cette commission devait rendre son avis au plus tard mardi. Sur la base des cours de clôture au moment du lancement de l’opération en octobre, l’offre amicale de rachat de SABMiller par AB InBev représentait un montant total de 70 milliards de livres (87,9 milliards d’euros).
Le département du Commerce a fait état lundi d’un recul de 1,7% des nouvelles commandes en février après un rebond de 1,2% le mois précédent, chiffre révisé en baisse par rapport à la hausse de 1,6% évoquée initialement. Les commandes américaines à l’industrie ont baissé au cours de 14 des 19 derniers mois. La contraction du mois de février est conforme aux attentes des économistes. Le recul des commandes à l’industrie, secteur représentant 12% de l'économie américaine, a été général, aussi bien dans les transports (-6,2%) que dans la machinerie (-3,4%) ou les équipements électriques (-3,6%).
Le Premier ministre chinois, Li Keqiang, a déclaré lundi s’attendre à ce que les réformes fiscales entreprises par Pékin réduisent le coût de l’innovation et contribuent à créer 10 millions d’emplois pour des diplômés d’université et d'écoles techniques. Ce chiffre compenserait largement les licenciements liés aux réformes du secteur industriel, qui visent à éliminer les surcapacités de production et l’inefficacité.
Lors d’un entretien avec Bloomberg, le prince Mohammed ben Salmane, ministre de la Défense et président du Conseil pour l’économie et le développement, a indiqué qu’il comptait transférer la société mère de Saudi Aramco, la société pétrolière publique, au Fonds d’investissement public (PIF), une fois son introduction en Bourse effectuée en 2018, et utiliser les ressources de l’entreprise pour sortir l’économie de sa dépendance au pétrole. Le fonds souverain a pour objectif d’augmenter la proportion d’investissements étrangers à 50% de ses actifs en 2020, contre 5% aujourd’hui. Le prince espère voir le fonds souverain contrôler plus de 2.000 milliards de dollars d’actifs avec sa prise de contrôle d’Aramco. L’introduction en Bourse, prévue d’ici à 2018, consistera en un flottant de moins de 5% du capital.
Valérie Baudson se sera contentée de traverser le boulevard Pasteur pour prendre ses nouvelles fonctions. Qui n’exigeront sans doute pas un grand temps d’adaptation. En effet, après avoir rejoint le groupe Amundi en 2008 pour lancer et développer l’expertise Amundi ETF puis devenir en 2013 responsable du métier ETF, Indiciel et Smart Beta, la responsable, qui est également membre du comité exécutif d’Amundi, prend la direction générale de CPR AM, une des filiales du groupe français. Selon un communiqué paru vendredi, la nouvelle directrice de CPR AM assurera également la supervision du métier ETF, Indiciel et Smart Beta d’Amundi. Valérie Baudson remplace Jean-Eric Mercier dont il n’a pas été précisé les raisons du départ ni s’il quittait le groupe où se réorientait en son sein. L’ancien directeur général de CPR AM sera resté sept ans à ce poste durant lesquelles la société de gestion aura sensiblement évolué. Outre son récent virage international, Jean-Eric Mercier aura été à la manœuvre lors de la mise en place du Comptoir par CPR, et aura accompagné la croissance de la société de gestion dont les encours entre 2009 et 2016 auront progressé de 19,8 milliards d’euros à 37,5 milliards d’euros. Interrogé par Newsmanagers, Gilles Cutaya, directeur Marketing et Communication depuis fin 2015 chez CPR AM, a indiqué que l’arrivée de Valérie Baudson ne modifiait en rien la stratégie mise en place. La société de gestion, qui garde son autonomie vis-à-vis de sa maison mère, continue donc de miser à la fois sur son développement dans l’Hexagone et à l’international, notamment en Asie (cf Newsmanagers du 08/03/2016). Le point commun avec Amundi ETF est ici évident. Interrogée par Newsmanagers à la mi-juin 2015, Valérie Baudson indiquait déjà la mise sur les rails d’une plateforme à Hong Kong avant la fin de l’année. «Nous allons démarrer avec une petite équipe commerciale qui couvrira l’Asie du Nord, à savoir Hong Kong, la Chine, la Corée et Taiwan», avait-elle ajouté en précisant que cette implantation allait permettre de diversifier la clientèle. «Par le biais de deux canaux, nous allons proposer des ETF spécifiques cotés à Hong Kong pour la clientèle locale et promouvoir notre gamme européenne dans la région», avait précisé la responsable. Outre l’arrivée de Valérie Baudson, le conseil d’administration de CPR a également nommé Emmanuelle Court et Arnaud Faller respectivement directeur général délégué