In his first interview since beginning as head of asset management at the Allianz group, Jay Ralph has announced that the future results of Allianz Global Investors (EUR300bn in assets for the group and external clients) and Pimco (EUR1.3trn) will be published separately, the Börsen-Zeitung reports. Previously, Allianz had published only operating profits for the asset management unit, only mentioning fixed income or equities, which did not allow for conclusions to be drawn about the individual performance of the two affiliates.
Quelles sont les nouvelles exigences des investisseurs institutionnels pour l'externalisation de leur gestion financière ? Comment fournir une solution à la fois performante, minimisant le risque et respectant les contraintes réglementaires ? C'est en réponse à ces interrogations que Russell propose une solution peu commune sur la place financière française : le fonds de mandats. Michael Sfez, le directeur général de la nouvelle société de gestion Russell Investments France, en développe la philosophie.
Jean Azéma, ancien directeur général de l’assureur mutualiste Groupama révoqué en octobre dernier, a quitté le groupe avec des indemnités d’environ 3 millions d’euros, selon le document de référence disponible lundi sur le site internet. Selon ce document, il a perçu 1,469 million au titre d’indemnités de rupture de contrat et le même montant au titre d’une indemnité de non concurrence. En 2011, sa rémunération fixe s’est établie à 893.333 euros et sa rémunération variable à 409.240 euros (au titre de 2010). Et il a reçu 142.239 euros d’avantages en nature (couverture prévoyance, soins médicaux, véhicule de fonction). Au total, Jean Azéma a reçu 4,383 millions d’euros en 2011, contre 1,544 million l’année précédente.
CP Research bases its rating on a detailed analysis of each fund after a RFP filled in by the company and a meeting with its research and management teams. The rating takes into account three basic criteria: The company’s means in terms of research and management: the team’s organization, experience and stability, its tools and external research ressources The investment process: degree to which SRI is integrated, financial selection of securities and portfolio construction, risk control Communication with investors: transparency of the management company and proactive attitude towards SRI
La fusion entre les caisses régionales Alpes Méditerranée et Sud pour donner naissance à Groupama Méditerranée n’est effective juridiquement que depuis le 1er janvier mais elle est entrée dans les faits dès octobre 2011 et les résultats, consolidés d’ores et déjà sur l’ensemble de l’année 2011, sont probants, s’est félicité Amaury Cornut-Chauvinc, président de Groupama Méditerranée, lors de l’assemblée générale qui s’est tenue le 28 avril 2012 à Aix en Provence. Cinquième des neuf caisses régionales de l’assureur, Groupama Méditerranée compte 1 800 salariés répartis sur 14 départements, 290 agences commerciales et 470 000 clients sociétaires. Elle a réalisé un chiffre d’affaires de 678 M€, en croissance de 4,5%. Le résultat s'élève à 14,8 M€, soit le plus haut niveau atteint par les deux caisses, souligne Alain Kahn, directeur général. « Ce résultat est encourageant compte tenu du contexte économique et financier mais aussi de l’année de construction de la nouvelle entreprise en 2011 », a ajouté le dirigeant. Il a été obtenu grâce à une amélioration de la sinistralité, notamment dans le secteur de l’automobile et en dépit des inondations dans le Var.
Les participations de l’Etat dans des entreprises cotées s'établissaient à 57,8 Millions d’Euros la semaine dernière, selon un pointage établi par le Ministère de l’Economie. Sur ce total, 43,4% provient des 84,44% détenus dans EDF et 26% des 36% possédés dans GDF SUEZ. Les autres participations conséquentes concernent EADS (14,96%), France Telecom (13,45%), Safran (30,20%), Aéroports de Paris (52,13%) et Thales (27,08%). L’Etat détient également en direct 15,88% du capital d’Air France KLM et 1,09% du capital de CNP Assurances. Les participations ultra-minoritaires résiduelles ne représentent pas plus d'1 ME de valorisation. Au 1er septembre dernier, la valorisation du portefeuille de participations cotées ressortait à 69 MdsE, et atteignait encore 88 MdsE au 1er septembre 2010 (la date du premier septembre est celle retenue chaque année pour le Rapport sur l’Etat Actionnaire, publié fin octobre).
