Les sociétés de gestion françaises sont présentes en nombre au Salone del Risparmio, le salon qui réunit en ce moment les professionnels de la gestion d’actifs à Milan.Ainsi, sur environ 70 sociétés de gestion disposant d’un stand sur le salon sur plus d’une centaine d’exposants, une dizaine sont françaises. Amundi Asset Management, qui vient de racheter l’italien Pioneer, est bien évidemment présente (Pioneer ayant également un stand distinct). Mais on note aussi la présence de plusieurs sociétés indépendantes comme Carmignac, Comgest, DNCA Finance, Edmond de Rothschild, La Financière de l’Echiquier… Pour sa huitième édition, le Salone del Risparmio réunit pendant trois jours 160 marques, 240 intervenants et 10.000 inscrits. Ce salon a la particularité d’être réservé les deux premiers jours aux professionnels de la gestion d’actifs, puis d’être ouvert le dernier jour au grand public.Le succès de ce salon traduit la vitalité de l’industrie de la gestion d’actifs en Italie. En 2016, le secteur a enregistré des souscriptions nettes de 55 milliards d’euros, dont 34,5 milliards d’euros sur les fonds ouverts. Même si cela constitue un ralentissement par rapport à 2015, la collecte reste forte, a souligné Tommaso Corcos, le président d’Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion d’actifs, lors de la conférence d’ouverture.
Fideuram – Intesa Sanpaolo Private Banking, la société de banque privée du groupe Intesa Sanpaolo, vient de lancer ses fonds éligibles au PIR, le plan d’épargne individuel italien, à l’occasion du Salone del risparmio qui se tient entre le 10 avril et le 13 avril à Milan. Cette gamme se compose de trois fonds dont deux diversifiés et un en actions : Piano Bilanciato Italia 30, Piano Bilanciato 5 et Piano Azioni Italia. La part actions de ces fonds varie respectivement de 30 %, 50 % et 90 %. Ces fonds éligibles au PIR s’adressent à la fois à la clientèle des particuliers et à la clientèle fortunée. La gestion de ces fonds est confiée à l’équipe de Fideuram Investimenti, la société de gestion de Fideuram – ISBP. Cette gamme, comme tous les PIR, permet aux épargnants de bénéficier d’un abattement fiscal pour des investissements jusqu’à 30.000 euros par an, pour un maximum de 150.000 euros sur cinq ans, sous réserve de rester investi sur cette période.
La société de capital investissement Odyssee Venture a annoncé sa décision de souscrire à l’augmentation de capital initiée par Emmanuel Denis, dirigeant de New Mediafab, et Arthur Fournel, patron de Studio 3B, «pour constituer un nouveau groupe d’envergure nationale dans le secteur de l’impression numérique grand format», explique un communiqué. Possédant désormais deux sites de production, à Montpellier et Paris, le groupe rassemblera notamment New Mediafab, Studio 3B et Adhéquat, acquise fin 2015 par Studio 3B.Les deux sociétés avaient missionné Pax Corporate Finance il y a plusieurs mois afin de les accompagner dans leurs projets de croissance externe et de levée de fonds. Leur objectif est de poursuivre les acquisitions afin de toucher tous les segments de marché du secteur atomisé de l’impression numérique. Le groupe entend ainsi ouvrir des antennes en France et à l'étranger afin de se rapprocher de ses donneurs d’ordre, qui restent en recherche de proximité et de conseil.