en charge du développement commercial de l’entité et directeur général délégué en charge des investissements. Il a aussi confirmé Nadine Lamotte en tant que directeur général délégué en charge de l’administration et des finances. Le comité de direction comprend, outre les mandataires sociaux, Gilles Cutaya, directeur marketing et communication.Valérie Baudson a débuté sa carrière en 1995 à la Banque Indosuez en qualité de chef de mission au sein de l’Inspection Générale. En 1999, elle a rejoint Crédit Agricole Cheuvreux où elle est devenu par la suite secrétaire général et membre du comité de direction de 2001 à 2004. En 2004, elle a pris le poste de directeur marketing et membre du comité de management européen de Crédit Agricole Cheuvreux avant de rejoindre le groupe Amundi en 2008. De son côté, Emmanuelle Court est directrice commerciale de CPR Asset Management depuis 2009. Avant de rejoindre à la fin 2015 CPR AM, Gilles Cutaya a travaillé chez Axa Investment Managers comme ingénieur produits puis intègre Lyxor Asset Management Paris en 2007 où il a exercé plusieurs fonctions, dont notamment celle de responsable du marketing et de la stratégie.Arnaud Faller a rejoint CPR Asset Management, en 1993, en qualité de gérant de portefeuille diversifiés et structurés avant de devenir responsable diversifiés et convertibles (1999-2005). En 2005, Arnaud Faller a été nommé directeur de la gestion diversifiés et convertibles puis, directeur des investissements en 2009. Il est membre du comité exécutif depuis 2005. Enfin Nadine Lamotte qui a rejoint CPR AM était depuis 2010, directeur général adjoint d’Etoile Gestion.
AXA a annoncé vendredi 1er avril la finalisation de la cession de ses activités portugaises à Ageas, incluant notamment l’intégralité de ses participations dans AXA Portugal Companhia de Seguros SA (« Activité dommages »), AXA Portugal Companhia de Seguros de Vida SA (« Activité vie, épargne, retraite »), ainsi que AXA Global Direct Seguros y Reaseguros, la succursale portugaise des activités d’assurance directe du Groupe (« Activité Direct »). Le montant reçu s’élève à 189 millions d’euros.AXA a enregistré un impact positif exceptionnel de 0,1 milliard d’euros, qui sera comptabilisé en résultat net au premier semestre 2016, indique un communiqué.
Janus Capital a annoncé le 1er avril la promotion d’Enrique Chang au poste de president, responsable des investissements avec effet immédiat. Enrique Chang supervise en conséquence les équipes «Fundamental» et Macro Fixed Income», en plus de ses responsabilités actuelles qui couvrent les équipes actions et allocation.Enrique Chang, qui a rejoint Janus Capital en septembre 2013, sera désormais associé à la direction de la société de gestion, aux côtés de Dick Weil, directeur général, et Bruce Koepfgen, président.
La Financière de l’Echiquier (LFDE) a procédé à plusieurs changements au sein de son équipe dirigeante, annonce-t-elle vendredi. Suite au départ de Sébastien d’Ornano, Maroussia Ermeneux, qui était jusqu’à présent directrice adjointe des opérations, devient directrice des opérations. L’intéressée avait rejoint Acropole AM, rachetée en 2013 par LFDE, en 2011, d’abord en tant que responsable contrôle interne, conformité et contrôle des risques avant d’être nommée directrice des opérations en 2012. Sébastien d’Ornano rejoindra dans quelques semaines un projet entrepreneurial dans l’univers de la gestion d’actifs, précise LFDE. Dans le même temps, Bertrand Merveille, qui occupait jusqu’à présent la fonction de responsable de la conformité et du contrôle interne, devient directeur de la gestion privée. Il est remplacé par Elsa Scoury, qui travaillait jusqu’à présent au sein du contrôle interne de LFDE. Bertrand Merveille et Maroussia Emeneux feront partie du comité de direction de LFDE.
Le Fondo strategico italiano (FSI) devient CDP Equity spa, rapporte Bluerating. Parallèlement, les participations détenues par la Cassa Depositi e Prestiti sont réorganisées. CDP Equity sera dirigé par le président Leone Pattafatto et par l’administrateur délégué Guido Rivolta. Dans le cadre de cette réorganisation, la société de gestion FSI sgr voit le jour. Elle aura comme objectif de soutenir les plans de croissance des entreprises de taille grande et moyenne. La Cassa Depositi e Prestiti contrôle la totalité de FSI Sgr et réduira sa participation en-deçà de 50 %, cédant des participations aux autres actionnaires et à la direction. Claudio Costamagna sera président de la société et Maurizio Tamagnini, sera administrateur délégué.
