Amplegest a annoncé, ce 26 mars, la nomination de Jean-François Castellani au poste de directeur du développement. Au contact de la clientèle institutionnelle depuis près de 18 ans chez Lyxor AM, Edram, puis Barclays Capital, Jean-François Castellani est chargé de développer la collecte aux côtés d’Alain Ferry, directeur commercial, sur l’ensemble de la gamme de fonds actions de la société de gestion : Amplegest Pricing Power, Amplegest Long Short et Amplegest Midcaps. Jean-François Castellani a débuté sa carrière en 1999 chez SG CIB, puis Lyxor Asset Management, où il a mené plusieurs missions au sein de l’équipe marketing. Il a rejoint en 2003 la Compagnie financière Edmond de Rothschild Financial Services (aujourd’hui Edram), dont il a construit, puis piloté la force de vente institutionnelle pour la gamme de fonds UCITS nouvellement créée. Enfin, il a occupé à partir de 2009 le poste de directeur commercial France du département fonds structurés et quantitatifs de Barclays Capital.
La société de gestion alternative Knighthead Capital Management, dont les actifs sous gestion s'élèvent à quelque 3 milliards de dollars, envisage de lever un fonds de dette distressed, ont indiqué à Bloomberg des personnes au courant de la transaction. Knighthead, qui pourrait démarrer sa levée de fonds dans le courant du deuxième trimestre, vise un montant de 750 millions de dollars. Le nouveau véhicule, Knighthead Distressed Opportunities Fund, s’intéressera en priorité aux crédits internationaux en difficulté ou en grande difficulté.
Pictet, Sycomore et M&G sont les trois sociétés de gestion qui ont progressé entre fin 2016 et fin 2017 dans le classement des 10 sociétés de gestion préférées des sélectionneurs de fonds en France, selon la dernière étude Fund Brand 50 réalisée par l’équipe MackayWilliams*. Si le classement français reste dominé par BlackRock et Fidelity, en première et deuxième position, Pictet AM se hisse à la troisième place du classement, alors qu’il était sixième l’an passé. La société suisse prend ainsi la place d’Amundi, qui perd trois places et se retrouve sixième cette année.Mais la progression la plus remarquable est signée par Sycomore, qui passe de la quatorzième place fin 2016 à la quatrième fin 2017 ! La société de gestion se distingue aussi en Europe, où elle entre pour la première fois dans le classement, à la 29ème place.M&G, quant à lui, gagne 4 places, et se classe neuvième du top 10 français.JP Morgan AM, Carmignac et Natixis IM restent stables sur un an, respectivement à la cinquième, septième et dixième place. En revanche, DNCA perd 4 places pour figurer au huitième rang cette année. A l'échelle européenne, Blackrock, JPMorgan AM et Fidelity sont restées en fin d’année dernière les trois marques favorites des sélectionneurs de fonds. Mais, comme on l’observe en France, «les petites sociétés de gestion prennent leur marque et réduisent la distance avec les mastodontes du secteur», commente MackayWilliams.Ainsi, Pictet AM a consolidé sa quatrième position. M&G a progressé de trois places et arrive au sixième rang, prenant la place d’Invesco, qui descend à la huitième place. MackayWilliams souligne que ce sont les sociétés de gestion de taille intermédiaire qui ont connu la croissance la plus florissante, citant Robeco (9ème européen), Carmignac (10ème) et Pimco (13ème). « Les sociétés de gestion avec une offre de produits distincte et séduisante, associée à un focus clients, ont fait partie de celles qui ont connu les plus rapides croissances », commente MackayWilliams. *L’étude a été menée auprès d’un millier de sélectionneurs de fonds sur les 10 principaux marchés en Europe. Ces sélectionneurs représentent 3.200 milliards d’euros.
