Rebaptisé «diem» au lieu de libra dans le but de simplifier la structure du projet, le projet Diem de Facebook devrait être un unique stablecoin adossé au dollar (USD), et non pas plusieurs stablecoins comme cela avait été initialement annoncé. Le pilote de diem, qui devrait être lancé d’ici la fin de l’année, devrait s’effectuer à petite échelle dans un premier temps. Il se concentrerait sur les transactions individuelles entre consommateurs, avec une possibilité d’achat et de ventes de marchandises, selon CNBC. Le projet lancé en 2019 serait actuellement en pourparlers avec les régulateurs financiers suisses afin d’obtenir une licence de paiement, ce qui lui permettrait de voir le jour plus rapidement.
L’assurtech américaine Lemonadeprévoit de lancer un service d’assurance automobile, baptisée « Lemonade Car », dans le courant de l’année. Il s’agit d’un nouvel élargissement de gamme en moins d’un an, après avoir lancé une assurance pour les propriétaires, une pour les animaux de compagnie au second semestre de 2020 et une assurance vie temporaire au premier semestre de cette année.
Alors que Deutsche Telekom a investi dans la plateforme Celo, le principal concurrent du projet Diem de Facebook, CNBC a donné quelques précisions sur le projet du réseau social.
PayPal a annoncé la création d’un portefeuille numérique spécialisé dans les paiements transfrontaliers, selon CNBC. La plateforme américaine de paiements en ligne est depuis janvier «la première entreprise étrangère à détenir à 100% une solution de paiement en Chine», avec la société locale de technologie financière GoPay, dont elle a acquis 70% en 2019, puis les 30% restants le 31 décembre dernier. Hannah Qiu, PDG de PayPal China, a précisé «Au lieu de rivaliser avec les acteurs dominants, Alipay et WheChat Pay, pour les paiements nationaux, la société se concentrera sur les paiements transfrontaliers», explique le média économique américain.
Stripe, spécialisée dans les services de paiement, a annoncé lundi le lancement de Stripe Issuing en Europe, qui permet aux entreprises d’émettre des cartes virtuelles ou physiques. Les cartes virtuelles peuvent être créées instantanément, et les cartes physiques sont expédiées en deux jours ouvrables, indique la fintech américaine. Ce service est en cours de lancement sur 20 marchés européens, dont en France, ainsi qu’au Royaume-Uni. Stripe a levé 600 millions de dollars en mars pour une valorisation de 95 milliards de dollars.
Le spécialiste américain du paiement Mastercard investit dans la sécurité en ligne. Le groupe a annoncé lundi l’acquisition d’Ekata, une entreprise spécialisée dans la vérification d’identité en ligne, pour 850 millions de dollars (707 millions d’euros). Basée à Seattle, Ekata utilise les données pour établir un score de risque qui permet à un commerçant en ligne de savoir s’il peut autoriser l’ouverture d’un compte client sur son site ou la réalisation d’une transaction. L’essor des transactions en ligne, accéléré par la crise du Covid, renforce le besoin de cyber-sécurité. Le montant de la fraude en ligne pourrait passer de 17 milliards de dollars l’an dernier à 25 milliards de dollars en 2024, selon une estimation du cabinet Juniper Research.
La Banque d’Angleterre et le Trésor britannique ont annoncé la constitution d’un groupe de réflexion sur une monnaie digitale de banque centrale (MDBC) britannique, «destinée à être utilisée par les ménages et les entreprises », souligne le communiqué. Cette monnaie digitale viendrait en complément d’autres formes de monnaies existantes, notamment les espèces et les dépôts bancaires. Le gouvernement britannique et la Banque d’Angleterre « n’ont pas encore pris de décision quant à l’introduction d’une MDBC au Royaume-Uni », mais ils décident d’ouvrir une phase de réflexion sur les avantages et risques associés à un tel projet. Ce groupe de travail sera co-présidé par le gouverneur adjoint pour la stabilité financière de la Banque d’Angleterre, Jon Cunliffe, et la directrice générale des services financiers du Trésor britannique, Katharine Braddick.
Goldman Sachs a investi 50 millions de livres (57,9 millions d’euros) dans la banque en ligne britannique Starling, déjà valorisée plus d’un milliard de livres. Cet apport complète une levée de fonds de 272 millions de livres annoncée en mars auprès d’autres investisseurs, indique Starling dans un communiqué. Lancée en 2017, elle compte plus de deux millions de comptes courants, dont 350 000 auprès d’entreprises. Ses dépôts sont passés d’un milliard de livres il y a un an à 6 milliards.