Le Trésor italien a émis vendredi près de six milliards d’euros de dette souveraine, devant supporter des coûts de financement pour des obligations à cinq et 10 ans au plus haut depuis janvier. Cette opération intervient au lendemain du nouveau déclassement de l’Espagne par Standard & Poor’s, qui a ravivé les inquiétudes au sujet de la crise de la dette de la zone euro. Rome a placé 2,416 milliards de papier à échéance mai 2017 avec un rendement brut de 4,86%, contre 4,18% lors d’une opération similaire fin mars. Le Trésor a également émis 2,5 milliards d’euros d’obligations à échéance septembre 2022, avec un rendement brut de 5,84% contre 5,24% il y a un mois. En tout, le Trésor a dit avoir placé 5,946 milliards d’euros lors des opérations de ce vendredi, un montant dans le haut de la fourchette des prévisions de Rome, qui allait de 3,75 à 6,25 milliards.
Santander Asset Management vient de recruter Tiago Ventura Rego pour son équipe obligataire Amérique latine, révèle Citywire Global. Dans une interview au site Internet, le gérant indique qu’il va reprendre le fonds Santander AM Latin American Fixed Income. Tiago Ventura Rego était précédemment consultant chez Deloitte et trader pour compte propre de taux et changes chez Banco Espirito à Lisbonne.
A ce titre, il a également été nommé Directeur Général de la SGAM Macif. Il succède à Roger Iseli, qui occupait ces fonctions depuis juin 2006 et qui a fait valoir ses droits à la retraite. Cette nomination s’inscrit dans le cadre du plan de succession des dirigeants du Groupe annoncé en début d’année par le Président Gérard Andreck. Diplômé en Sciences Economiques et titulaire d’un MBA suivi à HEC, Jean-Marc Raby a mené toute sa carrière professionnelle au sein de la Macif. Il débute sa vie professionnelle dans la Mutuelle à l'âge de 25 ans dans le réseau commercial (Dijon). En 1992, il est nommé Responsable du Centre de Gestion à Moulins. En 1996, il rejoint la Région Ile de France en qualité de Directeur régional adjoint en charge de la maîtrise économique, poste qu’il occupera jusqu’en 2000, date à laquelle il devient Directeur Régional de Macif Centre. En juin 2006, Jean-Marc Raby est nommé Directeur Général Adjoint du groupe Macif, en charge du pilotage économique. En juin 2011, il est nommé au poste de Directeur Général Délégué du groupe Macif, nomination effective au 1er septembre 2011.
Siemens a abaissé ses prévisions de résultats annuels après avoir dû inscrire dans ses comptes une nouvelle charge importante imputable au retard pris par plusieurs projets d'énergie éolienne en mer. Cette annonce intervient au lendemain du limogeage du directeur de la division Power Transmission. Le groupe prévoit désormais pour l’ensemble de l’exercice 2011-2012, un bénéfice net de ses activités poursuivies compris entre 5,2 milliards et 5,4 milliards d’euros, soit 600 à 800 millions de moins qu’auparavant.
Jean-Paul Benoît, 50 ans, a été élu à la présidence de la Fédération des mutuelles de France. Il succède à Jean-Paul Panzani. Professeur des écoles de métier, le nouveau responsable de la fédération mutualiste, qui siègera en tant que vice-président de la FNMF, est également président de l’Union régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur de la Mutualité française. La Fédération des mutuelles de France revendique 160 groupements mutualistes adhérents protégeant 3 millions de personnes.
Les salariés continuent à marquer leur confiance dans l'épargne salariale : les montants épargnés sont en hausse de plus de 20% les PME continuent à s'équiper : plus de 260.000 entreprises offrent un dispositif d'épargne salariale (+17.000 entreprises, soit + 7 %) les encours se maintiennent à plus de 85 milliards d’euros malgré une conjoncture économique défavorable et la chute des marchés financiers, tandis que les fonds solidaires et les fonds ISR poursuivent leur progression Lire la suite en pièce jointe
Avec 6,5 milliards d’encours gérés par une petite équipe, la CAVP est le parfait exemple d’une stratégie financière axée sur une forte réactivité face aux marchés. Pour Alain Pestre, directeur des investissements, avec une telle configuration, la création d’une société de gestion interne, l’externalisation ou avoir des moyens humains plus importants impacteraient la prise de décision.
