p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The independent financial research company Morningstar on 6 July announced that it is launching a multifactoral risk model to help investors to analyse stocks and portfolios. The new tool includes 36 factors covering management styles, sectors, regions, and characteristics of currencies to help investors to understand the exposure of their investments to various factors, and to plan future distribution of future returns from individual equities and equity portfolios. “The firm is eventually planning to extend its risk model to other asset classes,” Morningstar says in a statement. Concretely, this multifactoral risk model includes 36 different factors which can be used to break down sources of returns and risk on a stock or a portfolio. In addition to traditional risk factors, six out of the 36 factors are based on proprietary analysis by Morningstar: “Morningstar Quantitative Fair Value Estimate,” “Morningstar Quantitative Economic Moat,” “Quantitative Uncertainty Rating,” “Quantitative Financial Health,” “Ownership Risk” and lastly, “Ownership Popularity.” “Our model uses unique factors such as sustainability data, competitive advantage and capital structure to offer a toll which is used to understand the risks associated with a stock or a portfolio,” explains Warren Miller, head of asset maangement software at Morningstar, cited in a statement. “In addition, the methodology of our risk model includes ‘fat tails’ (long distribution queues or extreme events) in the distribution of future returns on investments, in order to be able to rely on regular distribution. Investors can use the multi-factoral risk model to search for stocks and construct portfolios, and in this way to take investment decisions with better information about risks and balancing of their choices with better granularity.” The tool evaluates over 40,000 stocks and 10,000 equity fund portfolios included in the Morningstar database, and then constructs a global projection of future returns over various time horizons according to exposure to 36 factors. The tool can also be used to evaluate the equity part of the multi-asset portfolio of a client.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The index-based fund provider WisdomTreee on Wednesday, 6 July announced the launch of a new ETF on the London stock exchange, the WisdomTree Eurozone Quality Dividend Growth Ucits ETF. The new product comes as an addition to its ETF range dedicated to growth of dividends, launched last month on the London stock exchange: WisdomTree US Quality Dividend Growth Ucits ETF and WisdomTree Global Quality Dividend Growth Ucits ETF. The new ETF is based on a methodology which places the emphasis on changes in dividend trends and concentrates on fundamental characteristics, in particular targeting businesses which offer growth in dividends. WisdomTree more specifically analyses expectations in terms of long-term profit growth, also combining “quality” factors to target additional earnings.
L’Autorité des marchés financiers publie jeudi la dixième édition de sa cartographie des risques dans un contexte particulier : le vote du Royaume-Uni en faveur du Brexit. «Cette situation inédite de sortie de l’Union européenne ouvre une période d’incertitudes, dont les effets se sont déjà fait sentir sur les marchés (volatilité, hausse de la prime de risque)», note l’AMF. «La cartographie des risques s’est ainsi intéressée aux conditions et aux domaines dans lesquels les prestataires britanniques pourraient éventuellement bénéficier d’un régime pays tiers pour continuer à exercer en Europe. Au-delà, le Brexit pose des questions en matière de compensation des contrats libellés en euros et de surveillance des marchés», poursuit l’Autorité.
Oddo Meriten Asset Management a annoncé hier l’intégration de critères extra-financiers dans le processus de sélection de valeurs de ses fonds actions Europe phares : Oddo Avenir, Oddo Avenir Euro et Oddo Avenir Europe. Avec la gamme Avenir, «ce sont près de 3 milliards d’euros qui deviennent ISR», précise ainsi la société de gestion dans un communiqué.
La division par deux de la capitalisation boursière de Credit Suisse et de Deutsche Bank depuis le début de l’année et les plus bas records atteints par leur action ont renforcé la perspective de voir les deux banques sortir du Stoxx50, une des principaux indices de référence des Bourses européennes, estiment des analystes de la Société Générale. Ceux-ci ajoutent que le français Vinci et l’espagnol Iberdrola pourraient les remplacer. La prochaine révision de la composition des indices par Stoxx, prévue pour le mois de septembre, s’effectuera sur la base des cours à la fin du mois d’août.
