Jonathan Armitage, head of US large cap equities, is leaving Schroders after 19 years. He is returning to Australia for family reasons, according to a press release.Schroders has announced that Joanna Shatney, portfolio manager US large cap equities, will become head of US large cap equities with immediate effect. The team-based investment approach of the global and international equities team will remain unchanged. Virginie Maisonneuve, head of global and international equities, will continue to be the final decision maker on investment decisions for all global and international mandates.
The European platforms of NYSE Euronext in April registered 19 cross-listings of Lyxor ETFs in Brussels, and 8 introductions of new ETFs, including 2 from RBS Market Aaccess, one from EasyETF, and 4 from ThinkCapital on Euronext Amsterdam, and one Lyxor product on Euronext Paris.At the end of April, the European stock markets of NYSE Euronext thus listed 546 ETFs from 17 issuers 642 times. Since the beginning of the year, 101 new listings were registered, of which 75 were primary and 26 were cross-listings.NYSE Euronext also states that the number of trrades and average daily trading volume had fallen, respectively, to 7,937 trades from 11,224 in March, and to EUR348.7m, from EUR509.9m (see Newsmanagers of 18 April). Year on year, April was down 12.8% in terms of the number of transactions, and 16% in volume.The average spread stood at 26.5 basis points, compared with 28.97 basis points in March. It was 28.15 at the end of February, and 28.5 in January.Total assets in all ETFs listed on the European markets of NYSE Euronext as of the end of April totalled EUR142.3bn, which represents an 18.6% increase over their level twelve months earlier.
As of the end of April, BlackRock reports, assets in 1,128 ETFs domiciled in Europe (and listed 2,952 times on 23 stock markets) totalled USD328.2bn, compared with USD307.5bn as of the end of March, and USD284bn as of the end of December 2010. One year previously, these levels stood at USD234.3bn. In other words, assets under management have risen in the space of twelve months by USD93.9bn, or 40%. Since the beginning of the year, assets have increased 15.5% (also see Newsmanagers of 18 April).In the first four months of 2011, net subscriptions have totalled USD12.9bn, of which USD4bn have gone to iShares, and USD3.1bn to UBS Global Asset Management. The heaviest net outflows were from Lyxor Asset Management (Société Générale), at USD1.7bn.The BlackRock survey finds that the number of ETF funds increased in January-April by 5.2%, with 82 launches of funds, 7 discontinuations, and 19 fund mergers. The number of products increased 12.4%, or 103, in the corresponding period of 2010.iShares (BlackRock) remains the largest ETF provider in Europe, with 167 products and assets of Usd115.3bn, for a market share of 35.1%; the number of funds has not changed, but assets increased over the USD109.6bn recorded at the end of March, when market share was 35.7%. The number two fund management firm remains Lyxor AM, with 157 products, USD56.5bn in assets, and a 17.2% market share (156 funds, USD53.7bn, and 17.5% of the market as of the end of March), followed by db x-trackers (Deutsche Bank), with 158 funds, USD53.5bn, and a market share of 16.3% (156 ETFs, USD50.6bn, and 16.4%).
Pour des raisons juridiques, le francfortois Credit Suisse Asset Management Immobilien KAG est obligé de proroger d’un an, jusqu’au 19 mai 2012, le gel des remboursements qui a été mis en place le 19 mai 2010. Cependant, Karl-Heinz Heuß, directeur général de la société de gestion, s’est déclaré convaincu mercredi 11 mai qu’il sera possible de reprendre les remboursements avant la fin de cette année.Il a indiqué en effet que le CS Euroreal a été en mesure de revendre entre décembre et fin avril cinq actifs d’une valeur supérieure à 500 millions d’euros, à chaque fois à un prix supérieur à la valeur vénale déclarée fin septembre 2010. De ce fait la liquidité brute du fonds au 30 avril ressortait à 1,2 milliard d’euros tandis que la liquidité nette représentait environ 1 milliard d’euros, soit 16,8 % de l’encours. Depuis le début du gel des remboursements, la liquidité nette s’est accrue de 740 millions d’euros ou de 12 points de pourcentage.Actuellement, l'équipe de gestion négocie la vente d’autres actifs pour environ 800 millions d’euros. Cela devrait permettre de porter la liquidité disponible pour les remboursements à 25-30 % de l’encours.
