La société de gestion suédoise Öhman Fonder lance un fonds sur les petites capitalisations mondiales, Öhman Global Småbolag Hållbar. Le fonds est géré selon les mêmes principes et par la même équipe de gestion que le fonds Öhman Global Sustainable, à la différence près que seules les entreprises dont la capitalisation est inférieure à cinq milliards de dollars sont éligibles. Le fonds sera géré par Ylwa Häggström. Il sera investi à la fois dans les marchés développés et les marchés émergents et sera exposé à plusieurs secteurs. Les mêmes critères de durabilité que les autres fonds d’Öhman seront appliqués.
La société de gestion Vega Investment Managers a annoncé ce 11 décembre un partenariat stratégique avec la start-up canadienne Impak Finance, spécialisée en notation d’impact. Grâce à ce partenariat, VegaInvestment Managers consolide sa démarche d’Investissement Socialement Responsable (ISR) qui a pris son essor en 2018, lors du lancement du « Club ESG » et du fonds VegaDurable, l’un des premiers fonds de fonds ESG/ISR. Le marché de l’investissement à impact, estimé à 455 milliards d’euros en 2018, attire un nombre croissant d’investisseurs soucieux de mettre leurs capitaux au service de changements sociétaux. « Nous sommes à l’écoute de nos investisseurs. Ce partenariat préserve notre philosophie d’investissement «Valeurs de Croissance», ADN de notre société, tout en répondant à une demande grandissante en faveur d’une mesure tangible et transparente de l’impact, qui va au-delà de la seule intégration des critères ESG dans notre process de gestion », a commenté Marc Riez, directeur général de VegaInvestment Managers, cité dans un communiqué. La société de gestion compte investir dans les entreprises qui génèrent intentionnellement un impact social et environnemental positif et mesurable tout en minimisant les impacts négatifs de leurs activités. Dans ce cadre, Vega Investment Managers s’appuiera sur Impak Finance et son outil propriétaire de scoring et reporting d’impact, Impak IS, qui évalue et suit l’impact global au travers d’indicateurs de mesure d’impact qui se veulent comparables et simplifiés.
Credit Suisse doit se résoudre à réduire son objectif de rentabilité pour l’année prochaine, avec un rendement des fonds propres (RoTE) de 10%, contre 11-12% auparavant, a indiqué le groupe ce 11 décembre en préambule à une journée investisseurs à Londres. La grande banque confirme la cible à moyen terme de «plus de 12%». Pour l’exercice en cours, cet indicateur est attendu à 8%. La rentabilité sera fortement dépendante de la santé des marchés financiers en 2020, selon le groupe bancaire helvétique. Les actionnaires ne devraient pas être affectés. Credit Suisse s’engage à maintenir le niveau de redistribution de capital, notamment par le versement d’un dividende qui représentera au moins 50% du bénéfice net et qui devrait croître de 5% par an. Les rachats d’actions vont se poursuivre comme prévu, à hauteur de 1,5 milliard de francs maximum en 2020. Le géant suisse garantit l’acquisition de titres pour au moins 1 milliard l’année prochaine. Le groupe suisse a également fait un point sur le développement de ses activités. Dans l’univers stratégique de la gestion de fortune, la division International Wealth Management (IWM) devrait évoluer de manière stable, ce qui permettra une «amélioration significative» du RoTE. La division Apac, qui regroupe les activités de gestion de fortune en Asie-Pacifique, affichera au dernier trimestre une bien meilleure performance en comparaison annuelle. En termes d’investissements, le groupe bancaire a décidé de ne plus financer de quelque manière que ce soit les nouvelles centrales à charbon, un changement de politique qualifié d’"important».
Mirela Agache Durand rejoint le Groupe Groupama pour être proposée au conseil de Groupama Asset Management pour le poste de directeur général, annonce un communiqué diffusé le 10 décembre. Elle doit succéder à Philippe Setbon, dont le départ, révélé par Newsmanagers, a été annoncé en octobre - il va prendre la direction générale d’Ostrum Asset Management. Elle était jusqu'à présent directrice générale de Tocqueville Finance.
