Och-Ziff Capital Management Group ferme son hedge fund européen, la société se recentrant sur ses produits principaux sous la direction de son nouveau CEO, Robert Shafir, selon Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier. Le OZ Europe Master Fund a vu ses actifs décliner à 230 millions de dollars, contre 900 millions de dollars deux ans plus tôt, selon une des sources et des documents officiels. Les investisseurs doivent transférer leurs capitaux dans le fonds OZ Master Fund, un portefeuille multi-stratégies monde. Och-Ziff envisage aussi de fermer d’autres petits fonds.
Les propriétaires du géant pharmaceutique danois Novo Nordisk – la fondation Novo Nordisk et sa succursale Novo Holdings – lancent un nouveau fonds d’investissement à impact, rapporte le site danois AMWatch. Appelé The Repair Impact Fund, le véhicule cible les start-ups, les sociétés en « early-stage » et les entreprises issue de scissions en Europe et aux Etats-Unis. La philosophie est de soutenir des programmes ambitieux qui répondent à la résistance aux antibiotiques, selon le quotidien financier danois Børsen. Le fonds aura un budget total de 1 milliard de couronnes danoises, soit 134 millions d’euros, qui sera investi dans une vingtaine de sociétés européennes et américaines.
Lancé par la Caisse des Dépôts en partenariat avec un club de grands investisseurs institutionnels, le fonds NovESS, dédié à l’économie sociale et solidaire, a annoncé ce 15 mars ses cinquième et sixième prises de participation dans des sociétés de l’économie sociale et solidaire : 400 000 euros dans la Conciergerie Solidaire et 500 000 euros dans VAE Les 2 rives. Créée en décembre 2010 à Bordeaux, La Conciergerie Solidaire est une entreprise solidaire d’utilité sociale (ESUS), conventionnée Entreprise d’Insertion (EI), délivrant un service de conciergerie aux entreprises, dans les tiers-lieux et les quartiers. Elle propose à ses abonnés (salariés, habitants ou professionnels) un large panel de services clé en main répondant à tous les besoins du quotidien. L’entreprise soutient l’insertion par l’activité économique en favorisant l’embauche de personnes éloignées de l’emploi. Ses services s’appuient sur un réseau d’environ 150 partenaires, principalement des acteurs de l’économie sociale et solidaire, et bénéficient à plus de 15 000 salariés. La prise de participation de NovESS dans La Conciergerie Solidaire s’élève à 400 000 euros, dont 300 000 euros en obligations convertibles et 100 000 euros en actions à laquelle s’ajoute l’investissement de France Active Investissement pour 150 000 euros en obligations convertibles et 50 000 euros en actions, précise un communiqué.De son côté, VAE Les 2 Rives, créée en 2002, à la suite de la parution des premiers décrets d’application de la loi de modernisation sociale concernant la Validation des Acquis de l’Expérience, est une entreprise sociale et solidaire spécialisée dans la validation des acquis de l’expérience. Elle s’adresse aux particuliers (salariés, indépendants et demandeurs d’emploi) auprès desquels elle développe un accompagnement, et aux entreprises avec lesquelles elle élabore des solutions de long terme. Elle développe par ailleurs des partenariats avec les organismes de certification. Depuis sa création, la société a accompagné plus de 6000 candidats dans l’obtention d’un diplôme en faisant reconnaître les acquis de leur expérience et leurs compétences professionnelles sans qu’ils n’aient l’obligation de quitter leur poste pour reprendre une formation traditionnelle. La participation en capital du fonds NovESS pour accompagner son développement s’élève à près de 500 000 euros. Elle s’inscrit dans une prise de participation globale de près de 1,5 million d’euros aux côtés d’INCO et Aviva.
Le groupe canadien RBC Global Asset Management (RBC GAM) a annoncé, ce 14 mars, la nomination de Robert Henderson en qualité de gérant de portefeuille au sein de l’équipe d’investissement « Enterprise » basée à Boston. L’intéressé interviendra en tant que gérant pour sa stratégie Mid Cap Value.Robert Henderson compte plus de 25 ans d’expérience dans la gestion d’actifs à la fois comme analyste et gérant de portefeuille. Au cours de sa carrière, il a occupé plusieurs fonctions chez Rutabaga Capital Management et MFS Investment Management, se concentrant principalement les actions de petites et micro-capitalisations ainsi que grandes et moyennes capitalisations internationales. Il a également co-géré plusieurs fonds, dont des fonds marchés émergents et des fonds actions petites capitalisations.