La société de gestion singapourienne Fullerton Fund Management a nommé à compter du 14 mars Alicia Tan en qualité de vice-présidente au sein de son équipe dédiée aux produits obligataires, rapporte le site spécialisé Asian Investor. La nouvelle recrue est rattachée à Patrick Yeo, responsable de la gestion obligataire. Alicia Tan a rejoint Fullerton en provenance de Nomura où elle a officié en qualité de conseillère en investissement pour la division de gestion de fortune. Avant cela, elle a travaillé pour la banque privée britannique Coutts comme conseillère en investissement pour les marchés d’Asie du Sud-Est. Au cours de sa carrière, elle est également passée chez Credit Suisse, DBS et Citibank.
La révolution Solvabilité 2 est en marche. Entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2016, la directive européenne impose en effet aux sociétés d’assurance d’adopter une vision holistique de la gestion des risques en conformité avec une appétence au risque définie sous la responsabilité à la fois de la direction générale et du conseil d’administration, le tout selon une gouvernance clairement identifiée selon les principes du pilier 2 de la réglementation et du désormais fameux ORSA (Own Risk and Solvency Assessment).L’enjeu est loin d’être anodin puisque « toute décision stratégique doit désormais être confrontée et en adéquation avec l’appétence au risque que l’entreprise a elle-même définie », explique Philippe Foulquier, professeur de finance et directeur du pôle de recherche « Analyse financière et comptabilité » de l’Edhec et auteur d’une étude réalisée en partenariat avec la société de gestion NN Investment Partners auprès d’une vingtaine d’acteurs européens. « Le pilier 2 de Solvabilité 2 impose aux assureurs d’écrire noir sur blanc leur politique des risques et leur budget de risque, ajoute Philippe Foulquier. Cette définition de l’appétence au risque va donc avoir des indicences fortes sur l’ensemble de la chaîne de valeur des assureurs, de la conception des produits à la gestion des placements et du capital. Elle constitue un cadre très structurant pour prendre des décisions stratégiques. Finalement, Solvabilité 2 démocratise l’approche de l’allocation des capitaux disponibles jusqu’alors réservée à quelques leaders européens. » Pour lui, l’entrée en vigueur de Solvabilité 2 change en profondeur le pilotage d’une entreprise d’assurance et pourrait même entraîner une recomposition des portefeuilles d’activités des compagnies d’assurance. Et pour cause : « l’appétence au risque se décline dans toutes les business units », observe Philippe Foulquier.Et pourtant, l’étude montre que les indicateurs retenus pour formaliser cette appétence au risque sont très disparates voire parfois peu pertinents. Certes, le régulateur laisse toute liberté et toute flexibilité aux compagnies d’assurance quant à la définition et la calibration de l’appétence au risque « afin qu’elle puisse être totalement cohérente avec la culture de l’entreprise et ses objectifs stratégiques », remarque Philippe Foulquier. Mais à l’issue d’une enquête de terrain, l’étude conduit à remettre en question certains des indicateurs d’appétence au risque choisis par les assureurs. Ainsi, le nombre d’indicateurs retenus pour calibrer cette appétence au risque varie de 1 à 6. De même, le choix des indicateurs (solvabilité, rentabilité, budget ou profit, valeur MCEV, liquidité, satisfaction clients) varient également très fortement selon les acteurs. Ainsi, « les acteurs généralement les moins avancés sur le sujet de l’appétence au risque ont souvent retenu un indicateur de solvabilité, à savoir la marge de solvabilité réglementaire minimale ou SCR », note Philippe Foulquier. Un indicateur qui traduit pourtant la plus forte appétence au risque, signe d’une certaine incompréhension du sujet ! Par ailleurs, si les indicateurs de solvabilité, de rentabilité et partiellement de budget/profits sont considérés comme ayant une pertinence forte ou moyenne, l’étude est plus sévère concernant les indicateurs de résultat technique, de chiffre d’affaires et de satisfaction clients ou salariés qu’elle juge comme étant de faible pertinence voire de pertinence nulle. « Ce ne sont pas des indicateurs d’appétence au risque et ils ne trouvent leur justification que dans la volonté de l’organe de direction à ne pas engendrer de rupture avec la culture existante de l’entreprise », note l’étude. Autant dire que les compagnies d’assurance ont encore du chemin à faire pour mesure au mieux leur appétence au risque.