A fin 2018, 26 sociétés de gestion françaises « une insuffisance en fonds propres au regards des exigences réglementaires applicables, soit quatre de plus qu’en 2017», annonce ce mercredi l’Autorité des marchés financiers (AMF).
Claudio de Sanctis, à la tête des activités de banque privée de Deutsche Bank (215 milliards d’euros)depuis moins d’un an, veut développer la force de frappe de banque privée du groupe allemand. Il veut notamment lancer une nouvelle offre de produits de gestion discrétionnaires, rapporte le site spécialisé finews. Transfuge de Credit Suisse, il entend aussi entrer en concurrence frontale avec des concurrents comme UBS et Credit Suisse en abaissant ses prix, défiant ainsi des acteurs dont le modèle d’affaires est basé sur une tarification beaucoup plus élevée et qui sont en outre confrontés à une réduction à long terme des marges et des volumes. Claudio de Sanctis indique par ailleurs que la banque privée a réussi à enrayer les sorties de l’an dernier et que depuis le début de l’année, elle affiche des entrées nettes de 9 milliards d’euros. Une évolution liée au recrutement de 90 nouveaux banquiers privés à fin septembre. Des recrutements aux prix du marché, insiste le responsable, qui veut ainsi démentir des informations selon lesquelles le groupe allemand aurait surpayé certains recrutements. En Asie, Claudio de Sanctis envisage de réduire les coûts d’environ 100 millions d’euros. Cela dit, les statistiques de Deutsche Bank en matière de banque privée sont plutôt encourageantes: plus de la moitié de la clientèle a plus de 50 millions d’euros d’actifs. Un tiers des revenus provient de nouveaux marchés comme l’Asie, le Moyen-Orient et l’Amérique latine. Deutsche Bank reste malgré tout très dépendant du marché allemand qui représente environ 40% de ses actifs. Un pourcentage peu reluisant mais qui s’explique par les errements stratégiques du groupe qui a décidé l’an dernier d’intégrer le marché allemand de la banque privée dans son entité européenne et qui, il y a quelques jours, a finalement décidé de faire machine arrière.
iM Global Partner vient de recruter Peter Stockall pour diriger les ventes en Amérique latine et sur le US offshore à Miami. L’intéressé était précédemment responsable des ventes de la gamme de fonds Carmignac aux Etats-Unis. Peter Stockall sera rattaché à Jose Castellano, CEO adjoint et responsable du développement international d’iM Global Partner. iM Global Partner détient des participations minoritaires dans cinq sociétés. Ses encours, au pro rata de ses participations, représentent 11,1 milliards de dollars. La société compte par ailleurs à son actionnariat Eurazeo, Amundi et Dassault/La Maison.
HSBC Private Bank Suisse est parvenue à trouver un accord avec le Département américain de la justice (DoJ) dans l'épineux dossier concernant sa clientèle aux Etats-Unis. Le règlement du conflit coûtera 192,35 millions de dollars, a indiqué la banquedans un communiqué. «Nous sommes soulagés de résoudre ce problème hérité du passé», s’est réjoui le directeur général de HSBC Private Bank Suisse, Alex Classen, cité dans le communiqué. L’accord solde le litige fiscal entre 2000 et 2010. Le montant de l’amende a été entièrement provisionné, précise la banque. La filiale suisse de la banque britannique en charge de la gestion des actifs de clients fortunés a reconnu avoir détenu pour le compte de clients, entre 2000 et 2010, des avoirs non déclarés au fisc américain d’une valeur de 1,26 milliard de dollars, a pour sa part indiqué le DoJ. Pour aider ses clients "à commettre une fraude fiscale», la banque est accusée d’avoir monté des stratagèmes «frauduleux» et présenté des documents «falsifiés» au fisc américain (IRS), peut-on encore lire dans un communiqué du ministère. «En 2002, la banque avait des relations d’affaires non déclarées au fisc avec environ 720 clients américains, dont les actifs valaient plus de 800 millions de dollars», précisele DoJ, ajoutant que la valeur des actifs de clients américains non déclarés par HSBC a atteint un plus haut en 2007. Outre l’amende de près de 200 millions, HSBC s’est engagée à fournir aux autorités américaines des informations sur des comptes clôturés auprès d’elle entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2017. L'établissement sera mis à l'épreuve pendant trois ans pour prouver sa bonne foi.
