After a hesitation of several weeks, investors have finally chosen to reduce their exposure to equities by significant proportions in recent days. This sudden aversion to risk has clearly been driven by persistent commercial tensions and rising turbulence in emerging markets. In the week ending 12 September, funds dedicated to equities saw net outflows of USD5.6bn, the largest outflows of the past 11 weeks, according to the weekly Bank of America Merrill Lynch survey, based on data from the global flow monitoring specialist EPFR Global.With the notable exception of funds specialised in Japan, which attracted USD0.9bn in the past week, all other categories of funds finished the week more or less in negative territory. European equity funds, which had seen a timid return to positive territory last week, after 25 weeks of outflows, finished the week in negative territory again, with net outflows of USD1.4bn. In the past six months, European equity funds have seen outflows of USD57bn.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Carmignacon 14 September announced the appointment of Ramon Carrasco asdirector of development for activities in Spain. Carrasco will bebased in Madrid, and will work with the local distribution and salesteams for the firm. He will also be responsible for scaling up theservices from the company for Spanish clients. He will reportdirectly to Ignacio Lana, CEO for Spain.Carrascojoins from Bankinter, where he had worked as a financial analyst andsenior adviser to clients. He was also head of commodities since2014. He was previously senior manager of accounts at Andbank inLuxembourg, and senior portfolio manager at BNP Paribas WealthManagement.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }The asset management firm Sanso IS, led by David Kalfon, has recruited François L’Hénoret as director of sales. L’Hénoret will begin shortly in the role. L’Hénoret has worked at Janus Capital Group, where he was director of sales for French-speaking Europe. Another recruitment is reportedly in progress. Assets under management at Sanso IS total about EUR750m.
Investec is turning a page in its history. The Anglo-South African financial group on Friday, 14 September announced plans to spin off its activities and to launch its asset management unit, Investec Asset Management, on the stock exchange. The announcement comes following a “strategic review of the activities of the group” by the board of directors, with the objective of “ensuring that the group is well-positioned to strengthen the long-term interests of shareholders, clients, and employees,” a statement says.As a part of this move, the directors of Investec have concluded that the group has some profitable activities in these two core geographical regions, the United Kingdom and South Africa, which have different capital requirements and growth trajectories. The group felt that “there are current and potential synergies between its specialist banking activities and wealth and investment management.” However, “the synergies are limited between these two activities and Investec Asset Management,” the financial group finds. As a result, “the board of directors has concluded that the moment is right to break up the group and launch Investec Asset Management on the stock market. «This is the right time to break up the group and launch our asset management activity on the stock market to support the next phase of development,” says Stephen Koseff, CEO of the group, in a statement. The CEO will be leaving Investec next month, after 40 years as head of the Anglo-South African group.At this time, the terms of the spinoff and IPO for Investec Asset Management have not been detailed. However, subject to approval from the regulatory authorities and shareholders, “the operation is expected to be completed within the next 12 months,” Investec says. The financial group has announced, however, that its asset management affiliate will be listed on the London stock market, with a more limited listed on the Johannesburg stock exchange. The Investec group will retain a minority stake in Investec Asset Management.Investec Asset Management currently manages GBP109bn (EUR122bn) in assets, and has offices in London, Cape Town, New York, Sydney, Hong Kong, Singapore and Luxembourg. Its clients include major public and private pension funds, financial institutions, commpanies, foundations, central banks, and intermediaries serving retail investors. “As an independent, publicly-traded company, Investec Asset Management will be better positioned to accelerate its growth and will have more capacity to attract and retain talent,” the group says in a statement.
Axa IM a annoncé lundi l’accélération de ses efforts en matière d’investissement responsable (IR). Pour cela, la filiale d’Axa va intégrer des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) dans toutes les plates-formes de gestion et recruter des spécialistes ESG. Les gérants ont ainsi désormais accès aux scores et à des indicateurs clés de performances ESG dans leurs outils de front-office, ainsi qu'à des sources de données et de recherche ESG supplémentaires. En outre, Yo Takatsuki rejoindra Axa IM au poste de responsable recherche et engagement ESG à partir du 1er novembre.