A l’occasion du panel « An Innovative Working Group ‘‘FROG – French Routes & Opportunities Garden’’ » lors du Forum Europlace 2016, l’Association Française de la Gestion financière (AFG) a annoncé un changement de stratégie de communication pour une meilleure connaissance du monde de la retraite et de ses enjeux pour la gestion d’actifs. De plus, l’AFG envisage de mieux accompagner ses adhérents dans leur communication.
Si les sociétés de gestion britanniques et extra-européennes sont les plus pressées à se décider sur une éventuelle délocalisation vers le continent, les acteurs français de la sélection et la distribution de fonds ont également leurs plans en tête. Distrib Invest a interrogé trois sociétés dont les business modèles sont impactés différemment par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Stéphane Müller, Président des Directoires d’Arkéa Investment Services et François Deltour, directeur du développement, détaillent pour la rédaction de Distrib Invest les ambitions du groupe. L’activité de banque privée se développe à Lyon, la gestion sous-mandat pourrait rapidement prendre des accents "FinTech" et la nouvelle holding devrait poursuivre sa croissance externe…
Au dernier trimestre 2015, le Fonds de garantie des dépôts avait lancé un appel d’offres sur les obligations internationales, d’un montant de 800 millions d’euros. Le Fonds de Garantie des dépôts entendait privilégier une approche de risque maîtrisé, dans le cadre des contraintes réglementaires qui lui sont propres. Suite à l’appel d’offres visant à remplacer leur gestion obligataire par une gestion en budget de risques, les gagnants devraient être : Candriam, La Française, Axa IM et Edmond de Rothschild AM. Cet appel d’offres avait pour objectif de remplacer la gestion benchmarkée confiée jusqu’ici à Amundi, Natixis et BNP Paribas IP par une gestion en rendement absolu sous contrainte de risque. De façon pratique, la première phase de cet appel d’offres avait impliqué une cinquantaine de sociétés de gestion présélectionnées. Il était prévu que l’univers d’investissement devait être élargi à des titres libellés en devises, avec néanmoins une couverture systématique du risque de change. Par cet appel d’offres, le FGDR entendait également préparer la hausse programmée de ses encours conformément aux prescriptions de la Directive européenne 2014/49/UE relative aux systèmes de garantie des dépôts.
Après Standard Life, Aviva et M&G, Henderson Global Investors a annoncé mercredi qu’il gelait les retraits sur son fonds ouvert d’immobilier britannique UK Property PAIF, qui affiche 3,9 milliards de livres d’encours. La décision est due «à des pressions de liquidité exceptionnelle sur les fonds, résultant de l’incertitude liée au référendum sur l’Union européenne et de la suspension d’autres fonds immobiliers», souligne le gestionnaire britannique.
Pour la première fois en France et en Europe, l’Autorité de la concurrence prendra en compte le marché du e-commerce dans son appréciation sur les conséquences concurrentielles du rapprochement entre la Fnac et Darty, a annoncé mercredi le président du régulateur. Mais contrairement à ce que réclamait la Fnac, l’examen se fera localement, par zones de chalandise, et non au niveau national. Une décision est attendue « juste après le long week-end du 14 juillet », a indiqué le président de l’Autorité Bruno Lasserre.
La division par deux de la capitalisation boursière de Credit Suisse et de Deutsche Bank depuis le début de l’année et les plus bas records atteints par leur action ont renforcé la perspective de voir les deux banques sortir du Stoxx50, une des principaux indices de référence des Bourses européennes, estiment des analystes de la Société Générale. Ceux-ci ajoutent que le français Vinci et l’espagnol Iberdrola pourraient les remplacer. La prochaine révision de la composition des indices par Stoxx est prévue pour le mois de septembre et s’effectuera sur la base des cours à la fin du mois d’août.
