Eurazeo Capital a annoncé ce 7 novembrel’acquisition par WorldStrides, leader en matière de programmes d’expériences éducatives au service des enseignants, élèves et étudiants de tous âges, de NAEE (North American Experience Education Brands) auprès de Travelopia, un acteur du secteur. Les modalités de l’opération n’ont pas été communiquées. NAEE comprend les marques World Class Vacations et Brightspark US, qui opèrent sur le marché américain de l’éducation, ainsi que Brightspark Canada, Jumpstreet et Educatours présentes sur le marché canadien. Ces marques proposent aux étudiants unegamme d’expériences de voyages et de développement hors cadre scolaire aux Etats-Unis et au Canada. Cette acquisition permet à WoldStrides d’élargir son offre de voyages éducatifs en proposant notamment des programmes d’enseignement de la musique, du théâtre et de la danse, souligne Eurazeo dans un communiqué. Elle renforce également ses offres de visites guidées encadrées par des enseignants internationaux.
Acofi Gestion a annoncé la finalisation avec le groupe Valorem de deux opérations de financement de centrales hydroélectriques dans les DOM-TOM pour un montant de 49,9 millions d’euros.Ces financements, réalisés pour le groupe Valorempar le Fonds Predirec EnR 2030 d’Acofi Gestion, prennent la forme de prêts obligataires d’une durée de 14 ans. Ils permettent l’acquisition par Valoremde la société Force Hydraulique Antillaise (FHA), acteur historique de l’hydroélectricité dans les DOM-TOM.Par ailleurs, FHAconstruira prochainement trois nouvelles centrales en Guadeloupe et en Martinique pour une puissance totale complémentaire de 6,4 MW et son pipeline de projets en développement représente plus de 100 MW. A ce jour, le fonds Predirec EnR 2030 a financé 1.341 centrales photovoltaïques, éoliennes ou hydrauliques pour un montant de 147 millions d’euros. Mettant en œuvre une stratégie d’impact en faveur de la transition énergétique, le fonds est labellisé Greenfin (ex-label TEEC – Transition Energétique et Ecologique pour le Climat). « Cette opération traduit notre volonté d’accompagner les développeurs de la filière ENR aussi bien dans leur stratégie de croissance organique que dans leur croissance externe. Elle s’inscrit dans un partenariat de long terme avec Valorem, qui a su constituer progressivement un portefeuille d’actifs composé de projets photovoltaïques, éoliens, et hydrauliques. Cette approche globale avec un portefeuille diversifié est une réponse pertinente pour relever les défis liés à l’intermittence de la production d’énergie ENR. Les relations de confiance que nous avons nouées avec Valorem nous conduirons sans aucun doute à financer de nouveaux projets plus complexes qui intégreront des contrats de vente d’électricité de gré à gré», a commentéPhilippe Garrel, directeur des fonds infrastructures EnR chez Acofi Gestion, cité dans un communiqué.
La société de gestion indépendante B & Capital, spécialisée dans l’investissement small et mid cap français, a réalisé à la mi-octobre le closing final de son fonds, RB Capital France 1, avec plus de 217 millions d’euros collectés.Avec ce montantd’engagements, RB Capital France 1 dépasse l’objectif de collecte de 200 millions d’euros fixé lors de son lancement au printemps 2017. Le fonds dispose d’une base d’investisseurs solide et diversifiée, comprenant en majorité des institutionnels français et étrangers, mais aussi des family offices et des personnes physiques. En conjuguant les forces de RB Capital France à celles du cabinet de conseilRoland Berger, B & Capital estime être en mesure de repenser le modèle actuel des fonds d’investissement, en apportant aux small caps «3 choses essentielles à leur croissance et développement : l’intelligence sectorielle, la mise à disposition d’un réseau, et la capacité à se déployer à l’international», explique un communiqué. A long terme, l’objectif est d’opérer la transformation de ces PME en ETI dans la durée, avec un accompagnement à chaque étape de leur cycle. Fort de la confiance de ses souscripteurs, RB Capital France 1 va poursuivre la constitution et l’accompagnement d’un portefeuille de PME françaises à potentiel de croissance élevé.
La société de gestion KKR vise un record de 15 milliards de dollars pour un nouveau fonds «buyout» axé sur l’Asie, selon trois sources qui on parlé à l’agence Reuters. La collecte de ce fonds doit commencer au cours du premier trimestre de 2020, dans le but d’atteindre le premier closing, une étape importante indiquant que le fonds a franchi un seuil minimum et peut commencer à faire des investissements, d’ici le mois de juin, ont indiqué les sources. Le fonds viserait des entreprises de consommation, technologiques et manufacturières au sein des plus grands marchés asiatiques comme l’Australie, la Chine, le Japon et l’Inde.
