Toute l’actualité des métiers de la banque d’investissement, du trading, des activités de marché equities et fixed income, du corporate finance, et de ses principaux acteurs (Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Deutsche Bank, BNP Paribas)
La banque italienne a promu Francisco Bachiller au poste de co-responsable de ses activités de banque de financement et d’investissement, dans le cadre d’une réorganisation plus vaste de sa BFI. Arrivé en 2015, cet ancien de Morgan Stanley conservera ses activités de patron de Mediobanca pour la péninsule ibérique et l’Amérique latine. Il se concentrera sur la gestion de la BFI tandis que Stefano Marsaglia, actuel président de la division, se consacrera aux relations avec les plus gros clients et au développement des ventes croisées. Mediobanca a par ailleurs nommé Francesco Canzonieri patron du corporate finance, et Stefano Dova patron des activités de marchés de capitaux.
La banque italienne a promu Francisco Bachiller au poste de co-responsable de ses activités de banque de financement et d’investissement, dans le cadre d’une réorganisation plus vaste de sa BFI. Arrivé en 2015, cet ancien de Morgan Stanley conservera ses activités patron de Mediobanca pour la péninsule ibérique et l’Amérique latine. Il se concentrera sur la gestion de la BFI tandis que Stefano Marsaglia, actuel président de la division, se consacrera aux relations avec les plus gros clients et au développement des ventes croisées.
Le titre Credit Suisse a perdu plus de 5% ce matin à la Bourse de Zurich, malgré la publication d’un résultat trimestriel supérieur aux attentes. La deuxième banque helvétique a annoncé un bénéfice net de 41 millions de francs suisses (38 millions d’euros) grâce à un gain exceptionnel lié à la vente d’un actif immobilier. Après les propos prudents de son directeur général Tidjane Thiam fin septembre, les analystes interrogés par Reuters anticipaient une perte de 120 millions de francs en moyenne.
La Société Générale a annoncé un bénéfice de 1,1 milliard d’euros au troisième trimestre (-2,4% sur un an) qui a nettement dépassé les attentes. Les analystes, qui anticipaient une réduction du coût du risque plus faible que le plongeon de 27% enregistré, tablaient sur un recul des profits de 33%, à 745 millions d’euros. Hors éléments non économiques, le résultat net part du groupe grimpe de 39%, à 1,25 milliard d’euros. Sur le plan de la solvabilité, le ratio CET1 non phasé de la Société Générale a augmenté sur le trimestre de 30 points de base, à 11,4%. La banque vise une fourchette de 11,5% à 12% à la fin 2017.
La banque suisse a indiqué vendredi en marge de ses résultats trimestriels qu’elle risquait une amende et une interdiction d’arranger des introductions en Bourse à Hong Kong. La Securities and Futures Commission locale a notifié le groupe qu’elle entendait prendre des sanctions «contre UBS et certains employés» pour leur rôle de sponsors dans certaines IPO, sans préciser lesquelles. Hong Kong est le deuxième marché des introductions en Bourse dans le monde cette année, avec 21,4 milliards de dollars de capitaux levés. UBS, qui occupait encore le premier rang des conseils en IPO en 2012, a rétrogradé à la 20ème place cette année. Après une série de scandales concernant des sociétés chinoises venues se coter à Hong Kong, les autorités ont mis en place en octobre 2013 des règles de cotation plus strictes qui engagent notamment la responsabilité des banques conseil au cas où le prospectus d'émission contiendrait des informations qui se révéleraient fausses.
La banque suisse a indiqué vendredi en marge de ses résultats trimestriels qu’elle risquait une amende et une interdiction d’arranger des introductions en Bourse à Hong Kong. La Securities and Futures Commission locale a notifié le groupe qu’elle entendait prendre des sanctions «contre UBS et certains employés» pour leur rôle de sponsors dans certaines IPO, sans préciser lesquelles.
Lazard a annoncé pour le troisième trimestre un bénéfice net en baisse de 71,8%, à 113 millions de dollars. Mais la banque franco-américaine, qui a vu ses dépenses salariales augmenter de 11%, avait bénéficié d’un gain fiscal de 421 millions l’an dernier. Ses revenus ont progressé de 3%, à 611 millions de dollars, grâce notamment au doublement des commissions de restructuration financière (à 51 millions). Les encours de la division gestion ont crû de 12%, à 205 milliards de dollars ; la collecte nette a atteint environ 3 milliards.
La première banque allemande a publié hier un bénéfice trimestriel surprise. L’issue de son litige aux Etats-Unis et de sa restructuration restent en suspens.
La filiale de métiers titres mise sur des départs naturels. Son plan est resté dans l'ombre des coupes sans précédent annoncées au printemps dans la BFI du groupe.
