BNP Paribas Asset Management annonce le lancement d’une nouvelle stratégie smart beta obligataire, investissant dans des obligations d’entreprises notées « Investment Grade » émises en euro. Il est géré selon une approche quantitative dite « multi-facteur » et est baptisé Parvest QIS Multi-factor Credit Euro IG. Il a été lancé en janvier dernier, et est géré par les équipes de gestion Quantitative du pôle Multi-Asset Quantitative & Solutions (MAQS) de BNP Paribas Asset Management.Après le lancement de stratégies factorielles sur les marchés actions (depuis 2008) et sur les obligations d’état et devises (depuis 2009), ce fonds permet ainsi d’appliquer cette approche « multi-facteur » au segment des obligations d’entreprises. Le fonds totalise à fin février 2018 un peu plus de 100 millions d’euros d’encours sous gestion, affirme le communiqué. La sélection des titres s’appuie sur une analyse systématique d’indicateurs fondamentaux et de données de marché dans l’objectif d’identifier les titres présentant les meilleures perspectives de rendement ajusté du risque au sein de l’univers d’investissement. « La stratégie multi-facteur mise en place dans le fonds Parvest QIS Multi-factor Credit Euro IG est le fruit de nombreuses années de recherche sur les moteurs de performance des marchés obligataires, explique Olivier Laplénie, responsable de la gestion Quantitative Fixed Income au sein de BNP Paribas Asset Management. En combinant notre expertise des marchés obligataires et le savoir-faire de nos équipes de recherche quantitative, nous avons pu identifier des indicateurs variés, issus à la fois des marchés action et crédit et des bilans des entreprises, qui expliquent en grande partie la performance des obligations d’entreprises. »
La société de capital-investissement Eight Roads Ventures, qui a investi dans la fintech française Compte-Nickel et le spécialiste britannique du meuble Made.com, lance un nouveau fonds européen de 375 millions de dollars, rapporte le quotidien Les Echos. Ce véhicule sera dédié aux « scale-up », ces start-up qui, fortes d’un business model déjà éprouvé, cherchent à changer de dimension. Un premier fonds analogue avait été lancé en 2010 pour 150 millions, et un second en 2015 pour 250 millions. Alimenté uniquement par Fidelity International, le fonds prendra des tickets de 10 à 30 millions de dollars dans 15 à 20 entreprises, seul ou avec des partenaires. Les « scale-up » seront basées en Europe, mais aussi en Israël, où Eight Roads Ventures souhaite intervenir de manière plus intense après deux premières opérations dans AppsFlyer (plateforme d’attribution pour la publicité mobile) et Hibob (logiciels de ressources humaines.
J.P. Morgan Private Bank a nommé Riccardo Pironti nouveau responsable des marchés de la Scandinavie et des Pays-Bas, rapporte Bluerating. L’intéressé continuera toutefois à assumer la responsabilité de l’Italie, qu’il couvre depuis 16 ans.
Legal & General Investment Management a bouclé l’acquisition de Canvas, la plate-forme d’ETF européens d’ETF Securities. « LGIM va désormais proposer une gamme irrésistible d’ETF aux côtés de sa gamme existante de fonds indiciels », commente Mark Zinkula, CEO de la société de gestion, dans un communiqué.L’acquisition, qui a été annoncée en novembre 2017, concerne la plate-forme d’ETF Canvas et son infrastructure intégrée, ainsi que 2,86 milliards d’euros d’encours sous gestion répartis dans 20 produits cotés sur différentes Bourses européennes et autorisés à la distribution dans 14 pays européens. LGIM va continuer à faire croître la plate-forme, y ajoutant ses propres produits à la gamme dans le courant de l’année. En attendant, Howie Li, l’ancien CEO de Canvas, a rejoint les bureaux londoniens de LGIM avec l’équipe de Canvas.
Nordea Liv & Pension a recruté Claus Hvalsøe en tant que responsable de la construction de portefeuille et de l’overlay, rapporte le site danois FinansWatch. L’intéressé vient de Danske Bank où il était gérant de portefeuilles senior. Il prendra ses fonctions le 1er mai.