Les encours des OPC luxembourgeois ont augmenté de 1,5% sur le mois de septembre, pour atteindre 4.570 milliards d’euros, a indiqué la Commission de surveillance du secteur financier (CSSF). Selon la CSSF, «les politiques monétaires plus accommodantes annoncées par les principales banques centrales et l’espoir d’un apaisement des tensions commerciales sino-américaines ont dominé les marchés financiers, entraînant à la hausse toutes les catégories d’OPC à actions». Depuis le début de l’année, les encours des fonds luxembourgeois ont augmenté de 6,78%. Le nombre de fonds domiciliés au Luxembourg a cependant reculé, de 3.824 à 3.807, sur la même période.
Generali Investments a annoncé ce 6 novembre le lancement d’une nouvelle stratégie obligataire à maturité. Le fonds, dénommé Generali Investments Global SolutionsFund (GIGSF) Futuro 2024-1, est un portefeuille diversifié, conçu pour préserver le capital et générer un rendement sur un horizon de 5 ans. Le portefeuille a une sensibilité décroissante aux taux d’intérêt sur la vie du compartiment et un objectif de rendement brut de 3,5% par an. La stratégie d’investissement combine l’échéance du compartiment à un portefeuille à faible risque investi dans des obligations très bien notées avec des positions dérivées, apportant une exposition supplémentaire au crédit afin d’améliorer le rendement généré. Le compartiment est ouvert à la souscription jusqu’au 6 décembre 2019 et l’échéance est fixée au bout de 5 ans (au 30 décembre 2024). Des parts dédiées aux clients institutionnels et retail ont été créées et peuvent être souscrites par l’intermédiaire de distributeurs ayant référencé le compartiment. Le compartiment est géré par deux gérants de fonds seniors de l’équipe Fixed income de Generali Investments Partners, Fabrizio Viola et Stefano Perin, qui gèrent plus de 300 millions d’euros de stratégies buy & hold avec une expérience combinée de 35 années dans le secteur. L’équipe de gestion bénéficie du support de l’équipe de recherche macroéconomique (18 personnes), et de l’équipe de recherche crédit (15 personnes).
BlackRock et Schroders sont les deux sociétés pressenties pour reprendre le troisième fonds de Neil Woodford, Income Focus Fund, rapporte The Telegraph. Les deux groupes ont déjà été choisis pour gérer chacun un fonds. Schroders a remporté le mandat pour le Woodford Patient Capital Trust, tandis que BlackRock supervise la partie liquide du Woodford Equity Income Fund.
Michele Gesualdi, l’ancien directeur financier de Kairos Investment Management, vient de lancer sa propre société de gestion, a appris le Financial Times. Il aurait d’ores et déjà levé plus d’un milliard de dollars d’encours. La société, dénommée Infinity Investment Partners, sera basée à Londres. Michele Gesualdi devrait commencer à investir en janvier 2020. Ses principales cibles seront des hedge funds et des fonds de private equity. Sa clientèle sera composée d’institutionnels et de family offices. Afin d'éviter les déboires de certains concurrents en matière de liquidité, Infinity Investment Partners devrait éviter le format Ucits, selon le quotidien.
Tikehau Capital, à travers son fonds paneuropéen de capital-croissance, a investi 25 millions d’euros dans Assiteca, le premier courtier d’assurance italien indépendant, pour soutenir sa stratégie de croissance en Europe. Assiteca est le plus grand courtier indépendant italien et le troisième sur l’ensemble du marché du courtage en Italie. Fondée en 1982, avec 20 bureaux en Italie, 2 en Espagne, 1 en Suisse et près de 600 collaborateurs, la Société accompagne plus de 4 500 PME pour un montant de primes d’assurance d’environ 700 millions d’euros. Assiteca est cotée sur l’Alternative Investment Market, marché italien dédié aux PME, avec une capitalisation boursière d’environ 76 millions d’euros. A travers cette augmentation de capital de 25 millions d’euros, soit 23,4% du capital, Tikehau Capital entend accélérer le développement d’Assiteca, accompagner sa croissance par des acquisitions et consolider sa position de leader sur le marché du courtage en assurance en Italie. L’investissement doit également permettre d’accroître la présence d’Assiteca sur le marché espagnol et son déploiement potentiel sur le marché français. L’investissement de Tikehau Capital est réalisé à travers son fonds paneuropéen de capital-croissance dédié aux entreprises de taille intermédiaire. Ce fonds, géré par Tikehau Investment Management, la filiale de gestion d’actifs de Tikehau Capital, a pour vocation d’accompagner des équipes dirigeantes et des structures considérées pour leur fort potentiel par les équipes d’investissement sur des marchés en développement. Il s’agit de la deuxième opération en private equity de Tikehau Capital en Italie cette année, après l’investissement réalisé en juillet dans DoveVivo, la première et la plusgrande société italienne de co-living.
