En octobre, seul un hedge fund sur quatre a échappé à la tempête, notamment boursière, qui s’est abattue sur les marchés internationaux, rapporte le quotidien Les Echos. Le mois dernier, l’indice S&P 500 a cédé 6,6% et le Nasdaq des valeurs technologiques 9,2%. Un hedge fund positionné sur les titres de la technologie a mieux résisté que le Nasdaq avec une perte de 4,8% selon les indices « HFR », qui ramène leurs gains depuis le début de l’année à 6,2%. Le fonds technologie de Tiger Global Management, le hedge fund de Chase Coleman, un ancien protégé de Julian Robertson, a chuté de 9,4% le mois dernier. Il a notamment été pénalisé par ses investissements dans Facebook, Dropbox et Fitbit.La plupart des fonds investis sur les actions ont connu un octobre rouge, leur plus mauvais mois depuis près de trois ans. Ceux investis sur le secteur de l’énergie ont perdu 8% et les activistes 5,5%. Le fonds de Dan Loeb, Third Point, a abandonné près de 7%. Un hedge fund investi en actions a perdu en moyenne 4% le mois dernier en limitant les dégâts grâce aux couvertures ou positions vendeuses à découvert.Quelques rares fonds multistratégies diversifiés, comme Citadel, ont terminé le mois dans le vert avec un gain de près de 0,5 %. Les hedge funds investis sur les devises crypto ont cédé entre 10 % et 16 % en octobre selon « HFR ». Ils perdent autour de 60 % depuis le début de l’année.
La société de gestion italienne Anima a enregistré un bénéfice net en hausse de 24 % à 97 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2018 et étudie un rachat d’actions à hauteur de 10 % de son capital, rapporte Il Sole – 24 Ore. Par ailleurs, Antonio Colombi a démissionné de son poste d’administrateur et Vladimiro Ceci le remplacera. Ce dernier est Group Capital Manager de Poste Italiane.
La banque italienne Equita s’apprête à ouvrir sa société de gestion, rapporte Funds People Italia. Le conseil d’administration de l’établissement a en effet décidé d’approuver le lancement du projet de constitution d’une société de gestion, dont la réalisation, en 2019, permettra au groupe d’élargir ses services et ses activités au secteur de la gestion collective. La société se concentrera sur la gestion par délégation pour le compte de grands clients bancaires et sur le lancement de fonds alternatifs.
La société de gestion américaine Wellington Management a lancé une stratégie dédiée au changement climatique conforme au format Ucits, a appris Citywire Selector. Le Wellington Climate Strategy Fund investit partout dans le monde dans des sociétés directement impliquées dans le traitement des problèmes liés à la durabilité et des risques climatiques par le biais de leurs services, produits ou investissements. Le fonds peut ainsi couvrir des thèmes tels que l'économie bas carbone, l'électricité, l’efficacité énergétique, l’eau ou encore la gestion des ressources.Le fonds sera piloté par Alan Hsu, un analyste qui travaille depuis dix ans chez Wellington Management. Le gérant utilisera l’expertise de l'équipe de recherche ESG de Wellington ainsi que les travaux issus du partenariat annoncé récemment, avec l’institut de recherche indépendant sur le climat Woods Holes Research Center.
Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock vient de promouvoir Joe Parkin au poste de responsable d’iShares et de la gestion de fortune digitale au Royaume-Uni, selon le profil LinkedIn de l’intéressé. Ce dernier a officiellement pris ses nouvelles fonctions en septembre 2018. Dans ce cadre, il est responsable des ventes chez iShares au Royaume-Uni et responsable de la gestion de fortune digitale (« Digital Wealth ») au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques. A ce titre, il est responsable des activités ETF, indicielles et des solutions indicielles de BlackRock auprès des institutionnels, des gestionnaires de fortune et des clients « retail » au Royaume-Uni. Il est également chargé du développement de l’activité de gestion de fortune numérique auprès des clients d’Europe du Nord, peut-on lire sur son profil LinkedIn.Précédemment, Joe Parkin était responsable de la clientèle « retail » et des gestionnaires de fortune au Royaume-Uni, en Irlande et dans les îles anglo-normandes chez iShares, poste qu’il occupait depuis juillet 2015. Il a intégré BlackRock en avril 2012 en tant que « vice president » en charge des ventes en Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) et des comptes stratégiques, avant de devenir en 2013 « chief of staff » en charge des ventes d’iShares pour la région EMEA. Avant de rejoindre BlackRock, Joe Parkin a travaillé pendant plus de 5 ans chez Goldman Sachs, en charge notamment des ventes discrétionnaires au Royaume-Uni.