Les insurtech enchaînent elle aussi les levées de fonds record. Alan, spécialiste de l’assurance santé en ligne, a annoncé lundi un nouveau financement de 185 millions d’euros qui le valorise 1,4 milliard, faisant ainsi son entrée parmi les «licornes» françaises, ces start-up valorisées plus d’un milliard d’euros. Elle avait levé 50 millions d’euros en avril 2020.
Stripe, spécialisée dans les services de paiement, a annoncé lundi le lancement de Stripe Issuing en Europe, qui permet aux entreprises d’émettre des cartes virtuelles ou physiques. Les cartes virtuelles peuvent être créées instantanément, et les cartes physiques sont expédiées en deux jours ouvrables, indique la fintech américaine.
Le spécialiste américain du paiement Mastercard investit dans la sécurité en ligne. Le groupe a annoncé lundi l’acquisition d’Ekata, une entreprise spécialisée dans la vérification d’identité en ligne, pour 850 millions de dollars (707 millions d’euros). Basée à Seattle, Ekata utilise les données pour établir un score de risque qui permet à un commerçant en ligne de savoir s’il peut autoriser l’ouverture d’un compte client sur son site ou la réalisation d’une transaction.
Une banque centrale de plus. La Banque d’Angleterre et le Trésor britannique annoncent aujourd’hui la constitution d’un groupe de réflexion (task force) sur une monnaie digitale de banque centrale (MDBC) britannique. « Une MDBC serait une nouvelle forme de monnaie numérique émise par la Banque d’Angleterre et destinée à être utilisée par les ménages et les entreprises », souligne le communiqué. Cette monnaie digitale viendrait en complément d’autres formes de monnaies existantes, notamment les espèces et les dépôts bancaires.
Arrivée en France en juillet dernier, l’application canadienne de micro-épargne compte attirer les jeunes avec des placements socialement responsables.
Christine de Wendel (ex-directrice opérationnelle de Mano Mano), Victor Lugger et Tigrane Seydoux (fondateurs de la chaîne de restauration Big Mamma) ont bouclé une levée de fonds de 20 millions d’euros en seed (amorçage) pour créer une solution de paiement dédiée à la restauration, baptisée Sunday. Celle-ci «permet de payer son addition au restaurant en moins de dix secondes grâce à un QR code», précisent les cofondateurs dans un communiqué. Il y a un an, Big Mamma a lancé une solution similaire dans ses 14 restaurants à travers trois pays. Dès la réouverture des restaurants en France, Sunday sera disponible dans des milliers de restaurants dont les tables du Groupe Bertrand, les établissements d’Éric Frechon, les lieux de Paris Society ou encore chez PNY et Eataly et «dans des milliers de restaurants et d’hôtels» en France, Espagne, Royaume-Uni et aux États-Unis, selon le communiqué.
Christine de Wendel (ex-directrice opérationnelle de Mano Mano), Victor Lugger et Tigrane Seydoux (fondateurs de la chaîne de restauration Big Mamma) ont bouclé une levée de fonds de 20 millions d’euros en seed (amorçage) auprès de plusieurs investisseurs dont Coatue et New Wave, pour créer une solution de paiement dédiée à la restauration, baptisée Sunday. Celle-ci «permet de payer son addition au restaurant en moins de dix secondes grâce à un QR code», précisent les cofondateurs dans un communiqué.
C’était l’une des introductions en Bourse les plus attendues de l’année. La plateforme d’échange américaine Coinbase, qui sera cotée sous le symbole Coin, a fixé hier son prix de référence à 250 dollars l’action sur le Nasdaq. Coinbase a choisi une cotation directe plutôt qu’une introduction en Bourse classique. La plateforme, qui deviendra la première entreprise spécialisée dans les crypto-monnaies à entrer en Bourse, serait valorisée 65,3 milliards de dollars. Environ 130,7 millions d’actions seront mises sur le marché ce mercredi, a précisé le groupe hier.
Lancé en France en juin dernier, le paiement en quatre fois de Paypal devient gratuit pour les acheteurs. Jusqu’ici, le service était facturé 2,1% du montant de l’achat et plafonné à 20 euros, pour des achats allant de 50 à 2.000 euros. L’option est ouverte dans l’application de paiement seulement aux utilisateurs éligibles, dont Paypal considère le risque comme acceptable. Les commerçants n’ont rien à activer, ni à payer mais PayPal a décidé de rendre le service gratuit pour les consommateurs, sans faire payer davantage les marchands. Ces derniers sont habituellement facturés 2,90% + 0,35 euro par transaction, pour encaisser les paiements classiques, non fractionnés. Un choix rendu possible grâce à la maîtrise de la fraude, Paypal estime avoir le taux de fraude le plus faible du marché. En France, Paypal compte 12,8 millions d’utilisateurs.