La société française de fonds de fonds alternatifs Olympia a annoncé lundi soir la signature d’un accord de fusion entre égaux (50/50) avec l’américaine Kenmar, spécialiste des stratégies systématiques."Ce rapprochement donnera naissance au Groupe Kenmar Olympia, qui gérera 3,3 milliards de dollars au travers d’une vaste gamme de produits et services de gestion d’actifs, dont une plateforme exclusive de comptes gérés CLariTy Managed Account & Analytics Platform», précise un communiqué de presse, sachant qu’Olympia gère actuellement 1,5 milliard de dollars et Kenmar 1,8 milliard. «En outre, le groupe offrira des fonds de fonds alternatifs multi-stratégies, axés sur les stratégies macro et thématiques ; des solutions dédiées bénéficiant d’une transparence totale et d’une liquidité attractive ; une activité de banque privée offrant des services de «family office» ainsi que des contrats d’assurance vie indexés sur des fonds de fonds traditionnels. Le Groupe Kenmar Olympia aura une forte présence internationale, avec des bureaux à Paris, New York, Londres, Genève, Zurich et Singapour», poursuit le communiqué, qui ne donne toutefois aucun détail financier concernant l’opération de rapprochement.Au sein de la nouvelle structure, Ken Shewer et Marc Goodman, co-fondateurs du Groupe Kenmar, seront nommés co-chairmen et global co-directeurs des investissements du Groupe Kenmar Olympia. Sergio Heuer, président directeur général du Groupe Olympia depuis mai 2011, deviendra quant à lui président directeur général du Groupe Kenmar Olympia.Côté investissements, l’équipe sera dirigée par Ken Shewer et Marc Goodman, co-directeurs des investissements chez Kenmar depuis la création du groupe en 1983.Cette transaction, que les deux parties espèrent clôturer en juillet 2012, intervient un an seulement après le bouclage de l’acquisition d’Olympia, fondée en 1989 par Marc Landeau, par la société de capital investissement Richmond Park Partners en avril 2011. L’opération, annoncée en février 2011, faisait suite à la volonté de l’ancien actionnaire, Sagard Private Equity Partners, de se désengager de la société de gestion alternative française qui avait géré jusqu’à 6 milliards de dollars avant la crise de 2008.
« Aux côtés du Pr Pierre Teillac, directeur de l’Ensemble Hospitalier, et du Pr Daniel Louvard, directeur du Centre de Recherche, Dominique Grimond sera en charge de la définition et du développement de la stratégie institutionnelle. Il sera également amené à coordonner des projets transversaux au bénéfice de nos missions : la recherche, les soins et l’enseignement » souligne le Pr Claude Huriet, président de l’Institut Curie. Dans le cadre de sa fonction, Dominique Grimond a pour missions principales : d’assister le Pr Huriet par son soutien permanent dans l’exercice de son rôle ; de coordonner et stimuler la dynamique de l’Institut Curie en contribuant à la cohérence globale du « modèle Curie » c’est-à-dire la continuité entre la recherche fondamentale et les soins innovants ; de diriger et animer les Services Institutionnels. Les services institutionnels regroupent la Direction de la gestion financière, le Département de la communication, la Direction des brevets et des partenariats industriels, la Direction du développement des ressources, le Service des legs, la Direction juridique, le Musée Curie, la chargée de mission « pilotage stratégique ». « Après de nombreuses années passées dans le domaine de l’industrie et du service, je suis fier de mettre mon expérience au service de l’Institut Curie, une institution de référence dans la lutte contre le cancer dont je partage les valeurs », conclut Dominique Grimond.
Les mises en Bourse de sociétés de private equity se poursuivent : Oaktree depuis le 11 avril, prochainement Carlyle, ceci après les mises en Bourse (très décevantes) de Blackstone, Fortress et Apollo. Étonnant, de la part de gérants clamant la supériorité d'un modèle dit précisément de « capital privé », non coté en Bourse.
Amundi Asset Management, which is one of the major providers of guaranteed funds in Europe, with EUR35bn in assets, is planning to step up its presence in this area outside France, says Yves Perrier, CEO, in an interview with Financial Times Fund Management. Amundi has a total of EUR659bn in assets under management as of the end of 2011. EUR265bn of its assets are related to the insurance activities of its parent company, while the rest is invested by over 100 million clients.
Les Echos rapporte qu’Axa France devrait bientôt faire son apparition sur le marché du prêt aux entreprises. Actuellement en phase de test opérationnel avec deux banques françaises, avant de passer la vitesse supérieure au deuxième semestre, l'établissement devrait tout d’abord se tourner vers les grosses entreprises françaises non cotées. Sans pour autant se transformer en banque ni se substituer aux banques, l'établissement s’adapte aux normes prudentielles de Solvabilité II, les assureurs étant poussés à investir de plus en plus sous forme d’obligations. L’assureur sera évidemment très regardant sur les fonds propres à mettre en face des crédits accordés qui ne devraient pas dépasser cinq ans en moyenne, sept ans pour les très bonnes signatures étant un maximum selon Odette Cesari, la directrice des investissements d’Axa France.