Le mois de février a été particulièrement compliqué pour les gestionnaires d’actifs. Le mois dernier, Invesco a ainsi vu ses encours reculer de 2,8% (ou 27,2 milliards de dollars) par rapport à janvier pour s’établir à 945,4 milliards de dollars, a annoncé la société de gestion américaine. « Ce repli est lié à des effets de marché et de changes défavorables et une décollecte nette sur les produits de long terme », explique Invesco, sans donner de détails chiffrés. La société de gestion a simplement indiqué que l’effet de change négatif avait entraîné une baisse de ses actifs sous gestion de 5,1 milliards de dollars.AllianceBernstein (AB) n’a guère fait mieux. A fin février, ses encours ressortent en effet à 555 milliards de dollars contre 569 milliards de dollars, soit un repli de 2,5%. Cette baisse « résulte principalement d’un effet de marché défavorable, bien que des sorties nettes sur l’ensemble de la société ont également contribué à cette baisse », a sobrement reconnu AB. La société de gestion n’a divulgué aucun chiffre sur les flux du mois de février.
BNY Mellon a annoncé le 14 mars avoir ajouté le fonds BNY Mellon Insight Core Plus sur sa plateforme de distribution. Le fonds est une stratégie obligataire multi-sectorielle gérée activement qui vise à dégager une performance ajustée du risque attractive sur un cycle d’investissement et dans différentes conditions de marché. Le fonds est sous-conseillé par Insight, responsable de 791 milliards de dollars d’actifs sous gestion, dont 164,3 milliards de dollars dans l’obligataire international.Le fonds, qui investit en priorité dans des titres obligataires notés en catégorie d’investissement («Investment Grade») d'émetteurs américains et étrangers, affiche un historique de performance de sept ans sur la base de la stratégie partagée par le fonds Insight Investment Grade Bond, un fonds initialement lancé en 2010 et géré par la même équipe.Le fonds est géré par Gerard Berrigan, responsable de l’obligataire américain, et Gautam Khanna et Jason Celente, gérants de portefeuille senior. Ils mettent en oeuvre la stratégie obligataire active du fonds, qui s’efforce d’ajouter de la valeur émanant de différentes sources, dont l’allocation sectorielle, la sélection des titres et la gestion des taux d’intérêt.
BlackRock a élu trois nouveaux administrateurs indépendants issus du monde de l’entreprise au sein de son conseil d’administration. Il s’agit de William E. Ford, le directeur général de General Atlantic, Margaret L. « Peggy » Johnson, vice-présidente exécutive en charge du développement de Microsoft Corporation et de Mark Wilson, directeur général d’Aviva.« La perspective mondiale et l’association des savoir-faire des trois nouveaux administrateurs dans la technologie, les services financiers et les marchés à croissance rapide, comme l’Asie-Pacifique, reflètent les priorités actuelles et futures de BlackRock », commente un communiqué de presse.En revanche, Abdlatif Y. Al-Hamad et James Grosfeld ne se présenteront pas pour un renouvellement de leur mandat lors de l’assemblée générale des actionnaires. Ils arrivés respectivement en 2009 et 1999. Un tiers des administrateurs de BlackRock ont été nouvellement élus sur les cinq dernières années. Le groupe de gestion d’actifs dit s’attacher à la diversité des genres, de l’origine ethnique, de l’âge, de l’expérience et de la provenance géographique, ainsi qu’à la diversité intellectuelle dans le choix et l’orientation de son conseil d’administration.
