L’indicateur mesurant la confiance des ménages en France s’est redressé pour le deuxième mois consécutif, à hauteur de 3 points en février. Il est revenu à un niveau de 95 correspondant à son plus haut depuis octobre dernier, avant l’impact du mouvement des Gilets Jaunes, alors que le consensus des économistes interrogés par Reuters le voyait en moyenne stable à 92. Les craintes des ménages concernant l'évolution du chômage diminuent, le solde correspondant perdant 20 points après avoir augmenté pendant trois mois consécutifs, et la part des ménages considérant que le niveau de vie s’est amélioré au cours des douze derniers mois a augmenté de nouveau, le solde correspondant progressant de 6 points, même s’il reste au-dessous de sa moyenne, précise l’Insee dans un communiqué.
Le taux de chômage en France a reculé de 0,3 point au quatrième trimestre 2018, pour tomber à un niveau de 8,8%, le plus bas depuis 2009, selon les chiffres de l’Insee publiés ce matin. Or, les économistes l’attendaient stable, à 9,1%. En France métropolitaine, il a baissé de 0,3 point, à 8,5%, et le nombre de chômeurs a diminué de 90.000 à 2,5 millions de personnes, avec un fort recul chez les jeunes. Le taux de chômage de longue durée est lui resté stable, à 3,4%, quelque 990.000 chômeurs déclarant chercher un emploi depuis plus d’un an.
Le taux de chômage en France a reculé de 0,3 point au quatrième trimestre 2018, pour tomber à un niveau de 8,8%, le plus bas depuis 2009, selon les chiffres de l’Insee publiés ce matin. Or, les économistes attendaient un taux de chômage stable, à 9,1%. En France métropolitaine, il a baissé de 0,3 point, à 8,5%, et le nombre de chômeurs a diminué de 90.000 à 2,5 millions de personnes, avec un fort recul du chômage des jeunes. Le taux de chômage de longue durée est en revanche resté stable, à 3,4%, quelque 990.000 chômeurs déclarant rechercher un emploi depuis au moins un an.
La croissance de l'économie française devrait atteindre 0,4% au premier trimestre 2019, selon la première estimation de la Banque de France publiée lundi, après une hausse de 0,2% du produit intérieur brut (PIB) enregistrée au quatrième trimestre 2018. En février, l’activité devrait continuer à croître selon les professionnels interrogés, avec un indice d’activité ICA stable à 105 en janvier. Dans les services, après un ralentissement de l’activité en janvier, les chefs d’entreprises prévoient une accélération en février. L’indice ICA est à 100 en janvier, après 101 en décembre. Dans l’industrie, l’activité reprendrait en février après une diminution de la production en janvier, avec un indice à 99 en janvier contre 102 en décembre.
La croissance de l'économie française devrait atteindre 0,4% au premier trimestre 2019, selon la première estimation de la Banque de France publiée ce matin. Cela représenterait une petite accélération par rapport à la hausse de 0,2% du produit intérieur brut (PIB) enregistrée au quatrième trimestre 2018, chiffre révisé en baisse de 0,1 point. «Les carnets de commandes sont très bien garnis», souligne la Banque de France. En février, l’activité devrait continuer à croître selon les professionnels interrogés, avec un indice d’activité ICA stable à 105 en janvier.
50.185 dirigeants d’entreprise ont dû faire face à une liquidation judiciaire en 2018, selon le baromètre de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Dans le même temps, 691.300 entreprises ont été créées en France, soit 100.000 de plus que l’année précédente. L'âge médian des dirigeants d’entreprise concernés par les faillites est de 46 ans.
Au total, 50.185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un chiffre quasiment stable par rapport à l’année précédente (en hausse de 0,3%) par rapport à 2017, selon le baromètre de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs publié ce matin. Or, dans le même temps, 691.300 entreprises ont été créées en France l’année dernière, soit 100.000 de plus qu’au cours de l’année précédente.
L’indicateur de confiance des ménages français calculé par l’Insee a rebondi de 5 points au mois de janvier pour revenir à un niveau de 91, supérieur à celui de 88 anticipé par les économistes interrogés par Reuters. L’indicateur reste toutefois nettement inférieur à sa moyenne de longue période, précise l’Insee. Les Français apparaissent notamment plus optimistes sur leur situation financière et leur niveau de vie futur et moins inquiets sur l’inflation, mais craignent le chômage.