Ancienne directrice du marketing de Carmignac Gestion puis directrice générale de la Compagnie Financière Jacques Coeur, Anne Bellavoine vient d'être nommée directrice générale adjointe d’Invest Securities. «En charge d’une cinquantaine de personnes, elle aura pour missions de développer la société de Bourse et de valoriser les investissements réalisés pour renforcer les trois piliers d’Invest Securities : le marché primaire, le marché secondaire et les contrats de liquidité", explique un communiqué. Elle remplace à ce poste Eric d’Aillières, qui restera Senior Advisor de la sociétéDiplômée de Sciences Po Paris Ecofi, Anne Bellavoine entre chez Axa en 1986 en tant qu’analyste financier et gérant de portefeuilles. En 1990, elle rejoint la société Cheuvreux de Virieu comme vendeur actions avant d’intégrer, en 1995, SG Corporate & Investment Banking comme vendeur institutionnel sur le cash equity, responsable de la vente actions sur la France. Directeur général de SG Securities depuis 2003, Anne devient responsable mondiale de la vente actions en 2005 et présidente de SG Securities Paris, puis directeur de la salle des marchés Global Equity Flow à Paris en 2009. A partir de 2010, elle exerce en tant que banquier conseil FIG ou elle couvre notamment le secteur de la gestion d’actifs français pour SG CIB. Elle a ensuite travaillé chez Carmignac Gestion entre 2012 et 2015 puis chez La Financière Jacques Coeur jusqu'à aujourd’hui.
Le directeur général de BlackRock, Larry Fink, ne tarit pas d’éloges pour Donald Trump, rapporte le Wall Street Journal. Le dirigeant a déclaré que le président écoutait les chefs d’entreprises alors qu’il cherche à déterminer une stratégie pour doper l’emploi et la croissance économique aux Etats-Unis. « Il adopte l’entreprise », a déclaré Larry Fink, un démocrate de longue date, lors d’un dîner mercredi de l’Economic Club de Washington. « Je pense vraiment qu’il écoute ». Les remarques interviennent un jour après que Larry Fink et d’autres directeurs généraux ont rencontré Donald Trump à la Maison Blanche. Larry Fink connaît Donald Trump depuis longtemps, l’ayant aidé à gérer une partie de son argent avant qu’il devienne président.
La société de capital investissement Polaris, basée à Copenhague, vient d’annoncer la promotion de trois collaborateurs pour leur contribution au développement de la société, rapporte le site spécialisé Investment Europe. Rune Lillie Gornitzka est nommé associate partner, Simon Damkjaer Wille est nommé associate director également, tandis que Joachim Satchwell est nommé associate. Rune Lillie Gornitzka travaille chez Polaris depuis 2005, Simon Damkjaer Wille depuis 2010 et Joachim Satchwell depuis 2013.
Julius Baer a annoncé ce 12 avril la nomination de Magdalene Low au poste de responsable de l’équipe spécialisée sur l’Asie du Sud-Est. Magdalene Low a rejoint la banque privée suisse l’an dernier en provenance d’UBS où elle co-dirigeait l’équipe d’UBS basée à Singapour.Jimmy Lee, qui dirige les activités de Julius Baer à Singapour, poursuit une vague de recrutements amorcée l’an dernier. Avec des résultats d’ores et déjà tangibles. Selon des statistiques communiquées récemment par le site spécialisé finews, les actifs sous gestion de Julius Baer en Asie ont fait un bond de 20% l’an dernier pour s’établir à 78 milliards de dollars.
La banque privée suisse GAM a annoncé ce 12 avril le recrutement d’Adam Brown en qualité de directeur du marketing. Dans ses nouvelles fonctions, qu’il prendra le 3 juillet prochain, Adam Brown sera basé à Londres et rattaché au responsable de la distribution, Tim Rainsford. «Il travaillera en étroite collaboration avec les équipes de ventes, d’ingénierie produits et de distribution pour mettre en place les initiatives marketing propres à venir en support des efforts de commercialisation du groupe au niveau mondial et à améliorer la reconnaissance de la marque GAM - marque unique du groupe depuis la fin du contrat de licence qui permettait à la compagnie d’utiliser la marque Julius Baer pour commercialiser certains de ses fonds», précise un communiqué.Avant de rejoindre GAM, Adam Brown travaillait chez Columbia Threadneedle en qualité de responsable marketing pour la région EMEA ainsi que l’Asie.
