La société a passé un partenariat avec la banque privée de Lazard Frères Gestion pour offrir aux entrepreneurs qu'elle accompagne des services spécifiques.
AEW, la plateforme d’asset management immobilier de Natixis Investment Managers, a recruté Julien Casanova en tant que head of office asset management pour sa division institutionnelle en France. Il sera basé à Paris et sera rattaché à Xavier de Saqui de Sannes, head of asset management division institutionnelle en France. Julien Casanova rejoint AEW avec une expérience de 14 ans en développement, repositionnement et gestion d’actifs immobiliers notamment chez Icamap Advisory France en tant que head of development & asset management, chez LaSalle Investment Management France en tant que development director & director asset management, ou encore chez JLL France, comme national director of project & development service department. A ce poste, Julien aura pour principale mission de diriger l’équipe d’asset management en charge de l’élaboration puis de la mise en œuvre des stratégies immobilières sur les portefeuilles bureaux qu’AEW gère pour le compte de ses clients institutionnels. Cette équipe est notamment responsable de la commercialisation locative, de la supervision des restructurations et rénovations et de l’arbitrage des actifs.
Lombard Odier Investment Managers a recruté Rebeca Coriat au poste de responsable de l’engagement actionnarial, à Londres. Elle est rattachée à Christopher Kaminker, responsable de la recherche, de la stratégie et de la gestion en investissement durable au sein de la société suisse. Rebeca Coriat a jusqu’à présent exercé chez Investec Asset Management, en qualité d’analyste ESG, chargée de conseiller les gérants de portefeuille sur le vote par procuration au niveau mondial, et de responsable de la fonction actionnariat actif. Elle était auparavant associée senior chez ISS, une société de conseil en matière de vote par procuration. Précédemment, elle a également œuvré au sein de Governance for Owners en tant qu’analyste des services d’actionnariat actif. Rebeca Coriat a débuté sa carrière chez Manifest et PIRC, deux sociétés de conseil en matière de vote par procuration basées au Royaume-Uni.
UniCredit Private Banking (Unicredit PB) et Amundi ont lancé un Eltif (fonds d’investissement de long terme dans le non-coté) qui pourra être souscrit entre le 17 mars et le 14 avril par la clientèle d’UniCredit PB, rapporte Plus, le supplément hebdomadaire d’Il Sole 24 Ore dédié au patrimoine. Amundi Eltif Leveraged Loans Europe est conçu et géré par Amundi. Il est principalement investi dans des prêts à effet de levier. Le portefeuille se compose de 50 à 60 lignes sélectionnées sur le marché primaire ou secondaire.
Columbia Threadneedle Investments vient de recruter Jack Harvey en tant que directeur pour le Moyen-Orient au sein de son bureau de Dubaï. Il est rattaché à Edwin Lawrence, responsable du Moyen-Orient pour Columbia Threadnnedle. Jack Harvey vient de Franklin Templeton, où il travaillait depuis 2014, dernièrement comme chargé de relations clients couvrant les clients institutionnels au Moyen-Orient. Chez Columbia Threadneedle, il sera chargé de servir les clients actuels dans la région et d’approfondir les relations avec les institutions, les family office, les partenaires et distributeurs.
La société de gestion obligataire BlueBay Asset Management, détenue à 100 % par RBC Global Asset Management, a recruté Illya Zyskind en tant que gérant spécialiste des obligations d’entreprises illiquides des marchés émergents. Basé à Londres, Illya Zyskind sera rattaché à Polina Kurdyavko, responsable marchés émergents. Il travaillera avec Mihai Florian, qui a aussi récemment été recruté, pour développer le savoir-faire de BlueBay dans les obligations d’entreprises illiquides des marchés émergents par le biais de co-investissements et de stratégies fermées. En 2020, BlueBay prévoit de lancer de nouvelles stratégies d’investissement dans ce domaine. Avant de rejoindre BlueBay, Illya Zyskind faisait partie du groupe crédit et situations spéciales marchés émergents au sein de Bank of America Merrill Lynch.
Man GLG, la branche de gestion discrétionnaire de Man Group, vient de recruter deux gérants pour son équipe de stratégies long-short, a appris Asia Asset Management. Ils arrivent de la société hongkongaise ArchiTech Capital, et son rattachés à Neil Mason, directeur de l'équipe. Irene Liaw, qui était jusqu’ici directrice des investissement d’ArchiTech Capital, couvrira les actions asiatiques dans les secteurs des médias, des technologies et des télécommunications. Simpson Wong, qui était jusqu’ici gérant de portefeuille, sera senior analyste. Les deux recrues seront basées à Hong Kong.