La Deutsche Börse indique avoir admis à la négociation sur le segment XTF de sa plate-forme électronique Xetra quatre nouveaux ETF de droit allemand lancés par le britannique ETF Securities.Trois de ces fonds sont des produits sur indices d’actions. Il s’agit du ETFX Dow Jones Brookfield Global Infrastructure (DE000A1H8092) chargé à 0,60 %, du ETFX Dow Jones Brookfield Emerging Markets Infrastructure (DE000A1H8084) avec une commission de gestion de 0,65 % et du ETFX Dow Jones Global Select Dividend Fund (DE000A1H81A3), pour lequel les frais sont fixés à 0,50 %.Le quatrième produit est le premier ETF sur la Bourse allemande autorisant un investissement sur la volatilité des grandes capitalisations européennes de l’Euro Stoxx 50. Il s’agit de l’ETFX-BofAML IVSTOXX ETF (DE000A1H81B1), qui est chargé à 0,80 %.
Après Andreas Winterberg, qui fait partie de l'équipe de direction de la succursale de Cologne, et Wolfgang Sawazki, qui dirige l'équipe de gestion de portefeuille «clients stratégiques», Michael von Brauchitsch est le troisième ancien dirigeant de Sal. Oppenheim en quelques mois à revenir dans le groupe.La banque, qui est désormais passée sous le contrôle de la Deutsche Bank, a annoncé le 11 mai que Michael von Brauchitsch a pris au 1er mai les fonctions de membre de la direction générale de la société de gestion Oppenheim Kapitalanlagegesellschaft mbH (OKAG). Il est le numéro deux de la clientèle institutionnelle.Après avoir travaillé de 1994 à 2003 pour Sal. Oppenheim, en dernier lieu comme directeur de la gestion actions européennes, Michael von Brauchitsch avait rejoint l'équipe dirigeant de HSBC Guyerzeller Bank AG à Zurich, avant de créer en mai 2004 le multi-family office von Brauchitsch GmbH à Bonn. En janvier 2009, l’intéressé était devenu de surcroît associé-gérant du gestionnaire de fortune Salm-Salm & Partner GmbH, où il était responsable du suivi de la clientèle institutionnelle.
La Place de Paris a mieux résisté à la crise que Londres. «Entre 2007 et 2009, Paris a enregistré une perte de 5.000 emplois dans les métiers de la finance alors qu’entre 2008 et 2010, la Place de Londres a vu disparaître 94.000 emplois», a souligné Arnaud de Bresson, délégué général de Paris Europlace ce mercredi à Paris lors d’une conférence organisée par eFinancialCareers.fr. L’emploi sur le marché parisien se montrait dynamique avant la crise, en affichant une croissance de 10 % des effectifs entre 2003 et 2008, ce qui représente une augmentation de 30.000 emplois par an. Après le ralentissement dû à la crise, les perspectives sont à nouveau favorables, estime Paris Europlace, qui table entre 2011 et 2016 sur une augmentation de l’emploi financier de 6 % à 35 %. Parmi les secteurs les plus porteurs, l’association de promotion de Place cite la banque de financement et d’investissement (BFI), la gestion d’actifs (y compris la gestion alternative), le domaine des titres de créances négociables, des actions et des obligations ainsi que l’assurance. D’autres études se montrent également optimistes. Selon une étude du Centre for Economics and Business Research, 2010 a ainsi vu la création de 14.000 nouveaux emplois et s’attend à ce que la Place de Paris en créé 8.000 supplémentaires en 2011, notamment dans le contrôle du risque, la compliance, les fusions-acquisitions et la banque d’investissement.Toujours en concurrence avec Londres, qui reste «the place to be» grâce notamment "à un marché de l’emploi en finance bien plus profond que Paris, et possédant des perspectives d'évolution de carrière plus intéressantes», selon Jean-François Monteil du cabinet de recrutement Alexander Hughes, Paris dispose pourtant d’arguments solides pour attirer de futurs spécialistes. «Classée par le Xinhua-Dow Jones International Financial Center au cinquième rang mondial des places financières, les atouts de la place parisienne sont nombreux. C’est une place complète qui offre une main d'œuvre qualifiée et innovante et qui offre et un tissu dense de PME, de banques, de sociétés de gestion», souligne Arnaud de Bresson. Une autre spécificité de la France, note Arnaud Chrétien, fondateur de la société de gestion quantitative Aequam Capital, «c’est la force de ses marques comme Amundi et Carmignac Gestion». Avec sept autres sociétés de gestion, Arnaud Chrétien vient de créer QuantValley, une association qui souhaite faire de la finance quantitative à Paris une véritable marque de fabrique exportable, capable de faire briller l'étoile de la gestion quantitative française au-delà des frontières et de mettre en avant le grand savoir-faire français dans ce domaine.
