p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } La Française, with assets under management totalling over EUR66bn as of the end of 2017, is continuing its development strategy in Asia, with the appointment of Jennifer Choi as director of investor relationships for South Korea. Choi will be based in Seoul, and will report directly to the director of investor relationships for Asia, Shawna Yang. Choi brings her vast experience in managing and evaluating assets in commercial and hotel real estate, a statement says. Before joining the group, Choi was senior manager on the foreign real estate investment team at Korea Investment Management (KIM), responsible for sourcing and analysis of financial assets, fundraising and investor relationships. She previously worked for nearly nine years on the Cushman & Wakefield valuation team, three of whom were based in Los Angeles, where she specialised in valuation of hotel establishments. “2017 marked a new turning point for La Française. The signing of a major transition in Brussel for a club of Korean and French investors has brought assets under management on behalf of Asian investors over EUR1bn, As we opened our first Korean office in 2016, this growth is exceptional! The arrival of Choi is a real advantage for the team, and I am persuaded that she will play a key role in the development of our real estate expertise,” says Philippe Leconte, CEO of La Française AM International.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Jean-Charles Belvo, formerly of La Financière de l’Echiquier, has joined Inocap Gestion as European large cap equity manager, his LinkedIn profile says. Belvo officially began in the role in February 2018. According to the website of Inocap Gestion, Belvo is responsible for “consolidating the strategy put in place at the asset management firm.” Belvo, who holds a masters degree in management from ESCP Europe, began his career in 2007 as a financial analyst at Amiral Gestion and HSBC. He then joined La Financière de l’Echiquier in 2009, where he served as analyst and fund manager for European equity funds. According to his LinkedIn profile, he left La Financière de l’Echiquier in May 2017.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) on 20 March announced an investment of USD10m, in the form of share capital, in FX Innovation, one of the leaders in information technology consulting services in Quebec. The transaction will allow FX Innovation to pursue its growth plan, which aims for expansion of its activities, and acquisitions in North America. The Motreal-based business is also planning to invest in development of innovative solutions related to automation of management for information technology. “With the importance that we place on the digital transformation, the IT sector has strong potential for growth, particularly in IT could services. FX Innovation also has one of the largest expert centres in Montreal,” a statement says.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Spanish bank CaixaBank on Monday, 19 March announced that it is launching Smart Money, the first digital investment advising service to join its online banking platform. The new service offers clients customized investment recommendations, and allows them to oversee all of their investments via the online banking platform. Smart Money also allows clients to access a wide range of different assets and markets via managed portfolios, with a minimal investment of EUR1,000 and a cost of EUR6 per year. Each client is required to first answer a questionnaire, to allow the platform to evaluate their personal situation. “Users will instantly receive appropriate recommensations, depending on their investment objectives and their tolerance to risk,” CaixaBank says in a statement. “Then they have access to the portfolio of investment funds from the bank.” The new service, which is 100% online, is compliant with the MiFID 2 directive. At this launch, CaixaBank specially created new funds to allow for Smart Money portfolios to be constructed. The asset management unit at CaixaBank currently has EUR44.89bn in assets under management, and a market share of 16.71% as of the end of February in Spain, according to statistics from Inverco, the Spanish asset management association.
Employee savings are growing. At the conclusion of 2017, assets in employee savings set a new record at EUR131.5bn, up 7.3% compared with the end of 2016, according to an annual survey published on 20 March by the Association Française de la Gestion financière (AFG) “This growth is largely due to a positive one-year market effect,” AFG says.As of the end of 2017, employee shareholding assets represented EUR50.7bn, or 38.5% of the total. For their part, diversified funds, which themselves invest largely in equities, totalled EUR80.8bn, or 61.5% of total assets.The AFG also states that assets in SRI funds (excluding technical effects) rose 14% in 2017. The result is that “more than one euro out of four is placed in SRI, excluding employee shareholding,” the professional association says. Meanwhile, solidaristic funds have continued to grow, with EUR7.4bn, up more than 19% in one year.Although assets have risen strongly, the number of employee shareholding accounts has remained stable at over EUR10.3bn. However, the number of companies participating rose 3% to a total of 315,000, “including 310,000 SMEs with fewer than 250 employees who subscribe to employee savings,” the AFG says.