La banque Lazard a annoncé pour le troisième trimestre clos un bénéfice net part du groupe en baisse de 71,8%, à 113 millions de dollars (103 millions d’euros) contre 399 millions un an auparavant. Le bénéfice par action ressort à 85 cents, contre 2,99 dollars il y a un an. Le groupe franco-américain, qui a vu ses dépenses salariales (compensation) augmenter de 11%, avait surtout bénéficié d’un gain fiscal exceptionnel de 421 millions de dollars l’an dernier.
Barclays a publié ce matin un bénéfice imposable trimestriel en hausse de 20%, à 1,7 milliard de livres sterling (1,9 milliard d’euros), bien supérieur aux attentes des analystes (1,3 milliard de livres). Le groupe britannique a profité du dynamisme de ses activités de banque d’investissement (BFI), dont les profits ont bondi de 40% sur un an, grâce notamment à l’amélioration de la rentabilité du trading. Barclays, qui réalise majeure partie de ses activités de BFI aux Etats-Unis, a profité de l’appréciation du dollar face à la livre depuis le référendum britannique du 23 juin sur le Brexit.
Deutsche Bank a annoncé ce matin un bénéfice net trimestriel inattendu de 278 millions d’euros, grâce notamment à une hausse de 14% de son activité de courtage obligataire. Moins forte que chez ses concurrentes, cette progression a été favorisée par la volatilité ayant entouré le vote sur le Brexit.
Raoul Salomon, 52 ans, est nommé responsable de la banque d’investissement (BFI) de Barclays France. Il va co-diriger l’entité française du groupe britannique avec Tony Blanco, jusqu'à la cession définitive de la banque de détail locale du groupe au fonds AnaCap. «Lorsque la vente de cette activité sera scellée - des négociations exclusives sont en cours, Raoul Salomon sera l’unique directeur de Barclays France, qui emploie actuellement environ 200 personnes dans la BFI», selon Lesechos.fr. Le nouveau responsable travaille depuis 20 ans chez Barclays où il a débuté comme trader. Il est l’un des plus anciens spécialistes en valeurs du Trésor (SVT) de la Place.
Raoul Salomon, 52 ans, est nommé responsable de la banque d’investissement (BFI) de Barclays France. Il va co-diriger l’entité française du groupe britannique avec Tony Blanco, jusqu'à la cession définitive de la banque de détail locale du groupe au fonds AnaCap. « Lorsque la vente de cette activité sera scellée - des négociations exclusives sont en cours, Raoul Salomon sera l’unique directeur de Barclays France, qui emploie actuellement environ 200 personnes dans la BFI », selon Lesechos.fr. Le nouveau responsable travaille depuis 20 ans chez Barclays où il a débuté comme trader. Il est l’un des plus anciens spécialistes en valeurs du Trésor (SVT) de la Place.
JPMorgan est en pourparlers pour vendre sa participation dans sa co-entreprise chinoise de banque d’investissement à son partenaire local, le courtier First Capital Securities. Ce dernier indique dans un document réglementaire publié aujourd’hui qu’il discute du rachat des 33% de JPMorgan dans leur entité commune, mais aucun accord n’a été conclu pour le moment.
Morgan Stanley a réalisé un bénéfice net trimestriel en hausse de 61,7% à 1,52 milliard de dollars (1,38 milliard d’euros), soit 81 cents par action, contre 939 millions (48 cents par action) sur la période correspondante de l’an dernier. Le bénéfice par action des activités maintenues a atteint 80 cents. Les analystes prévoyaient en moyenne un bénéfice de 63 cents. Les revenus ont progressé de 14,7% à 8,91 milliards de dollars. Ceux de la gestion d’actifs ont progressé de 7% à 3,9 milliards, permettant à la division d’afficher une marge avant impôt de 23%, conforme à l’objectif visé. Les revenus ajustés tirés des activités de trading obligataire ont en effet plus que doublé à 1,5 milliard de dollars, Mais les revenus de la vente et du trading d’actions n’ont augmenté que de 1% sur un an, à 1,9 milliard. Le rendement des fonds propres, à 8,7%, reste en outre inférieur à la fourchette de 9% à 11% que vise James Gorman à l’horizon de la fin 2017.
Morgan Stanley a publié mercredi un bénéfice trimestriel meilleur qu’attendu, soutenu par l’envolée des activités de trading, qui a profité ces derniers mois à l’ensemble des grandes banques de Wall Street. Morgan Stanley a été l’une des principales bénéficiaires de cette tendance, qui s’explique principalement par les conséquences sur les marchés du vote britannique de juin en faveur du Brexit et par les spéculations sur l'évolution des politiques monétaires aux Etats-Unis, en Europe et au Japon.
L'autorité financière britannique a dévoilé son rapport sur les banques d'investissement qui prône un encadrement des league tables, des clauses contractuelles et des IPO.