Au premier trimestre 2011, le pôle Epargne de Natixis qui regroupe la gestion d’actifs, l’assurance, la banque privée et le capital investissement, a enregistré de bonnes performances dans tous ses métiers, notamment dans la gestion d’actifs, a annoncé le groupe le 12 mai dans un communiqué. Les revenus du pôle Epargne se sont établis à 472 millions d’euros, en hausse de 11% par rapport au premier trimestre 2010. En gestion d’actifs, la progression des revenus atteint 13% à 365 millions d’euros. Les encours de la gestion d’actifs s’élèvent à 530 milliards d’euros au 31 mars 2011, en progression de 1% à change constant par rapport au 31 décembre 2010. La collecte nette est légèrement positive (100 millions d’euros). Hors produits monétaires, elle ressort à 3,1 milliards d’euros, répartie sur les classes d’actifs les plus rentables : actions, performance absolue et gestion alternative.En Europe, les encours atteignent 315 milliards d’euros, en recul de 1,2% sur le trimestre. La décollecte nette (-3,5 milliards d’euros) est concentrée sur les supports monétaires. Hors fonds monétaires, la collecte nette est positive à 0,9 milliard d’euros. La société de gestion H2O Asset Management a connu un excellent démarrage avec une collecte nette de 0,7 milliard d’euros.Aux Etats-Unis, les encours s’établissent à 304 milliards de dollars, soit le niveau le plus élevé jamais atteint, en hausse de 4,3% par rapport au 31 décembre 2010. La collecte trimestrielle nette ressort à 5,1 milliards de dollars.Dans la banque privée, la collecte nette de la plate-forme de distribution Sélection 1818, dédiée aux CGPI et née récemment du rapprochement de Sélection R et de 1818 Partenaires, s’est élevée à 200 millions d’euros au premier trimestre. Les encours sous gestion augmentent de 29% par rapport au 31 mars 2010, à 19,4 milliards d’euros, du fait principalement du changement de périmètre (intégration de Sélection R).
Le gérant français de hedge funds, Jean-Philippe Blochet, a annoncé qu’il quittait son employeur, le fonds Moore Capital, pour se consacrer à sa fondation «Enfin», dédiée à l'éducation des jeunes femmes africaines, rapporte Les Echos. Ce Français de 47 ans été l’un des cofondateurs du hedge fund Brevan Howard en 2002. Il l’avait quitté en 2010 pour rejoindre Moore Capital.
A fin avril, les actifs sous gestion de Julius Baer affichaient une croissance de 2% par rapport à fin décembre 2010 pour atteindre 173 milliards de francs suisses, a annoncé le groupe dans un communiqué publié le 12 mai. La croissance de la collecte nette s’est située dans l’objectif de moyen terme de 4% à 6% fixé par le groupe, avec notamment de très bons résultats en Allemagne. Le ratio d’exploitation s’est légèrement amélioré par rapport à son niveau du second semestre 2010 (67,6%). Le groupe précise dans son communiqué que son programme de rachats de titres jusqu’à concurrence de 500 millions de francs suisses sera lancé le 23 mai prochain.