Les députés ont prévu que la privatisation de la Française des Jeux (FDJ) n’intervienne qu’après la mise en place d’une nouvelle régulation des jeux d’argent et de hasard, par un amendement au projet de loi Pacte, adopté dans la nuit de jeudi à vendredi. Il impose que cette nouvelle régulation, prévue par ordonnance, soit un préalable au transfert au privé de la majorité du capital de la FDJ. L’Etat possède 72% des parts de l’entreprise, qui détient en France le monopole des jeux de tirage et de grattage. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a proposé que les discussions sur la régulation des jeux commencent début octobre.
Citigroup a annoncé vendredi qu’il a été sanctionné par la SEC, le gendarme de la Bourse américain, à payer 12 millions de dollars dans le cadre d’un litige sur une plate-forme de trading de gré-à-gré (dark pool). La SEC estime que Citigroup Global Markets, le pôle de banque d’investissement et de conseil financier de l'établissement ont induit en erreur les utilisateurs de Citi Match gérée par sa filiale Citi Order Routing and Execution (CORE). CORE aurait faussement assuré les utilisateurs que les professionnels utilisant le trading à haute fréquence n'étaient pas autorisé à travailler sur la plate-forme, alors qu’au moins deux d’entre eux ont pu passer plus de neuf milliards de dollars d’ordres à travers Citi Match.
La société de gestion FnB Private Equity, dédiée à l’univers de l’alimentation et des boissons a procédé au closing final de son premier fonds FnB Europe SLP. Ce dernier dispose d’une enveloppe de 134,5 M€ et dépasse ainsi son objectif initial de 120 M€. Son premier closing à 101 M€ avait eu lieu en avril dernier. Plus de 80 % des engagements proviennent d’institutionnels, dont Swen Capital Partners, BNP Paribas, AG2R La Mondiale, la Bred, ainsi que le FEI. Le solde provient de family offices, d’entrepreneurs et de l’équipe de gestion. Par ailleurs, 40 % proviennent d’investisseurs européens basés hors de France. Créé en 2017 par une équipe d’investisseurs et d’entrepreneurs (Olivier Marchand, Valérie Lutt et Antoine Sage), FnB Europe Fund SLP est un fonds d’investissement spécialisé dans les PME de l’industrie agro-alimentaire française et des pays proches (Royaume-Uni, Benelux, Espagne, Italie, Portugal). FnB Europe Fund investit de manière majoritaire pour des tickets compris entre 8 et 18 millions d’euros hors co-investissements avec des LPs. Trois opérations ont déjà été réalisées : dans Bur Distribution (épicerie fine), Lartigue & Fils (foie gras et charcuterie) et groupe Valade (produits à base de fruits). Un quatrième est en cours de finalisation, ce qui portera à un tiers le total du fonds déjà investis avant la fin de l’année. Il comptera à terme une dizaine de participations. AB.