Alors que la pression tarifaire monte de plus en plus sur les gérants d’actifs, AllianceBernstein (AB), qui gère près de 555 milliards de dollars, a annoncé qu'à partir d’aujourd’hui, elle allait proposer ses fonds appelés AB FlexFee, une gamme de fonds gérés activement, sur plusieurs plateformes de distribution. La société de gestion américaine explique que ces fonds ont pour particularité d’avoir des frais qui commencent à des niveaux similaires à ceux d’un ETF et augmentent seulement lorsque les fonds surperforment leur indice de référence, jusqu'à un niveau de frais maximal.Le groupe explique avoir mis au point ces fonds début 2017 pour les investisseurs qui préfèrent de plus en plus des stratégies passives moins chères aux fonds actifs mais qui ne veulent pas pour autant éliminer l’opportunité de surperformer l’indice de référence. AB propose actuellement quatre fonds FlexFee Funds à travers diverses stratégies equity et fixed income : AB FlexFee Large Cap Growth Portfolio (FFLYX), AB FlexFee US Thematic Portfolio (FFTYX), AB FlexFee International Bond Portfolio (FFIYX), et AB FlexFee US High Yield Portfolio (HIYYX). Les fonds sont disponibles sur les grandes plateformes telles que celles de Merrill Lynch, Morgan Stanley, Charles Schwab, TD Ameritrade, Pershing et LPL Financial.
La société La Française Asset Management, société de gestion des FCP La Française Rendement Global 2018 et La Française Rendement Global 2025, a arrêté un projet de fusion – absorption de La Française Rendement Global 2018 (ci-après le dénommé le « fonds absorbé ») par La Française Rendement Global 2025 (ci-après dénommé le « fonds absorbant »). Cette fusion a été décidée par le Directoire lors de sa séance du 2 novembre 2017, indique un document publié au Balo.La Française Asset Management souhaite offrir aux porteurs du Fonds absorbé, la possibilité de se positionner sur un fonds dont la gestion repose sur une stratégie similaire mais sur une échéance plus éloignée avec un univers d’investissements plus conséquent. L’absence de marché primaire sur l’échéance 2018 diminue la taille et donc l’intérêt du gisement. En effet, la maturité moyenne des nouvelles émissions sur le marché est d’environ 5 ans. Les refinancements à moins de 3 ans sont quasi inexistants. La diminution du marché primaire ne permet pas de nouveaux arbitrages des titres en portefeuille. Le nombre de remboursements anticipés ayant augmenté, le nombre d’obligations disponibles à horizon 2018 a largement diminué. Par ailleurs, une stratégie classique de portage n’est pas non plus dans l’intérêt des investisseurs dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d’ores et déjà captée. Par conséquent, le rendement résiduel restant estimé est très faible.De ce fait, La Française Asset Management a pris la décision, dans l’intérêt des porteurs, de faire absorber le fonds La Française Rendement Global 2018 par le fonds La Française Rendement Global 2025 avant l’échéance 2018 afin de saisir les nouvelles opportunités de marché.
La société de gestion espagnole Orienta Capital a promu Pablo Valdés et Luis Miguel Corral en tant que co-responsables du département d’analyse et de recherche, rapporte le site spécialisé Funds People. Cette nomination fait suite au départ de Pablo del Rio, ancien directeur de la recherche, qui a décidé de quitter la société dans laquelle il officiait depuis sept ans. Pablo Valdés et Luis Miguel Corral travaillent comme analyste chez Orienta Capital depuis respectivement 4 et 3 ans.
Berenberg s’attaque au marché espagnol de la gestion d’actifs. Le groupe allemand, spécialiste de la banque privée et de la gestion d’actifs, vient en effet d’enregistrer une gamme de fonds auprès de la CNMV, le régulateur financier espagnol. A ce stade, 4 fonds sont disponibles pour la clientèle espagnole : Berenberg European Focus Fund, Berenberg European Micro Cap, Berenberg European Small Cap et, enfin, Berenberg Eurozone Focus Fund.
Les sociétés de gestion Ambassador Investments et Antaurus Vermogensbeheer vont fusionner à la date du 1er avril 2018 sous le nom d’Ambassador Vermogensbeheer, selon le site spécialisé Fondsnieuws. La nouvelle structure affichera un effectif de 12 professionnels de l’investissement et un encours de quelque 350 millions d’euros, précise le site.La direction au jour le jour d’Ambassador Vermogensbeheer sera confiée à Erik Nugteren et Sijmen Plomp, tous deux dirigeants d’Ambassador, tandis que les deux responsables d’Antaurus, Michael Kembel et Arjan Sweere, abandonnent leurs fonctions de direction. Le nouveau comité d’investissement sera composé de René de Jong (Antaurus), Monique Zandvoort (Antaurus) et Erwin Blok (Ambassador), sous la direction de Mark de Bruijne, récemment recruté chez Hof Hoorneman.
