La boutique de gestion Ecofi, basée à Paris, a décidé de fusionner son fonds Ecofi Actions Decotées, géré depuis peu par Olivier Ken, au sein de son fonds Ecofi Enjeux Futurs, supervisé par Olivier Plaisant, a appris Citywire Selector. Le fonds Ecofi Enjeux Futurs se concentrent sur les actions internationales ayant un fort biais d’investissement socialement responsable (ISR). Olivier Plaisant est en charge de ce fonds depuis 2014, à la suite du départ de Bruno Demontrond qui avait lui-même géré ce fonds pendant plus de trois ans.A l’occasion de cette fusion, Olivier Ken a été désigné gérant pour les fonds Ecofi Actions Rendement et Ecofi Performance Environnement. Olivier Ken avait rejoint Ecofi en janvier en provenance de Financière de Champlain à la suite de l’absorption de cette dernière par Ecofi.
Mirova, la société d’investissement socialement responsable de Natixis Asset Management, a annoncé, ce lundi 4 juillet, avoir conclu la levée de son fonds d’investissement dédié aux projets d’énergies renouvelables, Mirova-Eurofideme 3, à 350 millions d’euros. Le fonds dépasse ainsi son objectif initial de 200 millions d’euros.La levée de fonds a attiré la majorité des investisseurs institutionnels déjà engagés dans les fonds énergies renouvelables précédents, ainsi que de nouveaux investisseurs européens, précise Mirova. A ce titre, la Banque Européenne d’Investissement a notamment investi 40 millions d’euros aux côtés d’institutionnels, de fonds de fonds, de fondations et de family offices.Mirova-Eurofideme 3 a déjà réalisé 8 investissements pour un montant cumulé de prés de 100 millions d’euros, en partenariat avec des producteurs indépendants d’électricité et des développeurs. Le fonds a ainsi financé plus de 300 MW de projets solaires, éoliens et hydrauliques à travers l’Europe, en particulier en France et dans les pays nordiques.Il s’agit du troisième fonds géré par Mirova dédié au financement en fonds propres de la construction de projets d’énergie renouvelable en Europe depuis le lancement de cette activité en 2002. Les deux fonds précédents, à savoir Fideme et Eurofideme 2, ont déjà contribué à financer plus de 700 MW de capacités de production d’énergies renouvelables.
Axa Investment Managers (Axa IM) a annoncé, ce 4 juillet, le lancement du fonds AXA World Funds (WF) Global Inflation Short Duration Bonds dont la vocation est d’offrir une exposition à l’inflation réalisée tout en limitant le risque de taux d’intérêt en appliquant une stratégie diversifiée et liquide. Jonathan Baltora, le gérant du fonds, adoptera une méthode similaire à celle du fonds phare AXA WF Global Inflation Bonds mais en privilégiant une duration courte (0-5 ans), précise la société de gestion dans un communiqué. La performance des obligations indexées sur l’inflation, à duration courte est habituellement proche de l’inflation réalisée, juge Axa IM. Dès lors, en orientant le fonds vers une duration plus courte, le gérant tentera de maintenir un niveau élevé de corrélation entre la performance totale et l’inflation réalisée, dans un contexte de taux faibles. Les obligations à duration courte sont également moins sensibles aux variations de taux d’intérêt, ce qui devrait se traduire par une volatilité inférieure à celle de l’ensemble du marché. Le fonds AXA WF Global Inflation Short Duration Bonds est une sicav domiciliée au Luxembourg. Jonathan Baltora et Marion Le Morhedec travaillent en étroite collaboration à la gestion de la gamme de fonds d’obligations indexées à l’inflation d’AxaA IM. Le fonds est composé de parts destinées aussi bien aux investisseurs institutionnels qu’aux investisseurs privés. Il est actuellement enregistré en Allemagne, en Autriche, en Belgique, au Danemark, en Espagne, en Finlande, en France, en Italie, en Norvège, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, en Suède et prochainement en Suisse. Axa IM dispose de 15 ans d’expérience dans la stratégie à duration courte et son encours sous gestion à duration courte s’élève à plus de 24 milliards d’euros à fin mars 2016. Avec une expérience de 25 ans dans les stratégies mondiales de taux d’inflation, l’équipe spécialisée sur l’inflation gère plus de 17,9 milliards d’euros à fin mars 2016 de titres mondiaux indexés sur l’inflation.