Après la mise en œuvre de l’article 173 de la loi transition énergétique et croissance verte concernant les obligations de reporting sur la prise en compte du changement climatique par les investisseurs institutionnels, le gouvernement veut élaborer une méthodologie de mesure de l’empreinte carbone des portefeuilles qui prenne en compte l’ensemble des postes d’émissions de gaz à effet de serre significatifs (directes et indirectes) et la mise en conformité de ses investissements publics avec l’objectif international de limitation du réchauffement climatique. Cet objectif figure dans un amendement de la loi Pacte (le plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), dont le parcours législatif a commencé à l’Assemblée nationale en Commission. Le gouvernement doit présenter au Parlement, dans un délai de douze mois après la promulgation de la présente loi, ces orientations et un plan d’actions associé. Un autre amendement précise que l’Autorité des marchés financiers (AMF) sera chargée de "[veiller] à la qualité de l’information fournie par les investisseurs sur leur stratégie bas-carbone et de gestion des risques liés aux effets du changement climatique, notamment en évaluant et proposant des méthodologies uniformes liées au climat.» TV
Le rythme du changement s’accélère dans la gestion d’actifs. Selon une enquête menée par Société Générale Securities Services auprès de 100 gestionnaires d’actifs européens, 84% des interviewés considèrent que les nouvelles technologies et le numérique sont des moteurs essentiels de leur stratégie commerciale. Leur impact est même plus fort que celui de la réglementation qui est malgré tout citée par 82% des répondants.Dans ce contexte mouvant, la taille est un facteur clé. Les acteurs de grande taille bénéficient d’un coût marginal inférieur à celui des acteurs plus petits et ils peuvent réduire leurs frais de gestion pour obtenir davantage de mandats. Il peuvent mieux absorber les investissements nécessaires pour s’adapter aux changements de la réglementation et pour développer et industrialiser des nouvelles technologies. Ils semblent bien être les mieux armés pour profiter des principales évolutions à l’oeuvre dans le secteur.Mais la taille n’est pas tout. La capacité à tirer le meilleur parti des nouvelles technologies et de la quantité considérable de données disponibles est devenue un nouveau facteur clé de succès, complétant ou même renforçant une expertise hautement spécialisée permettant de fournir de bonnes performances à des acteurs de niche.
Franklin Templeton enrichit sa gamme européenne d’ETF LibertyShares avec le lancement de Franklin LibertyQ European Equity Ucits ETF. Le nouvel ETF smart beta a été lancé ce 13 septembre sur Deutsche Börse. Il devrait également être coté au London Stock Exchange et à la Borsa Italiana le 14 septembre. Viendra ensuite le marché suisse le 26 septembre.Le nouveau véhicule multi-factoriel s’intéresse tout particulièrement aux facteurs qualité et value mais il tient également compte d’autres facteurs comme le momentum et la volatilité. Il investira dans les grosses capitalisations et les valeurs moyennes européennes et aura pour sous-jacent l’indice LibertyQ Europe Equity, résultant d’une sélection multi-factorielle au sein du MSCI Europe Index.
Le géant de l’asset management BlackRock vient d’annoncer le lancement d’une série de fonds de dette à capital variable des marchés émergents (EMD) qui intègrent des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La nouvelle gamme de fonds UCITS complète l’offre EMD existante de BlackRock. Les fonds sont gérés activement par rapport à un ensemble respectif d’indices de référence ESG - les indices JESG EMD - lancés par J.P. Morgan en collaboration avec BlackRock en avril 2018. Les fonds offriront aux investisseurs une exposition aux titres de créance émis par des gouvernements, des autorités publiques locales ou des entreprises dans les pays émergents.«Nous sommes convaincus que les leaders du secteur doivent développer des solutions d’investissement durables et évolutives pour les investisseurs. Nous pensons que le lancement récent des indices ESG de la dette EM - une collaboration entre J.P. Morgan et BlackRock - pourrait entraîner une plus grande allocation de capital à des émetteurs plus favorables aux ESG au fil du temps, et qu’il existe une réelle opportunité de rechercher des rendements améliorés en utilisant une analyse ESG perspicace, une exploration de données et de textes importants, ainsi qu’un engagement sur le terrain avec les émetteurs », déclare Sergio Trigo Paz, responsable monde dette marché émergents de BlackRock dans un communiqué.
Le gestionnaire d’actifs suisse GAM Investments a recruté Andrea Vaitukaitis au poste de directrice des ventes auprès des intermédiaires pour le marché « offshore » des Etats-Unis, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressée, qui a pris ses fonctions le 27 août à New York, est rattachée à Carlos Costales et Juan Ramon Caridad, co-responsables de l’Amérique latine et de la péninsule ibérique basés à Madrid. Andrea Vaitukaitis travaillait depuis 2010 chez UBS où elle conseillait les clients institutionnels et privés provenant d’Amérique latine, d’Europe, de Moyen-Orient et d’Afrique. Avant cela, elle a occupé plusieurs postes dans le domaine des relations avec les clients et de la gestion des portefeuilles chez BNP Paribas, J.P. Morgan et Deutsche Bank.