Le gestionnaire d’actifs néerlandais NN Investment Partners (NN IP) a annoncé, ce 20 mars, la nomination de Lewis Jones en qualité de gérant de portefeuille principal pour ses stratégies de dettes des marchés émergents en devises locales. Dans le cadre de ses activités, l’intéressé sera responsable des activités quotidiennes de gestion de tous portefeuilles de dettes émergentes en devises locales. Basé à New York, il sera rattaché à Marcelo Assalin, responsable de la boutique dédiée aux dettes émergentes de NN IP.Lewis Jones, qui compte 13 ans d’expérience dans les dettes émergentes, a rejoint NN IP en août 2016 en qualité de gérant de portefeuille sénior en charge des dettes émergentes en devises locales. Précédemment, il a travaillé chez BNP Paribas Investment Partners et Fischer Francis Trees & Watts, à Boston, en tant que gérant de portefeuille de dettes émergentes. Au cours de sa carrière, il est également passé chez State Street Global Advisors et Aviva Investors à Londres et à Boston.
En mars 2017, BlackRock a licencié sept gérants et transféré les milliards de dollars qu’ils géraient à un département peu connu du groupe de gestion d’actifs appelé Systematic Active Equities (SAE), relate le Financial Times. Cette entité de gestion quantitative basée à San Francisco est un héritage de l’acquisition de Barclays Global Investors, au même titre qu’iShares. « Je suis convaincu que dans cinq à dix ans, lorsque nous regarderons en arrière, nous dirons que la chose dont nous avons le plus profité dans l’acquisition de BGI est SAE », avance Mark Wiseman, responsable mondial des actions gérées activement chez BlackRock. Plus important, BlackRock espère que SAE ne va pas seulement devenir sa « locomotive » quantitative, mais va aussi l’aider à transformer plus largement la société en incubant de nouvelles techniques et sources de données qui seront diffusées dans l’ensemble de son activité de gestion d’actifs. L’enjeu est de taille : si Mike Wiseman réussit à remettre sur pied son pôle actions, il se mettra en bonne place pour succéder à Larry Fink à la tête de BlackRock, estime le FT. SAE emploie actuellement 80 gérants de portefeuilles et chercheurs, incluant plus de 30 PhDs en science informatique, physique et ingénierie. Pour s’assurer que le savoir-faire de SAE est bien transmis à l’ensemble de la société, BlackRock a débauché en avril dernier un dirigeant de Fidelity, Doug Chow, pour piloter un nouveau groupe d’intégration appelé « Middleware ». Une dizaine de personnes ont été recrutées et l’équipe devrait se composer de 30 personnes d’ici à 2019.
Une initiative en faveur d’une finance plus responsable et moins court-termiste. «Ces dernières décennies, deux mondes n’ont cessé de grandir séparément : le monde de la performance économique influencé par des contraintes court-termistes et soumis à la pression de la logique financière sur la réalité entrepreneuriale d’une part, et d’autre part, le monde associatif et philanthropique qui vit de sa perpétuelle quête auprès du premier. Alors, comment réconcilier le profit et la générosité ? La finance et l’entreprise ? La performance et le lien social ?», s’interrogent dans un communiqué Clara Gaymard et Gonzague de Blignières, les cofondateurs de Raise.C’est pour répondre à ces enjeux que les responsables ont décidé de lancer le Mouvement pour une Economie Bienveillante. «Le MEB, c’est avant tout la conviction qu’une entreprise bienveillante est plus performante et peut réussir plus vite et plus durablement qu’une entreprise classique. Plus qu’un mouvement, l’Economie bienveillante est une véritable mutation du monde économique qui sera demain la norme. Il s’agit de créer aujourd’hui les entreprises engagées et concernées que nous voulons pour les générations futures. Ce mouvement est destiné à encourager les entreprises de toutes tailles à s’organiser autour d’un modèle économique généreux et performant, et à rassembler tous les acteurs qui déjà, au quotidien, le construisent», selon le communiqué.Être une entreprise « MEB », c’est appliquer 3 principes : en premier lieu donner, en consacrant de façon automatique et permanente une partie des ressources économiques de son entreprise à une action philanthropique; ensuite, agir dans son propre secteur ou écosystème, afin de privilégier la logique d’impact, de nourrir le sens et la raison d’être de l’entreprise, et enfin agir ensemble en associant les salariés aux projets soutenus dont ils sont à la fois experts et acteurs.
