La division Real Estate & Private Markets d’UBS Asset Management vient de lancer son deuxième fonds dédié aux infrastructures, Archmore Infratructure Debt Platform II. Le fonds a d’ores et déjà recueilli 448,4 millions d’euros de promesses d’engagements. Les capitaux de départ émanent de neuf investisseurs institutionnels, dont plus des trois quarts avaient déjà investi dans le premier fonds d’infrastructures.Comme son prédécesseur, ce fonds sera investi principalement en Europe de l’Ouest par le biais de crédits directs dans des projets de taille moyenne.
Robeco a annoncé que Sonja Barendregt-Roojers allait rejoindre son conseil de surveillance à compter du 1er avril 2018. Elle succède à Jan Nooitgedagt qui démissionnera à la même date après avoir servi le groupe pendant quatre ans.Sonja Barendregt-Roojers est actuellement membre du conseil de surveillance et présidente du comité d’audit de De Volksbank, une holding de banques néerlandaises. Elle est aussi examinatrice dans l’audit financier à l’Erasmus School of Accounting & Assurance à Rotterdam. Elle a été nommée au conseil de surveillance d’ASR Nederland, une compagnie d’assurance néerlandaise. Elle a effectué sa carrière chez PwC où entre 1998 et 2017 elle était associée aux Pays-Bas et se concentrait sur les services financiers. Le conseil de surveillance de Robeco va désormais se composer de : Jeroen Kremers (président), Gihan Ismail, Masaaki Kawano (représentants d’ORIX) et de Sonja Barendregt-Roojers.
L’association suédoise des fonds Fondbolagens Förening a recruté Gustav Sjöholm en tant qu’économiste. L’intéressé travaillait dernièrement au sein de la banque suédoise SEB où il était analyste sur la finance personnelle.
La société nordique de capital investissement Verdane a clôturé son fonds Verdane Edda avec 3 milliards de couronnes (soit 300 millions d’euros) d’engagements de la part d’investisseurs, dont 60 % viennent en dehors d’Europe du Nord. Le fonds va investir dans des sociétés à forte croissance en Europe du Nord, à la fois dans les secteurs des logiciels et de la consommation sur internet, ainsi que dans des entreprises plus traditionnelles où la digitalisation peut accélérer la croissance future. Le fonds cherchera plutôt à prendre des participations de contrôle dans les entreprises, mais pourra aussi s’intéresser à des positions minoritaires. Il investira environ jusqu’à 500 millions de couronnes, ou 50 millions d’euros, dans chaque entreprise. Lancé en 2003, Verdane a des engagements pour plus de 1,2 milliard d’euros.
Le conseil d’administration d’Anima Holing a donné son feu vert à l’augmentation de capital de 300 millions d’euros dont l’objectif est de digérer l’acquisiton d’Aletti Gestielle et des portefeuilles d’assurance de Banco BPM. L’opération démarre lundi 26 mars.Les ressources sont destinées au remboursement d’une partie de la dette de 250 millions d’euros contractée pour l’acquisition de la société de gestion et pour les 50 millions qui restent au paiement d’une partie de la somme due à Banco BPM pour le transfert des mandats de gestion d’assurance Popolare Vita, The Lawrence Life Assurance Company, Avipop Assicurazioni, Avipop Vita et Bipiemme Vita.Au maximum, 71.898.869 nouvelles actions seront émises. Elles seront proposées aux actionnaires à hauteur de 7 titres pour 30 titres détenus au prix de 4,17 euros. La contre-valeur de l’opération est de 299.818.283 euros.Le prix de souscription représente une décote de 27,3 % sur le theoritical ex right price. Les droits d’option devront être exercés du 26 mars au 12 avril.
Chaitanya Mehra, managing director et responsable des matières premières internationales chez Och-Ziff Capital Management, quitte la société pour lancer une nouvelle structure qui sera soutenue par la firme d’investissement Millenium Management, ont indiqué à Reuters deux sources au courant de ce mouvement. Chaitanya Mehra pourrait lancer son activité dès le mois de septembre avec des bureaux à New York et à Londres, ont précise les deux sources. Dans un premier temps, la société utilisera exclusivement des capitaux de Millenium pour investir sur le marché des matières premières. Les porte-parole de Millenium et de Och-Ziff se sont refusé à tout commentaire.Les actifs sous gestion de Millenium s'élèvent à quelque 35 milliards de dollars.