Le gestionnaire d’actifs japonais Sparx Group, basé à Tokyo, envisage de lancer un nouveau fonds qui investira principalement dans les sociétés enregistrant la plus croissance en Asie cette année, rapporte le site spécialisé Asia Asset Management. La société de gestion veut pleinement saisir les opportunités d’investissements que représentent les entreprises asiatiques, estime que l’Asie va être le principal moteur de la croissance mondiale à la suite du référendum britannique du 23 juin sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Ce nouveau fonds investira en Inde, en Indonésie, en Thaïlande, en Malaisie, à Hong Kong, à Taïwan et Chine. La société de gestion n’a toutefois donné aucune indication sur la taille initiale du fonds. Sparx Group supervise actuellement 9,25 milliards de dollars d’actifs sous gestion, soit 951,5 milliards de yen.
Victoria Sharpe vient de rejoindre Deutsche Asset Management (Deutsche AM) à Singapour au poste de « managing director » et responsable de l’immobilier pour l’Asie-Pacifique, rapporte le site spécialisé Asia Asset Management. La nouvelle recrue sera rattachée à Pierre Cherki, responsable des actifs alternatifs et des actifs réels chez Deutsche AM. Elle intégrera également le comité exécutif de Deutsche AM en Asie-Pacifique, présidé par Jon Eilbeck, responsable de Deutsche AM pour toute la zone Asie-Pacifique.Victoria Sharpe, qui compte plus de 30 ans d’expérience dans les stratégies immobilières, arrive en provenance de TH Real Estate où elle officiait dernièrement au poste de responsable mondiale du pôle « Client Capital Group ». Avant cela, elle avait occupé de fonctions de « managing director » chez Prudential Investment Management et de « senior managing director » et responsable de l’Asie-Pacifique chez Prudential Real Estate Investors.
Le « Brexit » plonge les fonds immobiliers britanniques dans la tourmente. Après Standard Life Investments, c’est désormais au tour d’Aviva Investors et de M&G Investments de geler certains de leurs fonds immobiliers.De fait, Aviva Investors a annoncé, mardi 5 juillet, sa décision de suspendre avec effet immédiat toutes les transactions sur son fonds Aviva Investors Property Trust de 1,8 milliard de livres. Pour justifier sa décision, la société de gestion invoque des « circonstances de marché extraordinaires qui ont entraîné un manque de liquidités immédiates » dans le fonds Aviva Investors Property Trust ». Dans ce contexte « nous avons agi afin de sauvegarder les intérêts de tous nos investisseurs en suspendant toutes les transactions avec effet immédiat », indique Aviva Investors. M&G Investments lui a emboîté le pas en annonçant le gel de son fonds M&G Property Portfolio, qui affiche 4,4 milliards de livres d’encours à fin juin 2016. « Les demandes de rachats de la part des investisseurs ont fortement augmenté à cause du haut niveau d’incertitude dans le marché immobilier commercial britannique depuis le résultat du référendum sur le maintien dans l’Union européenne », indique la filiale de l’assureur Prudential dans un communiqué. « Les rachats ont maintenant atteint un tel niveau que M&G pense qu’il est dans l’intérêt des investisseurs de suspendre temporairement les transactions sur le fonds », ajoute la société de gestion. M&G a précisé que cette suspension sera réexaminée tous les 28 jours. Lundi 4 juillet, Standard Life Investments avait déjà été contraint prendre une décision similaire sur un fonds immobilier commercial de 2,9 milliards de livres. Le gestionnaire d’actifs écossais avait également mis en exergue « une augmentation des demandes de rachat suite à l’incertitude créée par le Brexit sur le marché de l’immobilier commercial au Royaume-Uni ». La société de gestion avait toutefois indiqué que cette suspension de toutes transactions sur le fonds prendrait fin « dès que possible », tout en précisant qu’elle réexaminerait la situation au moins tous les 28 jours.
Investec Asset Management (Investec AM) vient de renforcer son équipe en Italie avec deux nouveaux recrutements. Ainsi, Gianluca Maione a été nommé responsable pays pour l’Italie (« Country Head ») tandis qu’Elena Baccani a rejoint la société en qualité de « sales manager ».Gianluca Maione arrive en provenance de Morgan Stanley Investment Management où il a officié pendant 13 ans. Dernièrement, il y était « executive director » et responsable du développement, de la distribution et de la formation sur les produits, en se concentrant plus particulièrement sur l’activité auprès des intermédiaires en Italie.Pour sa part, Elena Baccani rejoint Investec AM en provenance d’Aberdeen Asset Management où elle se concentrait sur le marketing et le développement de l’activité.