Caceis a annoncé ce 20 mars la mise en place d’une nouvelle équipe de direction pour la ligne métier Private Equity Real Estate Securitisation (PERES). Afin de renforcer sa position sur le marché et de capitaliser sur les synergies avec le Groupe Crédit Agricole, Caceis a recruté Bruno Bourbonnaud, précédemment responsable mondial des Institutions Financières de CACIB, la banque d’investissement du Crédit Agricole. Bruno Bourbonnaud est nommé « Global Head » de la ligne métier PERES et rejoint le comité exécutif de Caceis. Par ailleurs, Arnaud Garel-Galais, précédemment responsable du développement commercial pour PERES au Royaume-Uni, a été nommé Group Head of Coverage & Business Development pour l’activité au niveau mondial. Selon le communiqué, l’activité de Private Equity Real Estate Securitisation (PERES) de Caceis a connu «une croissance exceptionnelle au cours des dernières années grâce aux importants investissements réalisés en matière de systèmes d’information, à son offre attractive notamment sur des prestations d’Equity bridge financing». Revendiquant la place de premier dépositaire français de fonds de private equity, dette privée et infrastructure, Caceis déclare 170 milliards d’euros d’actifs en conservation dans des fonds de Private Equity pour des clients internationaux.
Le vainqueur de l’appel d’offres portant sur la SCPI Vendôme Régions a été désigné : il s’agit de la SGP Norma Capital (ex-Glad Patrimoine), rapporte L’Agefi Actifs. Cette reprise intervient quelques semaines après que l’AMF a annoncé la procédure de retrait d’agrément de Vendôme Capital Partners (VCP), qui gère cette SCPI. Les associés de VCP l’ont décidé en assemblée générale le 19 mars, à une majorité de 80,5 %. « La décision doit toutefois être entérinée par le dépositaire (Société Générale Securities Services (SGSS), Ndlr) ainsi que par l’AMF », confie à L’Agefi Actifs une source proche du dossier.
Etoile Gestion réorganise de sa gamme de fonds. Dans une première lettre aux porteurs, la société de gestion, filiale du groupe Amundi, a en effet annoncé sa décision de transformer la sicav Etoile Asie Pacifique en fonds commun de placement (FCP). L’objectif est « de faire évoluer la gestion et d’élargir l’univers d’investissement », peut-on lire. Ainsi, « en vue de procéder à cette transformation, et de refléter la nouvelle stratégie de gestion mise en œuvre, le FCP Etoile Asie Pacifique sera créé à cette occasion et absorbera le jour même de sa création la sicav », indique Etoile Gestion dans cette lettre. En outre, le FCP sera désormais géré par Etoile Gestion en lieu et place d’Amundi Asset Management et « il ne fera plus l’objet d’une délégation de gestion financière », poursuit la société.Par ailleurs, Etoile Gestion souligne que « l’objectif de gestion, l’indice de référence, la stratégie d’investissement et le profil rendement/risque seront modifiés ». De fait, le nouveau FCP Etoile Asie Pacifique aura désormais pour objectif de gestion d’investir dans les marchés actions des pays de la zone Asie Pacifique y compris le Japon, « contrairement à la sicav qui investit sur ces mêmes marchés actions excepté le Japon », indique Etoile Gestion. En outre, le FCP sera géré de manière active grâce à la mise en place d’une stratégie définie selon les anticipations du gérant reposant sur une sélection d’OPC, alors que la gestion de la sicav est basée sur une sélection de titres vifs, ajoute le gestionnaire d’actifs. Enfin, actuellement la sicav est gérée avec comme indice de référence le MSCI All Country Asia Pacific Free ex Japan. A l’avenir, le FCP sera géré avec comme indice de référence le MSCI All Country Asia Pacific.Ces évolutions ont été approuvées par l’Assemblée Générale Extraordinaire de la sicav le 15 février 2018 et agréées par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) en date du 16 février 2018. Ces changements seront effectifs à compter du 24 avril 2018.En parallèle, dans une seconde lettre aux porteurs, Etoile Gestion annonce avoir décidé de fusionner le FCP Etoile Assurance Europe dans le FCP Etoile Banque Assurance Europe à compter du 24 avril 2018. Cette opération doit permettre aux investisseurs « de bénéficier d’un univers d’investissement toujours lié au secteur de l’assurance, mais également au secteur de la banque », indique la société de gestion. Cette fusion-absorption a été agréée par l’AMF en date du 16 février 2018 et sera donc effective en date du 24 avril 2018. Désormais, l’objectif de gestion du fonds « consiste à tirer parti de la dynamique des actions européennes liées aux secteurs de la banque et de l’assurance » alors qu’auparavant le fonds se concentrait exclusivement sur les actions européennes du secteur de l’assurance.