Martin Gilbert a défendu le besoin d’une direction duale pour Standard Life Aberdeen, malgré de nouvelles critiques de la part d’investisseurs, ajoutant que Keith Skeoch et lui-même démissionneront ensemble un jour, rapporte Financial News. Lors d’un événement à Londres, Martin Gilbert a déclaré qu’il pensait que le géant de l’investissement formé par la fusion entre Aberdeen Asset Management et Standard Life à l’été 2017 renouerait au final avec une structure dirigeante plus traditionnelle.
Legal & General Investment Management (LGIM) va lancer cette semaine six ETF sur le London Stock Exchange qui suivront les marchés actions au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en Europe, au Japon, en Asie-Pacifique hors Japon, rapporte le Financial Times fund management. La gamme comprendra aussi un fonds monde. La société espère se démarquer en excluant les entreprises controversées comme les fabricants d’armes et les producteurs de charbon. Elle exclura aussi les sociétés qui violent le principes du UN Global Compact. Le FTfm remarque que la société devra rattraper ses concurrents qui sont déjà sur le marché des ETF depuis 10 ans.
Aberdeen Standard Investments (ASI) a annoncé, vendredi 9 novembre, l'élargissement de son équipe d’investissement asiatique avec le recrutement de quatre gérants de portefeuille à Shanghai et Hong Kong, renforçant ainsi son expertise en obligations et actions chinoises. «La croissance de l’équipe d’investissement onshore de la société consolide son engagement à long terme sur le marché chinois, un axe stratégique de développement pour le groupe au sein de la région», précise la société dans un communiqué.Ainsi, Edmund Goh, gérant d’obligations asiatiques, a été transféré de Singapour à Shanghai. L’intéressé a rejoint l’équipe d’ASI en 2011, avec un focus particulier sur les titres souverains et le crédit chinois. Aaron Ni intègre l’équipe de Shanghai en tant que gérant, chargé de couvrir le crédit onshore en Chine. Il travaillait précédemment chez Ping An Asset Management, où il s'était spécialisé dans l’analyse crédit.Alec Jin a été nommé gérant au sein de l'équipe actions asiatiques. Basé à Hong Kong, il couvre les actions cotées en Chine et à Hong Kong. Il était précédemment director au sein de l'équipe de leverage finance chez Standard Chartered Bank. Stella Li est quant à elle basée à Shanghai, où elle occupe le poste de gérante actions chinoises. Auparavant analyste actions chez Macquarie Securities, elle approfondira chez ASI les recherches de l’équipe sur l’univers des actions chinoises. « Le marché onshore des obligations chinoises, d’une valeur de 12.000 milliards de dollars, est le troisième marché le plus important au monde. La demande pour les obligations chinoises ne fera qu’augmenter au fur et à mesure que le pays sera inclus dans des indices internationaux plus larges. Nous investissons sur le marché depuis 2011, via une analyse bottom-up approfondie et une différenciation des risques de crédit, piliers de notre stratégie. L’extension de notre présence physique en Chine est une étape importante. Nous avons hâte de fournir aux investisseurs basés partout dans le monde des recherches plus approfondies et des opportunités plus vastes en matière d’obligations onshore », indique Adam McCabe, responsable fixed income pour l’Asie chez Aberdeen Standard Investments.