L’ancien directeur général (CEO) d’International Pension Platform ou IPP (jusqu'à septembre 2017), Bart Kuijpers, prendra en avril le poste de responsable de la gestion fiduciaire de BMO Global Asset Management avec le grade de directeur général, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. Avant d’exercer les fonctions de directeur général d’IPP, l’intéressé a occupé diverses fonctions de direction à Amsterdam et à Londres, notamment chez Credit Suisse et Société Générale.
La Norvégienne Hilde Jenssen quitte Skagen pour devenir lead product manager dans l’équipe actions fondamentales de Nordea Asset Management, rapporte le site danois Børsen. Elle prendra ses fonctions le 1er juin. Et jusqu’au 1er mai, elle reste spécialiste de portefeuille en chef au sein de Skagen. Avant cela, elle a travaillé chez Credit Suisse ou Goldman Sachs à New York. Chez Nordea AM, elle sera basée à Copenhague, et quittera donc la Norvège où elle travaille actuellement.
Le déficit budgétaire du Portugal s’est creusé l’an dernier pour atteindre 3% de son produit intérieur brut (PIB), la limite autorisée par l’Union européenne, en raison de la recapitalisation de la banque publique Caixa Geral de Depositos (CGD). Il s’est toutefois réduit de moitié si l’on exclut cet élément exceptionnel, ce qui rend peu probable toute procédure disciplinaire à son encontre. L’institut portugais de la statistique a annoncé lundi que le déficit budgétaire courant avait ainsi été ramené à 0,92% du PIB en 2017, année au cours de laquelle le Portugal a connu une croissance économique de 2,7%, la plus forte depuis le début du siècle. Ce déficit était de 2% en 2016.
Le gérant américain lance une nouvelle gamme de fonds actifs dont les frais seront alignés avec ceux de la gestion passive s'ils ne battent pas leur indice.
L’action Facebook a chuté en séance à New York, perdant jusqu'à -6,5% avant de se redresser à la clôture (+0,42%): c’est la conséquence des enquêtes qui continuent de pleuvoir sur les soupçons d’utilisation par le réseau social d’informations personnelles de ses abonnés suite au scandale Cambridge Analytica. L’Allemagne a ainsi ouvert une enquête sur l’utilisation de ces données par des sites partenaires et la ministre de la Justice a convoqué des dirigeants du premier réseau social mondial pour une réunion sur les questions de confidentialité. Andreas Mundt, le président du Bundeskartellamt, l’autorité de la concurrence allemande, a déclaré hier au Tagesspiegel qu’il cherchait à déterminer d'éventuels abus en lien avec «la collecte et le traitement des données provenant de sources tierces en dehors de Facebook». Un peu plus tôt, le Bureau de protection des consommateurs de la Commission fédérale américaine du Commerce (FTC) avait confirmé qu’il enquêtait sur l’utilisation par le réseau social des données personnelles de ses abonnés.
Alors que l’ambassadeur chinois à l’OMC, Zhang Xiangchen, a appelé lundi les membres de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à s’unir pour empêcher les Etats-Unis de la «saborder» et à s’opposer aux tarifs douaniers imposés à Pékin, le Premier ministre chinois Li Keqiang a fait montre d’apaisement: il s’est prononcé en faveur de négociations avec les Etats-Unis et a réitéré la promesse d’un accès facilité au marché chinois pour les entreprises américaines et d’une meilleure protection de la propriété intellectuelle. Selon le Wall Street Journal, les deux camps auraient entamé des négociations discrètes et Steven Mnuchin envisagerait de se rendre à Pékin pour les poursuivre.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé lundi un revers à Maurice Greenberg, patron de l’assureur American International Group (AIG) jusqu’en 2005, en refusant d’examiner son appel contre un jugement de 2017 qui lui interdit de contester les conditions du sauvetage d’AIG par le gouvernement en septembre 2008, en pleine crise financière. La cour suprême a donc confirmé un jugement d’un tribunal d’appel, qui avait estimé que Starr International, la société de Maurice Greenberg qui comptait parmi les principaux actionnaires d’AIG, n’avait pas le pouvoir de contester le sauvetage puisque ce droit appartenait au seul AIG, qui a choisi de ne pas faire appel. Starr avait intenté son action en 2011, accusant le gouvernement d’avoir pris illégalement une participation de 79,9% dans AIG en échange d’un prêt de 85 milliards de dollars de la Banque de Réserve fédérale de New York, pénalisant injustement ses actionnaires. Starr réclamait plus de 40 milliards de dollars.
