Le gestionnaire allemand MEAG annonce le lancement ce premier avril d’un nouveau fonds, le MEAG Dividende. Le produit est investi principalement en actions européennes et se concentre, comme son nom l’indique, sur des valeurs distribuant un dividende élevé. Lors de la sélection de valeurs pour le portefeuille, MEAG compte être particulièrement attentif à la «qualité durable» de la valeur et la croissance solide du rendement. Le MEAG Dividende est pour le moment uniquement disponible en Allemagne mais une commercialisation en Autriche est prévue, souligne le gestionnaire.
Volker Buschmann, managing director responsable du bureau suisse de M&G Investments, quittera la société de gestion au cours de l’année 2016. L’intéressé aurait indiqué souhaiter retourner vivre en Allemagne pour être plus proche de sa famille. Le gestionnaire a confirmé cette information de das Investment à Newsmanagers. M&G a précisé qu’un remplaçant avait déjà été trouvé pour le poste mais que sa nomination était sujet à l’approbation du régulateur suisse. M&G souhaite donc attendre d’avoir le feu vert des autorités de régulation avant de communiquer le nom de la personne. Volker Buschmann a occupé un certain nombre de postes à responsabilité au sein de M&G. Il était notamment responsable de ventes en Europe de Nord avant de devenir directeur du bureau suisse.
La Financière de l’Echiquier lance auprès de la clientèle retail italienne le fonds à gestion systématique Echiquier QME, qui vise une performance décorrélée des actifs traditionnels. Cette stratégie existe depuis trois ans dans une version réservée aux investisseurs professionnels (Echiquier QME Global). Echiquier QME, conforme à la directive OPCVM, se base sur une méthodologie de gestion quantitative systématique dont l’objectif est de dégager une performance aussi bien sur des marchés orientés à la hausse ou à la baisse que sur des marchés sans tendance, avec une volatilité moyenne annuelle inférieure à 10 %, indique un communiqué diffusé en Italie. Le fonds est investi dans des contrats à terme de type future, subdivisés en quatre classes d’actifs pour la version Ucits (indices actions, titres d’Etat, taux d’intérêt, devises) auxquelles s’ajoutent les matières premières dans le cas d’Echiquier QME Global. Le processus d’investissement, basé sur le contrôle du risque, est mis en œuvre de manière systématique grâce à des modèles quantitatifs propriétaires qui conjuguent deux stratégies complémentaires : une stratégie « momentum » (pour environ 70 % du portefeuille) et une stratégie « satellite »dont les algorithmes représentent 30 % environ de l’allocation du portefeuille. Le fonds est géré par une équipe de deux professionnels qui ont rejoint LFDE en 2013 : Ludovic Berthe et Alexis Grutter, deux anciens de HDF Finance.Par ailleurs, dans un entretien au site italien Bluerating, Dominique Carrel- Billiard, le directeur général de La Financière de l’Echiquier, indique « vouloir devenir un acteur de référence pour la distribution en Italie ». . L’Italie est le deuxième marché pour la société de gestion après la France. Elle gère 500 millions d’euros dans la Péninsule, sur un total de 8 milliards d’euros d’encours.
Oddo Meriten Asset Management vient de signer un nouvel accord en Italie avec le réseau de 160 conseillers financiers de la banque privée indépendante Südtirol Bank qui lui permettra de distribuer ses 20 fonds autorisés sur le marché italien. Cet accord vient s’ajouter à ceux déjà signés par la société de gestion franco-allemande en Italie : Banca Ifigest, Fundstore, IW Bank, Unicasim, Banca Profilo, Banca Generali, Banca CARIGE, Banca Esperia, Solfin Sim, et enfin, Allfunds Bank e Online SIM.