La Française, dont les actifs sous gestion s'élèvent à plus de 66 milliards d’euros à fin 2017, poursuit sa stratégie de développement en Asie avec la nomination de Jennifer Choi en qualité de directrice relations investisseurs - Corée du Sud. Basée à Séoul, Jennifer Choi sera directement rattachée au directeur des relations investisseurs Asie, Shawna Yang. Jennifer Choi doit apporter à La Française son expérience de la gestion et de l’évaluation d’actifs dans l’immobilier commercial et l’hôtellerie, souligne un communiqué. Avant de rejoindre le groupe, Jennifer était senior manager de l’équipe d’investissement en immobilier étranger de KIM (Korea Investment Management), en charge du sourcing et de l’analyse financière des actifs, des levées de fonds et des relations investisseurs. Elle avait au préalable travaillé près de neuf ans au sein du groupe Évaluation de Cushman & Wakefield, dont trois en étant basés à Los Angeles, où elle s’est spécialisée dans l'évaluation d'établissements hôteliers. «2017 a marqué un nouveau tournant pour La Française. La signature d’une transaction majeure à Bruxelles pour le compte d’un club d’investisseurs coréens et français a porté les actifs gérés au nom d’investisseurs asiatiques à plus d’un milliard d’euros. Sachant que nous avons inauguré notre premier bureau coréen en 2016, cette croissance est exceptionnelle ", commente Philippe Leconte, CEO de La Française AM International.
Le gestionnaire d’actifs américain Franklin Templeton Investments a annoncé, le 20 mars, l’acquisition de Random Forest Capital, une société d’investissement spécialisée dans la science des données (« data science ») et les prêts non-bancaires. Suite à l’opération, l’équipe de Random Forest Capital rejoindra la division obligataire de Franklin Templeton, a indiqué cette dernière dans un communiqué. Les détails de la transaction n’ont pas été dévoilés.Fondée en 2016, Random Forest Capital a adopté une approche de la gestion d’actifs du point de vue des données, dans laquelle le « machine learning » et les algorithmes statistiques sont appliqués pour dégager de la performance financière en ayant recours à des modèles complexes. « La société a construit une infrastructure ‘cloud’ évolutive qui lui permet de traiter des masses importantes de données non structurées non seulement pour obtenir des informations clés mais aussi pour déboucher sur une nouvelle puissance prédictive dans les données », explique Franklin Templeton dans un communiqué.
Jean-Charles Belvo, ancien de la Financière de l’Echiquier, vient de rejoindre Inocap Gestion en tant que gérant actions européennes grandes capitalisations, peut-on lire sur son profil LinkedIn. L’intéressé a officiellement pris ses fonctions courant février 2018. Selon le site internet d’Inocap Gestion, sa mission est « de consolider la stratégie mise en place au sein de l’équipe de gestion ».Titulaire d’un Master en management obtenu à l’ESCP Europe, Jean-Charles Belvo a débuté sa carrière en 2007 en tant qu’analyse financier chez Amiral Gestion et HSBC. Il rejoint ensuite la Financière de l’Echiquier en 2009 où il a occupé les fonctions d’analyste et de gérant de fonds actions Europe. Selon son profil LinkedIn, il avait quitté la Financière de l’Echiquier en mai 2017.