La banque privée de HSBC vient de recruter Gavin Rankin au poste de directeur des services d’investissement et des solutions produits pour l’EMEA (Europe, Middle East, Africa). Basé à Londres, il sera chargé de la gestion des équipes de stratégistes, de conseillers en investissement, de gérants discrétionnaires, des traders, et des services de gouvernance familiale. L’intéressé arrive de Citi Private Bank, où il fut successivement directeur du conseil en investissement (2010-2012), puis directeur des investissements pour l’EMEA (2012-2019). Il a également travaillé chez UBS Wealth Management, Fortis Bank, et passa six ans chez Goldman Sachs entre 1996 et 2002.
La Banque Postale Asset Management (LBPAM) et Tocqueville Finance ont annoncé dans un communiqué commun que Vincent Cornet sera proposé comme directeur général de Tocqueville Finance au conseil d’administration de Tocqueville Finance. Il remplace Mirela Agache, directeur général de Tocqueville Finance et directeur général de La Banque Postale Asset Management, qui souhaite «donner une nouvelle orientation à sa carrière», précise le communiqué. Vincent Cornet, membre du directoire de LBPAM, conservera ses fonctions de directeur de la gestion pour l’ensemble des gestions de la société.
Alors que la Place de Paris s’interroge sur l’encadrement potentiel de l’activisme actionnarial, le dernier rapport Proxinvest sur les assemblées générales montre qu’en réalité les assemblées générales des sociétés françaises restent très contrôlées.
Mediobanca Private Banking a levé 250 millions de dollars auprès d’investisseurs institutionnels et privés pour ses fonds Mediobanca Private Markets Fund I et II, rapporte Bluerating. Le fonds Private Markets II, né de la collaboration avec Russell Investments, se focalise sur le private equity, la dette privée, les actifs réels et le venture capital en Amérique du Nord et en Europe du Nord.
Le géant américain de la gestion obligatairePimco a annoncé, le 10 décembre, le lancement du fonds Pimco Climate Bond, qui constitue son premier fonds dont les investissements sont dédiés à la lutte contre le changement climatique. Ce fonds investira dans des obligations vertes labellisées et non labellisées ainsi que dans des obligations dont les émetteurs font preuve d’une approche innovante sur les questions de la durabilité environnementale. Le portefeuille sera diversifié et multi-sectoriel avec un focus sur les entreprises qui apportent des solutions au changement climatique tandis que les gérants chercheront à réduire l’exposition du fonds au risque climat. Le fonds sera géré parScott Mather, managing director et CIO des stratégiesUScore chez Pimco aux côtés deJelle Brons,Ketish Pothalingam etSamuel Mary, gérants et vice-présidents exécutifs. Scott Mather a déclaré à propos du lancement du fonds Climate Bond que l’univers des obligations vertes, évalué à 600 milliards de dollars, était la sourced’opportunités d’investissement attractives.