Le hedge fund basé à New York Niederhoffer Capital Management, dirigé par Roy Niederhoffer, a vu son fonds phare Diversified perdre 22 % cette année à fin octobre, selon des chiffres envoyés aux investisseurs et consultés par le Financial Times. Le fonds, créé en 1993, est l’un des plus vieux hedge funds quantitatifs. Il souffre actuellement d’un environnement dominé par les soutiens des banques centrales. Roy Nierderhoffer, un pianiste accompli qui détient cinq pianos, était l’un des gérants star de la crise financière. Son fonds avait gagné 30 % en 2007 et 51 % en 2008, alors que de nombreux gérants étaient dans le rouge. Mais le fonds a accusé des pertes à deux chiffres en 2016 et 2017. Les actifs de la société ont chuté de 1 milliard de dollars il y a dix ans à environ 400 millions de dollars.
CQS New City Equity a lancé le CQS New City North American Equity Fund, un fonds concentré d’actions cotées aux Etats-Unis et au Canada géré de façon active. Le portefeuille se compose de 20 à 25 titres détenus sur le long terme avec une capitalisation comprise entre 20 milliards et 40 milliards de dollars. L’équipe d’investissement est dirigée par Raphael Pitoun. Son objectif est d’identifier un petit nombre d’entreprises de premier plan ayant des produits et services exceptionnels qui fidélisent les clients et créent un «pricing power» important. Des critères ESG sont inclus dans le processus d’investissement. Le fonds emploie la même stratégie que le CQS New City Global Equity Fund, lancé en mai 2019 et qui gère 130 millions de dollars d’encours. Le nouveau fonds est domicilié en Irlande, offre une liquidité quotidienne et se veut conforme à la réglementation OPCVM.
MIDI 2i, filiale de la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées, spécialisée dans l’ingénierie immobilière depuis 2005, poursuit ses objectifs de croissance avec un chiffre d’affaires prévisionnel à fin 2019 de 9 millions d’euros, soit une progression de 12% par rapport à l’exercice précédent. Cette performance s’accompagne cette année de la création de 6 nouveaux fonds, dont une SCPI destinée à une nouvelle cible de clientèle, le grand public. MIDI 2i, qui gérait 9 fonds fin 2018, assure aujourd’jui la gestion de 15 fonds dont les encours s'élèvent à 1,5 milliard d’euros, soit une augmentation de l’ordre de 25% par rapport à l’exercice précédent. Depuis le 29 juillet 2019, MIDI 2i a reçu un nouvel agrément délivré par l’AMF lui permettant de diversifier ses activités avec notamment la possibilité de créer des SCPI destinées aux clients particuliers, réaliser des opérations dans la zone euro et étendre ses activités dans la gestion du capitalo risque. Dans ce cadre, MIDI 2i vient tout juste de lancer sa première SCPI appelée «Aedificis», destinée au grand public s’appuyant sur l’expertise immobilière et financière développée pour le compte des institutionnels. Elle investira dans des actifs immobiliers locatifs du secteur tertiaire prioritairement sur la région Occitanie. Elle sera commercialisée, dans une première phase, auprès des clients de la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées avant de s’ouvrir à d’autres réseaux de distribution.
Les fonds Ucits et les fonds d’investissement alternatifs (AIF) commercialisés en Europe ont enregistré au mois d’août une collecte nette de 69 milliards d’euros contre 94 milliards d’euros en juillet, selon des statistiques communiquées par l’association européenne des gestionnaires d’actifs (Efama). Les seuls fonds Ucits ont affiché des entrées nettes en recul de 29 milliards d’euros sur le mois précédent à 57 milliards d’euros. Les fonds Ucits de long terme (hors fonds monétaires) ont terminé le mois sous revue sur des entrées nettes de seulement 13 milliards d’euros contre 40 milliards d’euros le mois précédent. Les fonds dédiés aux actions ont affiché des flux nets négatifs de 18 milliards d’euros contre seulement 1 milliard d’euros en juillet. Les fonds obligataires ont attiré 31 milliards d’euros contre 39 milliards d’euros un mois plus tôt alors que les fonds multi-asset engrangeaient seulement 1 milliard d’euros, quatre fois moins qu’en juillet. Les fonds monétaires ont encore attiré 44 milliards d’euros en août contre 46 milliards d’euros en juillet. Les fonds AIF ont affiché des entrées nettes de 12 milliards d’euros contre 8 milliards en juillet. Les encours des fonds Ucits et AIF se sont accrus en août de 0,5% pour atteindre 16.983 milliards d’euros;
Cinq fonds de private equity seraient intéressés par le rachat du spécialiste français du biscuit sucré et de la gaufre en marque de distributeur Biscuit International. Natixis Partners, qui anime le processus de vente, aurait reçu des offres de la part de Towerbrook, de Bain Capital, de KKR, d’Advent International, de Partners Group et de Platinum Equity, selon Capital Finance.