L’équipe Clientèle Professionnelle de KBL Richelieu pilotée par David Desolneux, se renforce avec l’arrivée d’un nouveau Chargé de Relation Clientèle Professionnelle, Alexandre Ortis. Après le recrutement dans les mêmes fonctions, de Jean Fondeville en septembre dernier, l’équipe Clientèle Professionnelle se renforce encore, concrétisant ainsi l’intérêt de KBL Richelieu pour le segment des Partenaires clients professionnels, souligne un communiqué.Alexandre Ortis, 26 ans, est titulaire d’un Master International Finance obtenu à Paris School of Business (ex ESG Management School). Il a occupé plusieurs fonctions commerciales au sein de structures bancaires et de sociétés de gestion (Crédit Agricole CIB puis Madarine Gestion et Amiral Gestion), avant d’intégrer l’immobilier d’entreprise comme consultant chez JLL.Au sein du pôle Clientèle Professionnelle, il a en charge le développement commercial de la zone géographique du Grand-Ouest, où il proposera l’offre globale de produits et services KBL Richelieu, offre restructurée et adaptée aux besoins des professionnels de la gestion de patrimoine et de leurs clients : gestion sous mandat, gestion pilotée, fonds Richelieu, crédits patrimoniaux, produits structurés…
iM Square poursuit son développement. La société cofondée par Philippe Couvrecelle va lancer sa plateforme de distribution de fonds aux Etats-Unis. Et pour l’aider dans ses projets, un de ses actionnaires d’origine, Eurazeo, a accepté de s’engager à l’accompagner dans ses investissements sur les 24 prochains mois, en devenant notamment son actionnaire de référence. Détenu actuellement à 42,5% par Eurazeo, 42,5% également par Amundi et 15% par La Maison et Dassault, le capital va donc évoluer et ce, dès la prochaine entrée d’iM Square dans une société de gestion. « A chaque fois que nous avons réalisé une opération d’investissement comme cela été le cas avec Polen Capital et Dolan McEniry Capital, nous avons fait appel au capital de nos actionnaires, explique à NewsManagers Philippe Couvrecelle. Les dirigeants d’Eurazeo croient à notre modèle et veulent déployer du capital dans l’asset management. Ils ont donc décidé d’accompagner nos futurs deals. Quant à Amundi, ils se concentrent pour le moment sur l’intégration de Pioneer tandis que La Maison et Dassault vont probablement suivre aussi. Mécaniquement, Eurazeo a vocation à monter significativement au capital ».La taille des investissements actuellement envisagés (entre 20 et 80 millions d’euros pourraient être déployés par opération) fera d’Eurazeo l’actionnaire majoritaire d’iM Square. «Et nous espérons boucler entre un et trois deals en 2018, essentiellement aux Etats-Unis », précise Philippe CouvrecelleLes opérations resteront dans la même logique que les trois précédentes : une entrée au capital minoritaire d’une société de gestion entrepreneuriale « ayant un track-record exceptionnel » et qui est complémentaire des autres sociétés acquises. Quant au lancement de la plateforme de distribution aux Etats-Unis, elle sera à l’image de ce que la société a déjà construit en Europe, avec IM Global Partner, après l’acquisition de l’ex-Montmartre AM et qui avait vu l’arrivée de Julien Froger, ancien responsable des ventes en Europe de l’ex-Janus Capital. Pour les Etats-Unis, IM Square a recruté Jeffrey Seeley, l’ancien responsable de la distribution US d’AMG Fund. « Il connait particulièrement bien le fonctionnement des plateformes de distribution américaines (comme celles de Morgan Stanley, Schwab, etc, NDLR), des partenariats stratégiques et de la collaboration avec des investisseurs partenaires pour développer leur croissance », explique encore Philippe Couvrecelle. La plateforme devrait être opérationnelle dès cet été et proposer dans un premier temps les fonds de Dolan. Philippe Couvrecelle n’en oublie toutefois pas ses ambitions d’ouvrir le capital d’iM Square (qui compte aujourd’hui une douzaine de salariés) à de nouveaux partenaires mais aussi de coter en Bourse la société. « Concernant l’actionnariat, nous discutons avec des américains, des canadiens, espagnols et italiens. Nous sommes à la recherche de partenaires de long terme qui nous aideront en matière de distribution. Avant de pouvoir ensuite envisager une entrée en Bourse, il faut que nous ayons déployé au moins 500 millions de dollars », explique Philippe Couvrecelle. Depuis sa création, la société a levé et investi près de 100 millions de dollars, ce qui l’a amené à gérer aujourd’hui environ 6,7 milliards d’euros au prorata de ses participations. Avec 500 millions de dollars déployés, elle pourrait compter une quarantaine de milliards au prorata de ses participations . « Cela correspond à 25 milliards de dollars d’encours acquis auquel s’ajoutent la croissance organique des encours de nos partenaires », explique Philippe Couvrecelle. Selon lui, la mise en Bourse pourrait alors aboutir dans 5 à 7 ans.
