DekaBank, le gestionnaire central des caisses d'épargne allemandes, a annoncé le lancement d’un fonds actions à risque maîtrisé. Chaque titre candidat à l’intégration du portefeuille du Deka-StrategieInvest est analysé. Le degré d’exposition aux actions est ensuite déterminé selon le niveau de volatilité des marchés, et peut se situer entre 20 % et 100 %. Lorsque l’environnement de marché est considéré comme «normal», l’exposition aux actions sera maintenue à un niveau élevé, précise un communiqué. Le fonds s’adresse aux investisseurs souhaitant participer à la croissance du marché actions dans un environnement de taux bas, tout en maîtrisant le risque de leur investissement, précise Ulrich Neugebauer, responsable de l’investissement quantitatif et ETF chez Deka.CaractéristiquesISIN : DE000DK2EAD4 Frais d’entrée : 3,75 % Frais de gestion : 1,25 % par an
Le groupe suisse Bank J. Safra Sarasin vient de lancer un nouveau fonds obligataire international à court terme dont l’objectif est d’offrir l’accès à des paris opportunistes à travers le monde, rapporte Citywire Global. Baptisé Sarasin Short-term Bond – Global Opportunistic, ce véhicule domicilié au Luxembourg a été officiellement lancé fin juillet et il sera géré par l’équipe obligataire et performance absolue de la banque privée.Ce fonds pourrait investir dans une large palette d’instruments obligataires, y compris des titres à taux variable émis par des gouvernements ou des entreprises et des émetteurs des marchés émergents. Il vise à générer un revenu d’intérêt («interest income») tout en maintenant une liquidité optimale. La duration moyenne des actifs ne pourra pas dépasser trois ans et le fonds est libellé en dollars. Son indice de référence est le Citi United States WGBI 1-3 Year TR.
Le gestionnaire d’actifs britannique Jupiter Asset Management (Jupiter AM) a annoncé sa décision de fermer dans les prochaines semaines son fonds Global Energy (22 millions de livres d’encours), ce qui implique que Derek Pound, son gérant, quitte l’entreprise «d’un commun accord». Lancé il y a trois ans, le fonds «n’a pas gagné sa taille critique et n’a pas généré les rendements envisagés lors de son lancement», a expliqué Jupiter dans un communiqué pour justifier sa décision. La société de gestion a précisé qu’aucune décision n’a été prise concernant le remplacement de Derek Pound. Ce dernier travaillait chez Jupiter AM depuis 1995.
JP Morgan Asset Management a ouvert le 18 août les souscriptions pour un nouveau fonds lancé dans le cadre du programme chinois d’investisseur institutionnel étranger qualifié pour la gestion en renminbi (RQFII ou renminbi qualified foreign institutional investor), rapporte Asian Investor. Baptisé JP Morgan China A-Share Opportunities Fund, ce véhicule sera initialement disponible via cinq distributeurs, dont des banques chinoises et des conseillers financiers indépendants. De fait, la société de gestion est en pourparlers avec des banques privées et des banques de détail, des compagnies d’assurance et des conseillers indépendants dont une dizaine ont d’ores et déjà terminé les «due diligence» pour ce produit. Mais JPMorgan AM voit plus loin. «Nous voulons placer notre produit chez 20 distributeurs d’ici la fin du mois», a reconnu Ancus Mak, «vice-president» en charge de la distribution retail, interrogé par le site d’information asiatique. Ce nouveau fonds utilisera 500 millions de renminbi (81 millions de dollars) sur le quota RQFII de 1 milliard reçu par la société en janvier. Jusqu’à 10% du fonds pourra être investi dans des fonds actions chinoises, y compris des ETF. Le portefeuille pourra être investi à hauteur de 15% dans des actifs «B-Shares» et 30% dans des «H-Shares» et des actions américaines et non chinoises.