La Bourse de New York a clôturé lundi sur un rebond technique, après avoir accusé la semaine dernière sa plus forte chute hebdomadaire depuis janvier 2016. Les tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine semblant s’apaiser quelque peu, le Dow Jones Industrial Average a gagné 2,8%, à 24,202,6 points, l’indice élargi S&P 500 a pris 2,7%, à 2,658,6 points et le Nasdaq Composite s’est octroyé 3,3%, à 7,220,5 points. Les trois indices ont signé leur plus forte hausse quotidienne depuis août 2015.
La Banque de France a publié hier son rapport de surveillance des infrastructures de marchés financiers pour la période 2015-2017. La surveillance a notamment concerné le renouvellement du contrat de compensation des marchés de dérivés entre LCH SA et Euronext, la migration vers la plateforme de règlement livraison paneuropéenne T2S pour Euroclear France et le lancement de SEPA.EU. En outre, l’évaluation de la plate-forme interbancaire pour le paiement de détail CORE(FR), dans le cadre du règlement européen sur les Systèmes de paiements d’importance systémique (Sips), qui a conclu à la conformité globalement très satisfaisante de CORE(FR), « constitue un développement important de cette période sous revue », juge la Banque de France. L’institution a également porté son attention sur les moyens de paiement scripturaux, à travers la création en avril 2016 du Comité national des paiements scripturaux (CNPS), puis l’élargissement à tous les moyens de paiement scripturaux du champ de compétence de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP). «La France dispose désormais d’une gouvernance à même de déterminer les orientations politiques majeures pour l’émergence de moyens de paiement innovants et efficaces, et d’assurer leur sécurité», affirme la Banque de France
Les cours du pétrole ont terminé en baisse lundi sur le marché new-yorkais Nymex en raison de prises de bénéfices, mais leur recul a été limité par les tensions au Proche-Orient. Le contrat mai sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a perdu 33 cents, soit 0,50%, à 65,55 dollars le baril. Au moment de la clôture du Nymex, le Brent cédait 39 cents, soit 0,55%, à 70,06 dollars, après un pic à 71,05, au plus haut depuis fin janvier. La semaine dernière, le brut léger américain a pris plus de 5,5% et le Brent quasiment 6,5%, leur meilleure performance hebdomadaire depuis juillet dernier. Le recul des cours a toutefois été limité par les tensions au Moyen-Orient, en particulier entre l’Arabie Saoudite et les rebelles yéménites houthis.
Europol a annoncé lundi que la police espagnole avait arrêté à Alicante une personne soupçonnée d'être le cerveau de cyberattaques qui ont visé des banques et causé un préjudice total évalué aux alentours d’un milliard d’euros. Le suspect des attaques baptisées «Carbanak» et «Cobalt» serait un certain «Denis K», selon le ministère de l’Intérieur espagnol, qui dirigeait l’organisation criminelle à partir de l’Espagne depuis 2013. Il a été arrêté en compagnie de trois membres du gang, originaires de Russie et d’Ukraine.
La présidente de la Réserve fédérale (Fed) de Cleveland, Loretta Mester, a estimé lundi que les récentes tensions entre les Etats-Unis et ses partenaires commerciaux comme la Chine ne modifiaient pas sa prévision optimiste pour l'économie américaine. «Je surveille les développements au sujet du commerce, et, si je les considère comme des risques vis-à-vis des prévisions, ils ne m’amènent pas à ce stade à modifier ma prévision pour l'économie dans son ensemble», a souligné Loretta Mester lors d’un discours à l’Université de Princeton. Plus globalement, elle soutient la politique de remontée progressive, et non abrupte, des taux directeurs de la Fed «cette année et la suivante».