«La totalité de l’alpha avec moins de beta» : tel est le slogan choisi par AllianceBernstein pour le compartiment AllianceBernstein European Flexible Equity Portfolio de sa sicav luxembourgeoise lancé le 31 janvier.L'équipe dirigée par Michele Petri cherche à générer une performance du type actions en utilisant un portefeuille actif et concentré de 40-60 émetteurs en ajustant de manière dynamique l’exposition du portefeuille au marché des actions. Son allocation nette longue aura tendance à augmenter lorsque la recherche d’AllianceBernstein suggère que les perspectives de rendement augmentent et que le risque diminue. A l’inverse, le gérant adoptera une attitude plus défensive lorsque les perspectives de rendement sont faibles et que les risques augmentent.L’environnement de marché détermine le degré d’exposition du portefeuille, pilote l’allocation sectorielle et vient compléter la recherche qui nourrit la sélection de valeurs au sein de trois secteurs larges, les cycliques, les financières et les défensives.Le portefeuille de ce fonds de performance absolue affichera toujours une exposition nette positive au marché des actions, l’ajustement dynamique étant réalisé au moyen de dérivés. Les encours seront principalement placés en actions européennes, mais le gérant est autorisé à investir jusqu'à 20 % du portefeuille de manière opportuniste dans d’autres marchés d’actions.CaractéristiquesDénomination : AB European Flexible Equity PortfolioCode Isin : LU0590155247 (part A en euros)Commission de gestion : 1,5 %Commission de performance : 10 %, avec high watermark
BNY Mellon a nommé Arthur Certosimo au poste de CEO de sa division Global Markets. Il est actuellement Chief Executive Officer des services dédiés à l’investissement alternatif (AIS) de BNY Mellon Alternative Investment Services et remplacera à son nouveau poste Richard Mahoney, qui part à la retraite. C’est Brian Ruane qui dirigera l’AIS suite à la promotion de Arthur Certosimo.
Au 30 avril, les actifs gérés par Legg Mason et ses filiales représentaient 672 milliards de dollars contre 677,6 milliards un mois plus tôt, la baisse étant exclusivement imputable aux fonds monétaires à 115,8 milliards contre 131,4 milliards. En revanche, les encours des fonds d’actions et obligataires ont progressé à respectivement 191,3 milliards et 364,9 milliards de dollars contre 189,6 milliards et 356,6 milliards.Chez Invesco, l’encours total s’est accru à 668,5 milliards de dollars contre 641,9 milliards, dont 97,2 milliards contre 91,7 milliards pour les ETF, les unit investment trusts et les produits passifs.Pour sa part, Franklin Templeton Investments a déclaré des actifs totaux sous gestion de 733,1 milliards de dollars fin avril contre 703,5 milliards un mois auparavant. Les fonds d’actions pèsent 321,3 milliards de dollars contre 308,9 milliards, les produits obligataires, 288,5 milliards contre 275,2 milliards et les «hybrides», 116,7 milliards contre 113,4 milliards.
Dans une notification à la SEC datée du 9 mai, en supplément au prospectus de tous les fonds BlackRock (mais non iShares) ainsi qu'à ceux des fonds Franklin Templeton Total Return, Marsico Growth, MFS Research International et Van Kampen Value de la gamme FDC, BlackRock annonce qu’en raison du coût élevé d’administration de comptes de petits montants, il a introduit la notion de solde minimum (fund minimum) fixée à 500 dollars. Le gestionnaire ajoute qu’il prélèvera annuellement 20 dollars sur les comptes qui tomberaient en-dessous de cette limite. Et si le compte crève le plancher de 250 dollars pour quelque raison que ce soit (même si c’est une fluctuation de marché) et qu’aucune souscription ne vient corriger cette situation dans les 90 jours malgré les avertissements, BlackRock procèdera à un «remboursement involontaire» (involuntary redemption). Autrement dit, une liquidation forcée. Cependant, cette dernière pourra souffrir quelques exceptions, notamment en ce qui concerne certains plans d'épargne retraite.
BNY Mellon Asset Management annonce le recrutement de Rumi Masih au poste de stratégiste d’investissement senior au sein de sa division Investment Strategy & Solutions Group. L’intéressé, qui était auparavant responsable mondial du Strategic Investment Advisory Group de JP Morgan Asset Management, sera basé à New York.
Janus Capital Group annonce la nomination de Christopher H. Diaz au poste de responsable global rates et de John Kerschner au poste de reponsable securitized products, deux postes nouvellement créés. Christopher H. Diaz assumait auparavant la direction du global rates group d’ING Investment Management, alors que John Kerschner était depuis décembre 2010 analyste mortgage chez Janus Capital Management.