La société d’investissement Wendel a annoncé ce 22 mars avoir choisi Nicolas ver Hulst pour succéder à François de Wendel à la présidence du conseil de surveillance de la société d’investissement. «Lors de la séance du conseil de surveillance du 21 mars, François de Wendel a fait part de son intention de remettre ses fonctions de président du conseil de surveillance à l’issue de la prochaine assemblée générale de la société du 17 mai 2018", précise Wendel dans un communiqué.François de Wendel, âgé de 69 ans, était président du conseil depuis 2013, date à laquelle il avait succédé à Ernest-Antoine Seillière. Comme eux deux, Nicolas ver Hulst, 64 ans, est un membre de la famille Wendel, propriétaire de 37,41% du capital de la société selon des données Thomson Reuters. «Nicolas ver Hulst fera bénéficier le conseil de sa longue expérience d’investisseur de long terme, acquise auprès d’Ernest-Antoine Seillière, dont il fut un des principaux collaborateurs à la CGIP», a ajouté François de Wendel, qui restera membre du conseil de surveillance jusqu’au terme de son mandat en 2020.Wendel a également annoncé qu'à l’issue de la prochaine assemblée générale, Gervais Pellissier serait nommé vice-président du conseil de surveillance. Extérieur à la famille comme l’actuel vice-présidente Dominique Hériard-Dubreuil, Gervais Pellissier, bientôt 59 ans, était entré au conseil en 2015.Wendel a par ailleurs annoncé avoir renoué avec les bénéfices en 2017, avec un résultat net, part du groupe, de 200 millions d’euros en 2017 contre une perte de 366,8 mlns d’euros en 2016. Le chiffre d’affaires consolidé ressort à 8.329,1 millions d’euros en 2017, en hausse de 8,4% d’une année sur l’autre. L’actif net réévalué affiche un gain de 14,6% à 176,4 euros par action.
Axa Investment Managers (Axa IM) est une pièce maîtresse dans le groupe Axa et la société de gestion entend bien le rester. « Nous gérons 69% de l’actif général du groupe et nous le faisons bien, a avancé Andrea Rossi, directeur général d’Axa IM, lors d’une rencontre avec les journalistes du Groupe Agefi. Nous en sommes un des moteurs de croissance, avec un résultat opérationnel en hausse de 14% en 2017. Notre actionnaire a réaffirmé le rôle stratégique d’Axa IM ». Pas question donc pour le dirigeant de commenter les rumeurs de désengagement ou de rapprochement avec Natixis qui ont pu agiter le secteur à l’automne 2017. Le gestionnaire d’actifs se montre même particulièrement optimiste quant à l’avenir. « La gestion d’actifs est un secteur porteur, non lié aux cycles de souscription en assurance, où les grands tireront leur épingle du jeu. Et nous sommes parmi les grands », a jugé Andrea Rossi. « N’oublions pas que le groupe, représente 58 % de nos actifs à fin 2017, nous met en concurrence, il faut être à la hauteur en termes de performances, de prix et de services », a insisté le directeur général.Pour 2018 et les années à venir, Axa IM entend aller chercher la croissance en priorité auprès des clients tiers. Une conquête qui se fera sur l’ensemble des marchés de la planète. « 84% de nos revenus proviennent d’Europe, a rappelé Andrea Rossi. Nous pouvons y être plus présents encore, en Allemagne ou en Italie par exemple. » Axa IM cible également la Belgique et les pays scandinaves. « Mais il faut voir plus loin, en Asie et en Amérique », n’a pas caché Andrea Rossi. Au cours de ces dernières années, l’Asie a été la priorité d’Axa IM, notamment la Chine où la société de gestion dispose d’une coentreprise avec Shanghai Pudong Development Bank (SPDB). Malgré un fort ralentissement de la collecte nette de cette coentreprise en 2017, « ce partenariat nous donne pleine satisfaction », a indiqué Andrea Rossi. Toujours en Chine, Axa IM peut s’appuyer sur sa WFOE (« wholly foreign-owned entreprise »), une filiale locale détenue à 100% qui démarre actuellement son activité. Cette structure permet à Axa IM « de distribuer nous-mêmes nos produits, avant tout auprès d’institutionnels, sans concurrence avec la coentreprise », a précisé Andrea Rossi. Axa IM peut aussi compter sur ses coentreprises en Corée du Sud (avec Kyobo Life) et Inde (avec Bank of India). « En Asie encore, le Japon a été l’une des principaux contributeurs à la collecte en 2017, les institutionnels y augmentant la part des actifs