Peter G. Peterson, le co-fondateur de Blackstone, est mort à 91 ans, rapporte le Wall Street Journal. Ce fils d’immigrants grecs a été secrétaire pour le commerce dans l’administration Nixon. Il a fondé Blackstone avec Stephen A. Schwarzman, un ancien collègue de Lehman. Il avait pris sa retraite fin 2008.
Sterling Strategic Value Fund (SSVF), le fonds qui détient 6,47% de Latécoère en concert avec la Financière de l’Echiquier, espère parvenir d’ici quelques semaines à un accord avec le conseil d’administration de l'équipementier aéronautique sur sa gouvernance, a déclaré ce 20 mars son président à Reuters. L’Autorité des marchés financiers (AMF) a fait savoir lundi dans un avis que SSVF et la Financière de l’Echiquier avaient franchi le 13 mars le seuil de 5% du capital de Latécoère et qu’ils pourraient poursuivre cette action de concert afin d’obtenir la nomination de nouveaux administrateurs indépendants au conseil du fournisseur d’Airbus et de Boeing. «Nous avons soumis nos propositions au conseil et espérons parvenir à un accord sur un terrain d’entente dans les semaines à venir», a déclaré à Reuters Massimo Pedrazzini, président de Sterling Strategic Value Fund, qui détient 3,36% de Latécoère. En réponse à une question sur les changements stratégiques souhaités au sein de Latécoère, qui fournit des fuselages, des portes et des câblages aux avionneurs, il a répondu : «A ce stade, nos propositions ont principalement trait aux questions de gouvernance». L’action de concert menée avec SSVF est nécessitée par le «refus poli» de la part des deux premiers actionnaires, les fonds Monarch et Apollo, d’envisager l’arrivée de nouveaux administrateurs, a dit de son côté Didier Le Menestrel, président de La Financière de l’Echiquier, qui détient 3,11% de Latécoère. «Il ne nous semble pas normal que 25,8% du capital contrôle la moitié du conseil d’administration de Latécoère», a-t-il argué. SSVF et La Financière de l’Echiquier se sont refusé à tout commentaire sur le niveau auquel ils pourraient monter au capital de Latécoère.
Le conseiller américain en investissements A.W. Jones Private Advisors lance A.W. Jones Private Advisors, une boutique qui offrira des services de gestion de fortune sur une plate-forme d’investissement en architecture ouverte avec une spécialisation sur les investissements alternatifs. La nouvelle entité est dirigée par Robert L. Burch, directeur des investissements de A.W. Jones Company, et Thomas J. Haug, président. Avi J. Rosenblatt a été nommé directeur financier et directeur des opérations, et David D. Leveroni, un ancien de Permal, devient responsable de la recherche sur les investissements.
En 2017, des employés du fonds de pension suédois AP2 ont conçu de nouveaux indices pour la classe d’actifs actions monde. Ainsi, le fonds affiche désormais une exposition ESG sur tout son portefeuille actions étrangères, représentant 99 milliards de couronnes suédoises, soit 9,8 milliards d’euros. Les nouveaux indices sont en ligne avec la mission de l’AP2, car ils sont censés apporter un rendement plus élevé avec un risque plus faible, et dans le même temps prendre en compte les aspects de la durabilité, assure le communiqué.Fin 2016, AP2 avait initié un chantier visant à remplacer les six indices à facteur de risque unique par deux nouveaux : un pour les pays développés et l’autre pour les marchés émergents. Les indices prennent en compte différents critères ESG : le climat et l’environnement, les facteurs sociaux et les facteurs de gouvernement d’entreprise.