Silvano Bramati, co-directeur commercial d’Azimut Consulenza SIM, vient d’être nommé directeur réseau, rapporte Funds People Italia. L’intéressé travaille chez Azimut depuis 2000 et a participé à toutes les phases de développement du groupe. Son objectif sera de renforcer le développement du réseau d’Azimut Consulenza.
Jupiter Asset Management (Jupiter AM) a nommé Andrea Boggio au poste de responsable de l’Italie, rattaché directement à Kevin Scott, responsable de l’Europe, du Moyen-Orient et de l’Afrique (EMEA), rapporte InvestmentEurope. L’intéressé sera responsable de la distribution des produits de la société en particulier auprès des clients institutionnels, des sélectionneurs de fonds et des gestionnaires de fortune.Avant de rejoindre Jupiter AM, Andrea Boggio était responsable de l’activité discrétionnaire chez Nordea AM. Au cours de sa carrière, il est également passé chez Deutsche Bank, Cassa di Risparmio di Asti et RREEF Italie.
Le Crédit Mutuel Arkéa lance We Positive Invest, un fonds d’investissement dédié au soutien des entrepreneurs précurseurs dans trois secteurs : la transition énergétique, l’économie circulaire et l’entrepreneuriat sociétal. Doté de 20 millions d’euros, le fonds d’innovation sociétale du Crédit Mutuel Arkéa vise à répondre aux besoins de financement en capital-risque d’entreprises innovantes.Le fonds sera géré par Arkéa Capital, la filiale de capital investissement du groupe qui a récemment lancé le fonds West Web Valley 1. Le fonds « We Positive Invest » interviendra, en direct, lorsque la jeune société innovante aura besoin de renforcer ses fonds propres pour accélérer le développement industriel et commercial de ses produits et services. Le Crédit Mutuel Arkéa vise une quinzaine d’investissements, en intervenant en priorité sur ses territoires historiques (Bretagne, Sud-Ouest etMassif Central) et à l’échelle nationale. Il investira des tickets de 300 000 euros à 1 million d’euros lors du premier tour de table, avec un investissement maximum de 2 millions d’euros par entreprise.
Morgan Stanley Investment Management a annoncé le 5 juillet le lancement du fonds US Active Factor Equity Fund, compartiment de la Sicav luxembourgeoise Morgan Stanley Investment Funds (MS INVF) permettant pour la première fois aux investisseurs européens l’accès aux stratégies de gestion de l’équipe Applied Equity Advisors (AEA). Ce lancement vient compléter l’offre de produits d’investissement en actions de Morgan Stanley Investment Management et répond à une demande croissante de produits « Core » et concentrés sur les marchés internationaux et aux États-Unis, souligne un communiqué.Le fonds US Active Factor Equity Fund cherche à générer de l’alpha, en dégageant une surperformance par rapport à son indice de référence, quelle que soit le style d’investissement (« value » ou « growth ») ayant les faveurs du marché. Le fonds offre aux investisseurs un outil complet et flexible pour dégager de la performance grâce au processus d’investissement unique de l’équipe de gestionnaires, qui associe des décisions «top-down» et «bottom-up» avec une approche de « factor modelling », tout en conservant en permanence un haut niveau d’ « active share ». L’équipe cherche à capter 70% de la performance du marché grâce à une approche de type « factor investing », tandis que les 30 % restants sont consacrés à une sélection de titres dynamique pour renforcer la part active.Le US Active Factor Equity fund vise en général une allocation à hauteur de 100 % aux États-Unis, tout en conservant une flexibilité permettant d’investir jusqu’à 20 % dans des actions hors États-Unis. Une version Global Core du portefeuille, reposant sur la même philosophie de gestion active, devrait également être lancé d’ici à la fin du mois. Le portefeuille Global Core sera généralement constitué de 30 à 60 titres et sera typiquement investi pour au moins 40% dans des actions hors Etats-Unis dans des conditions normales de marché.La gestion de ces portefeuilles sera assurée par une équipe de professionnels expérimentés constituée en 2004 et dirigée par Andrew Slimmon et Phillip Kim, basés à Chicago. L’équipe pourra également s’appuyer sur les ressources et le rayonnement de Morgan Stanley Investment Management. L’équipe AEA gérait un encours de 5,1 milliards de dollars au 31 mars 2016. Le MS INVF US Active Factor Equity fund est enregistré au Luxembourg, et n’est pas encore agréé à la vente dans tous les pays, en l’attente de son enregistrement sur différents marchés, précise le communiqué.