étrangers, a également évoqué Andrea Rossi. Nous nous développons aussi en Australie et à Hong Kong. »En parallèle, la société de gestion compte pousser ses pions sur le continent américain. Toutefois, « alors que nous gérons 80 milliards d’euros d’actifs aux Etats-Unis pour l’ensemble de nos clients, les clients américains ne représentent que 3 milliards d’euros, a constaté Andrea Rossi. Nous souhaitons augmenter ce dernier montant de quelques milliards d’ici à 5 ans ». Le dirigeant nourrit également de solides espoirs en Amérique Latine, où Axa IM a ouvert un bureau au Mexique il y a deux ans. Désormais, la société de gestion y affiche aujourd’hui 2,5 milliards de dollars d’actifs, « l’objectif étant de tripler ce montant rapidement », a avancé Andrea Rossi. « Depuis le Mexique, nous souhaitons rayonner vers trois autres grands marchés de fonds de pension : Colombie, Pérou, Chili », a ajouté le dirigeant.Dans l’attente, Axa IM travaille d’arrache-pied à la simplification de son organisation afin de la rendre plus agile. De fait, « nous progressons dans le projet de rassembler nos différents systèmes front-office en un seul, afin de casser les silos entre plates-formes d’investissement et permettre au gérant de se concentrer sur son cœur de métier », a ainsi expliqué Andrea Rossi. Le dirigeant garde également un œil attentif à la vague de consolidation qui agite le secteur mondial de la gestion d’actifs. « Le mouvement de consolidation du secteur va se poursuivre sur des critères offensifs de couverture de l’offre ou géographique, mais aussi relatifs aux coûts, notamment réglementaires », a jugé le directeur général d’Axa IM. Pour autant, « Axa IM vise clairement une croissance d’abord organique, a insisté Andrea Rossi. Sans exclure, comme cela a déjà été le cas, des acquisitions ciblées d’envergure limitée en montant mais pas stratégiquement, nous permettant d’internationaliser davantage encore notre offre, particulièrement sur l’alternatif. »
Nalo, le conseiller en investissements financiers 100% en ligne, a annoncé, ce 22 mars, la nomination de Numa Jequier au poste de directeur des opérations. L’intéressé est directement rattaché à Guillaume Piard, co-fondateur et directeur général (CEO) de Nalo.Diplômé d’un Master en finance de marché et finance d’entreprise de la Toulouse Business School, Numa Jequier intègre le corps de l’Inspection Générale du groupe Société Générale en 2012. Il y conduit des missions de conseil stratégique à l’international à destination de la direction sur des sujets variés : de l’évaluation des risques auxquels la banque est exposée à l’analyse de la performance des métiers (rentabilité, gouvernance, RH). Par la suite, il co-fonde Alogia, une start-up de services à destination des personnes âgées.
Azimut vient de recruter, au sein de sa société luxembourgeoise AZ Fund Management, Nicolò Bocchin en tant que gérant de portefeuilles senior et responsable de l’obligataire, rapporte Funds People Italia. L’intéressé vient d’Aletti Gestielle SGR où il était gérant et responsable du desk crédit.
Le fonds de pension australien AustralianSuper, dont les actifs sous gestion s'élèvent à quelque 120 milliards de dollars australiens, soit environ 75,3 milliards d’euros, renforce sa présence en Europe avec l’ouverture d’un bureau à Londres et la nomination de Damien Moloney au poste nouvellement créé de responsable des investissements pour l’Europe. «Il est très important que nous ayons une présence locale sur les marchés où nous investissons», a déclaré Mark Delaney, responsable des investissements du fonds de pension, dont près de la moitié des actifs sont investis à l'étranger.Damien Moloney travaillait précédemment chez Frontier Advisors, dont il assurait la direction générale depuis 2011. Il pilotera le programme d’investissement du fonds de pension au Royaume-Uni à partir du bureau de Londres et il supervisera également sa plateforme d’investissements offshore.Cette nomination devrait également permettre au fonds de pension de transférer en interne une partie de la gestion de ses investissements, ce qui devrait engendrer une économie de coûts de l’ordre de 100 millions de dollars australiens. AustralianSuper envisage de gérer 50% de ses actifs en interne d’ici à cinq ans, contre 30% environ actuellement.