L'éditeur de logiciels Linedata a annoncé ce 13 septembre que le groupe de gestion ICBC Asset Management (Global ou ICBC AMG, filiale à 100% d’Industrial and Commercial Bank of China (Asia) Limited, renforce ses solutions de gestion de portefeuille avec l’adoption de la gamme de solutions logicielles asset management de Linedata pour gérer son activité mondiale de gestion de fonds. ICBC AMG souhaite soutenir sa croissance sur les fonds monétaires, d’actions, d’obligations, de produits dérivés et de capital-risque.
Bethmann Bank a nommé Mario Lessing au poste de responsable des «Wealth Solutions» et des activités «Lending & Liquidity». Il prend la succession d’Axel Jörgens, qui va quitter la société début octobre 2018 pour rejoindre Oddo BHF en qualité de responsable de la gestion produits et du conseil en investissement.Dans ses nouvelles fonctions à la Bethmann Bank, Mario Lessing devra notamment poursuivre le développement des activités de gestion de fortune et de planification financière.Mario Lessing rejoint Bethmann Bank en provenance d’UBS à Londres et Francfort. Il était dernièrement membre du comité directeur du pôle wealth management d’UBS en Allemagne.
La société d’investissement Capital Group renforce son expertise obligataire avec le recrutement de Peter Becker en qualité de directeur responsable de l’investissement obligataire en Europe. Dans ses nouvelles fonctions, Peter Becker doit accompagner, à partir de Londres, le développement des activités dans l’obligataire auprès des investisseurs institutionnels et des intermédiaires financiers.Peter Becker a plus de 22 ans d’expérience dans le secteur de la gestion d’actifs. Avant de rejoindre Capital Group, il travaillait chez Wellington Management International, en qualité de managing director, responsable de la gestion des produits obligataires. Il a également travaillé chez Aberdeen Asset Management et chez HSBC Global Asset Management.
Le gestionnaire d’actifs américain Invesco a recruté Laure Peyranne en qualité de responsable des ETF pour la péninsule ibérique et l’Amérique latine, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressée sera rattachée à Iñigo Escudero, directeur général d’Invesco pour la péninsule ibérique et l’Amérique latine. Avant de rejoindre Invesco Laure Peyranne était responsable des ETF, des fonds indiciels et des stratégies « smart beta » pour l’Espagne et l’Amérique Latine chez Amundi, poste qu’elle occupait depuis 2012. Avant cela, elle a travaillé dans l’équipe commerciale de Société Générale en charge de clients basés en Espagne, en France et en Amérique latine pendant plus de six ans.
Nectar Digital Wealth AG, fintech suisse spécialisée dans la gestion de fortune et d’actifs, annonce le lancement de Nectar Smart Credit, le deuxième module d’investissement de sa série Smart Investment basé sur l’intelligence artificielle. «Nectar Smart Credit démocratise l’accès à un portefeuille de crédit diversifié à l'échelle mondiale pour les investisseurs dans un contexte de faibles taux d’intérêt et de surévaluation des marchés boursiers», explique dans un communiqué Michael Appenzeller, CEO de Nectar Digital Wealth. Le portefeuille de Nectar Smart Credit se compose de 10 à 15 moteurs de rendement analysés sans distorsion et analysés par l’IA, composés de positions liquides et diversifiées de manière optimale, avec une faible corrélation avec les actions, les obligations et les fonds spéculatifs traditionnels.