Les mutual funds dédiés aux actions américaines ont enregistré au mois de juillet une décollecte de 11,4 milliards de dollars, après -8,3 milliards de dollars en juin et -6,9 milliards de dollars en mai, selon des statistiques communiquées par Morningstar.La collecte des mutual funds de long terme (c’est-à-dire hors fonds monétaires ) est toutefois demeurée positive à 14,4 milliards de dollars, un montant nettement inférieur à ceux des mois précédents. Les fonds obligataires ont encore attiré 11,4 milliards de dollars, ce qui porte la collecte de ces fonds à 69,9 milliards de dollars depuis le début de l’année. Seules les actions internationales ont fait mieux avec une collecte cumulée sur sept mois de 73,89 milliards de dollars. Les fonds d’obligations high yield ont subi une décollecte de 7,9 milliards de dollars, après seulement -466 millions en juin et une collecte de plus de 1,2 milliard par mois au cours des mois précédents sauf janvier. Les fonds passifs ont continué de dominer le paysage, avec une collecte de 14,1 milliards de dolllars en juillet, contre seulement 0,3 milliard de dollars pour les fonds actifs.
En juin, les souscriptions nettes d’OPC non monétaires sont positives pour le cinquième mois consécutif, pour un montant de 1 milliard d’euros en données cvs, après 3 milliards en mai, grâce aux fonds obligations (+1,8 milliard), les autres catégories de fonds, dont les fonds actions, enregistrant des retraits nets, selon des statistiques communiquées par la Banque de France.La valorisation des fonds s’atténue en juin (+0,2 milliard contre + 14,3 milliards en mai), les fonds actions enregistrant une valorisation négative (-0,9 milliard). Sur un an, les flux cumulés sont positifs (+4,5 milliards), les souscriptions positives des fonds obligations (+13,7 milliards) et des fonds mixtes (+2,1 milliards) l’emportant sur les retraits nets des fonds actions (-1,9 milliard) et des autres fonds (-9,4 milliards). Les OPC monétaires ont enregistré en juin une collecte nette positive de 1,1 milliard en données cvs après une décollecte de 2,7 milliards d’euros en mai. Les souscriptions nettes de titres d’OPC monétaires (+1,1 milliard en données cvs consolidées) proviennent principalement du secteur des sociétés non financières (+2,2 milliards) et des assurances (+1,5 milliard) tandis que les établissements de crédit procèdent à des retraits nets (-3,4 milliards). Sur un an, les rachats nets de titres d’OPC monétaires atteignent -23,9 milliards, soit 8,0 % de l’encours consolidé de fin juin 2013. L’encours des OPC monétaires s’inscrivait à 996,8 milliards d’euros à fin juin, l’encours des des OPC monétaires étant de 276,8 milliards d’euros à la même date.
Les actifs sous gestion des fonds monétaires américains ont reculé de 4% entre mars et juin pour s'établir à 628 milliards de dollars, selon le dernier rapport trimestriel de Moody’s sur le secteur. Il s’agit du deuxième trimestre consécutif de baisse qui reflète l’inquiétude de certains investisseurs dans l’attente de l’introduction de la nouvelle réglementation sur les fonds monétaires.Les actifs sous gestion des fonds monétaires libellés en euro ont en revanche enregistré une croissance de 18,2% au deuxième trimestre pour terminer à 74 milliards d’euros, selon un autre document trimestriel de Moody’s sur le secteur européen. Une évolution liée au regain d’activité sur le front des fusions et acquisitions, ce qui a entraîné le maintien dans des produits monétaires de liquidités jusqu'à la clôture effective des opérations. Les fonds libellés en sterling ont vu leurs actifs sous gestion se maintenir au deuxième trimestre aux alentours de 100 milliards de livres, selon le rapport trimestriel sur le secteur publié par Moody’s.
La société de gestion alternative espagnole Mutuactivos, filiale de Mutua Madrileña, a enregistré auprès du régulateur local, la CNMV, un nouveau véhicule d’investissement baptisé Mutuafondo Financiación. Ce produit a pour objectif de «mettre à profit la désintermédiation bancaire en Europe, et principalement en Espagne», selon la notice d’information publiée par la CNMV. A ce titre, ce nouveau fonds, dont l’indice de référence est le BofA Merrill Lynch BB-B European Currency High Yield Index, investira 100 % de son portefeuille dans des obligations, essentiellement de la dette d’entreprise et de la dette émise pour le financement de projets (énergie et infrastructure, par exemple) ou de la titrisation (jusqu’à un tiers de son exposition totale). De même, de manière minoritaire, ce véhicule pourra investir dans des obligations publiques, de dépôts et des instruments monétaires cotés ou non. Le fonds ciblera principalement des émetteurs européens, essentiellement espagnols, mais pourra également investir dans des pays extérieurs au Vieux Contient incluant même des émetteurs de pays émergents. Son risque maximal sera de 10%. Quant à la qualité de crédit des émissions, 100 % de son exposition pourra être dans de la dette avec une notation inférieure à BBB- chez S&P ou équivalente. La duration moyenne du portefeuille sera comprise entre six et sept ans, bien que le gestionnaire d’actifs n’exclut pas de réduire cette durée en fonction des conditions de marché.