L’activité gestion privée de Lazard Frères Gestion a collecté 1 milliard d’euros depuis le début de l’année, annonce un communiqué diffusé mardi 10 décembre. En net, la collecte ressort à 600 millions d’euros, précise une porte-parole, contactée par NewsManagers. Ses encours ressortent à 12 milliards d’euros au 30 septembre. «En 10 ans, la collecte n’a fait que s’amplifier et les encours ont presque triplé», commente François de Saint-Pierre, associé-gérant, responsable de la gestion privée chez Lazard Frères Gestion. Pour soutenir cette activité, Lazard Frères Gestion a recruté plusieurs collaborateurs depuis le début de l’année. A Paris, la société de gestion a embauché deux anciens de Pictet Wealth Management en avril 2019. Paul Puech a rejoint l’équipe des banquiers privés sous la responsabilité de Sophie de Nadaillac, managing director de Lazard. L’intéressé était précédemment banquier privé chez Pictet Wealth Management (4 ans), après avoir travaillé pour Edmond de Rothschild (13 ans), Banque Transatlantique (3 ans) et HSBC (10 ans). Cyrille Maîtrehenry a quant à lui intégré l’équipe d’ingénierie patrimoniale de Lazard, sous la responsabilité de Stéphane Jacquin, managing director. Il était précédemment ingénieur patrimonial chez Pictet Wealth Management (4 ans), Edmond de Rothschild (8 ans) et Unofi (5 ans). Par ailleurs, Lazard a recruté Maxime Lauthrey en octobre 2019 dans l’équipe des banquiers privés à Paris sous la responsabilité de Sophie de Nadaillac. L’intéressé a démarré sa carrière en 2013 chez UBS France en qualité de banquier privé (6 ans). En région, Eric Sonkes a rejoint en septembre 2018 l’équipe de développement gestion privée à Bordeaux en tant que banquier privé, sous la responsabilité de Sophie de Nadaillac. Cet ancien de Banque Transatlantique et Credit Suisse travaillait depuis 2012 chez Mansartis comme directeur de la Clientèle Privée et Entrepreneuriale. Il y assurait parallèlement la synergie entre les équipes de gestion et de M&A Small Caps. A Lyon, Lazard a embauché Alaric Pluton en juin 2019 dans l’équipe des banquiers privés sous la responsabilité de Sophie de Nadaillac. Alaric Pluton était précédemment banquier privé chez UBS France pendant 17 ans, tout d’abord au sein du segment High-Net-Worth (13 ans) à Lyon, puis au sein de l’équipe Ultra High-Net-Worth (4 ans). Lazard a aussi procédé à un recrutement à l’étranger. Jacques Halpérin a rejoint en novembre 2019 Lazard Frères Gestion Belgique en tant que senior advisor. Jacques Halpérin a débuté sa carrière en tant qu’analyste en banque d’affaires chez Lazard Frères en 1980. A partir de 1985, il occupa le poste d’associé au sein de la division Corporate Finance, HSBC – France. A Bruxelles depuis 2008, il exerce une activité de conseil dans le domaine des fusions et acquisitions et levées de fonds Enfin, Lazard a nommé David Koegler, banquier privé à Paris et associé-gérant de Lazard Frères Gestion, managing director de Lazard LLC en février 2019. En plus de ses responsabilités actuelles, David Koegler prend en charge l’animation du développement de la gestion privée dans le quart Sud-Est de la France. David Koegler a rejoint Lazard Frères Gestion en 2006 au sein du département développement de la gestion privée. En 1997, il a commencé sa carrière comme conseil de la grande clientèle privée à la Banque du Louvre puis directeur à la gestion privée chez HSBC Private Bank entre 2003 et 2006.
Algebris Investments lance le fonds Algebris IG Financial Credit, un compartiment de l’Algebris Ucits Funds Plc.Le fonds sera investi dans la dette investment grade (avec une notation BBB- ou supérieure) émise par les institutions financières importantes à l’échelle mondiale (G-SIFIs) et les champions nationaux. Il sera géré par Sebastiano Pirro, gérant de portefeuilles crédit financier.
Wells Fargo Asset Management (WFAM) lance le Global Investment Grade Credit Fund, un compartiment de Wells Fargo (Lux) Worldwide Fund investi sur l’univers mondial des obligations d’entreprises investment grade. Ce fonds est géré par Henrietta Pacquement, Scott Smith, Jonathan Terry et Alex Temple. Le lancement du fonds fait suite à l’attribution à WFAM par Nest Corporation d’un mandat pour gérer une stratégie global investment grade credit. Nest prévoit d’allouer 500 millions de livres à la stratégie sur 12 mois. Le fonds est disponible en France, mais aussi dans un certain nombre de pays européens et asiatiques.
Alerian, une société texane basée àDallas spécialisée dans la recherche, la dataet la fourniture d’indices, a racheté S-Network Global Indexes, propriétaire et développeur de plus de 300 indices. A travers cette acquisition, ce sont environ 20 milliards de dollars d’encours qui seront adossés aux indices des deux sociétés. Alerian, qui fournit entre autres des indices sur l’industrie des services d'énergie intermédiaires, va pouvoir proposer des indices couvrant les marchés actions internationales (près de 14.000 actions couvertes) et quelques secteurs spécifiques tels que l’espace. L’indice de S-Network Global Indexesportant sur les actions d’entreprises évoluant dans le domaine spatial sert de benchmark au premier ETF sur l’espace lancé aux Etats-Unis il y a quelques mois. Alerian etS-Network continueront d’opérer dans leurs bureaux respectifs deDallas etNew York. La transaction devrait s’effectuer d’ici la fin du mois.
