Malgré des réformes jugées pertinentes, la France va devoir poursuivre et intensifier ses efforts, estime la Commission dans le paquet d'hiver du Semestre européen.
Davantage immunisé contre le ralentissement mondial, l’Hexagone devrait bénéficier en 2020 d’une consommation plus dynamique grâce à l’amélioration du marché de l’emploi.
C’est la baisse du nombre de demandeurs d’emploi (toutes catégories confondues) en France pour l’année 2019, selon les chiffres publiés le 27 janvier par le ministère du Travail. La décrue du nombre de chômeurs de longue durée (catégorie A) se confirme, avec une baisse de 3,1 % sur un an (contre -2,4 % enregistrés à la fin du troisième trimestre 2019).
La confiance des ménages français a enregistré une progression inattendue en janvier, en plein mouvement de grèves et de manifestations contre le projet de réforme des retraites, selon les chiffres publiés mercredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance s’est établi à 104, après être tombé en décembre à 102, au plus bas depuis juillet. Les ménages se montrent plus optimistes sur leur situation financière future, quant à faire des achats importants, et plus confiants dans leur capacité d'épargne à l’avenir.
La confiance des ménages français a enregistré une progression inattendue en janvier, en plein mouvement de grèves et de manifestations contre le projet de réforme des retraites, selon les chiffres publiés mercredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance s’est établi à 104, après être tombé en décembre à 102, son plus bas niveau depuis le mois de juillet.
VULNÉRABLES Le modèle économique des banques françaises ne convainc pas. Dans son dernier rapport sur le système financier français, le FMI (Fonds monétaire international) constate une amélioration dans la capitalisation et la qualité de leurs actifs, mais leur rentabilité reste faible, notamment « par rapport à (leurs) homologues européens et américains, en particulier sur le marché domestique » (voir graphique).
Le secteur des services en Allemagne a peu progressé en octobre, signe que la faiblesse du secteur manufacturier se propage aux autres secteurs de l'économie, selon l’enquête mensuelle IHS Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI des services est remonté à 51,6, au-dessus de l’estimation «flash» de 51,2, après 51,4 en septembre. L’indice composite, qui combine les données pour les secteurs manufacturier et des services, est remonté à 48,9 (après 48,5 en septembre), mais reste sous le seuil des 50, qui caractérise une contraction. En France, le PMI Services ressort en hausse à 52,9 (après 51,1 en septembre) et l’indice PMI composite à 52,6 (après 50,8 en septembre).
Le secteur des services en Allemagne a peu progressé en octobre, signe que la faiblesse du secteur manufacturier se propage doucement aux autres secteurs de l'économie, selon l’enquête mensuelle IHS Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI des services est remonté à 51,6, au-dessus de l’estimation «flash» de 51,2, après 51,4 en septembre. L’indice composite, qui combine les données pour les secteurs manufacturier et des services, est remonté à 48,9 (après 48,5 en septembre), mais reste sous le seuil des 50, qui caractérise une contraction.
L’Indice PMI IHS Markit final pour l’industrie manufacturière de la zone euro reste au-dessous du niveau de 50 (maquant une anticipation de reprise de l’activité) pour le septième mois consécutif. L’indice se redresse toutefois de 46,5 en juillet à 47 en août, conformément à l’estimation flash publiée fin août. «Bien qu’en hausse par rapport au creux de six ans et demi enregistré en juillet (…), l’Indice PMI final IHS Markit affiche son deuxième plus faible niveau depuis avril 2013 et signale une forte détérioration de la conjoncture», commente le bureau d’analyses. Si cette nouvelle dégradation de la conjoncture industrielle a résulté d’une forte contraction des secteurs de la fabrication de biens intermédiaires et de biens d’équipement, le secteur des biens de consommation a maintenu sa tendance haussière amorcée il y a près de six ans, et enregistré une forte expansion en août.
La Cour de cassation a estimé que le barème des indemnités prud’homales en cas de licenciement abusif, prévu par la réforme du Code du travail, est conforme aux conventions européennes et internationales. Ce barème, qui introduit un plafond à 20 mois de salaire pour une ancienneté de 29 ans et plus dans l’entreprise, était contesté par les conseils des prud’hommes de Toulouse et de Louviers (Eure) au motif qu’il restreint le pouvoir d’appréciation du juge et ne permet pas une indemnité adéquate en cas de licenciement abusif.
Le ministre de l’Economie estime que la France et les Etats-Unis doivent régler leurs différends autrement que par la menace de sanctions commerciales.
La Banque de France n’attend plus que 0,2% de croissance pour l'économie française au deuxième trimestre, contre 0,3% auparavant, en raison d’une nette dégradation du climat des affaires dans l’industrie manufacturière, qui tombe à un plus bas de près de six ans. L’Insee table sur une croissance de 0,3%. L’enquête de conjoncture de la Banque de France fait apparaître une chute de quatre points de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 95, son niveau le plus bas depuis juillet 2013. L’indicateur du secteur des services est inchangé à 100, et celui du bâtiment perd un point à 104.
La Banque de France n’attend plus que 0,2% de croissance pour l'économie française au deuxième trimestre, contre 0,3% auparavant, en raison d’une nette dégradation du climat des affaires dans l’industrie manufacturière, qui tombe à un plus bas de près de six ans. Cette révision en baisse fondée sur l’enquête mensuelle de conjoncture de juin se situe en-dessous de celle de l’Insee, qui table de son côté sur une croissance de 0,3% au deuxième trimestre. L’enquête de conjoncture de la Banque de France fait apparaître une chute de quatre points de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 95, son niveau le plus bas depuis juillet 2013. L’indicateur du secteur des services est de son côté inchangé à 100 et celui du bâtiment perd un point à 104.
Le déficit du budget de l’Etat français s’est établi à 83,9 milliards d’euros à fin mai, en hausse de 28,8 milliards par rapport à la même période un an plus tôt (55,1 milliards), selon les données publiées mardi par le ministère de l’Action et des Comptes publics. Au 31 mai, les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) s'établissaient à 171,2 milliards d’euros contre 164,7 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 3,9% par rapport à la fin mai 2018. Dans le détail, les dépenses du budget général ont progressé, à 148,1 milliards contre 143,0 un an plus tôt du fait « principalement de décalages calendaires et de la revalorisation de la prime d’activité » d’après le ministère, tandis que les prélèvements sur recette ont augmenté de 1,2 milliard en un an, à 23,0 milliards (+5,8%).
L’indice PMI IHS Markit manufacturier pour la France est passé de 50,6 en mai à 51,9 en juin tandis que celui de la zone euro est passé de 47,7 en mai à 47,6 en juin