Les investisseurs ont intérêt, avant d’adopter leur stratégie d’exclusion, à identifier précisément l’impact potentiel des filtres sur la performance à court terme.
Les encours du pôle de gestion d'actifs français de l'assureur britannique ont au global grimpé l’an dernier de 3,4 milliards d’euros, à 108,5 milliards.
Entre finance, technologie et réglementation, l’AMF est intervenue lors des tables rondes de l’ANACOFI 2018. Franck Guiader, directeur de la division fintech et innovation de l’AMF a souligné l’importance d’ajouter la notion de gestion des technologies à celle de gestion des risques dans le cadre des activités de conseils.
Lundi 19 février, la société de gestion Comgest a publié les résultats de son activité en 2017. L'an dernier, elle a collecté 2 milliards d'euros et porté ses actifs sous gestion à un niveau record de 28,3 milliards d'euros.
De la brousse sénégalaise aux marchés financiers, l’itinéraire de Frédéric Lagier, directeur général d’Indép’AM, est tout sauf linéaire. Cet amoureux du jazz et de sport est toujours à la recherche du mot juste dans la description des choses. Infatigable travailleur, il redoute le jour où il devra prendre sa retraite pour se concentrer uniquement sur les arbres fruitiers qui poussent dans son jardin.
Créée en 2006 pour gérer les actifs du groupe Garance (ex-MNRA), Indép'AM est entrée depuis 2017 dans une nouvelle phase de son développement. La société de gestion a décidé, d'une part, d'accélérer la commercialisation de son offre à la clientèle externe et, d'autre part, d'ouvrir son capital à ses salariés à hauteur de 17,8 %. Elle a également créé le poste de responsable commercial pour la première fois et recruté Séverine Ananda, venue de chez BNP Paribas Securities Services. Le processus de sélection de fonds d'Indép'AM, basé avant tout sur des aspects qualitatifs, exclut les gestions collégiales et l'utilisation des stop/loss.
Plusieurs grands fonds de pension (Alecta, AP3, AP4, APK Pensionkasse, APK Vorsorgekasse AG, ERAFP, MP Pension), compagnies d’assurances (Crédit Agricole Assurances, LocalTapiola General Mutual Insurance Company, LocalTapiola Mutual Life Insurance Company), gestionnaires d’actifs, banques de développement international, et autres institutions ont annoncé avoir investi dans le fonds Amundi Planet Emerging Green One (EGO). Lancé par IFC, membre du groupe de la Banque Mondiale, et Amundi, avec un encours de 1,42 milliard de dollars, ce fonds prévoit d’investir près de 2 milliards de dollars dans des obligations vertes dans les pays émergents durant sa durée de vie. Avec un engagement de 256 millions de dollars, IFC est le plus grand investisseur dans le fonds qui vise à financer des projets focalisés sur le changement climatique dans les pays émergents. La participation d’IFC en tant qu’investisseur de référence, ainsi que celle d’autres entités de financement du développement telles que la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BRED), la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et Proparco, confirment le consensus existant pour les initiatives de financement vert axées sur la lutte contre le changement climatique et confortent l’ambition du fonds d’établir des normes exigeantes pour les obligations vertes des marchés émergents. «La BEI est très fière de devenir un investisseur de référence du premier fonds d’obligations vertes des marchés émergents avec une participation de 100 millions de dollars», a commenté Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI. «Par son intervention, la BEI contribuera à accélérer la transition des marchés émergents vers une économie verte, tout en soutenant la croissance et l’emploi. La banque de l’UE reste déterminée à mobiliser des investisseurs privés et à financer des projets aux fins des Objectifs de développement durable et de l’Accord de Paris sur le climat conclu à l’issue de la COP 21.» Afin que le fonds puisse devenir, via sa politique ESG, la référence du marché en termes d’exigences environnementales et sociales, un comité scientifique composé d’experts de la finance verte issus d’institutions de développement a été mis en place pour conseiller Amundi en tant que gérant du fonds. La politique ESG du fonds reflète les Standards de Performance 2012 d’IFC et les «Activités Exclues» par IFC. La signature de l’Accord de Paris sur le Climat créé des opportunités d’investissement significatives. Une étude récente d’IFC portant sur 21 pays émergents, recense près de 23 trillions de dollars d’opportunités d’investissements d’ici 2030 en lien avec la lutte contre le dérèglement climatique.