La société de gestion suisse GAM pourrait devoir affronter la révolte de ses actionnaires lors de sa prochaine assemblée générale, après qu’Institutional Shareholder Services, qui conseille plus de 1.700 investisseurs dans le monde, s’est prononcé en faveur d’une réorganisation du conseil d’administration de la société, rapporte le Financial Times. La société de conseil, dont les recommandations sont largement utilisées par les sociétés de gestion et fonds de pension pour le vote en assemblée, soutient la proposition de l’activiste RBR Capital de nommer deux nouveaux administrateurs, Rudolf Bohli et Kasia Robinski. ISS a aussi proposé de voter contre le rapport sur les rémunérations de GAM.
Quelque 10 milliards d’euros. C’est le montant de l’appel d’offres record que le groupe EDF s’apprête à lancer auprès des compagnies d’assurances, rapporte L’Agefi. La procédure s’inscrit dans le cadre du régime spécial des retraites dont dispose le géant énergétique, assimilable dans son fonctionnement à un contrat de type article 39 et dont le coût, à la charge de l’entreprise, représente ici pas moins de 20 milliards d’euros. EDF, qui a constitué une provision pour compenser ces dépenses futures dédiées à ses agents statutaires, a externalisé le tout, et souscrit des contrats auprès de compagnies d’assurance. Dans le cahier des charges, les assureurs devront pratiquer l’architecture ouverte en proposant aux moins deux offres, dont au moins une fera appel à des gérants externes. Compte tenu des engagements de long terme dont il est question, l’ensemble de l’allocation s’appuie sur des unités de compte et présente un profil dynamique, avec 30% d’actifs dits de croissance (actions, gestion alternative, obligations high yield...). Les 70% restants sont composés d’actifs obligataires et jouent le rôle d’adossement du passif d’EDF. L’immobilier physique apparaît dans l’allocation. La classe d’actifs, qui représentera 10% de l’ensemble, empiétera sur la poche d’adossement. En revanche, le private equity n’a pas été retenu. Autre point à noter, la gestion se partage entre gestion passive et gestion active. EDF souhaite disposer d’une offre indicielle en cas de problèmes d’un gestionnaire actif. L’entreprise tire ici les leçons de la crise de 2011 où elle avait pâti des difficultés de certains gérants sélectionnés par les assureurs du précédent appel d’offres. La procédure devrait durer trois mois après une phase de qualification de deux semaines, où il sera question de solidité financière via l'étude du rating et du niveau de fonds propres des candidats.
L’association française des investisseurs institutionnels (Af2i) a adressé aux principaux candidats à l'élection présidentielle ses réflexions et ses propositions, autant de vues «partagées par la majorité de ses adhérents», assure-t-elle dans un communiqué. Elles sont issues soit de propositions déjà élaborées ces dernières années, telles que les «10 mesures en faveur de l’investisseur institutionnel», soit de contributions aux travaux de place (Paris Place financière 2020, FROG, ...), soit encore de travaux récents sur les normes européennes prudentielles, comptables ou réglementaires. Sur le chapitre de l'épargne longue par exemple, le document souligne qu’elle doit être promue «sans arrière-pensée, par des mesures fiscales appropriées». Les incitations actuelles en faveur de l'épargne retraite devraient être maintenues, tout en permettant aux bénéficiaires de pouvoir utiliser le capital accumulé, au moins en partie, pour acquérir leur résidence principale. L'épargne salariale doit être également encouragée en abaissant un certain nombre de taxes sur l’abondement (le forfait social à 20%) et de prélèvements sociaux (passés de 0,5% à 15,5%), qui devraient mieux tenir compte de la durée réelle d’immobilisation. D’une manière générale, «il faut encourager l'épargne financière avec des taux de fiscalité simples et modérés».Le document souligne que l'épargne longue ne peut pas se résumer à un placement investi exclusivement en actions, même si une place éminente doit lui être réservée. «Il faut que tous les segments de la chaîne de financement de l'économie puissent y être représentés, des Etats jusqu’au «high yield» et au capital investissement, de manière ordonnée et mesurée. Il serait déraisonnable de