La société Payfit, spécialisée dans la digitalisation de la gestion de paie et des processus RH, se lance en Allemagne après avoir ouvert des bureaux en Espagne l’été dernier. Installée dans le centre de Berlin, la fintech s’est fixé comme objectif d’avoir 500 clients en Allemagne d’ici fin 2019. Cette opération, rendue possible par une levée de fonds de 14 millions d’euros auprès du fonds Accel en juillet 2017, s’inscrit dans une stratégie globale d’internationalisation. La fintech Payfit compte 130 collaborateurs entre la France et l’Espagne et déclare avoir déjà plus de 2.500 clients.
Le fabricant de terminaux et fournisseur de solutions de paiement Ingenico a abaissé mardi son objectif d’excédent brut d’exploitation (Ebitda) pour 2018 pour la seconde fois depuis juillet, en raison de la «performance décevante» de sa division Banks & Acquirers. Ingenico anticipe désormais un Ebitda de 510 millions d’euros en 2018, contre un objectif d’au moins 545 millions d’euros annoncé en juillet. Avant cette date, le groupe visait une fourchette de 545 à 570 millions d’euros.
Révélé aujourd’hui à Sydney, le classement mondial Fintech 100 de KPMG et H2 Ventures a pour la troisième année consécutive intégré Lendix. Bâti par un panel d’experts fintech du monde entier, le palmarès classe Lendix à la 45ème position, soit dans la liste « Leading 50 » des 50 plus importantes fintech dans le monde, sur la base de critères liés à l’innovation, à la levée de capitaux, à leur taille et à leur impact. La plate-forme de crowdlending y est le seul représentant tricolore. Deux fintechs françaises figurent par ailleurs dans la catégorie « Emerging 50 » : +simple.fr et Shift Technology.
L’ACPR a autorisé la fintech à finaliser son tour de table, mené par les fonds de capital-risque Breega et Speedinvest, pour accélérer son développement.
L’Association des professionnels du marché des métaux précieux de Londres (London Bullion Market Association), qui rassemble des banques et des courtiers, a lancé la procédure d’homologation d’entreprises lui permettant d’assurer la traçabilité de l’or. La plupart prévoient de s’appuyer sur la technologie de la blockchain. Conçue à l’origine pour soutenir la cryptomonnaie bitcoin, elle s’inscrit dans le cadre des efforts pour améliorer la transparence du marché de l’or confronté à des accusations de manipulation de cours et de blanchiment. La LBMA avait lancé en mars un appel d’offres. Elle a reçu 26 propositions de start-ups et de géants des technologies et des logiciels, selon Reuters. La LBMA prévoit de soumettre à consultation un projet de normes pour les systèmes de traçabilité de l’or dans le courant du premier semestre 2019.
L’Association des professionnels du marché des métaux précieux de Londres (London Bullion Market Association - LBMA) a lancé la procédure d’homologation d’entreprises lui permettant d’assurer la traçabilité de l’or. La LBMA, qui compte 144 membres dont les plus grands affineurs de métal jaune, des banques et des courtiers, avait lancé en mars un appel d’offres dans ce sens. L’association a reçu 26 propositions émanant aussi bien de start-up que de géants des technologies et des logiciels, a dit Sakhila Mirza, directrice exécutive du conseil d’administration de la LBMA à Reuters. La plupart prévoient de s’appuyer sur la technologie blockchain.
À l’occasion de l’AMTech Day, organisé mercredi 17 octobre à Paris, L’Agefi a remis huit prix récompensant les entreprises les plus innovantes dans le milieu de la technologie financière. C’est la société Amundi AM qui a été désigné AMTech leader pour 2018.
Unilend, précurseur du crowdlending, a indiqué dans un communiqué diffusé hier être en cessation de paiement, confirmant les informations de L’Agefi. Il précise notamment à ses prêteurs qu'«Unilend a confié à la SFPMEI le soin de gérer vos prêts et vos opérations jusqu’au terme de votre dernier prêt en cours». Il assure par ailleurs que les remboursements des emprunteurs et le suivi des procédures de recouvrement ainsi que des procédures collectives sont assurés par la SFPMEI.