Deutsche Bank Wealth Management vient de nommer Jorge Rocafort Lasheras en qualité de directeur régional en charge de la Catalogne et des Îles Baléares, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé arrive en provenance de Credit Suisse où il a officié pendant près de 8 ans, d’abord comme banquier privé puis comme responsable depuis le Luxembourg des marchés espagnols et portugais. Avant cela, il a travaillé pendant 7 ans chez Santander Wealth Management.
Mark Vreeswijk a rejoint Kempen Capital Management comme chargé de clientèle institutionnelle, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. L’intéressé vient de passer douze ans à Londres où il a été en dernier lieu responsable du suivi de la clientèle institutionnelle néerlandaise chez Goldman Sachs. Auparavant, il a exercé chez Barclays Capital dans la distribution de produits obligataires auprès de fonds de pension et d’assureurs néerlandais.
Le gestionnaire d’actifs espagnol azValor a annoncé, ce 16 mars, le recrutement dans les prochains jours de Javier Saenz de Cenzano en qualité de responsable de son nouveau fonds multi-gérant, baptisé « Managers ». Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, l’intéressé pilotera un portefeuille de gérants externes internationaux qui partagent les mêmes principes d’investissements qu’azValor. « L’objectif est de compléter l’offre d’azValor à ses clients avec des investissements dans des marchés autres que le marché historique de nos produits existants, en mettant l’accent dans régions en dehors de l’Europe, tant dans des marchés développés que des marchés émergents, indique la société de gestion dans un communiqué. Le gestionnaire d’actifs espagnol entend travailler avec « des professionnels expérimentés et de prestige, qui gèrent des volumes limités et qui se sont montrés fidèles à un style et une approche d’investissement comme celui développé par azValor, obtenant ainsi d’excellents rendement à long et très long terme ». Avant de rejoindre azValor, Javier Saenz de Cenzano était directeur en charge de la recherche de gérants (« director of manager research ») pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Morningstar, où il supervisait à ce titre une équipe dédiée à l’analyse des fonds. Avant cela, il avait travaillé comme analyste Russell Investments, à Londres, et chez Allfunds Bank à Madrid.
Amundi et IFC, membre du Groupe de la Banque Mondiale, ont annoncé vendredi soir le lancement « du plus grand fonds d’obligations vertes émises sur les marchés émergents ». Avec un encours de 1,42 milliards de dollars, ce fonds appelé Amundi Planet Emerging Green One (EGO) prévoit d’investir près de 2 milliards de dollars dans des obligations vertes dans les pays émergents durant sa durée de vie. Avec un engagement de 256 millions de dollars, IFC est le plus grand investisseur dans le fonds qui vise à financer des projets focalisés sur le changement climatique dans les pays émergents. Le lancement d’Amundi Planet EGO marque l’aboutissement d’une campagne de levée de fonds réussie, rassemblant un large panel d’investisseurs institutionnels à travers l’Europe et le Moyen-Orient. « De par son échéance à long terme et sa grande taille, ce fonds, de droit luxembourgeois, devrait permettre d’accroître fortement l’ampleur et le rythme des financements de projets climatiques dans les marchés émergents en attirant d’importants capitaux d’investisseurs internationaux et ainsi favoriser la création de nouveaux marchés », indique un communiqué. « Amundi Planet EGO est le premier de son genre à adopter une approche intégrée en investissant dans des obligations vertes de pays émergents tout en favorisant la création d’un marché d’obligations vertes de qualité par la mise en place de mesures d’accompagnement des émetteurs. Un programme d’assistance technique géré par IFC avec une subvention initiale de 7,5 millions de dollars émanant du SECO (Secrétariat d’Etat à l’économie suisse) aidera en effet à la création de nouveaux marchés pour le financement climatique en développant des standards d’obligations vertes et en proposant des programmes de formation pour les institutions financières cibles. Cela facilitera l’adoption par ces dernières des « Green Bond Principles » et des meilleures pratiques internationales », poursuit le communiqué. Plusieurs grands fonds de pension (Alecta, AP3, AP4, APK Pensionkasse, APK Vorsorgekasse AG, ERAFP, MP Pension), compagnies d’assurances (Crédit Agricole Assurances, LocalTapiola General Mutual Insurance Company, LocalTapiola Mutual Life Insurance Company), gestionnaires d’actifs, banques de développement international, et autres institutions ont manifesté un intérêt pour ce projet de finance verte. Outre la participation d’IFC en tant qu’investisseur de référence, le fonds peut compter sur d’autres entités de financement du développement telles que la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BRED), la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et Proparco. Afin que le fonds puisse devenir, via sa politique ESG, la référence du marché en termes d’exigences environnementales et sociales, un comité scientifique composé d’experts de la finance verte issus d’institutions de développement a été mis en place pour conseiller Amundi en tant que gestionnaire du fonds. La politique ESG du fonds reflète les Standards de Performance 2012 d’IFC et les « Activités Exclues » par IFC.