Le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois dans le secteur privé hors intérim a baissé de 1,5% au quatrième trimestre 2018 à 2,1 millions par rapport au niveau record de 2,14 millions atteint au trimestre précédent, selon l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss). Sur un an, les déclarations ont progressé de 1,1%, avec une hausse des embauches en CDI de 3,1%, mais un repli de celles en CDD de 0,8%. Le recul du dernier trimestre a été concentré sur les CDD, qui ont diminué de 2,4%, contre un recul des CDI plus limité à 0,5%. Par secteur, sur un an, les déclarations d’embauches progressent de 1,3% dans l’industrie, de 1,2% dans le tertiaire et de 1% dans la construction.
L’indicateur global du climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise interrogés dans le cadre d’une enquête mensuelle de l’Insee, s’est maintenu à 102. Il demeure légèrement supérieur à sa moyenne de long terme, mais inférieur de près de 10 points au pic de dix ans atteint fin 2017-début 2018. Par secteur, l’indicateur de l’industrie manufacturière est resté stable à 103, celui des services a progressé d’un point à 103, celui du bâtiment ayant reflué d’un point à 109. Avec les manifestations des Gilets jaunes, l’indice du commerce de détail a plongé de 10 points en deux mois, et celui du commerce de gros de 5 points.
D’après les données publiées par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les dépenses sociales (retraites, prestations santé, allocations chômage...) restent les plus élevées au monde, pesant 31,2% du PIB en 2018. Suivent la Belgique (28,9%) et la Finlande (28,7%), bien au-delà de la moyenne de l’OCDE, à 20,1%, tandis que la Corée du Sud (11,1%), le Chili (10,9%) et le Mexique (7,5%) ferment la marche. Le poste le plus important reste les pensions de retraites, avec 13,9% du PIB en 2017, contre 8% de moyenne OCDE.
D’après les données publiées par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) publiées ce matin, les dépenses sociales recouvrant les retraites, les prestations dans la santé les allocations chômage par exemple restent les plus élevées au monde avec un poids de 31,2% du produit intérieur brut (PIB) en 2018. Suivent la Belgique (28,9%) et la Finlande (28,7%), également bien au-delà de la moyenne de l’OCDE qui s'établit à 20,1%, tandis que la Corée du Sud (11,1%), le Chili (10,9%) et le Mexique (7,5%) ferment la marche.
Le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois dans le secteur privé hors intérim a baissé de 1,5% au quatrième trimestre 2018 à 2,1 millions par rapport au niveau record de 2,14 millions atteint au trimestre précédent, selon les données publiées ce matin par l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss). Sur un an, les déclarations ont progressé de 1,1%, avec une hausse des embauches en CDI de 3,1%, mais un repli de celles en CDD de 0,8%. Le recul du dernier trimestre a été concentré sur les CDD qui ont diminué de 2,4%, contre un recul des CDI plus limité à 0,5%.
L’indicateur global du climat des affaires calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise interrogés dans le cadre de cette enquête mensuelle de l’Insee, s’est maintenu à 102, selon les données publiées ce matin. A ce niveau, il demeure légèrement supérieur à sa moyenne de long terme mais inférieur de près de 10 points au pic de dix ans atteint fin 2017-début 2018. Par secteur, l’indicateur de l’industrie manufacturière est resté stable à 103 et celui des services a progressé d’un point à 103, tandis que celui du bâtiment a reflué d’un point à 109.
La croissance du PIB français devrait bien ralentir à 0,2% au quatrième trimestre 2018, selon la dernière estimation de la Banque de France, publiée vendredi. La banque centrale, qui tablait initialement sur une croissance de 0,4%, avait revu ses prévisions en baisse le mois dernier, à 0,2%. L’ l’enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France portant sur décembre fait apparaître une hausse de 2 points de l’indice du climat des affaires dans l’industrie, à 103, et une stabilité de l’indicateur des services à 102 tout comme de celui du bâtiment, à 105.
La croissance du PIB français devrait bien ralentir à 0,2% au quatrième trimestre 2018, selon la troisième et dernière estimation de la Banque de France, publiée ce matin. La banque centrale, qui tablait initialement sur une croissance de 0,4%, avait revu ses prévisions en baisse le mois dernier, à 0,2%, les répercussions du mouvement des «Gilets jaunes» ayant notamment pénalisé en novembre la production industrielle et pesé sur l’activité de certains secteurs dans les services, comme les transports et la restauration.