Eraam, société de gestion indépendante spécaliste de la performance absolue, a gagné un mandat de 20 millions d’euros de la sicav Emergence, gérée par NewAlpha. Investi dans le fonds Eraam Premia, ce mandat permet à Eraam de dépasser en un semestre son premier objectif de collecte fixé à 100 millions d’euros, indique la société dans un communiqué.Lancé en décembre 2016, Eraam Premia un FCP Ucits dont l’objectif est d’offrir à tous les investisseurs, institutionnels et privés, une solution de performance absolue diversifiée, transparente, liquide et peu chère. « En moins de 7 mois, le fonds a déjà séduit de nombreuses banques privées, family offices et institutionnels en France, en Suisse et au Luxembourg », indique Eraam dans un communiqué.Par ailleurs, Eraam annonce étudier actuellement de nouveaux canaux de distribution, en particulier pour le marché des conseils en gestion de patrimoine indépendants.
Le spécialiste de la gestion indicielle Theam (BNP Paribas Investment Partners) a annoncé le 5 juillet le lancement de cinq nouveaux ETF smart beta. Cotée sur Euronext Paris, cette nouvelle gamme d’ETF Smart Beta vise à fournir aux investisseurs une exposition à des facteurs de performance identifiés au sein de chaque secteur du marché actions : la valeur, la qualité, le momentum en Europe, ou encore à offrir un autre profil de risque qu’un indice traditionnel avec la faible volatilité en Europe et aux Etats-Unis.Les cinq ETF smart beta de la gamme BNP Paribas Easy comprennent deux ETF faible volatilité, BNP Paribas Easy Equity Low Vol Europe UCITS ETF et BNP Paribas Easy Equity Low Vol US, un ETF value, BNP Paribas Easy Equity Value Europe, un ETF qualité, BNP Paribas Easy Equity Quality Europe, et un ETF momentum, BNP Paribas Easy Equity Momentum Europe. Les cinq nouveaux produits sont chargés à 0,30%
Le gestionnaire d’actifs Vestathena a annoncé, ce mardi 5 juillet, le lancement d’AmaterrA, un nouveau fonds actions investi dans des valeurs du secteur agroalimentaire de la zone euro. Ce nouveau véhicule est géré par Eve Navarre et il répond « à une gestion de conviction dans un écosystème porteur », précise la société de gestion dans un communiqué. Concrètement, AmaterrA offre une gestion de « stock picking » sur un périmètre d’investissement rentable dans l’agroalimentaire et son écosystème, avance Vestathena. « L’agroalimentaire offre des opportunités d’investissement rentables sur l’ensemble de sa chaîne de valeur, explique la société de gestion. Vestathena a ainsi défini pour AmaterrA un périmètre d’investissement très diversifié, qui lui permet de choisir des acteurs performants qui sauront bénéficier de la croissance de ce secteur d’activité. » AmaterrA investit dans des entreprises à fort potentiel en y incluant non seulement des entreprises agroalimentaires mais aussi des sociétés innovantes aux intersections entre agriculture, agro-industrie, santé et diététique, génomique et biotechnologies. Le portefeuille est composé de titres toutes capitalisations de la zone euro, avec un accent particulier sur les sociétés de petite et moyenne taille.
Weinberg Capital Partners a annoncé l’arrivée de Lionel Mestre au sein de l'équipe de LBO, en qualité d’associé et membre du comité d’investissement. Lionel Mestre, qui a débuté sa carrière en 1995 chez PwC, a ensuite rejoint en 1998 PAI Partners, où pendant 10 ans, il réalisera de nombreuses opérations de LBO en France et en Europe dans divers secteurs (Saur, Kwik-Fit, Antargaz etc.) En 2008 il intègre Butler Capital Partners, dont il deviendra Associé. Il y a joué un rôle d’investisseur actif et opérationnel sur les participations du portefeuille. Il est notamment intervenu sur Nextiraone, ADIT et Partouche.