Le gestionnaire d’actifs suisse Union Bancaire Privée (UBP) vient de lancer un nouveau fonds actions internationales «income» dont la vocation est d’offrir aux investisseurs une source cohérente de rendement de faible volatilité, croit savoir Citywire Global. Baptisé UBAM Global Equity Income, ce véhicule a été officiellement lancé à la fin du mois de juillet. Ce fonds, domicilié au Luxembourg au format Ucits, repose sur une stratégie déjà existante et mise en preuve pour les clients de la banque privée d’UBP depuis 2009. Le nouveau produit, tout comme la stratégie existante, est co-géré par Martin Moeller et Claudio Borrelli, tous deux gérant déjà le fonds UBAM 30 Global Leaders Equity. Dans le cadre de ce nouveau véhicule, les deux gérants se concentreront principalement sur les entreprises des secteurs des télécoms, des «utilities» et de la consommation grand public. Le fonds sera surpondéré sur les marchés actions européens et sous-pondéré sur les marchés actions américains et japonais.
China Universal Asset Management (China Universal) est devenu le premier gestionnaire d’actifs de Chine continentale à annoncer la fermeture d’un produit de mutual fund, selon Asia Asset Management. Les actionnaires du groupe chinois devraient en effet voter la fermeture de China Universal 28-day, un fonds à 28 jours, le 16 Septembre. China Universal justifie la fermeture de ce produit de gestion de fortune à court terme en expliquant qu’il est semblable à un autre fonds de 30 jours, dont « le cycle de souscription et de rachat est mieux adapté aux modèles d’investissement des clients ». En outre, la société a déclaré que la fermeture du produit lui permettra de réduire ses coûts. Chine Universal propose actuellement six fonds de gestion de patrimoine à court terme, sur des maturités de 7, 14, 21, 28, 30 et 60 jours.
Deutsche Asset & Wealth Management (DeAWM) a annoncé le 14 août le lancement sur Xetra, la plateforme de l’opérateur boursier Deutsche Börse, de deux nouveaux ETF actions dans sa gamme dédiée db x-trackers. Le premier fonds, baptisé db x-trackers S&P 500 Equal Weight Ucits ETF (DR), suit les performances des 500 plus grandes et plus performantes entreprises du marché actions aux Etats-Unis. Son indice de référence est le S&P 500 Equal Weight.Le second véhicule, baptisé db x-trackers MSCI World Index Uctis ETF (DR), permet aux investisseurs de bénéficier de la performance d’entreprises de grandes et moyennes capitalisations de différents pays industrialisés à travers le monde. Son indice de référence, à savoir le MSCI Total Return Net World, comprend des entreprises provenant de 23 pays industrialisés en Europe, en Amérique (Canada, Etats-Unis) et en Asie-Pacifique (Australie, Hong Kong, Japon, Singapour, Nouvelle Zélande). L’indice est calculé en dollar américain mais ses différentes composantes sont cotées dans les différentes monnaies concernées.
Deutsche Asset & Wealth Management (DeAWM) vient de renommer et d’étendre les attributions de son fonds actions internationales DWS Top 50 Welt (1,4 milliard d’euros d’encours), révèle Citywire Global. Le véhicule concerné est ainsi rebaptisé DWS Top World, avec effet immédiat.Ce changement de nom s’accompagne d’une évolution dans sa stratégie d’investissement afin de leur rendre plus flexible et de permettre à son gérant, à savoir Nils Ernst, d’avoir accès à un univers d’investissement plus vaste. Ainsi, ce véhicule, initialement lancé en 1997, ne sera plus limité à 50 positions en portefeuille. Le gérant aura en effet la possibilité de détenir entre 40 et 60 valeurs en portefeuille, précise le site d’information britannique. De même, le fonds change d’indice de référence, abandonnant le MSCI World Index pour adopter le Dow Jones Global Titans.