vouloir n’en faire qu’un support de placements à haut risque pour les épargnants». Le document estime qu’"un chantier global de la retraite doit être ouvert et mené, sans précipitation, de manière sereine pour offrir à nos concitoyens français une prestation équitable et assurée dans le temps. Différents modèles existent (régimes par répartition ou par capitalisation) et il a été vainement tenté par le passé de les opposer deux à deux ou dans leur ensemble. C’est une démarche bien inutile, la solution résidant à l'évidence dans la composition d’un équilibre entre ces différents modèles."Sur le chapitre de la fiscalité, l’Af2i suggère de «faire converger les taux de notre fiscalité d’entreprise vers les taux moyens européens au minimum. Un moratoire à la créativité fiscale permanente serait bienvenu». Le document préconise en outre une simplification de la fiscalité indirecte, avec notamment une priorité donnée aux investissements en phase avec la politique du pays (infrastructures, développement des entreprises avec le capital investissement) et des taux de fiscalité «parallèles à la courbe de risque» de manière à faciliter la prise de risque. Sur la taxation des gains, le document estime nécessaire, avant toute autre mesure, de «retirer du gain taxable la prt relative à la dépréciation monétaire, moyen incitatif à l’investissement de long terme». Sur la taxe sur les transactions financières, le document suggère «un régime comparable au «stamp duty» britannique si elle devait être maintenue. «Il faut abandonner définitivement l’idée d’une TTF européenne qui pénaliserait la Place de Paris au détriment des autres places comme le Luxembourg, Dublin et bien entendu Londres».
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a pris une participation dans la société Griffin Premium RE..N.V, une société structurée comme un REIT («real estate investment trusts»), opérant en Pologne et qui propose aux investisseurs locaux une exposition plus importante au marché immobilier polonais. La BERD a pris une participation de 9,48% dans cette société pour l'équivalent d’environ 20 millions d’euros dans le cadre d’une introduction à la Bourse de Varsovie. Au terme de l’introduction, le flottant sera d’environ 57%, les actionnaires existants, des entités contrôlées indirectement par le fonds Oaktree Capital, détenant le reste. Griffin Premium RE sera le premier REIT structuré selon une nouvelle législation polonaise qui doit être adoptée dans le courant de l’année et mise en oeuvre l’année suivante. Les nouvelles dispositions permettront la création de REIT comme une nouvelle classe d’actifs à part entière sur le marché polonais, venant ainsi renforcer le marché des capitaux du pays, explique un communiqué.
Selon le tableau de bord semestriel Spiva publié mercredi par S&P, la majorité des fonds obligataires américains ne parvient pas à battre son indice de référence à moyen et long terme. Dans l’une des catégories les plus populaires, les obligations labellisées « investment grade » arrivant à maturité à moyen terme (entre trois et dix voire quinze ans), 58,6% des fonds actifs font moins bien que leur benchmark après 10 ans, un pourcentage qui monte à 72,6% après quinze ans. Dans la catégorie des obligations des marchés émergents, les fonds actifs battent leur benchmark à court terme, mais dès que l’horizon de détention dépasse trois ans la très grande majorité «sous-performe» l’indice.
Selon le cabinet Lane Clark & Peacock, la facture payée pour un mandat non contraint sur actions a grimpé de 70% depuis 2011 malgré l’absence de surperformance.
Le gouvernement italien a renoncé à son projet visant à protéger les entreprises d’OPA hostiles, après un désaccord au sein de la coalition de centre-gauche au pouvoir, a rapporté hier à Reuters une source politique. La source a indiqué que l’ancien président du Conseil Matteo Renzi, toujours très influent quatre mois après sa démission, avait porté le coup de grâce à cette mesure après un désaccord avec le ministre de l’Industrie Carlo Calenda. Une autre source proche de Renzi a confirmé que le projet avait été suspendu mais qu’il s’agissait d’une décision du gouvernement. La mesure voulait contraindre les investisseurs qui avaient porté leur participation à 5% dans une entreprise à préciser leurs objectifs finaux.