M&G Investments a renforcé son partenariat avec le groupe Fideuram – Intesa Sanpaolo Private Banking et a signé de nouveaux accords avec Allianz Bank Financial Advisors et Banca Aletti pour la distribution de ses fonds aux clients des trois établissements bancaires en Italie, annonce un communiqué diffusé en Italie.Le renforcement du partenariat avec Fideuram – Intesa Sanpaolo Private Banking, noué pour la première fois en 2013, porte sur l’élargissement de l’offre de fonds M&G aux clients de la banque, avec la distribution de 12 compartiments de la société de gestion par le biais des contrats d’assurance vie et de 13 compartiments par le biais des mandats sous gestion proposés par Fideuram. M&G Investments accède ainsi au statut de « silver partner » de la banque, devenant l’un des principaux partenaires de Fideuram – Intesa Sanpaolo Private Banking.Le nouveau partenariat avec Allianz Bank Financial Advisors, qui regroupe environ 2.000 conseillers financiers, prévoit la mise à disposition de tous les fonds M&G et la distribution de fonds via la plate-forme d’assurance d’Allianz Darta Challenge Plus au sein des solutions d’assurance X Team et Team M&G.Les clients détenteurs des contrats X Team pourront investir dans trois fonds de M&G : Global Floating Rate High Yield, Pan European Dividend et Prudent Allocation. Via Team M&G, les clients d’Allianz pourront quant à eux accéder à un portefeuille multi-classes d’actifs de fonds M&G géré par Craig Simpson.Enfin, l’accord avec Banca Aletti, la banque privée du groupe Banco Popolare, garantit la distribution de toute la gamme de fonds retail (soit 35 fonds) de la maison anglaise auprès de la clientèle aisée de la banque. Un accent particulier sera mis sur cinq fonds : M&G Global Convertibles, M&G Global Floating Rate High Yield, M&G Short Dated Corporate Bond, M&G Global Macro Bond e M&G Episode Macro.
Assets in the asset management sector may break through the USD100trn mark by 2020, but pay scales for actors will not necessarily keep pace, according to a study recently published by PwC (“Rethinking reward as asset management moves centre stage”). PwC predicts that pay expressed as a percentage of revenue will fall back to 35% by 2020, from 45% currently.Remuneration overall is expected to grow in parallel to assets under management, but profit margins will fall, meaning that revenues will not necessarily be synonymous with growth in profits. PwC also explains that increased requirements in the area of transparency and governance will require asset management firms to align pay with the performance of teams and results for client portfolios.Due to pressure on cost and the emphasis on transparency, asset management firms will highlight non-financial incentive measures to retain and motivate talent. The culture of the star manager will also be headed for a fall, to be diluted by a new line of defense: a succession plan with marked emphasis on team decision-making. The results of this will be reflected in remuneration structures.“In a sector where the most prized and most expensive asset consists of personnel, with pay scales which represent 60% of total costs, pay structures at asset management firms can be expected to adapt to developments in the sector, to rising costs and pressure on commissions. At a time when companies in the sector can be expected to continue to grow and to move into areas traditionally dominated by banks, the pay scales for asset management firms will inevitably be monitored by regulators and participants,” says Tim Wright, a partner on the remunerations team at PwC.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Palamon Capital Partners, owner of Towry, has approved the acquisition of the firm by Tilney Bestinvest for a total of GBP600m. The agreement, which has been expected by the market for some months, means that Palamon will earned 13 times the capital investment, a statement released on 4 April says. Towry, one of the largest independent wealth management firms in the United Kingdom, has over GBP9bn in assets under management, 85% of which are managed under discretionary mandates. The firm, which acquired Ashcourt Rowan last year for GBP97m, has over 900 employees in 21 regional offices. Once approved, the operation will create the alrgest wealth management firm for high net worth clients in the United Kingdom.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Cazenove Capital Management, the wealth management business of Schroders, has recruited Caspar Rock as chief investment officer. Rock, who will join in third quarter this year, joins from Architas Multi Manafger, the retail multi-management activity of the Axa group, where he had also been chief investment officer. Rock will succeed Richard Jeffrey, who will be taking over as economist-in-chief at Cazenove. He will report to Andrew Ross, CEO.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } It has been a chaotic start to the year for the hedge fund industry. In first quarter 2016, the sector saw a 2% decline according to the Lyxor Hedge Fund index. In the month of March alone, hedge funds managed nonetheless to keep their heads above water, with monthly returns of 0.6%. At the conclusion of the first three months of the year, CTA funds and merger aarbitrage funds were the only segments of the industry able to generate positive returns, Lyxor notes. CTA earned returns of 1.1%, while merger arbitrage funds earned returns of 0.5% in the first three months of the 2016 fiscal year. At the same time, L/S Equity strategies underperformed, with losses of 3% in first quarter, “due to difficult market conditions and the high turnover of risk factors which results in a marked rebount, but short duration, for the devalued shares,” explains Lyxor. Event-driven and global macro funds did little better, with losses of 1.7% and 2.1%, respectively. In this context, “the hedge fund industry was the butt of criticism due to its disappointing returns,” the asset management firm observes. Lyxor is however planning to nuance criticism. The firm claims that the industry “needs to be evaluated in relative terms. … Turbulence in the past twelve months resulted in a decline for the MSCI World index of nearly 5%, while the Stoxx Europe 600 and the Topix 100 were down 12% (in total returns and in local currency),” the asset management firm notes. However, Lyxor notes that government bonds continued to rise, although “their valuations are so tense that it appears inadvisable to turn further to this asset class.” In the past twelve months, hedge funds also lost 5%, according to the calculations of Lyxor, which observed that “the volatility of their returns is a third that of equities.” The annual volatility of the Lyxor Hedge Fund index came in at % for the past twelve months, compared with 15% for the MSCI World. “On a risk-adjusted basis, hedge funds performed better than high-risk assets, both in first quarter and over the past 12 months.”