Omers Infrastructure Management, la filiale dédiée à l’investissement dans les infrastructures du fonds de pension canadien Omers, a annoncé, ce 22 mars, l’acquisition de Leeward Renewable Energy (Leeward) auprès d’ArcLight Capital Partners. Leeward est l’un des principaux propriétaires, exploitants et promoteurs de projets éoliens aux Etats-Unis, avec 19 projets opérationnels totalisant une capacité installée de 1,7 GW. La transaction, dont le montant n’a pas été dévoilé, devrait être finalisée au troisième trimestre 2018, sous réserve de l’obtention des autorisations nécessaires.
Le fonds norvégien a voté contre l’attribution de stock-options pour 2,6 milliards de dollars au directeur général de Tesla, Elon Musk, rapporte Bloomberg. Le plus gros fonds souverain au monde était en minorité, les autres investisseurs ayant soutenu la mesure lors d’une assemblée spéciale à Fremont en Californie qui s’est tenue mercredi. Le fonds norvégien détenait 0,48 % des actions Tesla fin 2017.
BMO Wealth Management (49 milliards de dollars) va adopter la SEI Wealth PlatformSM pour renforcer son empreinte technologique et fournir une expérience fluide pour ses conseillers et clients finaux. La plate-forme est une solution pour supporter la gestion de la relation clients, incluant des services de front, middle et back-office.
Au cours du mois de février 2018, la collecte nette de l'assurance-vie s'est établie à 1,7 milliard d’euros, portant le total à 4 milliards d'euros de souscriptions depuis le début de l'année. L’encours des contrats d’assurance-vie à fin février 2018 affiche une progression de 3 % sur un an.
Le groupe espagnol Qualitas Equity, spécialisé dans l’investissement dans les actifs, vient de créer sa propre société de gestion d’actifs, baptisée Horos Asset Management (Horos AM), rapporte le site spécialisé Funds People. Cette nouvelle structure sera dirigée par José Maria Concejo, une figure bien connue du secteur espagnol de la gestion d’actifs. L’intéressé officiera en tant que président et directeur général de Horos AM, accompagné de Vicente Asuero et Oscar Perez Marcos.Comptant 26 ans d’expérience dans la gestion, José Maria Concejo a notamment travaillé pendant 7 ans chez Allianz Global Investors en tant que directeur de la société pour la péninsule ibérique. Au cours de sa carrière, il a également officié chez J.P. Morgan Asset Management, Beta Capital, MeesPierson, ABN Amro ou encore W4i, à des fonctions commerciales et marketing. Pendant une courte période en 2017, il a aussi été PDG de Metagestion.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Mutuactivos a annoncé la nomination d’Emilio Ortiz en qualité de directeur des investissements. Dans le cadre de ses fonctions, l’intéressé a la responsabilité de la coordination et de la supervision l’ensemble des gestions actions et obligataires de la société, ainsi que l’analyse et la sélection des actifs, tant pour les fonds communs de placement que pour les fonds de pension du groupe. Il est directement rattaché à Luis Ussia, directeur général de Mutuactivos.Emilio Ortiz, qui compte plus de 23 ans d’expérience, arrive en provenance du family office Omega Capital, où il a travaillé au cours des 13 dernières années comme directeur des marchés de capitaux. Auparavant, il a été directeur des actions chez Invercaixa de 2000 à 2005. Avant cela, il a occupé plusieurs postes de gérants chez Principal Financial Group aux Etats-Unis, en Argentine et en Espagne.