L’accélérateur fintech L’Atelier BNP Paribas lance ses premiers projets, indique L’Agefi. Quatre mois après la sélection de huit start-up prometteuses, la banque de la rue d’Antin a présenté les premiers résultats de son programme d'«open innovation», dont l’objectif est d’améliorer les parcours clients et de développer de nouvelles offres. Un deuxième appel à candidatures sera organisé au quatrième trimestre. «Notre programme, qui s’est terminé hier, intégrait des structures de maturités très différentes, certaines n’ayant même pas de statuts», rappelle Yoann Jaffré, le directeur de l’Open Innovation L’Atelier BNP Paribas. «En moins de quatre mois, plus de 50% des start-up que nous avons accompagnées ont signé des contrats avec BNP Paribas. Certains développements pourraient faire l’objet dans les six prochains mois d’une mise en production pour enrichir l’offre de la banque», ajoute le dirigeant. C’est notamment le cas de KYC3, un spécialiste du Big Data. La start-up, qui a collaboré avec la gestion de fortune de BNP Paribas, devrait dans un premier temps lancer un projet pilote (MVP) d’application réalisant une «empreinte digitale» des clients de banque privée, afin d’améliorer la sécurité de leur «patrimoine numérique».
A la suite du départ d’Odile Renaud-Basso à la direction du Trésor, la Caisse des Dépôts (CDC) a annoncé que son poste de directeur général adjoint n’est pas remplacé en tant que tel. Le pilotage stratégique et la coordination des politiques financières et budgétaires seront rattachés au secrétariat général, que continuera à occuper Catherine Mayenobe, précise L’Agefi. Franck Silvent, directeur du pôle finances, stratégie et participations, exercera en outre la supervision des politiques d’investissement et présidera le comité d’engagement de la Caisse. La direction des fonds d'épargne est confiée à Olivier Mareuse. La CDC a par ailleurs annoncé d’autres nominations: Virginie Chapron (directrice des finances), Elisabeth Viola (directrice des services bancaires), Sophie Quatrehomme (direction de la communication), Nathalie Gilly (direction de l’audit), Régis Pelissier (secrétaire général adjoint) et François Bachy (directeur du pôle culturel).
Avec la baisse continue des taux d’intérêt et les contraintes d’investissement liées à Solvabilité II, les assureurs rêvent d’une « transmutation » massive de l’épargne investie en produits garantis - les fonds en euros - en supports « risqués » - les unités de compte. L’enjeu financier est de taille compte tenu de l’importance des placements en contrats d’assurance vie individuels (épargne et retraite). A eux seuls, ils représentent près de 1 500 milliards à mi-2016, soit un tiers de l’épargne financière des ménages français. Dans ce contexte, la société de conseil Indefi présidée par Richard Bruyère vient de publier une étude analysant les ressorts de cette « révolution industrielle ». Elle met notamment en lumière les opportunités de développement pour les sociétés de gestion, en tant que partenaires privilégiées des assureurs dans ce processus de migration.En pratique, l'étude repose sur un panel de quarante-cinq assureurs et les montants investis dans les contrats en unités de compte s’élèvent à 252 milliards d’euros, soit 17% des encours gérés au titre de l’assurance vie individuelle. «Ces encours s’inscrivent en progression régulière au cours des dernières années, portés tant par la revalorisation des actifs sous-jacents que par les politiques volontaristes de collecte mises en œuvre par les assureurs», précise l'étude. Or, ces évolutions apparaissent particulièrement favorables aux sociétés de gestion. «Le potentiel de développement pour les OPCVM est gigantesque et n’est pas sans rappeler les évolutions observées dans certains autres marchés européens marqués par la décrue des taux d’intérêt», indique Indefi. Que ce soit dans le cas de l’Italie entre 2013 et 2015 ou de l’Espagne actuellement...Si Indefi a relevé la présence dans le panel, de sept organismes à l’écart de la « vague UC », les raisons évoquées portent sur l’absence d’adéquation avec leur