La boutique londonienne Riverfield Partners a enregistré les fonds de sa Sicav luxembourgeoise pour commercialisation auprès des investisseurs suisses à partir d’ octobre, a appris NewsManagers. Quatre fonds sont proposés à la clientèle helvétique: Riverfield Equities (actions internationales long-only), Riverfield Real Assets (infrastructures et immobilier côté), Riverfield AllRounder (fonds long-only macro avec une allocation ETF systématique) et Riverfield Systematic Blend Euro.
La société d’investissement SwissOne Capital vient d’annoncer le lancement prochain de plusieurs «Crypto Asset Funds» en Suisse. Le premier produit en cours de développement est le fonds Smart Index Crypto, largement diversifié et contrôlé par un algorithme. Il est également prévu d’émettre un jeton d’équité pour une participation directe dans la société. Le Smart Index Crypto Funds de SwissOne Capital vise à permettre aux investisseurs traditionnels de pénétrer de manière structurée les nouveaux marchés des cryptomonnaies."La raison pour laquelle les investisseurs institutionnels n’ont pas été plus impliqués jusqu’à présent est moins liée avec les actifs crypto eux-mêmes qu’avec l’environnement dans lequel ils sont négociés. La gestion de cryptomonnaies présente de nombreux avantages, notamment dans la diversification d’un portefeuille. Il n’y a pratiquement aucune corrélation avec d’autres classes d’actifs et le potentiel de performance est très élevé. Mais les investisseurs professionnels veulent aussi une mise en œuvre professionnelle», déclare Hugo Van Veen, co-fondateur et CIO de SwissOne.
Le gestionnaire d’actifs suisse Swisscanto Invest vient de lancer une nouvelle gamme de fonds systématiques axée sur la thématique du développement durable, rapporte Citywire Selector. Dénommée Swisscanto (LU) Equity Funds Systematic Responsible, cette nouvelle gamme comprend cinq stratégies régionales couvrant la zone euro, les Etats-Unis, le Japon, le monde et les marchés émergents. Ces fonds utilisent les indices régionaux MSCI. La gamme est composée des fonds suivants : Swisscanto (LU) Equity Fund Systematic Responsible Global, Swisscanto (LU) Equity Fund Systematic Responsible USA, Swisscanto (LU) Equity Fund Systematic Responsible Eurozone, Swisscanto (LU) Equity Fund Systematic Responsible Japan et, enfin, Swisscanto (LU) Equity Fund Systematic Responsible Emerging Markets. Cette gamme est placée sous la responsabilité de Fabian Ackermann.
A la suite de l’intégration des activités de gestion de BSI, le gestionnaire d’actifs suisse EFG Asset Management (EFGAM) a décidé de changement la domiciliation du fonds New Capital MultiNippon Fund (anciennement BSI Multinippon Fund) en le transférant de la Suisse vers Dublin. Dans ce cadre, le fonds est également rebaptisé pour devenir New Capital Japan Equity Fund, lui permettant ainsi de bénéficier d’une distribution plus large, indique EFGAM dans un communiqué. Enfin, la société de gestion a décidé que le fonds New Capital Fund Lux – Japanese Stocks sera absorbé par le New Capital Japan Equity Fund, portant ainsi les actifs sous gestion de ce dernier à plus de 98 millions de dollars.Michele Malingamba assurait la gestion à fois du fonds BSI Multinippon depuis son lancement en 1998 et du New Capital Fund Lux – Japanese Stocks depuis son lancement en 2015. Le nouveau fonds New Capital Japan Equity est un produit « long-only » et de fortes convictions, avec 50 valeurs en portefeuille. Il se concentre sur les sociétés japonaises prometteuses. Le fonds est sans contrainte et cible toutes les capitalisations d’entreprises.