La Banque postale asset management (LBPAM) et Tocqueville Finance ont annoncé dans un communiqué commun que Vincent Cornet sera proposé comme directeur général de Tocqueville Finance au conseil d’administration de Tocqueville Finance. Il remplace Mirela Agache, directeur général de Tocqueville Finance et directeur général de La Banque Postale Asset Management, qui souhaite « donner une nouvelle orientation à sa carrière », précise le communiqué. Vincent Cornet, membre du Directoire de LBPAM, conservera ses fonctions de Directeur de la gestion pour l’ensemble des gestions de la société.
OFI Pierre, l’entitéde gestion d’actifs immobiliers du Groupe OFI, vient de recruter Hervé de Casanove en qualité de directeur de l’asset management et de l’investissement. L’intéressé, qui était jusqu'à présent secrétaire général de la direction des moyens généraux travaux immobiliers de la Matmut, aura pour missions la recherche desnouveaux investissements, le développement des métiers et l’intégration des valeursISR au sein d’OFI Pierre. Diplômé de l’ESTP (École Spéciale des Travaux Publics), Hervé de Casanove a développé et réalisé de nombreux projetsimmobiliers complexes notamment pour COGEDIM Entreprise, et a conduitl’activité bâtiments et ouvrages fonctionnels de VINCI Concessions.
GAM perd un autre de ses employés réputés, rapporte Financial News. Christopher Jarman, le responsable de l’obligataire et du trading sur les changes, quitte la société de gestion suisse, selon une source proche du dossier. La date de son départ n’a pas encore été fixée.
La société de conseil asiatique Carbon Care Asia (CCA) a conclu un partenariat avec le fournisseur d’indices Solactive pour lancer le SolactiveCarbonCare Asia Sustainability Bond Index, le premier indice à mesurer la croissance des obligations vertes, sociales et durables en Asie. Au cours des cinq dernières années, les émissions d’obligations vertes dans le monde a été multiplié par seize pour atteindre 170 milliards de dollars en 2018. Au cours des neuf premiers mois de l’année, les émissions d’obligations vertes, sociales et durables dans la région Asie-Pacifique ont atteint 35 milliards de dollars. Le nouvel indice prend en compte les obligations qui vont contribuer à la préservation de l’environnement et aux défis sociaux en ayant un impact positif dans la région. Les émetteurs sont soumis à un test de transparence et doivent prouver que leurs émissions sont bien destinées à des projets avec des impacts positifs significatifs. CCA, qui opère à partir de Hong Kong et Singapour, est spécialisé dans la durabilité des entreprises, les stratégies carbone, la transition climatique et la finance soutenable. Depuis sa création en 2008, la société de conseil a accompagné plus de 200 entreprises asiatiques pour accélérer la transition vers une économie zéro carbone.
Principal actionnaire d’un consortium contrôlant le parc éolien Merkur Offshore, situé en mer du Nord, Partners Group a cédé sa participation pour le compte de ses clients. Le montant de la transaction n’a pas été divulgué. Le consortium détenant Merkur Offshore, qui regroupe outre Partners Group, InfraRed Capital Partners, DEME Concessions, GE Energy Financial Services et ADEME, a vendu l’ensemble des parts du parc éolien au gestionnaire de fonds de retraites danois APG ainsi qu'à la société Renewables Infrastructure Group cotée, à la Bourse de Londres, précisePartners Group.