Le Club Finance de l’ORSE a initié avec ses membres une réflexion collective associant des représentants des directions de développement durable et des directions des risques pour déterminer dans quelle mesure les risques ESG pouvaient aider à une meilleure compréhension des risques opérationnels. Le groupe de travail a procédé à un rapprochement entre le référentiel Bâle II pour les risques opérationnels et l’ISO 26000 (et sa déclinaison sous forme d’indicateurs répertoriés par le GRI et l’EFFAS) pour les risques ESG. Ce travail a débouché sur la rédaction d’un guide pratique montrant les interactions entre ces deux catégories de risques, les points de recouvrement, ou au contraire les écarts.
Une étude réalisée par le gestionnaire d’actifs Russell Investments fait état d’une progression de la délégation dans la prise de décisions au sein du secteur. Cette tendance reflète le besoin de fonctions plus spécialisées et d'éventails de compétences additionnelles en vue d’une gestion de portefeuilles dynamique. L'étude souligne l’emploi du temps chargé des administrateurs et la nécessité d’accroître la « dimension fiduciaire ». Allant au-delà d’une vision stratégique et de la sélection de gérants, la gouvernance englobe désormais en effet des aspects relatifs à la mise en ??uvre tels que l’exposition aux devises, la gestion de produits dérivés et la gestion overlay. Cette recherche laisse également percevoir des opportunités de développement de la délégation de la prise de décision en faveur de comités d’investissement et des niveaux d’exécution. Le temps consacré aux décisions en matière d’investissements est un autre aspect abordé. Les fonds de pension de plus grande taille (>500 millions de livres sterling) consacrent en moyenne 25,7 heures par an aux décisions d’investissement, tandis que cette durée est ramenée à 7,5 heures par an pour les fonds de plus petite taille (
« Aucun décision n’a été prise », a toutefois tenu à préciser Pierre Berger, en réponse à une question lors de l’assemblée générale des actionnaires d’Eiffage. Pour M. Berger cette éventuelle cession devrait s’effectuer en coordination avec Eiffage pour ne pas faire trop « baisser » le cours de Bourse du groupe de BTP et de concessions. « Si la vente intervenait dans les mois qui viennent, cela permettrait d’augmenter le flottant, ce qui est le voeu des investisseurs », a affirmé M. Berger. Groupama est le quatrième actionnaire du troisième groupe français de BTP derrière les salariés (26,8%), le Fonds stratégique d’investissement (20,6%) et Eiffaime (société des dirigeants et cadres, 8,3%). Lors de la présentation des résultats de Groupama, mi-mars, le directeur général, Thierry Martel, avait indiqué que l’assureur comptait réduire « de 30 à 40% son exposition aux actions, par des cessions et une poursuite de la politique de couverture adaptée aux fluctuations du marché ».
Le mandat de Joël Séché à la tête de la Saur n’est plus justifié au-delà de son échéance prévue le 27 mai, a estimé le 17 avril dans un communiqué le Fonds stratégique d’investissement (FSI), qui détient 38% du capital du numéro trois français du traitement de l’eau. Cette déclaration intervient alors que Séché Environnement, également présidé par Joël Séché, et qui possède un tiers du capital de la Saur, a déclaré en fin d’année dernière être déterminé à exercer une option d’achat auprès du FSI afin de prendre le contrôle de la société. «Le FSI constate aujourd’hui une situation de blocage complet entre le management de l’entreprise et son président. Chacun reconnaît que cette situation nuit gravement au développement de l’entreprise ", écrit le Fonds dans un communiqué. «M. Séché a été nommé président exécutif de la société en anticipation de l’exercice de l’option qui lui avait été accordée. Son mandat et la période d’exercice de l’option arrivent à échéance le 27 mai 2012. Au-delà de cette date, en l’absence d’exercice de l’option et de prise de contrôle de la société par M. Séché, son mandat de président n’est plus justifié», ajoute le FSI. «Par ailleurs, tout changement de contrôle de la Saur entraînerait une renégociation de sa dette bancaire, avec un risque fort de voir le coût de cette dette atteindre un niveau insupportable.» Le FSI ajoute que Joël Séché «souhaite aujourd’hui disposer de (la) majorité sans en payer le prix prévu dans le contrat qu’il avait signé». " L’argent public mis à la disposition du FSI sert au développement des entreprises, non à servir des intérêts particuliers», rappelle le FSI. µPour toutes ces raisons, «le projet de M. Séché n’est pas réalisable aujourd’hui», conclut le FSI.