La société d’investissement dans les actifs réels Resonance, affiliée à Fidante Partners, a annoncé le 4 juillet le troisième closing de son fonds Resonance Industrial Water Infratructure Limited, avec des engagements de 300 millions de dollars émanant de six investisseurs institutionnels du Royaume-Uni, des Etats-Unis et des pays nordiques. Il s’agit du premier fonds institutionnel exclusivement dédié au financement de projets d’infrastructures industrielles dans le secteur de l’eau en Europe, en Asie du Sud-Est, en Chine, en Australie et en Nouvelle-Zélande.Resonance souhaite construire un portefeuille diversifié de dix à quinze actifs dédiés à l’eau, constitué de tickets unitaires compris entre 10 et 15 millions de dollars dans les zones géographiques visées. Le fonds de pension suédois AP1, l’un des investisseurs dans le fonds, souligne dans un communiqué que son investissement s’inscrit parfaitement dans le cadre de sa stratégie de promotion de l’investissement durable.
Standard Life a été contraint d’empêcher les investisseurs particuliers de sortir d’un fonds immobilier - le troisième plus gros fonds immobiliers ouvert pour le «retail» dans le pays - face à d’importantes demandes de rachats provoquées par la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne et les craintes de chute des prix de l’immobilier, rapporte le Financial Times. Le fonds d’immobilier commercial de 2,9 milliards de livres aura besoin de vendre des biens immobiliers avant de pouvoir rembourser ses investisseurs. Les investisseurs seront bloqués 28 jours et la suspension sera révisée tous les 28 jours.
Michael Gomez, responsable de la gestion de portefeuilles marchés émergents chez Pimco, a décidé de prendre du recul dans la gestion d’un fonds dédié à l’Asie, le PIMCO GIS Emerging Asia Bond, a appris Citywire Selector. L’intéressé occupait jusque-là le poste de gérant principal («lead manager») du fonds. Or, son collègue et co-gérant Luke Spajic, désormais basé à Singapour, reprend ce poste de gérant principal de ce fonds domicilié à Dublin. Michael Gomez, qui assurait la gestion de ce véhicule depuis son lancement en juin 2010, continuera d’intervenir dans la stratégie du fonds. Il continuera également de gérer d’autres fonds, à l’image du PIMCO GIS Emerging Markets Bond.Luke Spajic a travaillé aux cotés de Michael Gomez sur ce fonds Asie au cours des dernières années. Il a intégré Pimco en 2007 et il était précédemment responsable de la recherche crédit américaine et responsable de la gestion de portefeuille ABS (asset-backed securities) et crédit paneuropéen, à Londres.
Credit Suisse Asset Management (Credit Suisse AM) a lancé, le 30 juin, le fonds CS (Lux) Global Robotics Equity, dédié aux entreprises évoluant dans les secteurs de la robotique et de l’automatisation, rapporte Citywire Selector. Ce nouveau véhicule est géré par Patrick Kolb, déjà responsable du fonds CS (Lux) Global Security Equity. Ce fonds investira au moins un tiers de ses actifs dans des valeurs de compagnies évoluant plus précisément dans les secteurs des technologies de l’information, de la santé et de l’industrie, avec un accent mis tout particulièrement sur l’automatisation, la robotique et l’intelligence artificielle. Cette stratégie est enregistrée pour commercialisation en Autriche, en Suisse, en Allemagne, en France, au Liechtenstein et au Luxembourg.
Le fonds Peak Growth, domicilié au Luxembourg et qui détenait une participation dans New Value, a vendu la totalité de son paquet d’actions de 15,82% à la société Mont Grinnell Financière sise à Neuchâtel, selon un communiqué publié le 4 juillet par New Value. La participation de Peak Growth dans New Value aura été éphémère. Peak Growth n’avait annoncé que le 9 mai à New Value l’achat de 520.000 actions.
