Toute l’actualité des métiers de la banque d’investissement, du trading, des activités de marché equities et fixed income, du corporate finance, et de ses principaux acteurs (Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Deutsche Bank, BNP Paribas)
A l’instar de JPMorgan et Bank of America, la banque américaine Morgan Stanley a elle aussi connu un quatrième trimestre faste. Grâce au bond de ses activités de trading, l’établissement new-yorkais a enregistré une hausse de 83% de son résultat net, à 1,67 milliard de dollars (1,56 milliard d’euros). Sur une base diluée, le bénéfice par action ressort à 81 centimes, contre 65 centimes attendus par le consensus établi par Thomson Reuters.
Crédit Agricole CIB a décidé d’arrêter ses activités de primary dealer (spécialiste en valeurs du Trésor, SVT) en Autriche, en Irlande et aux Pays-Bas, où il cessera donc d’intervenir sur le marché primaire de la dette souveraine de ces pays. Sur le marché néerlandais, la filiale de la banque verte n'était présente que sur le compartiment des bons du Trésor. «Compte tenu de l’impact des nouvelles réglementations pesant sur le bilan des banques et leur rentabilité, Crédit Agricole CIB a revu et rationalisé son positionnement sur les marchés d’ emprunts d’Etat européens», explique la banque dans un message. La banque reste bien sûr SVT en France. «Crédit Agricole CIB reste attaché à l’activité sur les marchés d’emprunts d’Etat européens», précise le groupe.
Crédit Agricole CIB a décidé d’arrêter ses activités de primary dealer (spécialiste en valeurs du Trésor, SVT) en Autriche, en Irlande et aux Pays-Bas, où il cessera donc d’intervenir sur le marché primaire de la dette souveraine de ces pays. Sur le marché néerlandais, la filiale de la banque verte n'était présente que sur le compartiment des bons du Trésor.
Portée par le déploiement du plan Juncker de soutien à l’investissement en Europe, la Banque européenne d’investissement (BEI) affiche 9,3 milliards d’euros de financements nouveaux en 2016 en France, dépassant son précédent record de 8,7 milliards atteint en 2015. Le plan Juncker représente environ 30% de l’activité, avec 37 opérations approuvées pour un montant de 2,8 milliards d’euros ; ces financements devraient mobiliser 15,8 milliards d’euros d’investissements supplémentaires, un effet de levier légèrement supérieur aux objectifs annoncés. La France se place ainsi au second rang européen derrière l’Italie en montants absolus investis via le plan Juncker. Sur les 9,3 milliards de financements nouveaux, 8 milliards d’euros proviennent directement de la BEI et 1,3 milliard du Fonds européen d’investissement (FEI), filiale du groupe dédiée au soutien des PME et à la microfinance.
Portée par le déploiement du plan Juncker de soutien à l’investissement en Europe, la Banque européenne d’investissement (BEI) affiche 9,3 milliards d’euros de financements nouveaux en 2016 en France, dépassant son précédent record de 8,7 milliards atteint en 2015. Le plan Juncker représente environ 30% de l’activité, avec 37 opérations approuvées pour un montant de 2,8 milliards d’euros, lesquels devraient mobiliser 15,8 milliards d’euros d’investissements additionnels, un effet de levier légèrement supérieur aux objectifs annoncés. La France se place ainsi au second rang européen derrière l’Italie en montants absolus investis via le plan Juncker. La montée en puissance du plan Juncker a permis de monter la part de l’activité de la BEI dédiée au secteur privé à 70% contre 30% en 2015, et la part des soutiens à l’innovation à 38% contre 15% l’année passée.
Auditionné par le Parlement britannique, Douglas Flint, le directeur général d’HSBC, a évoqué de probables transferts d'équipes de Londres vers l’Europe continentale si le Royaume-Uni perdait son accès au passeport financier européen après le Brexit. «Nous prendrions des actions préventives», a-t-il souligné. «Nous avons déjà en France une banque de plein exercice, et donc une activité au sein de l’Union européenne à partir de laquelle nous pouvons exercer des activités aujourd’hui faites à Londres», a déclaré Douglas Flint. Celui estime à un millier (un nombre déjà évoqué) les emplois qui pourraient être relocalisés. «La plupart irait à Paris car c’est là que nous avons la plus grosse activité bancaire» sur le continent, a-t-il précisé.