La Banque centrale brésilienne a réduit de 100 points de base (pb) le Selic, son taux directeur, à 11,25%. Il s’agit de la baisse la plus forte depuis 2009, alors que le taux d’inflation continue de chuter et que l'économie peine à redécoller. Cette agressivité était toutefois largement attendue par la plupart des économistes et certains estiment que la Banque centrale procédera à une réduction de même ampleur à l’occasion de sa prochaine réunion. C’est la cinquième fois de suite que l’institut d'émission diminue le loyer de l’argent. Les réunions d’octobre et de décembre s'étaient soldées chacune par un assouplissement de 25 points de base et celles de janvier et de février par une baisse de 75 points de base.
La banque et les autorités de transport portugaises ont trouvé un accord, qui reconnaît la prévalence de la convention-cadre de l’Isda sur le droit local.
L’association mondiale des professionnels de l’investissement CFA Institute vient de dévoiler ce vendredi les résultats de son étude Future State of the Investment Profession réalisée auprès de plus d’un millier de professionnels de l’investissement dans le monde sur l’état et l’avenir de la profession à un moment clé de son évolution. L’étude identifie plusieurs scénarios en croisant les grandes tendances dans tous les secteurs avec les évolutions spécifiques au secteur de l’investissement.
Selon Eva Balligand, multigérante chez VEGA IM et qui s'occupe des fonds VEGA Emerging et VEGA Grande Asie, la stabilisation de l’économie chinoise reste le soutien majeur pour qu’un nouveau cycle d’expansion mondial émerge. Ce dernier devrait se traduire par la hausse des valeurs cycliques, des secteurs liés aux matières premières, des marchés émergents et tout particulièrement de la Chine.
A l’issue d’un appel d’offres lancé le 15 décembre 2016 pour sélectionner un gérant sur la gestion diversifiée monde, l’Union Financière de France (UFF) a retenu THEAM, filiale de BNP Paribas IP. THEAM gère ainsi le fonds maître d’UFF Global Réactif depuis le 1er mars 2017. Le montant du mandat est de 20 millions d’euros.
La croissance en 2017 sera notamment portée par la reprise de l'activité mondiale juge le HCFP. Dans le même temps le gouvernement prévoit de passer sous les 3% de déficit public dès cette année. Une prévision toutefois mise en doute.
Loews Corporation announced that it has entered into an agreement to acquire Consolidated Container Company (CCC), a leading rigid plastic packaging manufacturer based in Atlanta, GA, from Bain Capital Private Equity for approximately USD1.2 billion, subject to customary purchase price adjustments. CCC will be a part of a newly-created segment called Loews Packaging Group."We have been analyzing the packaging industry for some time because it fits our key acquisition criteria: It is a fragmented industry that generates strong cash flows and we believe it is unlikely to be subject to major technological disruption,» said James Tisch, President and CEO of Loews. «Sean and the team at CCC have done a remarkable job building the business and creating a differentiated platform,» said Steven Barnes, a Managing Director at Bain Capital Private Equity. «We have enjoyed partnering with management in establishing a culture of safety and innovation and building a strong foundation based on differentiated operating and commercial capabilities. These advantages will continue to serve the company well under Loews’s ownership."The acquisition agreement is subject to customary closing conditions. The transaction is expected to close in the second quarter of 2017, and will be funded with approximately 50 percent cash-on-hand and 50 percent debt at CCC.
Edmond de Rothschild (France) is adding to its socially responsible investment (SRI) product range, with an announcement of the launch of its first SRI management mandate. “The mandate is managed by a referring team, which constructs model portfolios based on four profiles: prudent, balanced, dynamic and aggressive. The invesment themes that we privilege are: health, innovation, environmental and energy transition, social development and governance,” Muriel Talihades, chief investment officer at the private bank, says in a statement.The statement points out that the Edmond de Rothschild group has longstanding expertise in the area of publicly traded SRI equities, and bond debt funds. 59% of assets managed by Edmond de Rothschild Private Equity are in sustainable development strategies. SRI assets under management total EUR3.3bn at Edmond de Rothschild Asset Management. Since 2010, the group has been a signatory to the United Nations Principles for Responsible Investment.
