Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
Belfius a annoncé devenir partenaire et distributeur exclusif sur le marché belge de la nouvelle plateforme d’investissement Planet First Partners, récemment lancée par Frédéric de Mévius et Alexander de Wit. «Grâce à ce partenariat, Belfius souhaite répondre au besoin croissant de diversification de portefeuille de ses clients Wealth, Corporate et institutionnels en leur proposant une opportunité d’investissement en Private Equity unique en son genre, et qui cible les entreprises européennes en croissance, susceptibles de devenir demain des leaders mondiaux dans les domaines de la consommation saine et durable, de la santé et de l’environnement», explique un communiqué. Créée par Frédéric de Mévius et Alexander de Wit – précédemment respectivement fondateur, CEO puis chairman et membre du comité exécutif de Verlinvest –, Planet First Partners est une plateforme d’investissement en Private Equity, qui investit exclusivement dans des sociétés mariant un impact tangible sur la société et sur l’humain avec un potentiel de rendement financier attractif. Le montant minimal d’investissement dans la plateforme Planet First Partners est fixé à 250.000 euros. Cette plateforme s’adresse aux investisseurs dynamiques, avec un horizon de placement à long terme. Outre son rôle de distributeur exclusif pour la Belgique, Belfius sera impliqué dans les principaux organes de gouvernance de la plateforme. « Après l’arrivée dans notre gamme de solutions d’investissement de BlackRock et JPMorgan, à côté de celles de notre partenaire historique Candriam, ce nouveau partenariat nous permet de proposer de nouvelles opportunités exclusives à nos clients Wealth, Corporate et institutionnels dans le domaine du Private Equity, et de répondre à leur besoin de diversification, toujours en ligne avec notre purpose de banque Meaningful & Inspiring », commente Dirk Gyselinck, Managing Director Wealth, Enterprises & Public de Belfius.
La Banque centrale européenne (BCE) pourrait commencer «à penser à sortir progressivement du mode d’urgence du côté de la politique monétaire si, en accélérant la campagne de vaccination, nous parvenons à avoir vacciné 70% de la population adulte européenne d’ici à l’été et si l’économie commence à prendre de la vitesse», a déclaré le vice-président de l’institution Luis de Guindos, dans un entretien à La Repubblica publié lundi. Moins de 30% de la population de l’Union européenne (UE) a reçu une première dose de vaccin contre le coronavirus. Luis de Guindos a averti contre un maintien trop prolongé des mesures d’assouplissement monétaire, estimant que les effets secondaires pourraient être aussi dommageables qu’un retrait trop précoce du soutien monétaire.
La Banque centrale européenne (BCE) pourrait commencer «à penser à sortir progressivement du mode d’urgence du côté de la politique monétaire si, en accélérant la campagne de vaccination, nous parvenons à avoir vacciné 70% de la population adulte européenne d’ici à l’été et si l’économie commence à prendre de la vitesse», a déclaré le vice-président de l’institution Luis de Guindos, dans un entretien à La Repubblica publié lundi.
La Banque centrale européenne (BCE) a réaccéléré son programme d’achats d’urgence pandémique (PEPP) la semaine dernière, avec 22,2 milliards d’euros nets acquis sur les marchés (ou 4,4 milliards par jour), à nouveau comme fin mars. Un chiffre à comparer avec les 13,7 milliards d’achats nets hebdomadaires, ou 2,8 milliards quotidiens, sur les deux premières semaines d’avril. Au total, le PEPP atteint désormais 998,8 milliards d’euros sur les 1.850 milliards à investir potentiellement jusqu’à fin mars 2022. Alors que l’on voit les gouverneurs de la BCE les plus «hawkish» (faucons) vouloir ralentir le programme dès que possible, la banque centrale ne devrait pas réduire ces mesures de soutien tant que l’économie de la zone euro n’a pas atteint son potentiel de croissance (PIB réel et potentiel) et que l’inflation n’est pas revenue à 2%, a insisté lundi Fabio Panetta, l’un des membres du directoire de l’institution.
La Banque centrale européenne (BCE) a réaccéléré son programme d’achats d’urgence pandémique (PEPP) la semaine dernière, avec 22,2 milliards d’euros nets acquis sur les marchés (ou 4,4 milliards par jour), à nouveau comme fin mars. Un chiffre à comparer avec les 13,7 milliards d’achats nets hebdomadaires, ou 2,8 milliards quotidiens, sur les deux premières semaines d’avril.
Storebrand Asset Management vient de lancer un nouveau fonds indiciel coté sur les actions nordiques, a appris AMWatch. Le véhicule, dénommé Storebrand Index-Norden, suivra l’indice VINX Nordic Benchmark Cap Net. Les frais de gestion s'élèvent à 0,2%.
Le lancement de cette monnaie ne réussira que s’il répond aux besoins des Européens, notamment en matière de vie privée, prévient la Banque centrale européenne.
Comme elle l’avait promis le 11 mars, la Banque centrale européenne (BCE) a bien augmenté les achats de son programme d’urgence pandémique (PEPP) en mars, à 73,5 milliards d’euros (sur 23 jours ouvrés), après 59,9 milliards en février et 53 milliards en janvier (sur 20 jours ouvrés). Et ce même si ces achats ont chuté de moitié la semaine dernière, à 11 milliards au lieu des 19 et 21 milliards les deux précédentes semaines. Ce total, le plus bas depuis janvier, est très probablement dû au week-end de Pâques. Au bout du compte, le PEPP détient désormais 943,7 milliards d’euros de dette sur les 1.850 milliards qu’il peut théoriquement investir d’ici à mars 2022.