Deux experts de la digitalisation, Stefan Waldhauser et Baki Irmak, qui a travaillé précédemment à la Deutsche Bank, lancent en partenariat avec Universal-Investment le «Digital Leaders Fund». Ce fonds actions internationales devrait se présenter sous la forme d’un portefeuille concentré regroupant des gagnants de la transformation digitale, autrement dit les entreprises qui sont le mieux positionnées dans cette évolution en cours, explique un communiqué. Le fonds investira, comme d’autres fonds proches, dans les start-up digitales et dans les géants du secteur comme Google, Amazon et Facebook, mais également dans des entreprises d’autres secteurs, qui ont acquis des avantages concurrentiels grâce à leur stratégie digitale.Baki Irmak a travaillé pendant de nombreuses années à la Deutsche Bank et chez DWS, entre autres en tant que responsable mondial de l’activité digitale dans la division Asset Management et il également été membre du comité directeur digital de la Deutsche Bank à Londres. Il a quitté la Deutsche Bank en juin 2017. Stefan Waldhauser est un fan de technologies, mathématicien, qui a initialement créé sa propre entreprise, spécialisée dans les logiciels, qu’il a cédée il y a quelques années. Il a aussi développé une expertise dans la gestion actions et gère depuis plusieurs années deux portefeuilles modèles investissables sur la plateforme de «social trading» Wikifolio (*) et il a en charge la stratégie «Digital Transformation» sur la plateforme suisse de gestion d’actifs Investory.Pour leur nouveau fonds, les deux initiateurs distinguent trois catégories de sociétés, les «Digital Transformation Leaders», des entreprises traditionnelles qui affichent un degré élevé de digitalisation et qui se distinguent ainsi de leurs concurrents, les «Digital Business Leaders», des entreprises plutôt jeunes qui transforment leur secteur avec de nouveaux modèles d’affaires digitaux et les «Digital Enablers», des entreprises, qui offrent les technologies et les services nécessaires à la transformation digitale.Les deux initiateurs sont épaulés par la société de gestion Myra Capital pour la gestion du fonds et pour la distribution de la stratégie auprès des investisseurs institutionnels, et par Universal-Investment pour l’administration du fonds. Pour la distribution à un plus large public, une plateforme digitale doit être mise en place. D’ores et déjà disponible en Allemagne, le fonds devrait être distribué sur le marché autrichien dans quelques semaines.(*) Wikifolio, créée en 2012, se présente comme une plateforme européenne spécialisée dans le «social trading», une approche qui utilise les possibilités offertes par les réseaux sociaux pour la gestion de portefeuille.
La plateforme de distribution d’ETF en marque blanche HANetf vient de nommer Mark Tan au poste de directeur des opérations, rapporte Investment Week. Dans le cadre de ses fonctions, l’intéressé sera responsable de toutes les opérations de gestion au quotidien et de toutes les opérations sur les fonds de la plateforme, et ce afin de répondre aux besoins des gérants de fonds et des investisseurs. Il sera directement rattaché à Nik Bienkowski, co-directeur général de HANetf. Mark Tan, qui compte 10 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, arrive en provenance de Blackfriars Asset Management où il officiait déjà en qualité de directeur des opérations.
La société de gestion française Rouvier Associés, qui a une antenne à Bonn en Allemagne depuis 2012, vient de recruter un chargé de clientèle, Michael Duarte, dont la mission sera de distribuer les principales stratégies d’investissement de Rouvier. L’intéressé a travaillé précédemment chez Tecis, une société spécialisée dans le conseil financier.
La société de gestion sud-africaine Investec Asset Management vient de créer une succursale à Francfort, renforçant ainsi sa présence sur le marché allemand où son antenne de Francfort n'était jusqu’ici qu’un bureau de représentation, rapporte le site spécialisé Fondsprofessionell. L’implantation de Francfort compte deux personnes depuis 2015, Aymeric François et Maik Fechner, assistés depuis octobre 2017 de Franziska Laepple, chargée de clientèle pour le marché allemand mais qui reste basée à Londres.Investec AM dispose désormais de cinq succursales, à Luxembourg, Milan, Stockholm, Zurich et désormais Francfort. Les actifs sous gestion d’Investec AM s'élèvent à environ 114 milliards d’euros, en progression de quelque 40% sur les trois dernières années.
La société de gestion allemande Lupus alpha élargit son offre dédiée aux convertibles avec le lancement d’un deuxième fonds ouvert. Le fonds Lupus alpha Sustainable Convertible Bonds investit dans un portefeuille international diversifié d’obligations convertibles, qui respectent des critères rigoureux en matière de développement durable. Les émetteurs sont ainsi classés selon des critères écologiques, sociaux, éthiques et de gouvernance, précise un communiqué. Le lancement de cette stratégie répond à la demande croissante des investisseurs institutionnels pour ce type de stratégies, relève le communiqué.Le nouveau fonds met en oeuvre la même stratégie d’investissement que le premier fonds de convertibles lancé en février 2017, le Lupus alpha Global Convertible Bonds qui affiche un encours de 55 millions d’euros et qui a dégagé un rendement de 5,6% depuis son lancement pour une volatilité de 3,7%.Pour le choix des titres, les deux gérants du fonds, Marc-Alexander Kniess et Stefan Schaeur, sont assistés par deux spécialistes de la recherche durable, imug et Vigeo Eiris.