Le groupe italien Assicurazioni Generali SpA a annoncé ce 20 mars le lancement de Generali Global Infrastructure (GGI), une nouvelle plateforme d’investissement dans la dette d’infrastructures, qui constitue, selon un communiqué, «la première étape de construction de la plus grande plateforme européenne multi-boutiques dédiée à la gestion des actifs de compagnies d’assurance, plateforme qui accueillera des investissements de Generali et d’investisseurs institutionnels». GGI est un partenariat stratégique avec Generali Investment Partners dont Generali détient une participation majoritaire. Les autres partenaires de la joint venture sont Philippe Benaroya, managing partner et CEO de GGI, Alban de La Selle, managing partner et CIO de GGI, et Gilles Lengaigne, managing partner de GGI, trois spécialistes du financement des infrastructures «très expérimentés et ayant des historiques de performance de grande qualité». Philippe Benaroya et Gilles Lengaigne ont été précédemment co-fondateurs et co-responsables de l'équipe d’investissement dédiée à la dette d’infrastructures en Europe chez BlackRock. Alban de La Selle a notamment mis en place et dirigé les activités de Dexia au Canada et dirigé les services bancaires au secteur public de la banque de grande clientèle aux Etats-Unis. GGI va mettre en place des stratégies d’investissement dans la dette d’infrastructures pour les clients internes aussi bien qu’externes. Elle bénéficiera de l’engagement financier significatif de Generali Group à l’égard de la classe d’actifs, de son expertise en matière de solutions de gestion actif/passif et des compétences de l’équipe de gestion. Les actifs sous gestion confiés par les investisseurs institutionnels externes devraient atteindre 2,5 milliards d’euros au cours des cinq prochaines années, puis doubler au cours des cinq suivantes. Dans l’immédiat, l’activité de la nouvelle entité est initiée avec un premier fonds internationale dédié à la dette d’infrastructures d’au moins 1 milliard d’euros d’actifs provenant du groupe Generali. Dans le cadre de ce nouveau modèle multi-boutiques, GGI prévoit d’investir dans des titres de dette d’infrastructures issus d’un large éventail de pays et de secteurs, et compte développer une gamme de produits et de solutions à destination des investisseurs, précise le communiqué. En termes de philosophie d’investissement, GGI va adopter une approche rigoureuse en matière de sélection des investissements, que ce soit du point de vue de la qualité de crédit ou de celui des critères ESG (Environmental, Social, and Governance). Compte tenu du capital de départ de la boutique et de l’attrait de la plateforme auprès des investisseurs institutionnels, GGI pourra travailler sur un grand nombre d’opportunités d’investissement, que ce soit sur le segment de la dette senior ou celui de la dette mezzanine. Ces types d’investissement étant de long terme par nature, ils conviennent parfaitement au passif d’une compagnie d’assurance internationale comme Generali.
Le fonds de pension californien CalPERS a annoncé ce 20 mars ses priorités pour 2018 en matière de politique d’engagement. Parmi les initiatives prioritaires figurent la diversité et le reporting sur le risque climatique, souligne un communiqué. «Nous interpellons les entreprises sur des problèmes qui touchent la santé à long terme de leur activité et par conséquent nos investissements», déclare Ted Eliopoulos, responsable des investissements de CalPERS, cité dans le communiqué.La diversité dans les conseils d’administration arrive en tête des initiatives de l’année car les entreprises qui favorisent la diversité dégagent généralement des performances financières plus élevées que les sociétés indifférentes ou peu sensibles à cette problématique, relève le communiqué. En 2017, CalPERS a interpellé plus de 500 sociétés en raison de leur déficit de femmes au sein de leur conseil d’administration. En 2018, le fonds de pension poursuivra dans cette voie en sollicitant notamment les entreprises qui n’ont fait aucun effort en faveur de la diversité. Et si nécessaire, CalPERS fera pression sur les administrateurs par le biais de sa politique de vote lors des assemblées générales. Parallèlement, CalPERS poursuivra ses efforts pour obtenir des sociétés qu’elles publient leur politique en matière de risque climatique, à savoir comment elles comptent réduire leurs émissions et comment elles gèrent les risques liés au changement climatique. Le fonds de pension interviendra notamment au sein de l’initiative Climate Action 100+, un consortium de 256 investisseurs représentant au total 28.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion et militant pour la publication de davantage d’informations financières liées au climat.
Le fonds de pension New York State Common Retirement Fund a l’intention de s’opposer à la réélection de tous les administrateurs de centaines d’entreprises américaines dont les conseils d’administration n’incluent aucune femme, rapporte le Wall Street Journal. La campagne doit être annoncée mercredi. Les femmes représentaient 16,5 % des administrateurs dans les entreprises du Russell 3000 à la fin de l’année, en légère hausse par rapport aux 15,1 % en 2016, selon Equilar.