Fidelity International a promu Bryan Collins au poste de responsable de la gestion obligataire en Asie à compter du 1er février, rapporte le site spécialisé Asian Investor. Basé à Hong Kong, l’intéressé officiait précédemment en tant que gérant de portefeuille au sein de l’équipe obligataire asiatique.
La société de gestion suisse Swisscanto Invest a donné une touche responsable et durable à une partie de son offre de fonds, rapporte le site spécialisé Das Investment. A compter du 16 mars, plusieurs fonds, au total cinq, sont gérés selon une approche durable et sont de ce fait renommés. «De cette façon, nos fonds multi-classes d’actifs traditionnels intègrent une note durable, qui s’accompagnent d’un profil de risque/rendement inchangé», commente Jan Sobotta, responsable de la distribution internationale.C’est ainsi que le Portfolio Fund Income devient Portfolio Fund Responsible Relax, Portfolio Fund Yield devient Portfolio Fund Responsible Select, Portfolio Fund Balanced devient Portfolio Fund Responsible Balance, Portfolio Fund Growth devient Portfolio Fund Responsible Ambition, et Portfolio Fund Euity devient Portfolio Fund Responsible Focus.Dans les cinq fonds concernés seront notamment mis en oeuvre les critères d’exclusion appliqués aux thèmes du changement climatique, de la diversité ou encore de la santé. En outre, chaque société sera passée au crible des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Les indices de référence seront également remplacés par des indices plus appropriés à la nouvelle approche.
Hillhouse Capital Management, société d’investissement basée à Pékin et Hong Kong, lève ce qui pourrait être le plus gros fonds dédié à la Chine et sa région, rapporte le Financial Times. Le fondateur de la société, Zhang Lei, a indiqué aux investisseurs qu’il ne veut pas plus de 8 milliards de dollars, alors qu’il a des engagements de plus de 10 milliards. Plusieurs d’entre eux estiment qu’il terminera avec un fonds dépassant le record de 9,3 milliards de dollars levé par KKR l’an dernier en Asie. L’objectif initial de Zhang Lei était de 6,5 milliards de dollars, en plus des 30 milliards qu’il gère actuellement.
Le groupe suisse UBS souhaite développer ses activités de gestion de fortune par le biais de nouvelles acquisitions, rapporte l’agence Bloomberg. Après la clarification par les régulateurs internationaux des règles de solvabilité, le groupe suisse pourrait s’intéresser à des cibles disposant de portefeuilles d’au moins 10 milliards de francs, ont indiqué des sources anonymes à Bloomberg. UBS prévoit parallèlement de racheter ses propres actions jusqu'à hauteur de 2 milliards de francs mais ce programme de rachat laisse malgré tout une marge de manoeuvre suffisante pour faire de la croissance externe, indique-t-on.En janvier dernier, UBS a déjà racheté les activités de banque privée au Luxembourg du scandinave Nordea, soit un encours d’environ 13 milliards d’euros. Il y a environ un an, le groupe avait racheté le family office brésilien Consenso, le plus gros multi-family office du Brésil avec des actifs sous gestion d’environ 5,8 milliards de francs.