Gros temps sur les fonds aéronautiques allemands. Une vague de faillites menace le secteur, notamment tous les fonds qui ont investi dans l’Airbus 380, rapporte la chaîne de télévision privée allemande n-tv. Selon les informations disponibles concernant 73 fonds allemands, environ 60% d’entre eux sont dans une situation critique, estime Tobias Hartwig, spécialiste du droit des faillites. On peut par exemple observer des découverts dans les comptes qui ne sont pas couverts par des fonds propres. « Un signal d’alarme qui laisse prévoir un surendettement du fonds et qui constitue une bonne raison d’examiner au moins la possibilité d’un déclenchement d’une procédure de faillite », déclare le spécialiste du cabinet Schultze & Braun. Une des raisons à l’origine des problèmes de ces fonds est la concurrence exacerbée que se livrent les compagnies aériennes.
Amundi profite de l’engouement croissant des investisseurs allemands pour l’investissement responsable pour leur proposer cinq nouveaux ETF responsables, c’est-à-dire intégrant les exigences de l’investissement socialement responsable (ISR) et les critères ESG (environnement, social et gouvernance). Trois d’entre eux sont dédiés aux actions, les deux autres portant sur l’obligataire. Les trois ETF actions sont des versions responsables des indices MSCI World, MSCI USA et MSCI Europe. Toutes les entreprises ne respectant pas les critères durables ont été écartées de ces indices. Selon la presse spécialisée allemande, un ETF actions sur les pays émergents serait en préparation.Les deux ETF obligataires se basent sur des indices Bloomberg Barclays, composés d’obligations d’entreprises libellées en euro ou en dollar. Les critères durables là aussi sont mis à contribution pour éliminer les entreprises récalcitrantes.Les fonds concernés sont les suivants : - Amundi Index MSCI World SRI ETF (ISIN: LU1861134382): chargé 0,18% par an;- Amundi Index MSCI USA SRI ETF (LU1861136247), chargé 0,18% par an;- Amundi Index MSCI Europe SRI ETF (LU1861137484), chargé 0,18% par an;- Amundi Index US Corp SRI ETF (LU1806495575), chargé 0,16% par an;- Amundi Index Euro Agg Corporate SRI ETF (LU1437018168), chargé 0,16% par an.
Amundi a décidé de restructurer sa palette de fonds domiciliés au Luxembourg. «Nous allons fermer et fusionner des fonds, ce qui devrait ramener le nombre de fonds à moins de 100 contre 155 actuellement», a déclaré Christian Pellis, responsable mondial de la distribution chez Amundi, dans les colonnes du quotidien financier Handelsblatt. Une des raisons à l’origine de ce grand ménage serait la performance médiocre de nombreux fonds. Les dernières analyses de Scope et de Morningstar vont d’ailleurs dans ce sens. Selon Scope, même les fonds dédiés aux actions européennes n’affichent pas des performances satisfaisantes. Et les fonds diversifiés, sur cinq ans, se retrouvent derrière de nombreux produits concurrents. Et dans la dernière évaluation trimestrielle de Morningstar, Amundi ne figure plus dans le Top Ten des portefeuilles bénéficiant de quatre ou cinq étoiles.Selon Christian Pellis, la situation est due en partie à l’acquisition de Pioneer Investments l’an dernier, qui exigeait une refonte de l’offre. Le responsable souligne aussi le trop grand nombre de produits sur certaines stratégies. «Par exemple, il n’est pas nécessaire d’avoir une dizaine fonds européens, un bon produit suffit», a-t-il indiqué.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }IOSCOwill publish the results of its work on ETFs by Spring. At anappearance at the Efama Forum, held by the European fund associationin Brussels, Robert Taylor, chairman of the asset managementcommittee at the international regulator for securities commissions,offered a glimpse of the issues that are worrying the members of thegroup known as C5. “Basically, the concerns are not about ETFs ingeneral, but about the trading mechanism. The question is whether thetrading mechanism is solid enough to hold up to periods of highstress on the markets,” he says. “Will it work like we think itwill when it needs to function, and will investors get what theyexpect?”Oneof the major questions is about whether ETFs need to be treated likeshares on stock markets or as funds. “If it’s a security, and themarkets turn sour, investors will be prepared to accept the pricethey get on the market to liquidate their investments. But weregulate ETFs as UCITS funds, and there are underlying assets,”says Taylor. “In this setting, what happens if an ETF is suspended,but continues to be listed on a stock market?” he asks. “Theseare very hypothetical questions, but we are asking them to ensurethat the oils on the products will be well-oiled,” Taylor explains.He estimates that ETF sector issuers do not expect investors to comeafter them if they lose money. Taylor also raises questions about the“cosy” relationship that ETF issuers plan to maintain with“authorised participants,” which, he says, is not mutual.Inthe passive management sector, Taylor says that IOSCO will soon bestudying indices. “There are concerns about the rise of indices.The question is whether the sector is adequately supervised.”Nextweek, IOSCO will also release a consultation report on leverage. Theobjective is to identify the amount of leverage in the system, andthe places where risk for the asset management sector is located.
Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock vient de promouvoir Joe Parkin au poste de responsable d’iShares et de la gestion de fortune digitale au Royaume-Uni, selon le profil LinkedIn de l’intéressé. Ce dernier a officiellement pris ses nouvelles fonctions en septembre 2018. Dans ce cadre, il est responsable des ventes chez iShares au Royaume-Uni et responsable de la gestion de fortune digitale (« Digital Wealth ») au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques. A ce titre, il est responsable des activités ETF, indicielles et des solutions indicielles de BlackRock auprès des institutionnels, des gestionnaires de fortune et des clients « retail » au Royaume-Uni. Il est également chargé du développement de l’activité de gestion de fortune numérique auprès des clients d’Europe du Nord, peut-on lire sur son profil LinkedIn.Précédemment, Joe Parkin était responsable de la clientèle « retail » et des gestionnaires de fortune au Royaume-Uni, en Irlande et dans les îles anglo-normandes chez iShares, poste qu’il occupait depuis juillet 2015. Il a intégré BlackRock en avril 2012 en tant que « vice president » en charge des ventes en Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) et des comptes stratégiques, avant de devenir en 2013 « chief of staff » en charge des ventes d’iShares pour la région EMEA. Avant de rejoindre BlackRock, Joe Parkin a travaillé pendant plus de 5 ans chez Goldman Sachs, en charge notamment des ventes discrétionnaires au Royaume-Uni.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }TheChinese economic newspaper China Securities Daily last week reportedthat 330 investment funds domiciled in China had been liquidatedsince the start of 2018. This figure is twice as high as the periodfrom 2014 to 2017 (155 fund liquidations), the newspaper reports.Since March 2018, more than 30 funds have initiated a liquidationprocess each month, China Securities Daily reports, with a peak of 48funds liquidated in August.
Mid-term elections in the United States haven’t dampened the momentum of Donald Trump, who declared victory on the evening of 6 November, and saw no reasons to alter his policies. As a result, investors’ appetite for risk has made a timid recovery. In the week to 7 November, funds dedicated to equities posted net inflows of USD3.6bn, but this went largely to ETFs, with USD7.5bn, while open funds saw outflows of USD4bn, according to weekly statistics from Bank of America Merrill Lynch Global Research.Funds specialised in US equities finished the week in negative territory, but outflows were very modest, at USD0.9bn, according to the study, based on data from the global flow evolution monitoring specialist EPFR Global. However, for other global regions, the trends of the past few weeks remain present. Funds dedicated to Japanese equities have posted a fifth consecutive week of positive net inflows, totalling USD2.4bn, while funds dedicated to emerging market equities show net inflows of USD3.9bn, the highest since February 2018.However, Europe, facing a slowdown of activities in the midst of Brexit and controversy between Italy and Brussels, retains its lame duck status, as funds dedicated to equities in the region have seen net redemptions of USD2.4bn, while funds dedicated to emerging market equities have seen net inflows of USD3.9bn, the highest since February 2018.In bonds, the week ended with net inflows of USD5.5bn, the first inflows in seven weeks. Funds dedicated to investment grade (IG) bonds attracted USD3.2bn, for their first positive inflows since May. Funds specialised in high yield bonds saw net inflows of USD0.7bn, while emerging market debt funds saw limited redemptions of USD0.7bn.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }SwissLife Asset Managers on Friday, 9 November appointed Mathilde Lacoste,fixed income and credit portfolio manager at Swiss Life AM, as headof investment grade third party asset management (TPAM) in France.Lacoste,who holds a Master’s degree in market finance from NeomaBusiness School – Rouen, joined Swiss Life Asset Managers in 2009,where she served as assistant portfolio manager, and then asportfolio manager on the fixed income and credit team. Lacost managesthe Cash Euro, Short Term Euro, Money Market Euro, Bond CashEquivalent and Bond Floating Rates funds.