Virgin Money et Aberdeen Standard Investments, la division de gestion d’actifs du groupe Standard Life Aberdeen, ont annoncé hier la création d’une co-entreprise. L’objectif de la structure est de développer les services de gestion d’actifs offerts aux clients de la banque britannique, qui affiche pour l’heure 200.000 clients et 3,7 milliards de livres (4,22 milliards d’euros) d’encours. Aberdeen Standard Investments prendra une participation de 50% dans Virgin Money Unit Trust Managers en échange d’un versement de 40 millions de livres.
Fin 2017, les encours sous gestion d'Aviva Investors France, filiale de l'assureur britannique Aviva, ont atteint 108,5 milliards d'euros, en progression de 3,4 milliards d'euros par rapport à 2016. Une augmentation portée notamment par les encours de la clientèle externe passés de 5% à fin 2016 à 18% à fin 2017.
Legal & General Investment Management (LGIM) vient d'annoncer la finalisation de Canvas, plateforme européenne d’ETFs anciennement détenue par ETF Securities.
Swiss Life et l’assureur espagnol Mapfre veulent investir ensemble sur le marché immobilier français. Pour ce faire, les deux sociétés mettront en place au cours des prochains mois un véhicule d’investissement, géré par Swiss Life AM, qui investira dans l’immobilier de bureaux «prime» dans plusieurs villes françaises. Visant un investissement de 150 millions d’euros et un rendement de 4% par année sur une période de un à deux ans, le fonds sera d’abord alimenté par deux actifs immobiliers fournis par Swiss Life. Cet investissement initial de 75 millions d’euros consistera en deux bâtiments haussmaniens situés dans le quartier central des affaires de Paris. «D’autres investissements sont prévus, l’objectif étant d’avancer rapidement et d’investir de manière significative dans l’immobilier paneuropéen», indiquent les deux groupes dans un communiqué. Et de poursuivre : «Cette opération fait partie de la stratégie de Mapfre visant à diversifier son portefeuille [...] et à augmenter progressivement ses investissements alternatifs». Sur cette opération, Mapfre et Swiss Life ont été conseillés par IDBO Consultants en Espagne et Philinx Consulting en France.
Virgin Money et Aberdeen Standard Investments, la division de gestion d’actifs du groupe Standard Life Aberdeen, ont annoncé mardi la création d’une co-entreprise. L’objectif de la structure est de développer les services de gestion d’actifs offerts aux clients de la banque britannique, qui affiche pour l’heure 200.000 clients et 3,7 milliards de livres d’encours. Aberdeen Standard Investments prendra une participation de 50% dans Virgin Money Unit Trust Managers en échange d’un versement de 40 millions de livres.
Le groupe suisse Lombard Odier vient de recruter Javier Basa en qualité de « senior vice president » au sein de ses équipes en Espagne, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé, qui compte plus de 16 ans d’expérience dans le secteur de la banque privée, arrive en provenance de Credit Suisse où il était directeur de l’équipe dédiée aux clients très fortunés (« ultra high net worth individual » ou UHNWI). Auparavant, il a officié chez Barclays, déjà comme directeur de la clientèle UHNWI.Par ailleurs, Lombard Odier a renforcé son équipe de banquiers privés en recrutant Julio Lopez-Elola comme banquier senior et Cristina Villanueva comme assistante banquier privé. Tous deux travaillaient précédemment dans l’équipe de Javier Basa chez Credit Suisse.Enfin, le groupe suisse a recruté Rocio Esquivias en qualité de directrice des opérations. Comptant plus de 12 ans d’expérience, elle arrive en provenance d’Edmond de Rothschild où elle a travaillé pendant 10 ans, dernièrement en tant que directrice de la conformité.
Franklin Templeton Investments vient de recruter Beatriz Gonzalez-Robatto au sein de ses équipes commerciales en Espagne en qualité de « sales executive », rapporte le site spécialisé Funds People. La nouvelle recrue est rattachée à Ana Alvarez, directrice commerciale en charge de la distribution pour la péninsule ibérique au sein de la société de gestion. Beatriz Gonzalez-Robatto a précédemment travaillé chez Santander, BBVA et, dernièrement de la société Preventiva Seguros où elle était gérante.