La Caisse de dépôt et placement du Québec a déclaré avoir franchi en hausse, le 24 mars 2016, les seuils de 5% du capital et des droits de vote de Spie, selon un avis de l’AMF.La Caisse détient 7.909.400 actions Spie représentant autant de droits de vote, soit 5,13% du capital et des droits de vote de la société d’ingénierie électrique. Ce franchissement de seuils résulte d’une acquisition d’actions hors marché. Clayton, Dubilier & Rice (CD&R) et le fonds d’investissement Ardian ont cédé 12 millions de titres Spie SPIE.PA, soit près de 8% du capital, à un prix de 16,58 euros.
Le gestionnaire d’actifs Baillie Gifford a nommé Jennifer Leong au poste de directrice marketing et du développement de l’activité au sein de Baillie Gifford Asia à Hong Kong, rapporte Reuters. L’intéressée, qui sera basée dans le nouveau bureau commercial de Hong Kong, a rejoint la société de gestion en provenance d’AllianceBernstein (AB). Au cours de sa carrière, elle a également travaillé chez Barclays Capital et Capital International.
L’actuel patron de la banque UBP en Asie, Eric Morin, prend de nouvelles responsabilités à l’occasion du départ en retraite de David Lam, un banquier privé de de la banque Coutts qui devrait prendre en charge l’Asie septentrionale une fois bouclée l’intégration dans UBP de l’entité asiatique de Coutts International, rapporte le site spécialisé finews qui reprend une information du portail Asian Private Banker.Eric Morin, qui doit prendre en charge l’activité Investment Consulting dans la nouvelle organisation, va en outre assumer les fonctions dévolues jusqu’ici à David Lam. Et comme il va devoir s’occuper de la clientèle chinoise, il va aussi devoir quitter Singapour pour s’installer à Hong Kong.
RBC Wealth Management, filiale de gestion de fortune de Royal Bank of Canada, a nommé Tho Gea Hong au poste de responsable de la gestion de fortune pour l’Asie du Sud-Est, rapporte le site spécialisé Asian Investor. L’intéressée a rejoint la société dans le courant du mois de mars en provenance de la banque EFG où elle était responsable de la banque privée et directrice générale adjointe pour l’Asie du Sud-Est. Chez RBC Wealth Management, elle sera chargée de piloter l’ensemble de l’activité du groupe canadien dans l’Asie du Sud-Est. Elle devra également accompagner les initiatives commerciales, marketing et d’investissements dans la région. Tho Gea Hong sera rattachée à Barend Janssens, responsable de l’Asie chez RBC Wealth Management.
BNP Paribas Real Estate Investment Management vient de recruter Nils Hübener en tant que directeur des investissements en Europe, rapporte IPE.com. L’intéressé vient de SEB Investment et il rejoint Barbara Knoflach qui a quitté SEB il y a 12 mois pour être responsable monde de la gestion de BNP Paribas Real Estate. Cela faisait suite à la vente de SEB à Cordea Savills.
Point72 Asset Management (Point 72 AM), le family office de Steven Cohen, fondateur du hedge fund SAC Capital, a recruté Will Tovey pour diriger son nouveau bureau de Londres qui a été récemment ouvert, rapporte le Wall Street Journal qui évoque un document interne envoyé au personnel. Will Tovey était dernièrement responsable de l’activité de distribution actions chez Barclays en Europe. Avant cela, il était « managing director » chez UBS.Au sein de Point72 AM, il fera partie de l’équipe en charge de définir et mettre en œuvre la stratégie de la société en Europe et il participera au recrutement de professionnels de l’investissement pour le bureau londonien, selon ce même document interne.
Neil Woodford est devenu l’un des premiers investisseurs à cesser de facturer ses clients pour de la recherche, rapporte le Financial Times fund management. Le gérant de fonds a annoncé que sa société utiliserait désormais son argent pour payer la recherche utilisée pour gérer le fonds vedette de la société de 8 milliards de livres. Cette décisions pourrait avoir d’importantes ramifications dans le secteur de la gestion d’actifs au Royaume-Uni et en Europe.
Vontobel Liechtenstein, filiale du gérant de fortune zurichois Vontobel, sera désormais dirigé par Urban Laupper. Le nouveau directeur a pris ses fonctions vendredi 1er avril et succède à Ruth Egeter-Woerz, qui a chapeauté depuis l’année 2000 les activités de banque privée dans la Principauté. Ruth Egeter-Woerz, qui restera membre de la direction, entend passer le relais avant de mettre un terme à sa carrière professionnelle, a indiqué Vontobel le 1er avril. Urban Laupper a notamment travaillé en qualité de conseiller financier auprès des clients institutionnels et privés pour la banque Vontobel à Zurich.