LibreMax Capital, an asset management firm specializing in structured credit, today announced that an affiliate has entered into a definitive agreement to acquire Trimaran Advisors, LLC, a U.S.-based investment manager with expertise in managing collateralized loan obligations (“CLOs”), and certain affiliated companies (“Trimaran”), from KCAP Financial.Trimaran currently manages six CLOs with approximately USD3 billion of assets under management. Following the close of the transaction, Trimaran’s Chief Investment Officer and head of its CLO platform, Dominick Mazzitelli, will continue to lead the business, supported by the existing management team.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }ExaneAsset Management (Exane AM) will adopt the official role of assetmanagement company for the Luxembourg Sicav funds Exane Funds 1 andExane Funds 2, replacing Exane Asset Management Luxembourg from 1December. Although Exane AM had already been managing these funds inpractice, it had previously been acting only as an outsourcedmanager, as Exane AM Luxembourg was considered the official assetmanagement firm. In a letter sent to investors in October, the firmexplains that Exane AM Luxembourg has since 4 September 2018 beenoperating under the free provision of services regime in Luxembourg.“This appointment is made with a view to optimising theorganisation and of improving its operational efficiency,” ExaneAsset Management says. No changes will be made to the effectivemanagement of the sub-funds of the Sicav funds.
Societe Generale announces the sale of a 2.05% stake in Euroclear to Société Fédérale de Participations et d’Investissement (SFPI). After the sale of this stake, Societe Generale remains a significant minority shareholder of Euroclear, said a press release.This disposal is the consequence of the mechanical increase of the Group holding induced by the successive share buy-backs implemented by Euroclear over the past years.All the authorizations required for the closing of the transaction have already been obtained.The revaluation of Euroclear securities having been initiated in the 3rd quarter, the positive impact of this sale on the Group’s Core Equity Tier One will be limited.
The European Securities and Markets Authority (ESMA) has published a call for evidence on periodic auctions for equity instruments. Following the introduction of MiFID II/MiFIR on 3 January, a new type of periodic auction trading system for equity instruments consisting of auctions of a very short duration during the trading day triggered by market participants has been rapidly gaining market share - frequent batch auctions. ESMA, following the first suspensions under the double volume cap (DVC ) mechanism , has been approached by stakeholders raising concerns that frequent batch auctions may be used to circumvent the DVC . This call for evidence aims to gather relevant information to inform ESMA in developing its understanding of frequent batch auction trading systems, to assess whether and to which extent these systems can be used to circumvent the MiFID II transparency requirements and, should this be the case, to develop appropriate policy measures. Steven Maijoor, Chair, said: “MiFID II aims to increase transparency of equity markets and foster competition between different type of market participants on a level - playing field. In order to deliver on this objective it introduces various provisions. “In noting both the growth in market share of frequent batch auctions and stakeholders’ concerns, this call for evidence will allow ESMA to gather more information on the functioning of frequent batch auction trading systems. Using this evidence, we will assess whether they can be used to circumvent the DVC and other pre - trade transparency requirements under MiFID II. “If ESMA comes to the conclusion that frequent batch auction sys t ems violate the spirit and the rules of MiFID II, we will develop appropriate policy responses” Currently, trading under frequent batch auctions and under the waivers subject to the DVC only constitutes a small part of total trading volume. Nevertheless, ESMA has observed a rapid rise of frequent batch auction trading and a decrease in trading under the waivers subject to the DVC following the application of MiFID II and in particular since the first DVC suspensions in March 2018. Furthermore, since the end of the first suspensions under the DVC, trading under the waivers subject to the DVC has increased, whereas trading on frequent batch auction systems has decreased. ESMA has observed that the trend for frequent batch auction trading seems to be in a large extent driven by instruments that have been suspended under the DVC. ESMA is aware that the success of frequent batch auctions may also be driven by other factors, for instance, stakeholders trying to reduce the impact of factors such as speed and latency. Moreover, the growth in frequent batch auctions may also be partly attributable to activity that had previously been OTC prior to MiFID II entering into force.