La société suisse Kendris, prestataire de services à destination des gestionnaires de fortune et des family offices, a annoncé ce 16 mars la nomination au comité de direction de trois nouveaux associés, Daniel Schmid, Antonia Spuhler et Damian Tobler. Le comité de direction de Kendris, qui emploie quelque 200 experts dans une quarantaine de pays, comptera donc huit membres. Daniel Schmid dirige depuis 205 les services juridiques de la société, Antonia Spuhler, responsable des clients russes et américains, s’occupe du développement de la société à l’international, tandis que Damian Tobler supervise la comptabilité et le reporting.
La société de gestion américaine Payden & Rygel, qui gère 120 milliards de dollars, vient d’ouvrir un bureau à Milan, en Italie, renforçant ainsi sa présence en Europe. Elle a parallèlement recruté Nicolo Piotti en tant que «managing director». Ce dernier vient de Morgan Stanley à Zurich où il était «managing director» et responsable de la Suisse et de l’Autriche. Précédemment, il a passé 14 ans chez Morgan Stanley en Italie où il couvrait les clients institutionnels et intermédiaires. « Payden propose ses services aux clients italiens depuis près de 20 ans, dont plusieurs institutions supranationales locales », explique Joan Payden, président et directeur général de Payden & Rygel. « Notre présence à Milan va nous aider à mieux service nos clients et à étendre notre activité en Italie et en Europe continentale », poursuit-il.Basé à Los Angeles, Payden & Rugel a déjà des bureaux à Londres.
Des salariées de Coutts & Co, la banque privée de la Reine d’Angleterre, se sont plaintes de harcèlement physique et verbal de la part de plusieurs de leurs collègues masculins, rapporte le Wall Street Journal. Certaines femmes ont même refusé de travailler avec le banquier star Harry Keogh, l’homme au centre des plaintes. En 2015, la banque a demandé à une personne de conduire une enquête interne sur l’équipe d’une dizaine de banquiers de Harry Keogh, selon des documents internes lus par le Wall Street Journal. Elle a interrogé 20 banquiers de Coutts et a été informée d’allégations de comportement inapproprié par Harry Keogh et d’autres banquiers, dont des commentaires obscènes, des beuveries et des contacts physiques non voulus. L’information a été relayée au directeur général, Michael Morley, qui pensait qu’un départ d’Harry Keogh était souhaitable. Mais après discussions avec Royal Bank of Scotland, la maison mère, dont Alison Rose, responsable de la banque commerciale et privée, il a été décidé que Harry Keogh pouvait rester.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The US asset management firm Payden & Rygel, with USD120bn in assets under management, has opened an office in Milan, Italy, as an addition to its presence in Europe. The firm has recruited Nicolo Piotti as managing director. Piotti joins from Morgan Stanley in Zurich, where he had been managing director and head for Switzerland and Austria. He previously spent 14 years at Morgan Stanley in Italy, where he had covered institutional and intermediary clients. “Payden has been offering his services to Italian clients for nearly 20 years, including several local supra-national instutions,” explains Joan Payden, chairman and CEO of Payden & Rygel. “Our presence in Milan will help us to better serve our clients and extend our activities in Italy and continental Europe,” he adds. Payden & Rygel, based in Los Angeles, already has offices in London.
Equity funds have seen record global inflows of USD43.3bn for the week ending on 14 March, according to statistics from Bank of America Merrill Lynch. US equity funds alone have seen inflows of USD34.6bn. Bank of America Merrill Lynch emphasizes, on the basis of data from EPFR Global, that this appetite for equity funds is in line with a stable Nyse Composite Index since the start of the year.Funds investing in European equities have not been as successful, and have seen USD1.3bn in redemptions. Japanese and emerging market equity funds have continued to benefit from investors’ favours, with net subscriptions of USD2.9bn for the week.By sector, funds dedicated to technology stocks have posted record weekly inflows of USD2.6bn, for USD9.8bn since the beginning of the year, also an unprecedented record.In bonds, inflows are more modest, with a net USD2.4bn in inflows. High yield bond funds saw a ninth consecutive week of redemptions (totalling USD900m), the longest stretch of redemptions since 2007, analysts at BofA Merrill Lynch note, concluding that this may represent a fragility factor for equity markets.