Les six premiers mois de l’année sont une période que les gérants de hedge funds vont vouloir oublier, rapporte Bloomberg. Avec la devise chinoise qui a provoqué des turbulences sur les marchés en janvier et le vote au Royaume-Uni de quitter l’Union européenne qui a eu les mêmes effets en juin, le secteur de 2.900 milliards de dollars d’encours devrait accuser sa pire performance du premier semestre depuis 2011. Les fonds ont perdu 1,8 % cette année au 28 juin, selon l’indice Hedge Fund de Hedge Fund Research. C’est la pire performance du premier semestre depuis 2011, où les fonds avaient abandonné 2,11 %. Bill Ackman est l’un des grands perdants, son hedge fund chutant de 21 % au 21 juin. Lansdowne Partners, l’un des principaux hedge funds en Europe, s’est replié de 14 % au 24 juin pour sa stratégie principale. Sa stratégie Developed Markets Strategic Investment a décliné de près de 16 %. Certains gérants gagnent toutefois de l’argent en 2016 : c’est le cas de Robert Gibbins, qui gère l’Autonomy Capital, qui affiche un gain de 13 % au 24 juin. Le fonds Element Capital Management de Jeff Talpin est en hausse de 7 % à fin mai.
Au deuxième trimestre 2016, les investisseurs avaient au moins trois sujets de préoccupation : un relèvement éventuel des taux d’intérêt de la Réserve fédérale, l’arrivée au pouvoir en Espagne d’un gouvernement anti-austérité de centre gauche et enfin, la décision éventuelle des Britanniques de quitter l’Union européenne. Seule le troisième de ces points de préoccupation s’est réalisé. Mais il est venu exacerber un environnement déjà bien ébranlé par la chute des matières premières, les taux d’intérêt négatifs au Japon et en Europe et des inquiétudes persistantes sur l'évolution de l'économie chinoise. Résultat, les fonds dédiés aux actions européennes ont enregistré au deuxième trimestre des sorties nettes de 48,36 milliards de dollars, un montant sur trois mois encore jamais vu dans les données existantes, selon les statistiques communiquées par le spécialiste de l'évolution des flux EPFR Global.Les fonds d’actions japonaises ont terminé le deuxième trimestre sur des sorties nettes de 7,6 milliards de dollars, un montant qui ne s'était pas vu depuis le premier trimestre 2008. Les fonds dédiés aux actions de l’ensemble des marchés développés ont ainsi enregistré des sorties nettes de 100,89 milliards de dollars au deuxième trimestre, ce qui porte la décollecte sur le premier semestre à 129,34 milliards de dollars. Les fonds spécialisés sur les actions émergentes ont de leur côté subi des rachats nets de 6,48 milliards de dollars au deuxième trimestre, ce qui porte la décollecte sur six mois à 7,12 milliards de dollars.Le deuxième trimestre a été bien meilleur pour les catégories que l’on associe généralement à une aversion accrue au risque. Les fonds d’obligations américaines ont ainsi attiré un peu plus de 50 milliards de dollars au deuxième trimestre et 108,38 milliards de dollars sur le premier semestre. Les fonds dédiés aux obligations municipales ont de leur côté engrangé des souscriptions nettes de 16,49 milliards de dollars sur trois mois et 31,53 milliards de dollars sur six mois. Les fonds dédiés à l’or et aux métaux précieux ont affiché une collecte nette d’un peu plus de 6 milliards de dollars au deuxième trimestre, ce qui a porté la collecte sur les six premiers mois de l’année à 16,13 milliards de dollars.
Le coup de tonnerre du Brexit a provoqué des dégagements massifs sur les fonds actions. Durant la seule journée du 27 juin, les sorties nettes sur les fonds dédiés aux actions ont atteint 9,5 milliards de dollars si bien que sur la semaine au 29 juin, elles s'élèvent à 20,7 milliards de dollars, un niveau qui n’avait pas été observé depuis le mois d’août 2015, selon la dernière étude hebdomadaire publiée le 1er juillet par Bank of America Merrill Lynch Global Research qui reprend des données communiquées par le spécialiste des flux dans le monde EPFR Global. Les fonds d’actions européennes ont bien évidemment continué de perdre des actifs, cette fois à hauteur de 5,3 milliards de dollars, le montant le plus élevé depuis octobre 2014. Les seuls fonds d’actions britanniques ont subi des sorties nettes de 600 millions de dollars. Les fonds investis dans les actions américaines ont de leur côté affiché les plus importantes sorties nettes des huit dernières semaines avec un montant de 11,6 milliards de dollars. Les fonds spécialisés sur les actions émergentes ont également terminé dans le rouge, avec des rachats nets de 1,3 milliard de dollars. Les fonds investis dans les actions japonaises font figure d’exception dans ce contexte avec des souscriptions nettes de 300 millions de dollars. Côté obligataire, les fonds investis en titres notés en catégorie d’investissement ont attiré 1,8 milliard de dollars, enregistrant ainsi une dix-septième semaine consécutive de souscriptions nettes. En revanche, les fonds investis en obligations à haut rendement on terminé la semaine sur des sorties nettes de 3,4 milliards de dollars. Les fonds obligataires, toutes catégories confondues, ont ainsi accusé des rachats nets de 1,4 milliard de dollars, le montant le plus élevé depuis janvier 2016.