Axa IM vient de nommer Laurence Arnold au poste nouvellement créé de responsable de la gestion de l’innovation et des initiatives stratégiques, a appris Les Echos. Elle sera notamment chargée de créer une plateforme digitale de distribution de fonds, et de la gestion du partenariat avec la fintech suédoise d’investissements pour millenials Dreams, qui doit se lancer en France prochainement. Laurence Arnold sera rattachée au responsable des opérations, Gautier Ripert. Laurence Arnold a débuté sa carrière à la RATP, successivement au sein de la salle de marché, au sein du service de trésorerie et de financement, et en audit financier. Elle a rejoint Axa IM en 2009 comme auditrice interne. Elle fut ensuite promue directrice des opérations de l’activité de finance structurée en 2011. Depuis 2015, elle était chargée des initiatives liées au contrôle de portefeuille dans le groupe.
Le quotidien économique Cinco Días rapporte que des gestionnaires d’actifs ainsi que des agences de courtage réclament au ministère de l’Economie espagnol la refonte des règlesrégissant lefonds de garantie des investissements (Fogain). Ce fonds, établi en 2001, a pour but de protéger les actifs déposés par les investisseurs auprès des gestionnaires de portefeuille, de fonds d’investissement et des agences en valeurs mobilières. Autrement dit, lorsque l’une de cessociétés fait faillite, le fonds prend en charge l’indemnisation des clients. Dans un contexte réglementaire chargé et peu favorable (MiFID 2 entre autres), gestionnaires et courtiers demandent notamment au ministère de l’Economie d’appliquer une diminution de leurs contributions au Fogain. Les fonds propres de celui-ci s'élevaientà 100,6 millions d’euros fin 2018. Actuellement, expliqueCinco Días,les sociétés adhérentes au Fogain doivent s’acquitter d’un montant fixe de 20 000 à 40 000 euros en fonction de leurs revenus. Unesomme à laquelle s’ajoutent 2 euros pour chaque 1 000 euros déposés par les clientset 0,05 euros pour chaque 1 000 euros correspondant à la valeur des instruments financiers négociés (obligations, actions, dérivés). Une dernièrecontribution au Fogain résulte du produit du nombre de clients de chaque société par trois. Seules les sociétés de conseil (Eafi) n’apportent aucune contribution au fonds. Fin 2018, quelque 167 sociétés étaient adhérentes au Fogain, dont 54,5% étaient des sociétés de courtage et 45,5% des sociétés de gestion. Dans leur requête à la ministre de l’Economie espagnole, les sociétés contestatrices demandent également que les gestionnaires de fonds soient exempts de contribuer au Fogain et qu’ils n’y contribuent que s’ils sont actifs dans la gestion discrétionnaire.
VanEck a annoncé lundi 4 novembre avoir renommé 14 ETF Think en ETF VanEck Vectors. Cela fait suite à l’acquisition de l’émetteur néerlandais Think ETFs en janvier 2018. Désormais, 24 ETF ont été agréés à la distribution et sont commercialisés au Royaume-Uni sous le nom VanEck Vectors. Dix-neuf d’entre eux sont cotés à Londres. «Notre objectif de long terme est d’être l’un des dix principaux fournisseurs d’ETF en Europe, reflétant la position que nous avons déjà aux Etats-Unis», a commenté Martijn Rozemuller, le responsable européen de VanEck.
Groupama Asset Management a annoncé ce lundi 4 novembre le lancement du G Fund World [R]evolutions, un fonds actions internationales thématique ciblant les valeurs innovantes actrices des mutations scientifiques, technologiques ou sociétales en cours. L'équipe de gestion a segmenté l’univers d’investissement selon trois thématiques phares en fonction des caractéristiques et perspectives spécifiques de ces entreprises: «l’Evolution, la Rupture et la Révolution». - «Les entreprises “en évolution” sont celles qui s’adaptent en réinventant leurs produits / services, de leur stratégie, de leurs processus internes, de leur manière d’interagir avec leurs clients. Les secteurs dans lesquels elles opèrent sont variés: chimie, télécoms, transports... - Les entreprises “de rupture” bouleversent leur industrie: elles la transforment radicalement et viennent challenger les positions existantes. Certaines interviennent par exemple, dans les secteurs du low-cost et de la distribution numérique notamment. - Les entreprises à l’origine d’une “révolution” changent le monde. Les répercutions qu’elles provoquent dépassent leur domaine d’activité. Elles répondent souvent à un enjeu sociétal et créent un nouveau marché, à l’instar de certaines entreprises de la biotechnologie». Le fonds devrait compter environ 45 lignes en portefeuille, sans contrainte géographique ni sectorielle. L’indice de référence du fonds est le MSCI World EUR clôture (dividendes nets réinvestis).