Luca Giacobbe a quitté UBS Wealth Management pour rejoindre Credit Suisse Italy, rapporte Bluerating, citant Mf. Il sera directeur des opérations de Credit Suisse Italy.
Le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (Ontario Teachers Pension’s Plan ou OTPP) a annoncé la nomination de Datuk Ben Chan au poste de directeur général régional pour l’Asie-Pacifique. Basé à Hong Kong, l’intéressé prendra officiellement ses fonctions le 1er juin 2018. Datuk Ben Chan travaillait auparavant pour Khazanah Nasional Berhad, le fonds souverain de Malaisie, où il était coresponsable des investissements et dirigeait les activités d’investissement en Chine.
Kimmis Pun vient de prendre la responsabilité des activités de private de VP Bank à Singapour, selon le site spécialisé finews qui rapporte une information divulguée par Bruno Morel, CEO de VP Bank Singapour, le 15 mars lors d’un point de presse. Kimmis Pun travaillait précédemment chez Standard Chartered Privatbank à Singapour, où il était dernièrement responsable de la grande Chine. Il occupait précédemment les mêmes fonctions chez BNP Paribas.VP Bank poursuit ainsi son offensive de recrutement qui prévoit l’embauche de 75 conseillers clientèle d’ici à fin 2019, dont la moitié environ dans la région Asie. VP Bank, qui emploie une cinquantaine de personnes dans la ville-Etat, envisage ainsi de doubler ses effectifs au cours des trois prochaines années.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Santander Asset Management (Santander AM) has decided to limit inflows to its Santander Small Caps España fund, dedicated to small caps, with assets totalling EUR1.32bn, the specialist website Funds People reports. The decision aims to conserve the profitability of the fund for existing investors, the Spanish website reports. The fund, managed by Lola Solana, has seen its assets under management increase from EUR450m as of the end of February 2017 to EUR1.3bn currently. In January 2018, assets totalled EUR950m.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The voting policy consultant specialist International Shareholder Services (ISS), a specialist in socially responsible investment, on 15 March announced that it is acquiring oekom research, a German ratings agency specialised in socially responsible investment (SRI). At the conclusion of the merger, oekom research will be renamed as ISS-oekom. The new entity will continue to be directed by Robert Haßler, co-founder of oekom research. oekom research will retain its activities in Munich, Paris, London, New York and Zurich, and its 110 employees will retain their positions. oekom research, which has been based in Munich since its inception in 1993, advises financial institutions which collectively hold EUR1.5trn in assets. More than 180 financial companies and institutional investors use research into responsible investment and sustainable development from oekom resarch to assist them in their stock-picking for mutual funds, segregated accounts or management mandates.
Fidelity International on 15 March announced the appointment of Christian Staub as managing director responsible for its activities in continental Europe. Staub is based in Luxembourg, will join the firm on 6 August, and will report to Simon Haslam, interim chairman of Fidelity International. Staub will also be a member of the Global Operating Committee. Staub replaces Jon Skillman, who will take on a new role at the company, managing the Global Workplace Investing division.Staub, who has over 20 years of experience in the asset management industry, joins from BlackRock, where for four years he served in a variety of senior roles in the area of distribution, most recently including that of head of institutional clients for continental Europe, and country head for Switzerland. He previously served at Allianz Asset Management and then at Pimco, after beginning his career as an investment analyst at UBS.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Och-Ziff Capital Management Group is closing its European hedge fund, as the firm refocuses on its main products, led by its new CEO, Robert Shafir, according to Bloomberg, citing sources familiar with the matter. The OZ Europe Master Fund has seen a decline in its assets to USD230m, compared with USD900m two years earlier, according to one of the sources and official documents. Investors are expected to transfer their capital into the OZ Master Fund, a global multi-strategy portfolio. Och-Ziff is also planning to close other small funds.