“We are seeking to make more acqusitions of companies with EUR2bn to EUR10bn in assets under management,” Naïm Abou-Jaoudé, CEO of Candriam Investors Group and chairman of New York Life Investment Management International, has told NewsManagers. After acquiring more than 40% of Tristan Capital Partners at the start of 2018, a first external growth operation, Candriam is not planning to rest on its heels. When asked more particularly about a potential acquisition of a part of the asset management activities of ABN Amro Investment Solutions, Abou-Jaoudé did not wish to comment.But he is clear that external growth is on the menu for Candriam, with the idea at heart of adding to its competence or complementary client bases. That could happen another time this year. “I said last year that we were aiming to achieve EUR150bn by 2021, and that out of EUR50bn of growth, EUR40bn will come from organic growth, and EUR10bn from acqisitions,” says Abou-Jaoudé.Meanwhile, in 2017, Candriam got part of the way, with an increase in assets from EUR10.7bn to EUR112.6bn. That is largely due to a net inflow of EUR7.1bn, up from EUR5.5bn in 2016.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Spanish asset management firm azValor on 16 March announced that in the next few days, it will be recruiting Javier Saenz de Cenzano as head for its new multi-manager fund, entitled “Managers.” In his new role, De Cenzano will oversee a portfolio of international external managers who share the same investment principles as azValor. “The objective is to add to the azValor range for its clients, with investment in other markets than the historic market for our existing products, putting the emphasis on regions outside Europe, both in developed and emerging markets,” the asset management firm says in a statement. The Spanish asset management firm plans to work with “experienced and prestigious professionals, who manage limited volumes, and who are faithful to a style and investment approach like the one developed by azValor, for excellent long and very-long term returns.” Before joining azValor, Saenz de Cenzano was director of manager research for the Middle East and Africa at Morningstar, where he oversaw a team dedicated to fund analysis. Before that, he worked as an analyst at Russell Investments, in London, and at Allfunds Bank in Madrid.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Swiss UBS group is seeking to develop its wealth management activities through new acquisitions, the news agency Bloomberg reports. After clarification by international regulators of solvency rules, the Swiss group may be targeting companies with portfolios of at least CHF10bn, anonymous sources have told Bloomberg. UBS is also planning to buy back CHF2bn of its own shares, but this share repurchase programme still leaves enough headroom to make external acquisitions, the sources say. In January this year, UBS acquired the Luxembourg-based private banking activities of the Scandinavian group Nordea, with assets of about EUR13bn. About one year ago, the group acquired the Brazilian family office Consenso, the largest family office in Brazil, with assets under management of about CHF5.8bn.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Swiss company Kendris, a provider of services to wealth management firms and family offices, on 16 March announced the appointment of three new partners to its board of directors: Daniel Schmid, Antonia Spuhler and Damian Tobler. The board of directors at Kendris, which employs 200 experts in 40 countries, will now have eight members. Schmid has since 2005 directed the legal department at the firm. Spuhler, head for Russian and US clients, is responsible for the development of the company internationally, while Tobler oversees accounting and reporting.
Blackstone Group a garanti à son directeur général Stephen Schwarzman de nouveaux avantages pour sa contribution à la société en tant que fondateur lorsqu’il partira à la retraite – et même après sa mort, rapporte le Wall Street Journal. Cela cimente le statut unique du milliardaire de 71 ans au sein de l’empire qu’il a aidé à créer et lie sa fortune à la principale société de private equity en termes d’actifs. La société va fournir à Stephen Schwarzman un accès libre à une voiture et un chauffeur, des privilèges qui étaient jusqu’à présent limités dans le temps. Si et quand il part à la retraite, il sera remboursé pour des voyages réalisés pour le compte de Blackstone et il aura le droit de représenter juridiquement la société. Enfin, Stephen Schwarzman et ses propriétés pourront investir dans les fonds Blackstone ou à leurs côtés sans payer de frais dix ans après sa mort.