TransferWise a obtenu un compte de règlement en euros auprès de la Banque de Lituanie, ce qui lui permet d’accéder directement à l’infrastructure de paiement en euros. Les virements en euros se feront via son compte de règlement et seront instantanés grâce à l’adhésion au nouveau système de paiement SEPA Instant de la fintech spécialiste du transfert d’argent international à bas prix. Ce dernier rend possible des virements en quelques secondes, 24h/24 et 7j/7. En avril, TransferWise avait déjà annoncé détenir un compte de règlement auprès de la Banque d’Angleterre et être membre direct du FPS Payments Scheme (FPS).
Les bureaux de tabac français vont vendre des bitcoins à partir de 2019, via un accord avec une fintech française, Keplerk, selon Reuters. Les commerçants devront vendre aux clients un reçu permettant d’obtenir des bitcoins via un portefeuille électronique géré par Keplerk. Ils seront les premiers commerçants physiques au monde à vendre des bitcoins, affirme Keplerk. La Banque de France a indiqué ne pas superviser cette initiative. Elle déclarait hier qu'«aucune convention n’a été signée afin de permettre la vente de bitcoin dans les bureaux de tabac». «Aucun accord n’est par ailleurs discuté ni envisagé sur le sujet». La radio Europe 1 avait assuré qu’un accord avait été signé entre la Fédération des buralistes et la Banque de France pour autoriser la vente de cette monnaie virtuelle à compter du 1er janvier 2019.
TransferWise a annoncé mercredi avoir obtenu un compte de règlement en euros auprès de la Banque de Lituanie, ce qui lui permet ainsi d’accéder directement à l’infrastructure de paiement en euros. Les virements en euros se feront via son compte de règlement et seront instantanés grâce à l’adhésion au nouveau système de paiement SEPA Instant de la fintech spécialiste du transfert d’argent international à bas prix. Alors qu’il fallait environ un jour ouvrable pour que l’argent arrive à destination, ce dernier rend possible des virements en quelque secondes, 24h/24 et 7j/7.
La Banque de France a déclaré ce matin qu'«aucune convention n’a été signée afin de permettre la vente de bitcoin dans les bureaux de tabac», «contrairement à ce qui a été affirmé ce matin par certaines stations de radio, sans vérification préalable». «Aucun accord n’est par ailleurs discuté ni envisagé sur le sujet», ajoute le communiqué de l’institution.
La société de gestion Inter Invest Capital vient de céder sa participation dans Contextor, éditeur de logiciels de Robotic Process Automation (RPA), dans le cadre du rachat par SAP.
Casino a annoncé ce lundi son entrée au capital de Lyf Pay à hauteur de 5% pour un montant non divulgué. Cette opération entraîne une dilution paritaire chez les actionnaires majoritaires BNP Paribas et Crédit Mutuel qui se retrouvent avec près de 42% du capital chacun. Auchan et sa banque Oney possèdent 5% du capital tandis que Total et Mastercard se partagent le reste.
L’assureur chinois Ping An vient mener un tour de table au profit de l’incubateur allemand de fintech FinLeap, créé en 2014. Ping An a apporté 40 des 41,5 millions d’euros levés par la société. Si la valorisation de FinLeap n’est pas divulguée, elle tournerait autour de 300 millions d’euros, selon des sources citées par Bloomberg.
La Commission de la concurrence suisse a annoncé ce jeudi l’ouverture d’une enquête sur plusieurs établissements financiers du pays, dont Credit Suisse et UBS, concernant des soupçons de boycott des solutions de paiement mobile de groupes internationaux comme Apple Pay et Samsung Pay. Elle doit permettre de déterminer si plusieurs banques suisses se sont entendues pour ne pas soutenir les solutions de paiement mobile proposées par des groupes étrangers afin de privilégier la solution suisse Twint. L’enquête concerne aussi Aduno Holding, PostFinance et Swisscard AECS, a indiqué le régulateur. Credit Suisse s’est dit surpris par cette enquête, étant convaincu que ces allégations s’avéreraient infondées. «Nous offrons déjà aux consommateurs suisses un accès à Apple Pay et à Samsung Pay par l’intermédiaire de notre filiale Swisscard, dont Credit Suisse détient 50%», a indiqué le groupe. La banque a ajouté qu’elle était en discussions avec Apple, Samsung et Google depuis plusieurs mois concernant la possibilité de proposer leurs solutions de paiement aux clients.
Dans le cadre de sa participation aux Coupoles Distrib Invest 2018, Leonard de Tilly, fondateur de la fintech Fundshop, détaille pour la rédaction les différents services dématérialisés proposées par sa société et la manière dont ils s'inscrivent dans la stratégie digitale de ses clients. Des services désormais orientés vers la conformité aux nouvelles réglementations, qui ont constitué une vrai opportunité de développement pour Fundshop.
Une concertation au sein du Conseil consultatif du commerce a permis d’aboutir à une position commune aux banques et aux commerçants sur les ventes en ligne.