Old Mutual Wealth has had a fine year to 2017. Last year, the British asset management firm has seen its pre-tax operting profits increase 40%, to a total of GBP363m, compared with GBP260m in 2016. This performance is the result primarily of a strong increase in performance commissions, which total GBP101m in 2017, compared with GBP26m in 2016. Operating profits at Old Mutual Wealth have been supported by the Single Strategy activity, led by Richard Buxton, which will be leaving the Old Mutual Wealth group, and will be taken over by its management team and the TA Associates fund, whose pre-tax operating profits totalled GBP152m in 2017, compared with GBP60m in 2016. Excluding the impact of the Single Strategy activity, pre-tax operating profits at Old Mutual Wealth totalled GBP209m in 2017, up 18% compared with 2016.At the conclusion of the 2017 fiscal year, Old Mutual Wealth had earned pre-tax profits by IFRS accounting standards of GBP99m, after a loss of GBP4m in 2016. Earnings, for their part, were up 21% to a total of GBP1bn.Growth in earnings is a result of an increase in assets under management and administration. Assets totalled GBP138.5bn as of the end of 2017, compared with GBP123.5bn as of the end of 2016, an increase of 12% year over year. This growth in assets was driven by a net inflow of GBP10.9bn, twice as much as in the 2016 fiscal year (GBP5.2bn). Excluding net inflows from the Single Strategy activity, assets at Old Mutual Wealth totalled GBP114.4bn as of the end of 2017, compared with GBP98.2bn at the end of 2016.At a publication of results, Paul Feeney, CEO of Old Mutual Wealth, confirmed that he has “completed the separation of our activities” with the Old Mutual group, from which, he explains in a statement, “we are financially independent.” He also says that he is “ready for an initial public offering” of Old Mutual Wealth under the brand name Quilter. Lastly, Feeney confirms that the Single Strategy activity has been sold by Old Mutual Global Investors to its management team and the investment fund TA Associates. The operation is expected to bring in about GBP600m for Old Mutual Wealth. “The completion of the transaction, which required various regulatory approvals, is expected to come in the second half of 2018,” Feeney says.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Kimmis Pun has taken over the private activities at VP Bank in Singapore, according to the specialist website finews, reporting information from Bruno Morel, CEO of VP Bank Singapore, on 15 March at a press conference. Pun had previously worked at Standard Chartered Privatbank in Singapore, where he had most recently been head for greater China. He had previously served in the same role at BNP Paribas. VP Bank is continuing its recruitment drive, which also includes plans to recruit 75 client advisers by the end fo 2019, about half of whom come from the Asian region. VP Bank, which has 50 employees in Singapore, is planning to double personnel in the next three years.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The NovESS fund, launched by the Caisse des Dépôts in partnership with a club of large institutional investors, dedicated to the social and solidaristic economy, on 15 March announced its fifth and sixth investments in companies in the social and solidaristic economy: EUR400,000 for La Conciergerie Solidaire and EUR500,000 for VAE Les 2 rives.
The independent asset management firm Vatel Capital on 15 March announced that, via its FCPI Dividendes Plus 4 and 5 funds, it has subscribed to an issue of convertible bonds from the Biocorp company, totalling EUR4m. The operation will “allow Biocorp to cover its needs for owners’ equity for its future development projects,” Vatel Capital says in a statement. Biocorp is a French company, with a BPI “Innovative company” label, specialised in developing and manufacturing medical equipment and innovative medical administration products.
BlackRock has elected William E. Ford, Chief Executive Officer of General Atlantic, Margaret L. “Peggy” Johnson, Executive Vice President of Business Development at Microsoft Corporation and Mark Wilson, Chief Executive Officer of Aviva plc, to the Company’s Board as independent directors."BlackRock takes a strategic approach to board composition and refreshment, balancing deep institutional and industry knowledge with fresh perspectives on key areas of future growth. The three new directors’ global perspective and combined expertise in technology, financial services and fast-growing markets, such as Asia-Pacific, reflects BlackRock’s current and future priorities», according to a press statement.One third of BlackRock’s directors have been newly elected over the past five years. BlackRock considers diversity in gender, ethnicity, age, career experience and geographic location, as well as intellectual diversity in the design and orientation of its Board of Directors. BlackRock has five female Directors.Abdlatif Y. Al-Hamad and James Grosfeld are not standing for re-election at BlackRock’s 2018 Annual Meeting of Shareholders. They have served the Board with distinction since 2009 and 1999, respectively.