Unilend, précurseur du crowdlending, a indiquédans un communiqué diffusé ce jeudi être en cessation de paiement, confirmant les informations de L’Agefi. Il précise notamment à ses prêteurs «Unilend a confié à la SFPMEI le soin de gérer vos prêts et vos opérations jusqu’au terme de votre dernier prêt en cours».
Société Générale Securities Services (SGSS) a annoncé hier avoir signé avec Addventa un partenariat pour lancer un service de rédaction automatique de commentaires de gestion. Se basant sur les solutions d’intelligence artificielle de la fintech, il permettra aux sociétés de gestion clientes de SGSS de générer des commentaires sur une période de temps donnée et en plusieurs langues. L’offre s’appuie également sur les données chiffrées issues de l’outil de reporting d’analyse de la performance et du risque de SGSS.
Société Générale Securities Services (SGSS) a annoncé mercredi avoir signé avec Addventa un partenariat pour lancer un service de rédaction automatique de commentaires de gestion. Se basant sur les solutions d’intelligence artificielle de la fintech, il permettra aux sociétés de gestion clientes de SGSS de générer des commentaires sur une période de temps donnée et en plusieurs langues.
Le spécialiste français de la signature électronique a levé 12 millions d’euros auprès d’Odyssée Venture, de la Caisse des dépôts et de CM-CIC Innovation.
La loi Pacte, adoptée en première lecture la semaine dernière, prévoit que les spécialistes des cryptoactifs puissent en dernier ressort, se tourner vers la Caisse des Dépôts (CDC) pour ouvrir un compte, mais «l’institution fait valoir qu’elle n’est pas en mesure d’ouvrir ces comptes», rapportait vendredi le quotidien Les Echos. Selon la député LREM Sophie Errante, présidente de la Commission de surveillance de la CDC, «(...) ces acteurs présentent un risque de blanchiment d’argent et on ne peut pas mettre en danger la Caisse des Dépôts qui centralise les avoirs des Français», Avant l’examen du projet de loi au Sénat, «nous voulons réfléchir à la question avec le Trésor, la Banque de France, les acteurs des cryptodevises et les banques pour trouver une solution alternative», explique-t-elle.
Après le Royaume-Uni et l’Italie, Yolt, l’agrégateur de comptes d’ING, est désormais disponible sur le marché français dans une version mobile pilote. «Yolt permet aux utilisateurs de visualiser clairement l’ensemble de leurs comptes bancaires et cartes de crédit et de prendre ainsi des décisions plus éclairées», précisait vendredi le communiqué. La fintech indique offrir «des services additionnels tels que la comparaison des meilleurs offres énergétiques ou le transfert de fonds à l’international». Son application donne accès à 67 banques françaises et cartes de paiement.
Après le Royaume-Uni et l’Italie, Yolt, l’agrégateur de comptes d’ING, est désormais disponible sur le marché français dans une version mobile pilote. «Yolt permet aux utilisateurs de visualiser clairement l’ensemble de leurs comptes bancaires et cartes de crédit et de prendre ainsi des décisions plus éclairées», précise le communiqué. La fintech indique offrir «des services additionnels tels que la comparaison des meilleurs offres énergétiques ou le transfert de fonds à l’international». Son application donne accès à 67 banques françaises et cartes de paiement.
La loi Pacte, adoptée en première lecture cette semaine, prévoit que les spécialistes des cryptoactifs puissent en dernier ressort, se tourner vers la Caisse des Dépôts (CDC) pour ouvrir un compte, mais «l’institution fait valoir qu’elle n’est pas en mesure d’ouvrir ces comptes», écrivent ce matin Les Echos.
Le groupe pense mieux valoriser Natixis Payments en l'apportant à Ingenico. Sa manne de 2,1 milliards d’euros pour des acquisitions profitera d’abord à la gestion d’actifs.