La société de capital-investissement Astorg a annoncé, ce jeudi 30 juin, avoir levé un montant total de 2,1 milliards d’euros pour son son sixième fonds, baptisé Astorg VI. Le fonds dépasse ainsi son seuil maximal (« hard cap ») fixé initialement à 2 milliards d’euros « afin de s’adapter à la demande », précise la société dans un communiqué. « Le fonds a été sursouscrit de manière significative et a réussi à boucler sa levée de fonds en l’espace de neuf mois à partir de son lancement en octobre 2016 », a ajouté Astorg. Ce sixième fonds atteint le double de la taille du véhicule Astorg V bouclé en 2011.Le fonds Astorg VI a bénéficié du soutien d’une large base d’investisseurs, incluant des fonds de pension (29%), des compagnies d’assurance (19%) et des sociétés de gestion d’actifs institutionnelles (18%) provenant d’Europe (21%), d’Amérique du Nord (30%) et d’Asie (8%).Le véhicule Astorg VI a d’ores et déjà investi 27% de ses engagements répartis dans 3 opérations dont HRA, une société pharmaceutique dédiée à la santé des femmes, et Parkeon, spécialiste français des horodateurs.
A la suite d’un audit effectué par Novethic, la société de gestion RGreen Invest a obtenu le 28 juin le label « Transition Energétique et Ecologique pour le Climat » (TEEC) pour son deuxième fonds InfraGreen II, dédié aux investissements dans les infrastructures renouvelables.La stratégie d’InfraGreen II est d’investir en obligations privées non cotées finançant exclusivement des infrastructures d'énergies renouvelables en phase de construction, en fin de construction ou en opération au sein de l’Union européenne. Le portefeuille d’investissements se veut être par nature «vert» ayant une empreinte environnementale positive et contribuant à la transition énergétique. RGreen Invest a en outre intégré un volet ESG (environnemental, social, gouvernance) dans sa due diligence initiale auprès de ses partenaires permettant d’évaluer la bonne prise en compte des critères ESG dans la gestion de l’entreprise, et de proposer des axes d’amélioration le cas échéant. Par la suite, des audits annuels seront réalisés pour s’assurer du suivi des recommandations.Avec 160 millions d’euros d’actifs sous gestion, les fonds InfraGreen I et InfraGreen II ont permis, depuis janvier 2013, de financer plus de 300 MW de capacité électrique. Les investissements ont également contribué à éviter plus de 224 434 tonnes d’émissions de CO2, indique un communiqué.
Le gestionnaire d’actifs britannique Schroders a annoncé, ce 30 juin, le lancement d’un nouveau fonds dédié à l’or, baptisé Schroders ISF Global Gold. La gestion de ce produit est assurée par James Luke et Mark Lacey, membres de l’équipe en charge des matières premières. Ce nouveau fonds, conforme aux standards Ucits, permettra d’investir dans l’or mais aussi dans d’autres métaux précieux comme l’argent et le platine.Le fonds est disponible à la vente en Autriche, en Bulgarie, au Danemark, en Finlande, en France, en Allemagne, en Grèce, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Norvège, en Pologne, en Espagne, en Suède, en Suisse et au Royaume-Uni.