Comme elle l’avait promis le 11 mars, la Banque centrale européenne (BCE) a bien augmenté les achats de son programme d’urgence pandémique (PEPP) en mars, à 73,5 milliards d’euros (sur 23 jours ouvrés), après 59,9 milliards en février et 53 milliards en janvier (sur 20 jours ouvrés). Et ce même si ces achats ont chuté de moitié la semaine dernière, à 11 milliards au lieu des 19 et 21 milliards les deux précédentes semaines. Ce total, le plus bas depuis janvier, est très probablement dû au week-end de Pâques.
Credit Suisse a annoncé ce 6 avril qu’il allait passer une charge de 4,4 milliards de francs suisses en rapport aux pertes qu’il a subi avec «un hedge fund américain, annoncées le 29 mars dernier». Le groupe bancaire suisse ne nomme toujours pas ce hedge fund mais toute la presse et les observateurs ont fait le lien avec la défaillance du family office Archegos le 26 mars 2021. Credit Suisse dit prévoir une perte avant impôts d’environ 900 millions de francs au premier trimestre et annonce un dividende réduit de 0,10 franc par action. Il va aussi revoir à la baisse la rémunération 2020 de ses dirigeants. Quant à l’affaire de la liquidation des fonds supply chain liés à Greensill, elle fera l’objet d’une communication séparée dans les jours qui viennent quand aux remboursements qui pourront être réalisés auprès des clients. La banque a également décidé de remplacer le directeur de sa banque d’investissement et la directrice de son contrôle du risque. Il s’agit de Brian Chin et de Lara Warner, respectivement. Enfin, deux enquêtes externes sur les questions relatives au fonds spéculatif basé aux Etats-Unis ont été ouvertes, indique l'établissement.
Les nouveaux prêts aux entreprises de la zone euro ont repris en février, après un ralentissement en début d’année, alors que l’Union européenne (UE) peine à surmonter la récession provoquée par la pandémie, selon les données publiées jeudi par la Banque centrale européenne (BCE). Le solde du flux mensuel de crédits aux entreprises a atteint 13 milliards d’euros en février, contre un montant négatif de 3 milliards d’euros un mois plus tôt, tandis que le taux de croissance annuel s’est accéléré, passant de 6,9% à 7,1%.
La Banque centrale européenne (BCE) a bien augmenté de près de 50% ses achats d’obligations sur les marchés la semaine dernière, mettant ainsi en application sa promesse du 11 mars d’accélérer l’utilisation des 1.850 milliards d’euros prévus par son programme d’achats d’urgence pandémique (PEPP). Sur la semaine au 19 mars, les achats de ses deux programmes (APP et PEPP) ont atteint 28 milliards d’euros, 48% de plus que la semaine précédente, et le montant le plus élevé depuis le 4 décembre. Pour le seul PEPP, le montant investi a atteint 21,05 milliards d’euros, 50% de plus que la semaine précédente.
La Banque centrale européenne (BCE) l’avait promis, elle l’a fait. Ses statistiques hebdomadaires montrent qu’elle a bien augmenté de près de 50% ses achats d’obligations sur les marchés la semaine dernière, mettant ainsi en application sa promesse du 11 mars d’accélérer l’utilisation des 1.850 milliards d’euros prévus par son programme d’achats d’urgence pandémique (PEPP).
En annonçant les résultats préliminaires d'enquête de la Banque centrale européenne sur les risques climatiques, Louis de Guindos, son vice-président, exhorte le secteur bancaire et financier à modifier rapidement ses pratiques d'investissement.
La nouvelle opération de refinancement ciblé à long terme (TLTRO 3.7) de la Banque centrale européenne (BCE) a attiré beaucoup plus d’intérêts qu’attendu, avec 330 milliards d’euros demandés par 425 banques européennes, alors que les analystes prévoyaient plutôt entre 150 et 200 milliards de demandes. Cette opération devait en théorie être la dernière du programme TLTRO 3, après les quatre sessions de 2020 : TLTRO 3.3 en mars (115 milliards), TLTRO 3.4 en juin (1.308 milliards), TLTRO 3.5 en septembre (174 milliards), TLTRO 3.6 en décembre (50,4 milliards). La BCE a prolongé le programme en décembre, de juin 2021 à juin 2022 pour la période avec un taux d’emprunt de -1%.
La nouvelle opération de refinancement ciblé à long terme (TLTRO 3.7) de la Banque centrale européenne (BCE) a attiré beaucoup plus d’intérêts qu’attendu, avec 330 milliards d’euros demandés par 425 banques européennes, alors que les analystes prévoyaient plutôt entre 150 et 200 milliards de demandes. «C’est un signe positif pour le secteur bancaire et le financement de l’économie réel», estime Frederik Ducrozet, stratégiste de Pictet WM. Cela indique que la demande de crédit ne s’était pas trop tassée, après la vague de prêts garantis accordés en 2020.