Le gestionnaire d’actifs et banque privée Edmond de Rothschild a annoncé lundi plusieurs nominations et une nouvelle organisation. Le groupe nomme ainsi deux directeur généraux délégués (deputy CEO) rattachés à Vincent Taupin, global CEO Asset Management et président du directoire d’Edmond de Rothschild France. Arrivé le 1er novembre en provenance de Pictet Wealth Management, Christophe Caspar sera le deputy CEO de l’asset management, en charge des gestions. Il sera basé à Genève et devra notamment «favoriser la convergence entre l’asset management et la banque privée». Quant à Gad Amar, il est promu deputy CEO de l’asset management, en charge des activités commerciales, et aura désormais en charge le développement des partenariats exclusifs à l’international.
Comment sont mises en oeuvre les stratégies factorielles? L'édition 2018 de l'étude d’Invesco a exploré les préférences des investisseurs dans ce domaine et conclut que «pour les stratégies Smart bêta, les fonds indiciels cotés (ETF), sont clairement le véhicule préféré des investisseurs factoriels (51%), suivis loin derrière par les mandats (23%) et les autres types de véhicules d’investissement en pool (6%)».
LibreMax Capital, un fonds américain créé par Greg Lippmann, a annoncé vendredi le rachat de son copatriote Trimaran Advisors. Ce dernier gère 6 fonds de crédit CLO (collateralized loan obligations) d’un montant total de 3 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros). Greg Lippmann est l’un des héros du livre de Michael Lewis, The Big Short, car il avait parié avec succès sur l'éclatement de la bulle des crédits immobiliers subprime à l'époque où il était trader chez Deutsche Bank.
Bjorn Wahlroos, président du conseil de Nordea, a indiqué vendredi dans un entretien à Bloomberg que la première banque nordique entendait bien garder le contrôle de ses activités de gestion d’actifs et de banque privée, qui constituent «un gros avantage». Il y a deux ans et demi, s’interrogeant sur la taille critique à avoir dans cette activité, le groupe avait engagé «un court processus» pour réfléchir à une éventuelle cession d’une partie de son asset management dans le cadre de la création d’une société commune. Nordea affichait 312 milliards d’euros d’encours gérés à fin septembre.
Quelque 70 dirigeants dont Vladimir Poutine, Donald Trump et Angela Merkel ont célébré hier à Paris le retour, en 1918, d’une paix menacée selon Emmanuel Macron par un retour des nationalismes, dans un contexte de tensions diplomatiques alimentées par une série de décisions unilatérales de Donald Trump et une montée des nationalismes en Europe. Lors d’une cérémonie samedi à la clairière de l’armistice près de Compiègne (Oise), il a réaffirmé avec la chancelière allemande Angela Merkel «la réconciliation franco-allemande au service de l’Europe et de la paix». Le président américain a rencontré hier Vladimir Poutine hier, en marge des commémorations.