Les fonds italiens ayant plus d’un milliard d’euros d’encours ne sont qu’au nombre de 18, rapporte Funds People Italia. Parmi eux figurent 7 fonds obligataires, 10 fonds diversifiés et 1 fonds alternatif. Les fonds obligataires concernés sont pour la plupart spécialisés dans la zone euro. Le plus gros est Arca RR Diversified Bond d’Arca SGR avec 3,357 milliards d’euros. L’Italie compte environ 400 fonds disposant d’un encours de plus de 100 millions d’euros.
La société de gestion La Française a obtenu un accord de commercialisation pour son fonds multi stratégie LFIS Vision UCITS - Premia pour le marché allemand. L’objectif d’investissement du fonds est de rechercher des rendements stables avec une corrélation faible aux marchés traditionnels et une volatilité annualisée cible comprise entre 5 % et 10 % dans des conditions normales de marché. Pour réaliser cet objectif d’investissement, le fonds mettra en œuvre une stratégie d’investissement cherchant à capter les primes de risque liées à plusieurs facteurs de risque/styles de gestion à travers différentes classes d’actifs.
Sur 30.577 parts de fonds disponibles à la vente en Italie, 604 sont domiciliés au Royaume-Uni, a calculé Funds People Italia dans le sillage du vote sur le Brexit. M&G Investments et Columbia Threadneedle Investments sont les deux sociétés de gestion ayant le plus de fonds enregistrés en Italie basés au Royaume-Uni, avec respectivement 254 produits et 168 produits. A la troisième place se trouve First State (98), suivis par Artemis (48), Argonaut Capital (13), Schroders (8), Henderson (6), IFDS (4), Aberdeen AM (3), Clerical Medical et GAM (1).
La société de gestion Astorius Capital, basée à Hambourg, a lancé récemment son troisième fonds de fonds de private equity. Comme les deux précédents, Astorius Capital PE Fonds III se concentre sur les stratégies de buyout et de croissance dans les PME européennes, indique le site spécialisé Absolut Research. Le fonds peut également s’intéresser à des fonds prenant des participations majoritaires dans des entreprises hors des marchés européens. L’objectif de taille est de 50 millions d’euros. Le ticket d’entrée dans le fonds est de 200.000 euros. Le carried interest est de 10%, le «hurdle rate» étant fixé à 8% par an.
Aberdeen Asset Management (Aberdeen AM) a décidé de réduire les frais de deux de ses fonds obligataires, à savoir les fonds Euro Corporate Bond (29,5 millions de livres d’encours) et le fonds Global High Yield Bond (1 milliard de livres d’encours), rapporte fundstrategy. Ces deux véhicules font partis de la gamme Aberdeen Investment Funds ICVC. Dans une lettre adressée aux investisseurs, le gestionnaire d’actifs annonce ainsi que les frais de gestion annuels sur la part A seront réduit de 1% à 0,90% pour le fonds Euro Corporate Bond et de 1,5% à 1,25% pour le fonds Global High Yield Bond. Ces changements seront effectifs à compter du 1er août 2016.
Les actifs sous gestion des fonds ouverts régulés dans le monde ont diminué de 2,5% au premier trimestre pour s'établir à 36.670 milliards d’euros, selon des statistiques communiquées par l’association européenne des gestionnaires d’actifs (Efama) et compilées avec l’association américaine de la Gestion (ICI) et l’association internationale des fonds d’investissement (IIFA).Cette évolution est liée à un recul spectaculaire de la collecte nette qui ressort à 154 milliards d’euros au titre du premier trimestre contre 583 milliards d’euros au quatrième trimestre 2015. Les marchés américain et européen ont été les plus affectés par la baisse des encours, le Brésil et le Canada affichant des améliorations marginales.Sur l’ensemble du premier trimestre, les fonds de long terme (hors fonds monétaires) ont attiré des entrées nettes de 192 milliards d’euros contre 367 milliards d’euros au quatrième trimestre 2015, les fonds monétaires affichant des sorties nettes de 38 milliards d’euros après des entrées nettes de 216 milliards d’euros. Les fonds dédiés aux actions ont attiré à peine 50 milliards d’euros alors qu’ils avaient affiché des souscriptions nettes de 170 milliards d’euros au quatrième trimestre 2015. La collecte des fonds diversifiés est passée de 120 milliards d’euros au quatrième trimestre à 35 milliards d’euros au premier trimestre tandis que les fonds obligataires ont plus que doublé leurs souscriptions à 71 milliards d’euros.