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The German asset management firm MEAG has announced the launch of a new fund on 1 April, MEAG Dividende. The product is invested primarily in European equities, and concentrates on shares which distribute a high dividend. During selection of stocks for the portfolio, MEAG plans to be particularly attentive to the “sustainable quality” of the share and solid growth in returns. MEAG Dividende is so far available only in Germany, but sale in Austria is planned, the asset management firm states.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } DNCA, the asset management affiliate of Natixis Global Asset Management, has welcomed Géraldine Courtois-Prévert as head of the financial management department. As head of a team of four people, reporting directly to the general management, Courtois-Prévert will work to reinforce controlling of management and the financial consolidation of the asset management firm. Courtois-Prévert, a graduate of HEC in Paris, joined the Caisse Nationale des Caisses d’Epargne (CNCE) in 2006 as deputy director of consolidation at the group, where she was responsible in particular for accounting stress and prudential simulations of structural operations in the formation of Natixis, the purchase of a stake in Nexity, and the creation of the Banques Populaires Caisses d’Epargne (BPCE). In 2009, she took over as head of financial reporting teams at BPCE, and then in 2011 became head of large client banking (BCG) for management controlling at Natixis.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Volker Buschmann, managing director in charge of the Swiss office of M&G Investments, will be leaving the asset management firm in 2016. Buschmann had announced plans to return to live in Germany to be nearer his family. The asset management firm has confirmed the reports in Das Investment to Newsmanagers. M&G has stated that a repolacement had already been found for the position, but that his appointment is subject to approval by the Siwss regulator, and as a result M&G wishes to wait for approval from the regulatory authorities before announcing the name of the person. Buschmann served in a variety of management positions at M&G. He had in particular been head of sales for northern Europe, and then became head of the Swiss office.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } La Financière de l’Echiquier is launching the systematic management fund Echiquier QME, which aims for returns decorrelated from traditional assets, for sale to Italian retail clients. The strategy has existed for three years in a version reserved for professional investors (Echiquier QME Global). Echiquier QME, which complies with the UCITS directive, is based on a systematic quantitative management methodology which aims to earn returns both in rising and in falling markets, as well as in flat markets. With averange annual volatility of less than 10%, a statement released in Italy says. The fund invests in future contracts, subdivided into four asset classes for the UCITS version (equity indices, government bonds, interest rates, currencies) and, additionally, commodities in the case of Echiquier QME Global. The investment process, based on risk controlling, is implemented systematically with proprietary systematic models which combine two complementary startegies: a momentum strategy (for about 70% of the portfolio) and a satellite straetgy “whose algorithms represent about 30% of the allocation in the portfolio.” The fund is mmanaged by a team of two professionals who joined LFDE in 2013: Ludovic Berthe and Alexis Grutter, two veterans of HDF Finance.
Les fonds souverains, ainsi que les banques centrales et les organismes publics de retraite font partie des institutions qui jouent désormais le rôle de pourvoyeurs à grande échelle de collatéral, ce qui permet de favoriser la liquidité dans le système financier et de favoriser toutes sortes de transactions dans l'économie réelle, selon une étude publiée par BNY Mellon et l’organisme indépendant de recherche OMFIF (Official Monetary and Financial Institutions Forum).Dans cette étude, intitulée «Crossing the Collateral Rubicon: A new Territory of challenge and opportunity for sovereign institutions», les auteurs ont interrogé des investisseurs institutionnels souverains représentant plus de 2.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Quelque 37% des acteurs interrogés ont indiqué qu’ils étaient à un stade avancé de leur réflexion pour se lancer dans des opérations de collatéral ou qu’ils étaient déjà actifs dans ce domaine. Les deux tiers des participants ont par ailleurs relevé une augmentation des demandes de contreparties potentielles pour de telles transactions.Selon Hani Kablawi, directeur de l’activité Asset Servicing chez BNY Mellon pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique, «depuis la crise financière, les nouvelles réglementations ont donné la priorité aux contreparties ayant accès à du collatéral de première qualité. Toutefois, les politiques macroéconomiques des banques centrales ont réduit l’offre de collatéral. Cette évolution a constitué un gros défi pour les marchés et une opportunité de taille pour les détenteurs officiels de ces titres tels que les fonds souverains».