Le gestionnaire d’actifs britannique Schroders vient de lancer une version locale de son fonds QEP (quantitative equity products) Global Emerging Markets (495 millions de dollars d’encours), rapporte Investment Week. Ce nouveau véhicule, disponible pour les investisseurs particuliers au Royaume Uni, duplique la stratégie d’investissement et les objectifs du fonds éponyme domicilié au Luxembourg et lancé en mars 2012. A ce titre, le nouveau produit sera géré par l’équipe d’investissement QEP de Schroders, dirigée par Justin Abercrombie.Dans le détail, l’équipe d’investissement QEP analysera quotidiennement un large univers d’investissement de plus de 4.000 entreprises à travers les différents marchés émergents, en se concentrant sur les valorisations d’entreprises et la qualité de l’activité pour sélectionner les valeurs.Le fonds «offshore» domicilié au Luxembourg a battu le secteur des actions des marchés émergents au cours de l’année écoulée en date du 11 août, dégageant un rendement de 11% contre 10% en moyenne pour le secteur, indique InvestmentWeek qui cite des données de FE Analytics.
Schroders va fusionner le fonds Global Climate Change, dont les actifs sous gestion s'élèvent à un peu plus de 30 millions de livres, avec le QEP Global Core fund fin septembre, selon Investment Week.Le fonds QEP Global Core, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 852 millions de livres, devrait abosorber la stratégie Global Climate Change le 26 septembre prochain.Le fonds Global Climate Change a dégagé une performance de 0,3% sur l’année au 12 août, à comparer à un rendement moyen de 3% pour le secteur correspondant de l’IMA.
BlackRock intensifie ses efforts pour promouvoir les investissements alternatifs auprès des clients particuliers. Le gestionnaire d’actifs américain a en effet annoncé, le 12 août, le lancement d’un nouveau fonds alternatif multi-gérants, baptisé BlackRock Multi-Manager Alternative Strategies Fund (BMMAX). Ce produit est «conçu pour offrir aux investisseurs individuels l’opportunité d’accéder à de multiples stratégies d’investissement alternatif via un seul mutual fund», indique BlackRock dans un communiqué. BMMAX renforce ainsi la plateforme de «mutual fund» alternatifs de BlackRock en portant à sept le nombre de fonds et «confortant ainsi la société de gestion parmi les principaux fournisseurs de solutions d’investissements alternatifs avec plus de 115 milliards de dollars d’actifs sous gestion au 30 juin 2014», indique le gestionnaire d’actifs.Visant un objectif de «rendement total» («total return») et affichant des frais de gestion annuels de 1,95 %, ce nouveau véhicule combine différentes stratégies alternatives en provenance de sept gérants différents ou conseillers externes qui se concentrent sur des stratégies fondamentales long/short ou encore «event driven». Parmi eux, on trouve notamment: - Benefit Street Partners – Fundamental Long/Short - Independence Capital Asset Partners, LLC– Fundamental Long/Short - LibreMax Capital, LLC– Fundamental Long/Short - LoebKing Capitalmanagement – Event Driven - MeehanCombs LP– Fundamental Long/Short - PEAK6 Advisors LLC– Relative Value.«Au regard de la volatilité du marché de ces dernières années, il est crucial pour les investisseurs de comprendre que l’exposition à une plus large gamme d’investissements est nécessaire dans le cadre d’une stratégie d’investissement dite core, explique Ken Barbuscio, responsable produit et du développement de la plateforme pour la division américaine Wealth Advisory de BlackRock, cité dans un communiqué. BMMAX offre aux investisseurs institutionnels une manière de se diversifier à travers différents gérants d’investissements alternatifs et stratégies dans un seul portefeuille.»