clientèle et leurs moyens de distribution. Pour tous les autres, la promotion de ces offres est une question de pérennité dans la mesure où elle concerne avant tout leurs réseaux propriétaires (près de 80% des encours en UC). A noter que dans ce cas, les offres de services (gestions sous mandat, pilotée, conseillée) font figure de fers de lance de la conquête des épargnants. Par ailleurs, ajoute Indefi dans sa publication, ces approches s’accompagnent d’une politique active de promotion de produits en complément – voire positionnés en substitution – du fonds en euros : structurés, immobilier, fonds patrimoniaux.Quelles structures les encours des contrats en UC investis en véhicules collectifs gérés affichent-ils ? Dans le détail, sur les 252 milliards d’euros, 206 milliards sont investis dans des OPCVM, le reste étant placé dans des fonds non cotés - soit près de 50% des encours détenus en fonds par les ménages français (hors épargne salariale). Par ailleurs les encours en architecture ouverte s’établissent à 77 milliards d’euros, soit un taux d’ouverture agrégé de 37%, en croissance de 10 milliards par rapport à mi-2014, tiré notamment par l’ouverture croissante des réseaux propriétaires aux offres de gestion externe, explique l'étude. A noter que l’opportunité de marché pour les sociétés de gestion externes ne se limite pas au référencement de fonds dans les contrats multi-supports mais intègre également les délégations sur mesure (prestations de services de gestion sous mandat, pilotée ou conseillée, UC dédiées, mandats de gestion pour les assureurs promouvant des fonds de mandats), ainsi que les fonds externes détenus dans les fonds de fonds maison distribués en UC dans les réseaux propriétaires (analysés par transparence). «Au total», recense Indéfi, «ce sont plus de 90 milliards d’euros qui sont ainsi accessibles aux prestataires de gestion tiers opérant avec l’écosystème de la distribution d’assurance vie en UC».Reste que dans ce marché, plusieurs évolutions structurantes sont en train de reconfigurer l’opportunité de développement pour les sociétés de gestion, conclut l'étude. Il faut compter tout d’abord sur l’essor du segment des «fund buyers», les menaces réglementaires (PRIIPS notamment) et la porosité croissante entre les préoccupations d’investissement pour compte propre des assureurs et les offres mise en avant dans les contrats en UC. C’est notamment le cas pour tout ce qui touche à la thématique des stratégies d’investissement liées au contrôle de risque et à la recherche d’asymétrie, aux actifs réels (non coté), aux ETF ou encore à l’ISR. Enfin, Indefi relève les attentes croissantes des distributeurs en matière de services, pour accompagner la conversion de leurs réseaux aux UC mais également pour faire face aux exigences réglementaires.
LaSalle Investment Management (LaSalle IM), la société de gestion immobilière, a annoncé le recrutement d’Alok Gaur au poste de co-responsable de son pôle « Client Capital Group ». L’intéressé, qui rejoindra le bureau de Chicago de la société de gestion, prendra officiellement ses fonctions le 18 juillet. Alok Gaur co-dirigera une équipe de 35 personnes en charge des relations avec le client à l’échelle mondiale et des levées de fonds. Il travaillera en étroite collaboration l’autre co-responsable de ce pôle, Jon Zehner, basé à Londres. En outre, Alok Gaur rejoindra le comité de direction mondial de LaSalle IM. Il sera directement rattaché à Jeff Jacobson, directeur général monde de la société de gestion. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, aux côtés de Jon Zehner, dirigera le développement de nouvelles activités, les relations avec les investisseurs et le développement de produits à l’échelle mondiale.Alok Gaur, qui compte plus de 22 ans d’expérience, occupait précédemment la fonction de « managing director » et d’associé chez Carlyle Group où il était chargé des levées de fonds pour l’activité immobilière à l’échelle mondiale. Avant cela, il a occupé plusieurs postes à responsabilité chez Greenhill & Co et au sein du pôle immobilier de Credit Suisse.