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Assets in the asset management sector may break through the USD100trn mark by 2020, but pay scales for actors will not necessarily keep pace, according to a study recently published by PwC (“Rethinking reward as asset management moves centre stage”). PwC predicts that pay expressed as a percentage of revenue will fall back to 35% by 2020, from 45% currently. Remuneration overall is expected to grow in parallel to assets under management, but profit margins will fall, meaning that revenues will not necessarily be synonymous with growth in profits. PwC also explains that increased requirements in the area of transparency and governance will require asset management firms to align pay with the performance of teams and results for client portfolios. Due to pressure on cost and the emphasis on transparency, asset management firms will highlight non-financial incentive measures to retain and motivate talent. The culture of the star manager will also be headed for a fall, to be diluted by a new line of defense: a succession plan with marked emphasis on team decision-making. The results of this will be reflected in remuneration structures. “In a sector where the most prized and most expensive asset consists of personnel, with pay scales which represent 60% of total costs, pay structures at asset management firms can be expected to adapt to developments in the sector, to rising costs and pressure on commissions. At a time when companies in the sector can be expected to continue to grow and to move into areas traditionally dominated by banks, the pay scales for asset management firms will inevitably be monitored by regulators and participants,” says Tim Wright, a partner on the remunerations team at PwC.
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a insisté mardi sur la nécessité pour les Etats de redoubler d’efforts afin de soutenir la croissance, en soulignant que l’inaction actuelle ne faisait qu’accroître les risques. Lors d’un discours à l’université Goethe de Francfort, elle a appelé les Etats-Unis à relever leur salaire minimum, l’Europe à améliorer sa formation professionnelle et les pays émergents à réduire les subventions sur les carburants et augmenter les dépenses sociales. La reprise qui a suivi la crise financière mondiale de 2007-2009 «reste trop lente, trop fragile et les risques sur sa pérennité augmentent», a-t-elle dit.
La croissance de l’activité dans le secteur privé de la zone euro ne s’est que très légèrement accélérée en mars, l’indice PMI composite atteignant 53,1 après être tombée en février à son plus bas niveau depuis 13 mois à 53 montrent mardi les résultats définitifs de l’enquête mensuelle Markit auprès des directeurs d’achats. Le PMI des services est tombé à son plus bas niveau depuis 14 mois à 53,1 après 53,3 le mois précédent.
Les cours du pétrole ont atteint lundi un point bas d’un mois, le Brent et le WTI étant tombé respectivement sous les 37,5 dollars par baril et 35,5 dollars par baril. La baisse des derniers jours est liée à des niveaux de production record en Russie (10,91 millions de barils par jour en mars, au plus haut depuis 30 ans, en hausse de 0.3% sur un mois) et une première baisse en 14 mois de la consommation d’essence aux Etats-Unis.
Le chômage a baissé en mars en Espagne après deux mois de hausse, grâce aux embauches dans le secteur des services pendant les vacances de Pâques, selon des chiffres publiés hier par le ministère du Travail. Le nombre de demandeurs d’emplois inscrits a reculé le mois dernier de 58.216 personnes, soit 1,4%, à un peu plus de 4,09 millions selon les données du ministère du Travail. En données ajustées des variations saisonnières, la baisse est de 45.466.
L’examen en cours du programme de réformes de la Grèce par ses créanciers internationaux doit être conclu sans délai, ont fait savoir hier les services du Premier ministre Alexis Tsipras, alors que les discussions ont repris dans un contexte tendu après des fuites mettant en cause le rôle du Fonds monétaire international. Athènes doit boucler rapidement cette revue pour pouvoir faire face à d’importantes échéances de dette en juin et entamer éventuellement des discussions sur un allègement de sa dette.
