Toute l’actualité des métiers de la banque d’investissement, du trading, des activités de marché equities et fixed income, du corporate finance, et de ses principaux acteurs (Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Deutsche Bank, BNP Paribas)
La banque de financement et d’investissement suisse UBS a dit à ses employés que ses activités continuaient « normalement », dans un mémo interne cité aujourd’hui par Reuters. Vendredi, elle a annoncé dans son rapport annuel que le régulateur des marchés de Hong Kong, la Securities and Futures Commission (SFC), prévoyait de lui interdire d’agir comme sponsor d’introductions en Bourse (IPO) durant 18 mois. La banque sponsor est celle qui garantit le contenu du prospectus, et elle hérite ensuite généralement de la position de preneur (underwriter) ou de co-coordinateur global. La SFC inflige aussi à UBS une amende de 119 millions de dollars hongkongais (12,3 millions d’euros).
UBS va adopter une approche «décentralisée» pour le redéploiement de ses effectifs londoniens après la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) et la majorité des transferts s’effectuera vers Francfort, indique la banque suisse dans une note interne à ses employée consultée par Reuters. Au total, les transferts devraient concerner moins de 200 employés, sur les 5.000 environ qu’UBS emploie actuellement à Londres. Initialement, la banque avait tablé sur le déplacement de 1.000 à 1.500 personnes. La logique du redéploiement multisites est de rapprocher les employés d’UBS de leurs clients et le personnel concerné sera informé dans les prochains mois, selon la note.
UBS va adopter une approche «décentralisée» pour le redéploiement de ses effectifs londoniens après la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne (UE) et la majorité des transferts s’effectuera vers Francfort, indique la banque suisse dans une note interne à ses employée consultée par Reuters. Au total, les transferts devraient concerner moins de 200 employés, sur les 5.000 environ qu’UBS emploie actuellement à Londres. Initialement, la banque avait tablé sur le déplacement de 1.000 à 1.500 personnes. La logique du redéploiement multisites est de rapprocher les employés d’UBS de leurs clients et le personnel concerné sera informé dans les prochains mois, selon la note.
Chaque année, la filiale de BPCE versera 7 millions d'euros à son partenaire pour accéder à sa recherche et lui garantira 9 millions d'euros de commissions d'exécution.
François Baroin, maire de Troyes et président de l’Association des maires de France, devient conseiller extérieur de la banque Barclays en France, a annoncé la banque britannique. L’ancien ministre du Budget et des Finances de Nicolas Sarkozy, retiré de la vie politique «partisane» depuis novembre, guidera les acquéreurs internationaux dans l’Hexagone. A l’heure du Brexit, Barclays estime que la France est redevenue un marché attrayant pour les investisseurs internationaux et qu’un ancien ministre de l’Economie est idéalement placé pour leur offrir des perspectives. Barclays souhaite «revenir dans le Top 5 des banques d’affaires internationales en France», ont expliqué Ghislain de Brondeau et Yann Krychowski (coresponsables de la banque d’affaires en France, Belgique et Luxembourg) sur le site du journal Les Echos préalablement à l’envoi du communiqué.
François Baroin, maire de Troyes et président de l’Association des maires de France, devient conseiller extérieur de la banque Barclays en France, dévoilent Les Echos. L’ancien ministre du Budget et des Finances de Nicolas Sarkozy, retiré de la vie politique « partisane » depuis novembre, «guidera les acquéreurs internationaux dans l’Hexagone». « Je ne deviens pas banquier. J’apporterai une vision stratégique aux clients français et internationaux de Barclays », précise le chiraquien de 52 ans, un temps pressenti comme alternative de la Droite à l'élection présidentielle.
Olivier Osty, responsable mondial de «global markets» reprend en main la région EMEA et simplifie l’organigramme, pour plus d’efficacité et de réactivité.