La banque privée suisse Lombard Odier a recruté José Luis Santos en qualité de banquier senior et vice président exécutif en Espagne, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé était jusque-là directeur général de Novo Banco en Espagne. José Luis Santos compte plus de 30 ans d’expérience dans le secteur de la banque privée. Il avait intégré Banco Espirito Santo (devenue Novo Banco) en 2007 en tant que directeur commercial, après avoir officié chez Banif, La Caixa et BNP España.
Président du directoire de la Banque Neuflize OBC, Philippe Vayssettes revient sur les bons résultats de son établissement et sur ses développements à venir, dont l'apport du digital qu'il juge à la source d'une transformation complète dans le secteur financier. Le responsable évoque également les défis pour le métier de la banque privée, citant le poids de la réglementation, l'arrivée des Fintechs et l'univers économique actuel marqué par des taux bas. S'ils ne sont pas relevés, ces défis seront autant de craintes, explique-t-il à Newsmanagers...
Eastspring Investments, la filiale asiatique de gestion d’actifs de l’assureur britannique Prudential, a annoncé ce 31 mars la nomination d’Alan Artyun en qualité de responsable des services d’investissement (« Head of Investment Services »). L’intéressé, qui a rejoint la société de gestion le 14 mars 2016, sera responsable de la gestion de l’activité, du support front office, des données d’entreprises et de la gestion des prestataires de services ainsi que de la supervision des investissements pour Eastspring Investments (Singapoure) Limited. Rattaché à Phil Stockwell, directeur des opérations de la société, il sera également chargé du développement de la plateforme de services d’investissements de Singapour, le centre d’investissement régional d’Eastspring Investments qui rassemble les équipes en charge des stratégies actions, obligations et multi classes d’actifs.Alan Artyun arrive en provenance de BT Investment Management en Australie où il a travaillé au cours des neuf dernières années, dernièrement au poste de responsable des opérations d’investissement. Au cours de sa carrière, il a également occupé plusieurs postes à responsabilité chez Asteron Life, Tactical Global Management et Commonwealth Bank of Australia.
L’agence de notation allemande Scope Ratings a annoncé le recrutement de Sven Janssen au poste nouvellement créé de responsable des ventes et du marketing à compter du 1er avril 2016. Sven Janssen a travaillé précédemment pendant quatre ans chez Oddo Seydler Bank AG en qualité de responsable de l'équipe marchés de dette (DCM).Dans ses nouvelles fonctions, Sven Janssen sera responsable des ventes et du marketing de l’activité de notation et de l’internationalisation des services de notation et de la marque Scope. «Son expérience constitue une base solide pour établir Scope comme une marque européenne et renforcer son positionnement sur le marché. En outre, Sven Janssen apporte plus de 17 ans d’expérience dans l’analyse et le marketing associé pour le compte des investisseurs institutionnels», indique Florian Schoeller, CEO de Scope Corporation, cité dans un communiqué.
IwBank Private Investments, la banque du groupe UBI Banca spécialisée dans le conseil en investissement, vient de recruter le conseiller financier Rubens Ligabue, un ancien de Fineco Bank. Il est nommé «branch manager» en Emilie-Romagne. Cette année, IwBank Private Investments compte recruter entre 80 et 100 conseillers expérimentés. Actuellement, la banque compte plus de 830 conseillers financiers.
Bantleon, société de gestion indépendante fondée en 1991 par Jörg Bantleon à Zoug en Suisse, spécialisée dans les investissements obligataires et total-return pour les investisseurs institutionnels et privés, a choisi Fundstore.it, la plate-forme Internet de l’italien Banca Ifigest, pour rendre ses fonds accessibles en ligne en Italie. Sur le site www.fundstore.it, les investisseurs particuliers italiens pourront ainsi investir dans les fonds Bantleon Dividend Absolute Return, Bantleon Family & Friends, Bantleon Opportunities S, L, XL et World. Les fonds Bantleon sont agréés en Italie depuis quelques années et sont accessibles aux particuliers grâce à l’aide de Capital Strategies Partners, société de conseil espagnole présente depuis 2008 en Italie, qui a introduit dans la Péninsule la société suisse et qui s’occupe de la commercialisation de ses fonds. Fundstore.it est un supermarché de fonds en ligne qui permet d’acquérir des fonds en utilisant son compte courant. La plate-forme a 150 sociétés de gestion partenaires et distribue plus de 5.000 fonds.