D'après une information révélée par NewsManagers (groupe Agefi), Jean-François Bay (photo) vient de quitter La Financière de l'Échiquier où il occupait le poste de directeur de la stratégie, du développement et de l'international depuis moins d'un an. Une information confirmée par une porte-parole de la société de gestion, précisant qu'il s'agit d'un « choix personnel ». Christophe Mianné, directeur général de La Financière de l'Échiquier et directeur général délégué du groupe Primonial en charge de l'asset management financier, va assurer l'intérim. Mais pour le moment, la recherche d'un successeur n'est pas à l'ordre du jour.
Pictet, Sycomore et M&G sont les trois sociétés de gestion qui ont progressé entre fin 2016 et fin 2017 dans le classement des 10 sociétés de gestion préférées des sélectionneurs de fonds en France, selon la dernière étude Fund Brand 50 réalisée par l’équipe MackayWilliams*.
Le déficit budgétaire du Portugal s’est creusé l’an dernier pour atteindre 3% de son produit intérieur brut (PIB), la limite autorisée par l’Union européenne, en raison de la recapitalisation de la banque publique Caixa Geral de Depositos (CGD). Il s’est toutefois réduit de moitié si l’on exclut cet élément exceptionnel, ce qui rend peu probable toute procédure disciplinaire à son encontre.
La Chine a appelé lundi les membres de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à s’unir pour empêcher les Etats-Unis de la «saborder» et à s’opposer aux tarifs douaniers imposés à Pékin, que Washington accuse de vol de propriété intellectuelle. L’ambassadeur de Pékin à l’OMC, Zhang Xiangchen, a déclaré que le projet du président Donald Trump d’imposer des tarifs pouvant toucher un maximum de 60 milliards de dollars (48,4 milliards d’euros) d’importations chinoises dans le cadre de la Section 301 du Trade Act, la loi américaine de 1974 sur le commerce, était contraire aux règles de l’OMC.
L’Allemagne a ouvert une enquête sur l’utilisation des données de Facebook par des sites partenaires et la ministre de la Justice a convoqué des dirigeants du premier réseau social mondial pour une réunion sur les questions de confidentialité. Andreas Mundt, le président de l’Office des cartels allemand, a déclaré au journal Tagesspiegel que les utilisateurs de Facebook ignoraient tout de la quantité des informations qui circulent sur le réseau social lorsqu’ils visitent des sites web tiers affiliés au groupe américain. L’autorité de la concurrence allemande cherche ainsi à déterminer d'éventuels abus en lien avec «la collecte et le traitement des données provenant de sources tierces en dehors de Facebook», déclare Andreas Mundt.
Jupiter a vu le cours de son action chuter de près de 25 % depuis début janvier, tandis que sa stratégie obligataire phare (Dynamic Bond), qui représente plus d’un quart des actifs totaux, a sous-performé et a vu sortir plus de 1 milliard de livres depuis le début de l’année, rapporte le Financial Times fund management. « S’ils continuent à perdre de l’argent à ce rythme cette année, alors ils auront clairement un problème », commente David McCann, analyste de Numis Securities. Le fonds principal de Jupiter, Dynamic Bond, et le troisième, Strategic Bond, qui suivent la même approche, ont vu leurs encours revenir de 13,6 milliards de livres en novembre à 12,6 milliards. Ariel Bezalel, le gérant, explique la sous-performance par l’approche plus prudente de l’équipe. Le fonds perd 1,4 % sur les deux premiers mois de l’année et 0,9 % sur les 12 mois à fin février.
Le responsable actions monde de William Blair, Jeff Urbina, abandonne la gestion d’actifs au quotidien et prend un rôle de conseil, rapporte Citywire Selector. Un porte-parole a confirmé que Jeff Urbina restait au sein du comité exécutif et dans l’équipe de direction des investissements ;
Ethenea Independent Investors, une société de gestion indépendante basée au Luxembourg, vient de renforce son équipe commerciale avec la nomination d’Alexander Lehmann en qualité de directeur commercial en charge du segment « wholesale », rapporte InvestmentEurope. L’intéressé prendra officielle ses fonctions le 1er avril 2018. Il sera plus particulièrement responsable des ventes « wholesale » en Allemagne et en Autriche.Alexander Lehmann arrive en provenance d’Invesco Asset Management Allemagne où il a travaillé pendant 13 ans, notamment en tant que responsable de l’activité « wholesale » pour l’Allemagne et l’Autriche. Avant cela, il a officié chez ADIG Investment.