La société de gestion britannique J8 Capital Management et l’allemand Universal-Investment lancent un fonds de performance absolue, le UI-J8 Global Absolute Return Ucits Fund. La stratégie investit uniquement sur les marchés obligataires, les marchés de devises et les marchés de matières premières et évite volontairement les marchés actions. Autrement dit, le fonds constitue tout naturellement une stratégie de diversification pour les portefeuilles actions. Le fonds prend également en compte des critères éthiques et sociaux.Le fonds utilise une stratégie de performance absolue de J8 qui a fait ses preuves, indique un communiqué.Le J8 Futures Fund, la stratégie offshore sur laquelle se base le nouveau fonds, a un historique de performance de trois ans. Le fonds a ainsi réalisé une surperformance nette de 17,16% par rapport à l’indice SG-CTA.
La banque privée allemande Berenberg vient de renforcer son équipe de distribution dédiée à l’Asset Management avec le recrutement de Detlef Byallas en qualité de chargé de clientèle, en priorité la clientèle institutionnelle, rapporte le site spécialisé Fondsprofessionell. Detlef Byallas est rattaché à Lars Albert, responsable des ventes pour l’Asset Management. L'équipe de distribution compte désormais 13 collaborateurs et devrait être encore étoffée.Detlef Byallas travaillait précédemment chez Morgan Stanley Investment Management, où il avait en charge les clients institutionnels et intermédiaires en Allemagne et au Luxembourg.
Deutsche Bank a resserré la fourchette indicative de prix pour l’introduction en Bourse de sa filiale de gestion d’actifs DWS, dont la valorisation maximale est désormais de 6,6 milliards d’euros, a appris Reuters auprès d’un teneur de livre. La nouvelle fourchette de 32-33 euros se situe dans la moitié inférieure de la précédente (30-36 euros), laquelle aurait valorisé DWS jusqu'à 7,2 milliards d’euros. Une source a indiqué mardi soir que les livres d’ordres pour l’offre publique de vente (IPO) étaient couverts deux fois et demi. L’offre court jusqu'à jeudi, avec une première cotation en Bourse de Francfort prévue vendredi.
Dans un entretien à Il Sole – 24 Ore, Cinzia Tagliabue, qui est à la tête d’Amundi en Italie depuis le 1er janvier, confirme que l’Italie devient le centre « multi-asset » du groupe Amundi. « Outre servir l’Italie avec l’intégralité de l’offre Amundi et à coordonner les investissements en Italie du groupe, nous sommes le pôle multi-asset ». Concrètement, « nous avons une équipe spécialisée de 80 personnes, destinée à croître dès que nous augmenterons les mandats institutionnels. Depuis le début de l’année, par exemple, nous en avons récoltés plusieurs auprès des investisseurs institutionnels ». Par ailleurs, après le succès des plans d’épargne individuels italiens PIR, Cinzia Tagliabue indique étudier les Eltif, les fonds européens de long terme, « parce que nous avons les compétences pour réaliser des solutions innovantes, capables de créer un nouveau lien entre investisseurs et économie ».
LCM Partners, le gestionnaire d’actifs européen spécialisé dans le crédit alternatif, a annoncé, ce 21 mars, avoir conclu un partenariat stratégique avec la société américaine Brookfield Asset Management afin de développer conjointement les principales activités de gestion d’actifs et de services de crédit de LCM dans le monde. Selon les termes de l’accord, Brookfield AM va acquérir une participation stratégique de 25% dans Link Financial Group, qui comprend LCM Partners et ses sociétés sœurs qui exploitent une plateforme paneuropéenne de services de prêts sous la marque Link Financial. Brookfield AM dispose également d’une option lui permettant d’acquérir une participation supplémentaire de 24,9% au fil du temps. L’opération, dont le montant n’a pas été dévoilé, pourrait être finalisé au cours du deuxième trimestre, sous réserve d’obtenir les autorisations réglementaires nécessaires.A l’issue de la transaction, Link Financial Group continuera d’opérer de manière indépendante et d’être dirigée par l’équipe en place. Fondé en 1998, Link Financial Group compte aujourd’hui 10 bureaux en Europe et compte environ 700 collaborateurs. Depuis son lancement, la société a acquis plus de 2.500 portefeuilles de prêts auprès de grands groupes bancaires et autres institutions financières.