BNP Paribas est en train de réduire de près de moitié le comité exécutif de ses activités de marchés en Europe, Moyen-Orient et Asie (EMEA), a annoncé à Bloomberg Olivier Osty, responsable mondial global markets de la banque française. Il va lui-même assurer la direction directe des opérations dans la région, tandis que l’actuel responsable EMEA, Pascal Fischer, va prendre la tête des activités de marchés en Asie-Pacifique.
Déception ? Après avoir décidé fin 2017 de répercuter les frais de recherche sur ses clients, Fidelity International a reculé et finalement décidé d’absorber intégralement les coûts liés à cette recherche externe, quel que soit le type de véhicule, client ou géographie. La société de gestion, qui justifie cette « mise à jour » sur MIF 2 par de « longues discussions avec les clients », choisit finalement de suivre le reste de l’industrie dans une direction que les observateurs avisés estiment périlleuse à long terme, puisque potentiellement synonyme de réduction des budgets de recherche. Car la tendance sur les frais de gestion n’est pas à une hausse qui pourrait compenser ces nouvelles charges, même chez Fidelity qui avait aussi choisi d’introduire en octobre un modèle de frais variables pour sa gestion active sur actions.
Le classement des primary dealers livre parfois des surprises. Non pas en France, où BNP Paribas s’arroge depuis des années la première place des spécialistes en valeurs du Trésor, mais en Italie. Pour le quatrième exercice consécutif, un établissement y a damé le pion aux poids lourds nationaux, UniCredit et Banca IMI, ainsi qu’à JPMorgan et Barclays. Son nom ? Monte dei Paschi di Siena. On peut donc avoir été au bord de la faillite, renfloué par le contribuable, et se montrer capable d’engager plus de bilan que la première banque d’investissement du monde, afin d’aider l’Italie à se financer. Le lien entre banques et souverain n’est pas près d’être tranché.
Alexandre de Rothschild succèdera à son père David à la tête de Rothschild & Co en juin, écrit le Financial Times ce matin. Sans surprise, l’unique fils de David incarnera la septième génération à la tête de la banque franco-britannique, ont confirmé des sources internes à L’Agefi. Rothschild & Co n'était pas joignable dans l’immédiat pour confirmer l’information.
Warren Buffett, PDG de Berkshire Hathaway, a déclaré hier que son conglomérat, qui dispose de 116 milliards de dollars (94,2 milliards d’euros) de trésorerie, était «plus disposé» à racheter des actions qu'à verser un dividende pour utiliser son excès de cash au bénéfice des actionnaires. Il a également dit à la chaîne de télévision CNBC que la réforme fiscale mise en place par l’administration Trump était un «gigantesque soutien» aux entreprises américaines et qu’elle était «vraiment positive pour Berkshire».
Warren Buffett, PDG de Berkshire Hathaway, a déclaré ce lundi que son conglomérat, qui dispose de 116 milliards de dollars (94,2 milliards d’euros) de trésorerie, était «plus disposé» à racheter des actions qu'à verser un dividende pour utiliser son excès de cash au bénéfice des actionnaires. Il a également dit à la chaîne de télévision CNBC que la réforme fiscale mise en place par l’administration Trump était un «gigantesque soutien» aux entreprises américaines et qu’elle était «vraiment positive pour Berkshire».
Barclays rémunère les femmes en moyenne moitié moins que les hommes dans sa division Barclays International qui héberge sa banque d’investissement (BFI). L'écart est de 48%, a révélé hier la banque britannique. Cela signifie que le salaire horaire des femmes est environ deux fois inférieur à celui des hommes. Cette différence s’explique notamment par le poids des femmes dans les rôles junior, selon Barclays. Dans sa principale division, Barclays UK, l'écart de rémunération est de 26%.
Barclays rémunère les femmes en moyenne moitié moins que les hommes dans sa division Barclays International qui héberge sa banque d’investissement (BFI). L'écart est de 48%, a révélé ce matin la banque britannique. Cela signifie que le salaire horaire des femmes est environ deux fois inférieur à celui des hommes. Cette différence s’explique notamment par le poids des femmes dans les rôles junior, selon Barclays. Dans sa principale division, Barclays UK, l'écart de rémunération est de 26%.