La Banque d’Angleterre (BoE) se lance dans un nouvel exercice de démocratie participative. Après avoir demandé aux Britanniques de choisir le visage des prochains billets de 50 livres sterling, Mark Carney, son gouverneur, leur propose de partager leur vision de l’avenir de l’argent et des moyens de paiement. Le challenge Cash versus cashless est ouvert : il s’agit pour les Anglais qui paient habituellement par carte de passer une semaine en utilisant exclusivement les espèces, et pour ceux qui préfèrent généralement le cash de tout payer par carte ou par paiement électronique pendant une semaine également, puis de donner leurs impressions sur la plate-forme www.bankofenglandfutureforum.co.uk. Les participants pourront même «chatter» en direct avec les dirigeants de l’institution.
Une étude de l’AMF montre une augmentation du nombre et des montants des projets d'ICO françaises, qui bénéficieront d’un cadre légal et fiscal incitatif.
Wirecard a enregistré au troisième trimestre un bénéfice en hausse de 51% à 97 millions d’euros. Sur neuf mois, le résultat net est en croissance de 48,5% à 250,2 millions d’euros. Le groupe allemand vise pour l’exercice fiscal annuel un bénéfice avant Ebitda compris entre 550 et 570 millions d’euros, soutenu par l’essor du commerce électronique et des paiements numériques. Mais la fintech allemande souffre en Bourse en raison d’inquiétudes sur sa génération de trésorerie. L’action à la Bourse de Francfort clôturait en recul de 5,03% à 149,10 euros, plus forte baisse de l’indice Dax (-0,35%) et l’un des plus forts replis du Stoxx 600 (-0,41%). Adyen, spécialiste néerlandais du traitement des paiements pour des géants du web comme Netflix, Facebook ou eBay, chutait lui aussi, de 9,88%, à 533,80 euros.
Bruno, le chatbot directement intégré à Messenger, offre désormais à ses utilisateurs la possibilité de placer leurs économies sur un livret d’épargne rémunéré à 1%.
Lancé en 2016, Nalo est un robo-advisor proposant une "customisation de masse" visant à le différencier de ses concurrents. La fintech réalise en ce moment sa première levée de fonds externes afin de poursuivre son développement. Elle vise notamment une clientèle fortunée et une offre de services haut-de-gamme.
À 37 ans, Guillaume Piard est aujourd’hui à la tête de Nalo, l’un des robo-advisors les plus en vue de la planète fintech. Accompagné d’Hugo Bompard, son associé et cofondateur, il dirige une équipe d’une dizaine de personnes et est en passe de boucler une levée de fonds qui permettra à la jeune société de poursuivre sa croissance. De son enfance à Chicago et Tokyo à sa vie parisienne, en passant par ses études à Londres, parcours d'un passionné de voile en quête de découverte.
La banque en ligne américaine Simple a recruté comme CEO David Hijirida. Le poste était vacant depuis le départ de son fondateur, Josh Reich, en mai. David Hijirida était en poste chez Amazon depuis 2007, où il travaillait sur le paiement. Initialement spécialisé en finances, il était notamment passé par FleetBoston. La banque est soutenue par le groupe espagnol BBVA, qui avait déboursé 117 millions de dollars pour l’acquérir en 2014. Simple a récemment lancé des plans d'épargne à 2,02% de taux d’intérêt.
Licorne. La plate-forme américaine d’échange de cryptomonnaies Coinbase a levé 300 millions d’euros auprès de Y Combinator Continuity, Wellington Management, Andreessen Horowitz et Polychain. Sa valorisation passe à plus de 8 milliards de dollars. Coinbase pourra ainsi financer son développement international. Elle compte également proposer de nouvelles cryptomonnaies et attirer davantage d’investisseurs institutionnels. La plate-forme devrait réaliser un chiffre d’affaires de 1,3 milliard de dollars cette année et un bénéfice de 456 millions. Au Royaume-Uni, la néobanque Monzo vient de lever 85 millions de livres (près de 96 millions d’euros) alors qu’elle a dépassé le million de client en trois ans seulement. Elle devient une licorne, dépassant le milliard de livres de valorisation, mais reste toutefois en perte de 33 millions de livres pour 1,8 million de livres de revenus.
La fintech canadienne lance une place de marché entre consommateurs et entreprises qu’elle labellise à impact positif et met à disposition ses « datas » auprès des sociétés de gestion.
C’est le nombre de banques qui se proposent de bâtir un pont entre Europe et Asie. Elles sont les membres de deux plates-formes basées sur la Blockchain et visant chacune rien de moins que de révolutionner le trade finance. Pour ce faire, we.trade et eTradeConnect ont décidé de connecter leurs réseaux, permettant à chaque banque de trouver une contrepartie sur l’autre continent. Les françaises Natixis et la Société Générale côté we.trade, et BNP Paribas côté eTradeConnect sont de la partie. Le lien sera concrétisé après validation d’un « proof of concept », d’ici à quelques mois.
Korelya Capital a mené un tour de table de 80 millions de dollars qui valorise à plus d'un milliard le spécialiste de la vente de matériel lié aux cryptomonnaies.