Les banques américaines entameront en fin de semaine la présentation de leurs résultats du quatrième trimestre, marqué par un net rebond des taux d'intérêt.
La plate-forme entend surfer sur la rationalisation des coûts des banques d’affaires en proposant un hub de centralisation et de standardisation des informations.
Auditionné par une commission du Parlement britannique, Douglas Flint, le directeur général d’HSBC, a évoqué de probables transferts d'équipes de Londres vers l’Europe continentale si le Royaume-Uni perd son accès au passeport financier européen dans le cadre du Brexit. «Nous prendrions des actions préventives» pour assurer le même niveau de service qu’aujourd’hui, a souligné le dirigeant.
La banque d’investissement américaine Jefferies a réalisé un bénéfice net de 87,1 millions de dollars (83,8 millions d’euros) de septembre à novembre 2016, quatre fois plus que l’année précédente. L’établissement utilise une année fiscale allant de décembre à novembre et ses résultats sont donc souvent regardés comme présageant ceux des autres grandes banques d’investissement. Le chiffre d’affaires total s’est établi à 742 millions de dollars au quatrième trimestre, soit 45% de plus que l’année dernière. Celui de la division de banque d’investissement a augmenté de 11% à 415 millions de dollars; tandis que celui tiré des actions et obligations a plus que doublé à 325 millions de dollars. Les commissions de conseil ont représenté 224 millions de dollars sur la période, un record pour Jefferies.
La banque de financement et d’investissement (BFI) asiatique de Natixis anticipe une croissance de 20% de ses revenus cette année, a déclaré vendredi François Pérol, directeur du groupe BPCE, dans une interview à Bloomberg. Depuis cinq ans, la division profite d’une croissance à deux chiffres de son chiffre d’affaires et elle veut continuer sur cette lancée en cherchant des opportunités en infrastructures, acquisitions et financement de projet. Elle emploie aujourd’hui 600 personnes et prévoit d’embaucher.
La banque de financement et d’investissement (BFI) asiatique de Natixis anticipe une croissance de 20% de ses revenus cette année, a déclaré mercredi François Pérol, directeur du groupe BPCE, dans une interview à Bloomberg. Depuis cinq ans, la division profite d’une croissance à deux chiffres de son chiffre d’affaires et elle veut continuer sur cette lancée en cherchant des opportunités en infrastructures, acquisitions et financement de projet. Elle emploie aujourd’hui 600 personnes et prévoit d’embaucher.
La banque suisse a actualisé hier son plan stratégique. Il vise un milliard de francs d’économies récurrentes additionnelles, avec de nouvelles suppressions de postes.
Crédit Agricole CIB a annoncé la nomination de Matthieu Lance en tant que responsable adjoint du M&A au niveau mondial aux côtés de Bertrand Peyrelongue. Ancien de HSBC et de Lazard, Matthieu Lance était depuis 2013 managing director au sein de l'équipe M&A de BNP Paribas, pour laquelle il a notamment suivi le secteur de la chimie.
Crédit agricole CIB a annoncé la nomination de Matthieu Lance en tant que responsable adjoint du M&A au niveau mondial aux côtés de Bertrand Peyrelongue. Ancien de HSBC et de Lazard, Matthieu Lance était depuis 2013 managing director au sein de l'équipe M&A de BNP Paribas, pour laquelle il a notamment suivi le secteur de la chimie.
James Simpson, co-responsable des fusions-acquisitions chez HSBC pour la région Europe-Afrique-Moyen Orient, a quitté la banque, indique Bloomberg. Il pourrait être remplacé par Borja Azpilicueta. Un porte-parole de HSBC n’a pas souhaité faire de commentaire. James Simpson, qui avait rejoint HSBC en 2014 en provenance d’UBS, conseillait notamment ChemChina dans son projet d’OPA sur le suisse Syngenta.
James Simpson, co-responsable des fusions-acquisitions chez HSBC pour la région Europe-Afrique-Moyen Orient, a quitté la banque, indique Bloomberg. Il pourrait être remplacé par Borja Azpilicueta. Un porte-parole de HSBC n’a pas souhaité faire de commentaire. James Simpson, qui avait rejoint HSBC en 2014 en provenance d’UBS, conseillait notamment ChemChina dans son projet d’OPA sur le suisse Syngenta.