Selon Financial News, RAB Capital, une société de hedge funds basée à Londres qui jouissait autrefois d’un fort succès, envisage de se retirer de la cote de l’Alternative Investment Market. La société subit des rachats. De plus, elle va perdre l’un de ses gérants, Gavin Wilson, explique le journal.
Stuart Gulliver, directeur général d’HBSC, a annoncé son intention d'économiser entre 2,5 et 3,5 milliards de dollars d’ici à la fin 2013 afin d’atteindre un objectif de ratio coûts/revenus pour l'établissement compris entre 48 et 52%, rapporte L’Agefi. Pour y parvenir, le groupe souhaite désormais concentrer sa gestion de patrimoine sur 18 marchés clés, comme le Royaume-Uni et Hong Kong. L’un des axes de travail sera aussi de se concentrer sur une clientèle susceptible d’investir entre 1 et 5 millions de dollars, afin de générer quelque 4 milliards de dollars de revenus supplémentaires sur le moyen terme. Sur le marché français, le groupe a l’intention d’accélérer sa stratégie dans la gestion du patrimoine en s’appuyant sur de nouveaux produits, tels des mandats de gestion discrétionnaires, lancés cette année et en 2012.
En juin, Aberdeen va lancer un trust coté sur le London Stock Exchange investi dans des petites capitalisations des marchés émergents, le Aberdeen Emerging Smaller Companies Trust PFC. Il sera géré par l’équipe marchés émergents de la société de gestion composée de 35 personnes dont Devan Kaloo et Mark Gordon-James.
Jonathan Armitage, le responsable des actions américaines de grande capitalisation (head of US large cap equities) de Schroders, quitte la société de gestion britannique après y avoir passé 19 ans. Il retourne en Australie pour raisons familiales, indique un communiqué. Joanna Shatney, gérante de portefeuilles actions US de grande capitalisation, va lui succéder, avec effet immédiat.Avec son équipe, elle gérera désormais le Schroder ISF US Large Cap Equity, le Schroder ISF US All Cap et le Schroder ISF US Equity Alpha, dont les objectifs et le style d’investissement restent les mêmes.Virginie Maisonneuve, responsable des actions globales et internationales (head of global and international equities), continuera d’avoir le dernier mot pour les décisions d’investissement pour tous les mandats globaux et internationaux, précise Schroders. Les fonds qu’elle gère avec son équipe gardent également les mêmes objectifs et le même style (Schroder ISF Global Equity, Schroder ISF Global Equity Alpha et du Schroder UTL Global Alpha Plus).
Au premier trimestre, la société de gestion britannique Rathbones a vu ses encours augmenter de 2,6 %, de 15,63 milliards de livres à 16,04 milliards. Cela représente une hausse de 14,1 % sur un an. La société a dégagé une bénéfice d’exploitation de 33,9 millions de livres, soit une amélioration de 12,3 % par rapport au premier trimestre de 2010.
Le gestionnaire alternatif envisagerait de ses retirer de la Bourse en raison d’un afflux massif de demandes de rachats de parts des investisseurs. Les actifs se sont littéralement évaporés à l’échéance de la période de blocage de trois ans des titres au sein de son fonds vedette. Déjà début 2011 les actifs avaient chuté à un milliard de dollars contre 7 milliards au plus haut en 2007.
De grands noms du rachat à effet de levier, dont Carlyle, Blackstone et Bain Capital, s’intéressent à Securitas Direct, le spécialiste de la télésurveillance et des alarmes dont la valeur dépasserait 3 milliards de dollars. Selon Reuters, au moins sept fonds ont déposé des offres indicatives auprès d’EQT, le fonds suédois de la famille Wallenberg.
En réaction à des informations de presse, les dirigeants de Foncia se sont défendus hier d’avoir pris position contre le projet de rachat présenté par Bridgepoint et Eurazeo. Crédit Agricole, Goldman Sachs et Natixis ont mis en place un financement pouvant aller jusqu'à 500 millions d’euros pour soutenir l’offre de rachat du tandem, selon Reuters.