SmartAngels a annoncé vouloir arrêter ses activités de financement participatif dédié à l’investissement au capital de start-up et de PME de croissance. «Le marché de l’equity crowdfunding est marqué par une forte baisse des volumes et présente peu de perspectives favorables, en raison notamment des évolutions fiscales et du modèle réglementaire inadapté», explique Benoit Bazzocchi, son fondateur et président, dans un communiqué. La fintech préfère se recentrer sur ses activités d’édition logicielle et de prestations associées en lançant une plate-forme pour gérer les titres non-côté dont la commercialisation doit débuter début 2019 auprès de certaines sociétés de gestion.
SmartAngels a fait part de sa décision d’arrêter ses activités de financement participatif dédié à l’investissement au capital de startups et de PME de croissance. «Le marché de l’equity crowdfunding est marqué par une forte baisse des volumes depuis plusieurs trimestres et présente peu de perspectives favorables, en raison notamment des évolutions fiscales et du modèle réglementaire inadapté», explique Benoit Bazzocchi, fondateur et président de SmartAngels dans un communiqué. La fintech préfère se recentrer sur ses activités d’édition logicielle et de prestations associées en lançant une plateforme pour gérer les titres non-côté dont la commercialisation doit débuter début 2019 auprès de certaines sociétés de gestion.
Le cours de l’action Ingenico gagnait près de 4% en fin de matin après l’annonce du départ du PDG Philippe Lazare à la demande du conseil d’administration. Le marché y voit un signe pouvant faciliter le rapprochement avec un autre groupe. «Une modification de la gouvernance du groupe va dans ce sens et Philippe Lazare n’aurait probablement pas eu sa place dans le cadre d’un rapprochement», commente un analyste.
La banque mobile britannique Monzo a annoncé le 31 octobre une levée de fonds de 85 millions de livres (96 millions d’euros). Ce tour de table valorise la société à un milliard de livres pre money. L’opération la fait donc rentrer dans le cercle fermé des licornes de la fintech. Parmi les investisseurs figurent General Catalyst, Accel, Passion, Goodwater, Thrive Capital, Orange et Stripe. La banque envisage d’utiliser ces capitaux pour développer de nouveaux produits et augmenter ses effectifs. Monzo prépare en outre un nouveau tour de financement par le biais de plates-formes de crowdequity.
La banque mobile britannique Monzo a annoncé le 31 octobre une levée de fonds de 85 millions de livres (96 millions d’euros). Ce tour de table valorise la société à un milliard de livres pre money. L’opération la fait donc rentrer dans le cercle fermé des licornes de la fintech.
Fidor ferme sa communauté et son site français, selon une information du site spécialisé Mind Fintech. Depuis plusieurs semaines déjà, BPCE a décidé de tourner la page Fidor, qui avait vocation à devenir la néobanque du groupe en Europe. Comme l’indiquait L’Agefi, Clipperton, la boutique de M&A «tech» de Natixis, et Messier Maris ont été chargés de trouver un acquéreur.
La start-up Birdylabs vient de finaliser une levée de fonds de 3 millions de dollars auprès du fonds d’investissement Rising Sun VC. Fondée en 2016, l’entreprise développe une application nommée Birdycent qui permet à ses utilisateurs d’arrondir leurs dépenses réalisées par carte bancaire à l’euro supérieur et d’épargner la différence. Les capitaux levés vont servir à financer le développement de l’entreprise à l’international. Birdylabs veut aussi étendre ses services aux programmes de fidélisation et aux initiatives de dons de fin d’année.
La plate-forme québécoise Impak Finance arrive en France avec le lancement de sa première ICO (initial coin offering), toujours en processus d’obtention de visa auprès de l’AMF. Fondée en 2016, la fintech met en relation via son site des entreprises socialement responsables et des consommateurs. Disponible en pré-vente, l’impak coin, la monnaie virtuelle d’Impak Finance, doit permettre aux consommateurs de profiter de produits et de services éthiques auprès d’entreprises accréditées sur la plate-forme. Son ICO lancée au Canada en 2017 avait été la première validée par l’AMF canadienne, et avait permis à la fintech de recueillir 1,4 million de dollars canadiens.