Le procureur général du Brésil demande à la commission parlementaire mise sur pied pour étudier l’opportunité de lancer une procédure de destitution à l’encontre de la présidente Dilma Rousseff, d’abandonner le projet, qui n’a pas de fondement légal selon lui, a annoncé hier le parquet dans un communiqué. José Eduardo Cardozo fait valoir que la décision du président de la chambre basse du Congrès, Eduardo Cunha, de lancer cette procédure n’est motivée que par son désir de vengeance politique contre Dilma Rousseff, son ennemie jurée. La requête en destitution déposée par l’opposition accuse la présidente d’avoir délibérément manipulé les comptes publics pour renforcer ses chances de réélection en 2014, mais le procureur général dément de son côté fermement que des banques publiques aient prêté de l’argent au gouvernement fédéral pour financer des programmes sociaux, souligne le communiqué.
La Banque nationale suisse (BNS) peut encore assouplir sa politique monétaire pour peser sur une monnaie nationale qui reste nettement surévaluée, a déclaré hier Thomas Jordan, le président de la banque centrale. Il a ajouté que l’inflation devrait revenir en territoire positif d’ici la mi-2017, mais que cela dépendait beaucoup de l'évolution des prix pétroliers et du franc suisse. La BNS facture un taux de 0,75% sur certains dépôts et veut garder les taux à trois mois proches de -0,75%, tout en intervenant si besoin sur le marché des changes.
L’autorité de la concurrence en Afrique du Sud veut un délai pour examiner le projet de rachat du brasseur SABMiller par son concurrent Anheuser-Busch InBev. «Cette transaction soulève certaines inquiétudes qui devraient être prises en compte et examinées», a dit le porte-parole de la commission sud-africaine de la concurrence, Itumeleng Lesofe. Cette commission devait rendre son avis au plus tard aujourd’hui. Sur la base des cours de clôture au moment du lancement de l’opération en octobre, l’offre amicale de rachat représentait un total de 70 milliards de livres (87,9 milliards d’euros).
La Réserve fédérale américaine relèvera probablement ses taux d’intérêt avant le moment anticipé pour l’instant par les marchés financiers car les risques internationaux auxquels est exposée l'économie sont en train de diminuer, a déclaré hier Eric Rosengren, président de la Fed de Boston. Dans un discours prononcé lors d’une conférence sur la cyber-sécurité, il a jugé «surprenant» que les marchés à terme anticipent une seule voire aucune hausse de taux cette année, une prévision qui pourrait selon lui se révéler «trop pessimiste».
Le département du Commerce a fait état hier d’un recul de 1,7% des nouvelles commandes en février après un rebond de 1,2% le mois précédent, chiffre révisé en baisse par rapport à la hausse de 1,6% évoquée initialement. Les commandes américaines à l’industrie ont baissé au cours de 14 des 19 derniers mois. La contraction de février est conforme aux attentes des économistes. Le recul des commandes à l’industrie, secteur représentant 12% de l'économie américaine, a été général, aussi bien dans les transports (-6,2%) que dans la machinerie (-3,4%) ou les équipements électriques (-3,6%).
Le Premier ministre chinois, Li Keqiang, a déclaré hier s’attendre à ce que les réformes fiscales entreprises par Pékin réduisent le coût de l’innovation et contribuent à créer 10 millions d’emplois pour des diplômés d’université et d'écoles techniques. Ce chiffre compenserait largement les licenciements liés aux réformes du secteur industriel, qui visent à éliminer les surcapacités de production et l’inefficacité.
DNCA Investments annonce l'arrivée de Géraldine Courtois-Prévert en tant que responsable de la direction financière. A la tête d'une équipe de 4 personnes et rattachée à la direction générale, Géraldine Courtois-Prévert aura pour mission de renforcer le contrôle de gestion et la consolidation financière de la société.
La Compagnie Financière Jacques Cœur recherche un responsable commercial pour couvrir la France et l'Europe dans le cadre de son développement européen. Le TPM a ouvert récemment des implantations en Italie (Milan), Belgique (Bruxelles), Suède (Stockholm) et couvre également l'Allemagne, l'Espagne et les autres pays nordiques.
Pour sa troisième session, le COMIRE (Comité de Multigestion d’Investissement Responsable EGAMO) a réuni plusieurs grands investisseurs qui partagent les mêmes analyses et notamment MGEN, UMR, CARAC et MutRé.