Janus Capital vient de nommer Andy Summers en qualité de co-gérant pour son fonds Janus Opportunistic Alpha Fund, a appris Citywire Global. Le mois denier, la stratégie de ce véhicule, domicilié au Luxembourg, avait été totalement revisitée, passant d’un fonds actions américaines à un fonds actions internationales. Sa précédente dénomination, Janus US All Cap Growth, avait ainsi été abandonnée pour prendre celle de Janus Opportunistic Alpha Fund. De même, le gérant principal du fonds, Brian Demain, avait été remplacé par Dans Kozlowski. Andy Summers, qui a rejoint Janus Capital en 2008, officiait jusque-là en tant qu’analyste actions. Auparavant, il avait notamment travaillé chez Invesco en qualité de co-gérant sur un fonds actions dédié au secteur des biotechnologies.
L’industrie des hedge funds se porte à merveille. Selon les données de la banque Barclays citées par Fondsprofessionell, les souscriptions récoltées au cours des six premiers mois de cette année par les fonds alternatifs s'élèvent à 85,2 milliards de dollars. Soit la plus forte collecte depuis 2007 et l'équivalent de 3,8 % de l’ensemble des actifs gérés par les hedge funds dans le monde. Ceux-ci s'élèvent à fin juin à 2.200 milliards de dollars, en hausse de 2,5 % par rapport à décembre 2013. Comparé à juin 2013, les encours ont bondi de 18,5 %.
Le gestionnaire d’actifs américain Fred Alger Management vient de lancer deux nouveaux compartiments de son produit phare, Alger Sicav domicilié au Luxembourg, dans le but de cibler les clients basés en dehors des Etats-Unis, révèle Citywire Global. Dans le détail, le fonds Alger Emerging Markets, géré par Deborah Vélez Medenica, investira dans des actions en regardant un large spectre de pays dits émergents. Deborah Vélez Medenica gère déjà la stratégie Alger Emerging Markets (35 millions de dollars d’encours) depuis son lancement en 2010. Pour ce nouveau véhicule, elle sera assistée d’une équipe d’analystes qui regarderont les opportunités à forte conviction parmi les entreprises des marchés émergents.En parallèle, la société de gestion a lancé le fonds Alger Dynamic Opportunities, un fonds «long/short» avec une couverture actions qui investit principalement dans des entreprises domiciliées aux Etats-Unis. Adoptant la même approche que la stratégie Alger Dynamic Opportunities (90 millions de dollars d’encours), ce nouveau véhicule est géré par les mêmes gérants, à savoir Dan Chung, Patrick Kelly et Greg Adams, tous trois soutenus par une équipe de plus de 30 analystes en charge des investissements à l’échelle mondiale.A fin juin 2014, Fred Alger Management gère plus de 21,5 milliards de dollars d’actifs.
Après six mois consécutifs de pertes, le hedge fund phare de Brevan Howard a finalement dégagé son premier rendement mensuel positif en juillet, rapporte le Wall Street Journal. Le fonds Brevan Howard Master Fund, géré par Alan Howard et qui affiche 26,5 milliards de dollars d’encours, a ainsi réalisé un gain de 0,7% en juillet, selon une lettre adressée aux investisseurs que s’est procurée le journal économique. Pour autant, depuis le début de l’année 2014, ce fonds affiche des pertes de 3,7%.
La boutique italienne de gestion d’actifs Kairos Investment Management vient de s’associer à Morgan Stanley afin de lancer un fonds alternatif long/short au standard Ucits axé sur les actions paneuropéennes, rapporte Citywire Global. Il s’agit en fait d’une nouvelle version d’un produit existant au sein de la gamme de Kairos, le Kairos International Selection Fund qui a été lancé au Luxembourg en 2010.Baptisé MS Kairos Enhanced Europe Selection Ucits, le nouveau véhicule a été officiellement lancé ce 11 août sur la plateforme FundLogic Alternatives, développée par Morgan Stanley Investment Management pour permettre aux investisseurs d’accéder à des stratégies de hedge fund dans un cadre réglementé. Le fonds investira à travers une large palette d’entreprises européennes sur la base de la recherche d’une performance absolue («absolute return») via une approche bottom-up et un fort accent mis sur la gestion des risques. Domicilié en Irlande, le fonds doit être prochainement enregistré en Espagne, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Italie et en Suisse.