Lendix se rebaptise October, un nom «international, facile à comprendre et surtout à mémoriser» qui doit permettre de faciliter le développement à l’international, explique la plate-forme de prêts. Déjà active en France, en Espagne et en Italie, avec plus de 230 millions d’euros de financements signés à ce jour, October prévoit de fournir ses premiers prêts aux Pays-Bas dans les prochaines semaines.
La valorisation de la plate-forme américaine d’échange de cryptomonnaies Coinbase a atteint 8 milliards de dollars selon ses représentants, qui ont annoncé mardi avoir bouclé une levée de fonds supplémentaire de 300 millions de dollars. Les capitaux serviront notamment à étendre le nombre de cryptomonnaies sur la plate-forme, à financer son développement à l’international sur des marchés réglementés et à attirer plus d’investisseurs institutionnels. En 2017, Coinbase était valorisée à 1,6 milliard de dollars.
La start-up Birdylabs vient de finaliser une levée de fonds de 3 millions de dollars auprès du fond d’investissement Rising Sun VC. Fondée en 2016, l’entreprise développe une application nommée Birdycent qui permet à ses utilisateurs d’arrondir les dépenses réalisées par carte bancaire à l’euro supérieur et d’épargner la différence. Les capitaux levés vont servir à financer le développement de l’entreprise à l’international. Birdylabs a aussi pour projet d’exploiter davantage sa technologie d’analyse des transactions de paiement en étendant ses services aux programmes de fidélisation et aux initiatives de dons à la fin de l’année.
La plate-forme québécoise Impak Finance arrive en France avec le lancement de sa première ICO (initial coin offering), toujours en processus d’obtention de visa auprès de l’AMF. Fondée en 2016, la fintech met en relation via son site des entreprises socialement responsables et des consommateurs. Disponible en pré-vente, l’impak coin, la monnaie virtuelle d’Impak Finance, doit permettre aux consommateurs de profiter de produits et de services éthiques auprès d’entreprises accréditées sur la plate-forme. Son ICO lancée au Canada en 2017 avait été la première validée par l’AMF canadienne et avait permis à la fintech de recueillir 1,4 millions de dollars canadiens.
Les plates-formes de co-financement WeShareBonds et Look&Fin ont annoncé avoir scellé un partenariat qui leur a permis de financer la PME Compagnie de Construction à hauteur de 1,5 million d’euros. Fondée en 2001, cette entreprise de construction envisage de développer deux activités grâce à ce crédit : les projets tertiaires et la rénovation de bâtiments anciens. «Le crowdlending est de plus en plus reconnu comme une source de financement alternative rapide et efficace pour les PME», explique ainsi Frédéric Lévy Morelle, fondateur et directeur général de Look&Fin, dans un communiqué.
Les plates-formes de co-financement WeShareBonds et Look&Fin ont annoncé avoir scellé un partenariat qui leur a permis de financer la PME Compagnie de Construction à hauteur de 1,5 millions d’euros. Fondée en 2001, cette entreprise de construction envisage de développer deux activités grâce à ce crédit : les projets tertiaires et la rénovation de bâtiments anciens. « Le crowdlending est de plus en plus reconnu comme une source de financement alternative rapide et efficace pour les PME » explique ainsi Frédéric Lévy Morelle, fondateur et directeur général de Look&Fin, dans un communiqué.
Edenred a affirmé vendredi dans un bref communiqué «ne pas envisager d’opération sur le capital d’Ingenico». L'émetteur de services prépayés précise que cette clarification fait suite à informations parues dans «des articles de presse». Plusieurs médias avaient rapporté des marques d’intérêt de la part d’Edenred pour le spécialiste français des paiements.