Natixis a confirmé ce matin « son intérêt à explorer la logique d’un rapprochement industriel de ses activités de paiement avec celles du groupe Ingenico et avoir des discussions préliminaires en cours sur ce sujet ». Pour autant, la filiale cotée de BPCE ne souhaiterait pas racheter le groupe de paiements mais plutôt marier son petit pôle Natixis Payment Solutions avec Ingenico, expliquent à L’Agefi plusieurs sources proches du dossier, nuançant les informations diffusées par Bloomberg mercredi soir. Après le transfert d’une partie de ses services financiers à BPCE, Natixis disposera certes de 1,5 milliard d’euros supplémentaire pour des acquisitions éventuelles (ou un dividende spécial), mais la banque ne devrait pas mettre ses œufs dans le même panier, alors qu’elle lorgne notamment des sociétés de gestion d’actifs en Asie.
Natixis a confirmé ce matin son intérêt pour un rapprochement de ses activités de paiement avec celles d’Ingenico. «Natixis confirme son intérêt à explorer la logique d’un rapprochement industriel de ses activités de paiement avec celles du groupe Ingenico et avoir des discussions préliminaires en cours sur ce sujet», précise le groupe bancaire dans un communiqué en réaction à la publication d’une dépêche Bloomberg hier soir.
Blockchain. La plate-forme we.trade de financement du commerce international basée sur la technologie Blockchain étoffe son réseau. Avec pour nouveaux actionnaires CaixaBank, Erste Group et UBS, l’équipe de banques au service des échanges des PME et ETI compte désormais douze membres (avec la Société Générale et Natixis, ainsi que Deutsche Bank, HSBC, KBC, Nordea, Rabobank, Santander et UniCredit). L’extension géographique est primordiale car la centralisation et la sécurisation des transactions impliquent la participation de la banque de l’acheteur comme de celle du vendeur. De fait, la plate-forme, qui propose en outre aux entreprises l’affacturage ou un registre de contacts, « compte bien poursuivre son expansion vers de nouveaux marchés en Europe et dans le monde », pointe Hubert Benoot, responsable du trade finance chez KBC et président de we.trade.
Carrefour a rejoint la plate-forme d’IBM Food Trust et sa technologie blockchain pour pouvoir élargir à l'échelle mondiale la traçabilité de ses produits alimentaires. Le distributeur français, qui avait lancé en mars dernier le déploiement de la blockchain pour certains poulets, se fixe pour objectif de l’utiliser pour environ 300 produits frais à travers le monde d’ici à 2022, a précisé à Reuters son secrétaire général, Laurent Vallée. IBM Food Trust vise le partage d’informations liées à la sécurité des produits, notamment l’origine des produits et leur composition, via un QR code figurant sur les étiquettes.
Le spécialiste suédois du paiement en ligne Klarna s’allie avec H&M, ont annoncé hier les deux partenaires. Le numéro deux mondial du prêt-à-porter derrière l’espagnol Inditex versera 185 millions de couronnes (18 millions d’euros) pour acquérir moins de 1% du capital de Klarna, a déclaré une porte-parole de la société suédoise, confirmant une information du Financial Times. H&M utilisera la plateforme numérique de Klarna sur tous ses canaux, et elle sera intégrée ultérieurement aux magasins en ligne et traditionnels de l’enseigne de mode.
Carrefour a annoncé aujourd’hui avoir rejoint la plate-forme d’IBM Food Trust et sa technologie blockchain pour pouvoir élargir à l'échelle mondiale la traçabilité de ses produits alimentaires. Le distributeur français, qui avait lancé en mars dernier le déploiement de la blockchain pour certains poulets, se fixe pour objectif d’utiliser cette technologie pour environ 300 produits frais à travers le monde d’ici à 2022, a précisé à Reuters son secrétaire général, Laurent Vallée.
H&M a annoncé ce matin une alliance avec le spécialiste du paiement en ligne Klarna, ce qui constitue le plus grand partenariat noué à ce jour par la fintech suédoise. Le numéro deux mondial du prêt-à -porter, derrière l’espagnol Inditex, versera 185 millions de couronnes (18 millions d’euros) pour acquérir moins de 1% du capital de Klarna, a déclaré une porte-parole de la société suédoise, confirmant une information du Financial Times. H&M utilisera la plateforme numérique de Klarna sur tous ses canaux et elle sera intégrée ultérieurement aux magasins en ligne et traditionnels de l’enseigne de mode.