Ce jeudi, La Mobilière publiait ses résultats pour le premier semestre 2018. L’occasion pour l’assureur bernois d’annoncer un investissement supplémentaire de 250 millions de francs suisse dans sa transition numérique et la création de 150 nouveaux postes. Le groupe Mobilière a réalisé au premier semestre un bénéfice consolidé de 264,7 millions de francs (contre 258,3 millions au semestre précédent). Le résultat après impôts s’élève à 242,1 millions de francs dans le secteur non-vie et à 22,7 millions dans le secteur vie. Les opérations financières ont contribué au résultat semestriel du groupe à hauteur de 200,6 millions de francs. Le taux de rendement des placements est de 1,2% (exercice précédent: 1,3%).Fin juin 2018, le volume des primes du groupe Mobilière atteignait près de 2,648 milliards de francs, dont 2,162 milliards provenant du secteur non-vie et 485,7 millions du secteur vie. Par rapport à fin 2017, les fonds propres consolidés ont diminué de 45,1 millions de francs pour atteindre 4,790 milliards. Par ailleurs, l’assureur helvète a annoncé qu’il investira un montant de 250 millions de francs sur les cinq prochaines années «afin d’assurer le maintien d’une croissance future supérieure à celle du marché et d’accélérer sa transition numérique», précise l'établissement bernois. Cet investissement permettra de développer plus rapidement de nouveaux produits et services compétitifs et d’accélérer le remplacement de systèmes obsolètes. De plus, La Mobilière créera quelque 150 nouveaux postes à temps plein d’ici à fin 2019. Destinés principalement à des développeurs de logiciels, des spécialistes data et des business analystes, ces emplois seront créés partout en Suisse.
Le groupe bancaire EFG International a annoncé ce jeudi plusieurs nominations au sein de son équipe de direction. Parmi elles, Richard Thomas est nommé directeur général d’EFG Private Bank Limited, la filiale britannique à partir de janvier 2019. Cette nomination est encore sujette à l’approbation des autorités de tutelle. Il devrait ainsi succéder à Anthony Cooke-Yarborough, qui deviendra pour sa part président de la banque privée et répondra directement au CEO du groupe, Giorgio Pradelli, précise l’établissement zurichois dans un communiqué. Par ailleurs, deux nouveaux responsables vont également rejoindre la direction d’EFG à partir du 1er novembre 2018. Daniel Lüscher succédera à Giovanni Weber à la tête des ressources humaines et sera également placé sous la supervision directe de Giorgio Pradelli. Mauro Palombo assumera quant à lui la responsabilité au niveau du groupe pour les solutions de crédit et la gestion des clients stratégiques, après plus de 20 ans passés au service de Julius Baer. De son côté, Donald Klotter a déjà repris depuis le 1er septembre la tête des ventes institutionnelles, après avoir été gestionnaire de portefeuille clients pour EFG les deux années précédentes. Enfin, Roland Kempf est nommé à la tête de la banque privée à Zurich à partir de mi-octobre. L’ancien de Privatbank IHAG sera placé sous la direction de Franco Polloni, en charge des marchés suisse et italien, et sera membre du comité directeur régional. «Les nominations que nous venons d’annoncer démontrent notre volonté d’aller de l’avant et de renforcer notre direction dans différentes zone géographiques afin de faire d’EFG l’une des banques privées suisses leader sur le marché» , se félicite dans un communiqué Giorgio Pradelli, CEO d’EFG International
La banque privée Edmond de Rothschild Asset Management renforce son équipe de distribution à Zurich avec le recrutement de Julian Allenbach en qualité de directeur des ventes senior. Dans ses nouvelles fonctions, Julian Allenbach se concentrera sur le développement des activités auprès des investisseurs institutionnels et du wholesale. Il est rattaché à Jürg Unteregger, responsable des ventes pour la Suisse alémanique. Julian Allenbach dispose d’une expérience d’environ vingt ans dans la finance. Il était dernièrement directeur de l’antenne de Zurich du gestionnaire allemand Feri. Il avait précédemment développé le réseau de distribution de Carmignac en Suisse alémanique et au Liechtenstein.