Le gestionnaire d’actifs américain Federated Investors, qui gère environ 400 milliards de dollars d’encours, serait sur le point de conclure le rachat du britannique Hermes Investment Management, rapporte Sky News. Le montant de l’opération s’élèverait à près de 400 millions de livres. De fait, Federated Investors pourrait annoncer d’ici quelques jours l’acquisition d’une participation de contrôle dans Hermes IM, dont les actifs sous gestion s’élèvent à 33 milliards de dollars. Saker Nusseibeh, directeur général de Hermes IM, aurait joué un rôle majeur des ces discussions. Selon Sky News, Old Mutual Asset Management, Eaton Vance et le gestionnaire australien Challenger auraient également démontré des marques d’intérêts pour une reprise de Hermes IM. Mais ce serait finalement Federated Investors qui serait entrés en discussions exclusives avec la société britannique depuis plusieurs semaines.
Investment professionals are more confident as to the outcome of negotiations over Brexit, but they remain persuaded that the exit of the United Kingdom from the European Union will have a negative impact on the financial attractiveness of the United Kingdom, a study by the CFA Institute released on 21 March finds.The 2018 edition of the CFA Institute Brexit barometer was undertaken in the first half of February, covering 974 investment professionals, including 233 in the United Kingdom, 238 in other countries in the European Union, and 503 in the rest of the world.Nearly half of portfolio management professionals surveyed (49%) feel that Brexit negotiations will result in a commercial agreement, which may cover goods and services (25%) or goods of all kinds (24%). The percentage is higher for investors located outside the European Union, particularly in China, where 52% of respodents are expecting an all-inclusive trade agreement to be reached, according to this annual survey, conducted since 2016 by the international association of investment professionals.Despite this optiism about the outcome of negotiations, asset managers surveyed are persuaded that the actions of the United Kingdom will have negative repercussions on the competitiveness and attractiveness of the country. Eight out of 10 managers estimate that Brexit will have a negative impact on profits earned in the United Kingdom, and this percentage rises to 95% for respondents in the EU outside the United Kingdom.Although British respondents are slightly less pessimistic than in previous year about their diminishing competitiveness on their domestic market, 64% estimate that Brexit will have a negative capacity on the ability of their firms to attract the best talent. 675 of British respondents expect their firms to reduce their presence in the United Kingdom, compared with 62% in 2017. This percentage rises to 76% among professionals in the EU, outside the United Kingdom, compared with 71% one year ago.“Although the emotional environment which the CFA Institute noted in its last study of Brexit has fallen off, the most recent data find real concerns for the competitiveness of the United Kingdom as a financial centre. … Participants in the survey, whether they be from the United Kingdom, the European Union, or the rest of the world, are also convinced that outsourcing agreements will have a negative impact on results for investors,” says Will Goodheart, director of the CFA Society UK, in a statement.Although Frankfurt remains the favourite, Paris is now among the top financial destinations to profit from Brexit. The French capital has in one year gone from fourth to second place, level with Dublin, and ahead of Luxembourg and Amsterdam. New York is in sixth place.
Italian players in the fintech sector have created Italiafintech, a working group which unites the main players in the sector in Italy, and which is seeking to increase “the contribution of fintechs to the financial well-being of Italian companies and households,” according to its website, www.italiafintech.org. The group is structured as an association, and aims to act as a point of reference and dialogue for institutions and regulators.Fintechs in Italy have 306 employees, and 425,000 active clients, according to statistics on the website of the association. They serve as intermediaries for savings and financing on about EUR450m.Among the members of ItaliaFintech are: Borsadelcredito, Conio, Credimi, Epic SIM, Fifty, Lendix, Modefinance, MoneyFarm, N26, Satispay, Virtualb, Workinvoice, Younited Credit, Soldo, Soisy and Raisin.