Tikehau Capital a annoncél’arrivée de Grégoire Lucas en tant que directeur des relations extérieures.Sous la responsabilité d’Antoine Flamarion et Mathieu Chabran, co-fondateurs du groupe, Grégoire Lucas aura pour mission d’élargir la visibilité de Tikehau Capital en France et à l’international auprès de l’ensemble de ses parties prenantes. Plus particulièrement, il aura sous sa responsabilité la gestion de la communication corporate et des relations publics, des affaires publiques et du mécénat de Tikehau Capital. Julien Sanson, directeur de la communication corporate, travaillera à ses côtés. Grégoire Lucas, 45 ans, diplômé de Sciences Po Paris et de l’ESCP, et titulaire d’un DEA de Finances, était jusqu’à présent associé et membre du comité de direction de l’agence de conseil en communication Image Sept. Grégoire Lucas a débuté sa carrière en tant qu’assistant parlementaire auprès de François d’Aubert, ancien ministre du Budget et de la Recherche (1997 – 2000). Il a par la suite été directeur de projet au sein d’une agence de conseil en communication Internet (2000 – 2002) puis chargé de mission auprès de la directrice du Service d’information du Gouvernement (2002 – 2004). « Présent aux côtés de Tikehau Capital depuis sa création en 2004, Grégoire Lucasen connaît parfaitement la culture, les métiers et les équipes. Son arrivée est un atout supplémentaire pour le Groupe et marque une nouvelle étape dans la structuration de nos relations extérieures envers l’ensemble de nos parties prenantes», a commenté Antoine Flamarion.
Richelieu Gestion a annoncé, ce 10 décembre, le lancement du fonds Richelieu America, un fonds actions d’Amérique du Nord. Ce fonds associe deux poches d’actifs complémentaires, pondérées en fonction des cycles économiques. La première est une poche stratégique sur une thématique de rendement; elle est constituée de sociétés sélectionnées pour leur capacité historique à générer des dividendes réguliers ou/et en croissance sur longue durée. La seconde est une poche tactique pour une approche croissance, constituée d’entreprises impliquées dans des méga-tendances structurelles qui ont des conséquences irréversibles sur le monde (digitalisation, environnement, santé, urbanisation, innovation technologiques, modes de consommation …) La gestion de Richelieu America est assurée par un gérant nord-américain, Eric Lafrenière, accompagné par le stratégiste et allocataire d’actifs du groupe, Alexandre Hezez. Elle repose sur une analyse fondamentale alliant le savoir-faire de stock-picking de conviction de la société, les capacités des prestataires de recherche spécialisés sur les actions nord-américaines ainsi qu’un outil quantitatif développé sur mesure par Richelieu Gestion. «Nous poursuivons comme annoncé le renouvellement et le développement de la gamme qui prend une nouvelle dimension internationale avec le fonds Richelieu America», commente Christophe Boulanger, directeur général de Richelieu Gestion. Ce lancement fait suite à celui de Richelieu CityZen, un fonds actions d’entreprises européennes visant à concilier performance économique et impact positif.
La société de gestion italienne Azimut a enregistré en novembre des souscriptions nettes de 292 millions d’euros. Cela porte la collecte nette depuis le début de l’année à 4,3 milliards d’euros. Le total des encours s’établit fin novembre à 58,4 milliards d’euros, dont 45 milliards sous gestion. Par ailleurs, Azimut annonce avoir obtenu du régulateur luxembourgeois CSSF le feu vert pour sa nouvelle méthodologie de calcul des frais de performance sur les fonds luxembourgeois, en ligne avec les principes de l’OICV. La nouvelle méthode entrera progressivement en vigueur à partir du 1er janvier 2020 sur les fonds luxembourgeois de la société.
Nordea AM vient de recruter Stefan Edelmann au poste de directeur des ventes, chargé des clients institutionnels et Wholesale en Suisse alémanique. Basé à Zurich, l’ex-vice-président de BlackRock AM est rattaché au directeur de la distribution en Suisse, José Machi. Stefan Edelmann était depuis 2015 responsable chez BlackRock AM de la distribution de fonds de placement actifs auprès de banques, de family offices et de gérants de fortune indépendants en Suisse. Il a également travaillé chez GL Funds et UBS dans les domaines de la distribution et du marketing.
Morgan Stanley va supprimer 1.500 emplois dans le monde, soit 2,5 % des effectifs, rapporte le Financial Times. Ce plan va surtout concerner la division technologie et opérations. Les autres suppressions d’emplois vont se répartir dans la banque, de la banque d’investissement à la gestion de fortune et au trading. Des managing director seront concernés.