Après le recrutement de François Collet en qualité d’associé au sein de Raise Ventures (lire NewsManagers du 13 septembre 2018), la société d’investissement Raise poursuit le renforcement de ses équipes avec l’arrivée de Pierre-Edouard de Lamy en tant qu’analyste au sein de Raise Investissement. Agé de 27 ans, l’intéressé sera en charge de l’étude et du suivi des dossiers d’investissement en collaboration avec le reste de l’équipe. Pierre-Edouard de Lamy a auparavant travaillé chez Messier Maris & Associés, au sein de l’activité de conseils en fusions et acquisitions.
Le fonds de pension néerlandais ABP a annoncé ce 13 septembre que Diane Griffioen a été recrutée le 3 septembre comme directrice de la politique d’investissement, succédant à Jeroen Schreur, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. Auparavant, l’intéressée était directrice des fonds d’investissement chez ASN Bank. Elle avait été avant cela directrice de l’investment management chez Triodos Bank et directrice de la gestion de fortune chez ING Private Banking.
Carmignac a annoncé ce 13 septembre la nomination d’un nouveau chef économiste, Raphaël Gallardo. Il sera rattaché à Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset de Carmignac. Précédemment, Raphaël Gallardo occupait la fonction d’économiste chez Ostrum Asset Management (anciennement Natixis Asset Management). Il a débuté sa carrière chez BNP Paribas où il a passé dix ans avant de devenir responsable de la recherche macro-économique chez AXA Investment Managers, puis chez Rothschild & Cie Gestion. «Raphaël est un partenaire naturel pour l'équipe Cross Asset, qui est au cœur de l’approche top-down de Carmignac. Son expertise unique dans l’anticipation des cycles et dans la détermination du sentiment du marché sera un véritable atout dans la transposition de nos vues de marchés dans nos décisions d’investissement», commente Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset chez Carmignac, cité dans un communiqué.
La société de gestion française Carmignac a annoncé jeudi 13 septembre la nomination d’un nouveau chef économiste, Raphaël Gallardo. Il reportera à Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset de Carmignac. Précédemment, Raphaël Gallardo occupait la fonction d’économiste chez Ostrum Asset Management (anciennement Natixis Asset Management). Il a débuté sa carrière chez BNP Paribas où il a passé dix ans avant de devenir responsable de la recherche macro-économique chez AXA Investment Managers, puis chez Rothschild & Cie Gestion.« Raphaël est un partenaire naturel pour l'équipe Cross Asset, qui est au cœur de l’approche top-down de Carmignac. Son expertise unique dans l’anticipation des cycles et dans la détermination du sentiment du marché sera un véritable atout dans la transposition de nos vues de marchés dans nos décisions d’investissement », indique Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset chez Carmignac, cité dans un communiqué.
Meeschaert Asset Management a annoncé ce 13 septembre la nomination de Nicolas Gautier en tant que directeur de la distribution. Sous la direction de Benoît Vesco, directeur général de Meeschaert Asset Management, Nicolas Gautier prend la responsabilité d’une fonction clé, traduisant ainsi les ambitions de développement de la société de gestion du groupe Meeschaert, plus particulièrement auprès de la clientèle des investisseurs institutionnels (banques privées, multi-gérants, mutuelles, assurances…), souligne un communiqué. Fort de plus de 15 ans d’expérience dans le secteur de la finance, Nicolas Gautier a commencé sa carrière professionnelle chez Société Générale Corporate & Investment Banking où il a développé la clientèle des grands corporates français, puis des institutions financières. A partir de 2006, il a ensuite exercé différentes fonctions commerciales au sein de structures de gestion à taille humaine indépendantes. Il était notamment directeur commercial pour les institutionnels et banques privées chez Convictions AM depuis 2009, avant de prendre la direction commerciale de Auris IM en 2013.