Netfys, entreprise spécialisée dans le Crédit d’impôt recherche (CIR), a annoncé hier avoir franchi la barre des 250 millions d’euros accordés aux fintech françaises à travers la réalisation de 500 opérations. L’entreprise propose aux PME une solution de préfinancement du CIR sous forme d’une avance de trésorerie afin de combler le décalage temporel entre l’engagement des dépenses de recherche et le bénéfice du CIR. Adossée à la société de gestion Acofi Gestion, la plate-forme de Netfys dispose d’une capacité d’intervention de l’ordre de 150 millions d’euros par an, précise-t-elle dans un communiqué.
Netfys, entreprise spécialisée dans le Crédit d’impôt recherche (CIR), a annoncé jeudi avoir franchi la barre des 250 millions d’euros accordés aux fintech françaises à travers la réalisation de 500 opérations. L’entreprise propose aux PME une solution de préfinancement du CIR sous forme d’une avance de trésorerie afin de combler le décalage temporel entre l’engagement des dépenses de recherche et le bénéfice du CIR. Adossée à la société de gestion Acofi Gestion, la plate-forme de Netfys dispose d’une capacité d’intervention de l’ordre de 150 millions d’euros par an, précise-t-elle dans un communiqué.
L’agence de notation financière S&P Global Ratings croit en l’avenir de la blockchain pour l’industrie des sukuks, ces titres de dette conformes aux préceptes de l’islam. Ils pesaient en 2017 selon elle 75 à 80 milliards de dollars en 2017. S&P explique dans un article publié hier que ces technologies pourraient améliorer la transparence des flux de trésorerie et des actifs sous-jacents. La blockchain permettrait aussi d’accentuer les prises de décisions des investisseurs grâce à des informations plus fiables. Aucune institution financière n’a, à ce jour, utilisé la blockchain pour émettre des produits obligataires islamiques.
Huit banques, dont HSBC et BNP Paribas, ont annoncé la mise en production de cette solution afin de réduire le temps de traitement des lettres de crédit.
Huit banques, dont HSBC et la banque française BNP Paribas, ont annoncé le lancement de la plate-forme Voltron adossée à la blockchain Corda. Son objectif: faciliter le financement du commerce international, c’est-à-dire les activités de trade finance.
L’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P) croit en l’avenir de la blockchain et des smart contracts concernant l’industrie des sukuks, ces titres de dette conformes aux préceptes de l’islam. S&P explique dans un article publié mercredi que ces technologies pourraient améliorer la transparence des flux de trésorerie et des actifs sous-jacents. La blockchain permettrait aussi d’accentuer les prises de décisions des investisseurs grâce à des informations plus fiables.
Interrogé ce matin, lors de la présentation des résultats semestriels, sur l’intérêt supposé d’Edenred pour le spécialiste des paiements Ingenico, Patrick Bataillard, le directeur financier du groupe, a répondu qu’il ne commentait pas les rumeurs. «Edenred se positionne comme une entreprise de paiement et nous sommes en veille sur tous les acteurs de cet écosystème», a-t-il néanmoins poursuivi, ajoutant qu’Ingenico «appartient à cet écosystème». Edenred a été cité comme un candidat potentiel à un rapprochement avec Ingenico, au même titre que Natixis.
Une société utilisant la technologie blockchain de la fintech britannique a obtenu un agrément de l’AMF pour opérer en tant que dépositaire central de titres.
Le classement mondial Fintech 100 de KPMG et H2 Ventures a pour la troisième année consécutive intégré Lendix, à la 45ème position, soit dans la liste «Leading 50» des 50 plus importantes fintech dans le monde, sur la base de critères liés à l’innovation, à la levée de capitaux, à leur taille et à leur impact. La plate-forme de crowdlending y est le seul représentant tricolore. Deux fintechs françaises figurent par ailleurs dans la catégorie «Emerging 50»: +simple.fr et Shift Technology.