Even though it hasn’t had its product on the market for a week, Horizons ETF Management is one of the most successful marijuana dealers in history, writes MarketWatch. The company has seen remarkably strong interest for its Medical Marijuana Life Sciences ETF HMMJ, Wall Street’s first marijuana-themed exchange-traded fund, which launched last week. The fund has traded for four sessions and has risen in each of them, including a surge of 9.9% on Monday, bringing its total rise to 17.8%. It has amassed more than USD28.2 million in assets, according to Horizons, making it the most popular fund launched this month by that metric.
The index provider Solactive and the Equileap organisation, which promotes gender equality in the workplace, have teamed up to launch a new family of indices which monitor companies which practice gender-balanced promotion. The range includes three indices, the Solactive Equileap Global Gender Equality Index. The indices will be used as underlying baskets to develop ETFs and structured products.All of the indices, which offer exposures to various geographical regions, use the same methodology for the central theme of the line. Equileap collects information about over 3,000 companies listed in 23 countries, and ranks them according to 19 gender equality criteria, including leadership, careers, work/life balance, remuneration, holidays, and health and safety issues. Solactive has constructed indices based on traditional liquidity criteria and ESG and typological filters supplied by Equileap.
Everywhere in the world, a rebound in demand for equities observed in fourth quarter has continued in first quarter 2017. Equity funds from developed markets posted net inflows of USD96.3bn in first quarter, compared with inflows of USd35.78bn in fourth quarter 2016, and net outflows of nearly USD190bn in 2016 overall, according to statistics released by the flow specialist EPFR Global. A study by Bank of America Merrill Lynch finds that passive management predominates. Equity ETFs attracted USd141bn, while traditional mutual funds saw net redemptions of USD39bn. In the past 10 years, passively-managed funds (equities and bonds) have attracted USD2.9trn, while actively-managed funds have faced USD1.3trn in redemptions.However, the appetite for equities has taken the fore in Japan, where overall flows in first quarter came to USD24.15bn, while these had been below USD150m in fourth quarter. Also in Europe, despite political uncertainty, the quarter ended with net inflows of USD719m, following net outflows of nearly USD9.5bn in fourth quarter 2016. This is leaving aside the negative flows in 2016, which exceeded USD113bn. Appetite for US equities saw some stops and starts in first quarter due to uncertainty surrounding the implementation of electoral promises by Donald Trump, but dedicated funds attracted nearly USD34bn in first quarter, compared with USD41bn in fourth quarter 2016. In emerging markets, equity funds finished the quarter in positive territory, with net inflows of USD11.36bn, following net ouflows of nearly USD8bn in fourth quarter 2016. Inflows to equities from BRIC countries were steadier, with net inflows in the first 14 weeks of the year, EPFR Global reports, noting the weak performances of previous years (in particular, only 11 weeks of positive inflows in all of 2016). For bonds, outflows of USD3.43bn in fourth quarter 2016 returned to positive territory, with net inflows of nearly USD93bn, as most major categories attracted subscribers. High yield bond funds took in USD3bn in first quarter, nearly the total sum of all inflows in 2016. After inflows of USD9.9bn in fourth quarter 2016, inflation-linked bond funds remained highly popular in first quarter, with net inflows of nearly USD8bn. Other popular funds were those dedicated to bank loans, which attracted USD15.6bn in first quarter, following USD14.22bn in fourth quarter 2016. Total return and investment grade bond funds, which saw outflows in fourth quarter 2016 (of -USD6bn and -USD1.2bn, respectively) completed first quarter 2017 with net inflows of USD17.17bn an USD22.34bn, respectively.
The Spanish asset management firm CaixaBank Asset Management has announced changes to its open architecture unit, the specialist website Funds People reports. Elena Ruiz Takata, previously director of alternative management, becomes director of fund selection, a team which is part of the open architecture unit, led by Pablo Garcia. In addition to his role as head of fund selection, Takata, who has been working at CaixaBank AM since 2000, will manage the Caixabank Bolsa Seleccion Europa fund. Helena Marino, previously director of fund selection, joins the fixed income team led by Guillermo Vinuales. Marino has 13 years of experience at CaixaBank AM in the fund selection sector.