Le graphique ci-contre montre les performances relatives des sociétés américaines exportatrices par rapport à l’indice S&P 500, qui indiquent que le marché ne semble pas craindre pour le moment d’escalade dans les tentations protectionnistes.
Les tableaux ci-contre présentent les meilleures et plus mauvaises performances en euros des fonds sur les marchés des fonds actions américaines et européennes en février 2018. Ces performances sont mises en perspective par le calcul de la volatilité, du ratio de Sharpe sur trois ans d’historique, ainsi que du rendement depuis un an.
L’Autorité française des marchés financiers (AMF) a déclaré jeudi avoir demandé par écrit aux sociétés d’investissement basées au Royaume-Uni et disposant d’une activité en France, ainsi qu'à leurs homologues françaises comptant des clients britanniques, de communiquer leurs préparatifs en vue du Brexit. L’AMF souhaite que les sociétés britanniques clarifient le statut de leurs opérations en France et expliquent comment elles se préparent à la perte de leur passeport européen, après la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne en mars 2019. Elle leur propose une «discussion directe». «Nous voulons anticiper l’impact du Brexit sur le marché français», a déclaré Xavier Parain, secrétaire général adjoint de l’AMF.
Le comité joint des Autorités européennes de supervision (AES) a publié hier son rapport final sur les effets du big data sur les consommateurs et les entreprises financières. «De manière générale, les AES ont trouvé que si le développement du big data fait courir des risques aux utilisateurs de services financiers, les bénéfices de cette innovation les dépassent actuellement. Beaucoup de ces risques identifiés par les AES sont atténués par les lois existantes», explique le comité dans son communiqué, qui conclut que toute initiative réglementaire supplémentaire est superflue. Parmi les avantages énumérés, le comité cite des produits et services mieux adaptés aux clients, l’amélioration de la capacité d’analyse des fraudes, ou encore une efficacité plus grande des procédures internes. Les sociétés financières doivent en revanche veiller au potentiel d’erreurs dans les outils utilisant le big data, qui pourraient provoquer des décisions erronées. La segmentation accrue que permet le big data peut aussi peser sur l’accès et la disponibilité de certains produits ou services, préviennent les AES.
Les cours du pétrole ont terminé en hausse jeudi sur le marché new-yorkais Nymex. Le marché, étroitement corrélé à la Bourse américaine, n’a guère réagi au dernier rapport de l’Agence internationale de l'énergie (AIE), qui a relevé sa prévision pour la demande mondiale de pétrole cette année tout en notant que l’offre continue de croître à un rythme plus soutenu. Le contrat avril sur le brut léger américain WTI a gagné 0,38%, à 61,19 dollars le baril, après être monté en séance jusqu'à 61,54 dollars. Au moment de la clôture du Nymex, le Brent prenait 0,26%, à 65,06 dollars.
Le déficit du régime général de la Sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) a été ramené l’an passé à 5,1 milliards d’euros, son niveau le plus bas depuis 2002, annoncent jeudi les ministères de la Santé et des Comptes publics. Il s’améliore ainsi de 2,7 milliards par rapport au déficit cumulé de 7,8 milliards enregistré en 2016. Il est inférieur à l’objectif de 5,2 milliards fixé à la présentation de la loi de financement de la Sécurité sociale 2018. Ces résultats s’expliquent par une maîtrise d’ensemble des dépenses, combiné à un surcroît de recettes lié à une croissance de la masse salariale supérieure aux prévisions, selon le gouvernement. Une partie importante de la baisse est le fait du Fonds de solidarité vieillesse, passé sous la barre des trois milliards d’euros pour la première fois depuis cinq ans (2,9 milliards contre 3,6 milliards en 2016). Le déficit de l’assurance maladie s’est lui légèrement creusé (-4,9 contre -4,8 milliards).
Le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, s’est déclaré jeudi favorable à une amélioration du «verrou de Bercy», le monopole exercé par l’administration sur les décisions de poursuite judiciaire en matière de fraude fiscale. «Je pense qu'à partir d’une certaine somme qui correspond à une fraude fiscale caractérisée, nous pourrions effectivement travailler avec la Justice pour être plus efficaces pour recouvrir ces sommes», a-t-il déclaré lors de L’Emission politique, sur France 2. Une mission d’information à l’Assemblée nationale, lancée en janvier, étudie actuellement la question.