Frédéric de Mévius, qui présidait jusqu’ici le fonds d’investissement familial Verlinvest, devient l’actionnaire principal de Venturi Partners, a appris L’Echo. Verlinvest est le véhicule d’investissement de plusieurs familles fortunées, dont la famille Spoelberch, principal actionnaire d’AB InBev. Frédéric de Mevius le présidait depuis 2012. Il intègre désormais un fonds d’investissement lancé en mai 2019 par son ancien responsable des activités asiatiques, Nicholas Cantor. La société, installée à Singapour, est en cours de levée de fonds. Nicholas Cantor vise une collecte de 150 millions de dollars.
Les principales sociétés de gestion au monde se sont lancées dans une vague de recrutement au sein de leurs équipes de gouvernance et d’investissement durable, constate le Financial Times fund management. Le nombre de personnes dans les équipes «stewardship» des principales maisons de fonds a presque doublé entre 2017 et 2020, selon les données compilées par le Financial Times. Dans le même temps, le nombre de personnes à d’autres postes dédiés à l’ESG a été multiplié par quatre. Pour réaliser cette étude, le FT a approché 31 des principales sociétés de gestion en termes d’encours. Les grandes sociétés de gestion ont en moyenne 21 personnes travaillant dans le «stewardship», même si cela varie entre 47 pour BlackRock et trois pour Northern Trust Asset Management. L’équipe «stewardship» de BlackRock a bondi de 81 % sur trois ans, tandis que celle de Vanguard a grandi de 75 %. L’équipe de State Street Global Advisors a augmenté d’un tiers. Invesco a connu la plus forte hausse, avec 180 %. En Europe, l’équipe de Legal and General Investment Management a augmenté de 60 %, celle d’Axa Investment Managers a doublé.
L’agence de presse espagnole Europa Press rapporte que le groupe financier espagnol Sabadell a envoyé une note interne à ses employés, vendredi 6 mars, relative aux plans de la société vis-à-vis du coronavirus Covid-19. Le groupe a pris la décision de délocaliserses équipesde trésorerie, de gestion d’actifs, de services à laclientèle et de services technologiques. Pour rappel, Amundi a racheté Sabadell AM, la filiale de gestion de Sabadell, fin janvier. Les équipes ont ainsi été réparties et placées dans différents sites du groupe situés à Barcelone, Madrid et Alicante. La firme espagnole envisage également de tester l’option de 50% de télétravail pour lesdeux bâtiments où elle compte le plus d’employés. Sabadell indique qu’il compte déjà 700 employés en télétravail sur plus de 17.000. De plus, les événements prévus par Sabadell ont été reportés et les déplacements professionnels limités.
ShareAction a passé au crible les 75 plus grandes sociétés de gestion du monde. La moitié ont une approche «très limitée» de la gestion des risques et des impacts ESG.
L’annonce surprise de la baisse du taux directeur de la Réserve fédérale américaine (Fed) mardi n’aura pas empêché les rachats sur une grande partie des fonds d’investissement. Les investisseurs continuent de craindre les effets du coronavirus et d’une potentielle récession sur les valorisations des différentes classes d’actifs. Selon le «Flow Show», le rapport du BofA Global Research, l’attrait des fonds de l’univers obligataire a accusé une inflexion, avec une décollecte hebdomadaire de 12,6 milliards de dollars. Elle met fin à 60 semaines de flux positifs ininterrompus et près de 1.000 milliards collectés. Pour les auteurs de l'étude, plusieurs signaux indiquent qu’il pourrait s’agir de l'éclatement d’une bulle obligataire.
Frédéric Buzaré quitte La Financière de l’Echiquier (LFDE), moins de deux ans après son arrivée. Il avait rejoint LFDE en octobre 2018 pour y gérer le fonds Agressor « en relation étroite » avec Didier Le Menestrel, fondateur de La Financière de l’Echiquier et d’Echiquier Agressor en 1991. D’après son rapport annuel à fin février, le fonds d’actions européennes perd en cumulé 18,4 % sur trois ans et 15,8 % sur cinq ans, alors que son indice de référence gagne 9,5 % et 11,1 % sur ces périodes. Depuis le début de l’année, le fonds abandonne 13,2 %, contre une baisse de 9,6 % de l’indice. Le fonds, en 2004 parce qu’il était considéré comme trop gros, a fondu et représente désormais 564 millions d’euros d’encours. Dans ce contexte, LFDE annonce qu’elle va faire évoluer la gestion d’Echiquier Agressor.
Le spécialiste des hedge funds Steven A. Cohen va lever son premier fonds investi dans le non coté, rapporte le Wall Street Journal. Le nouveau produit a été présenté aux investisseurs comme un fonds hybride de capital risque et capital investissement appelé Point72 Hyperscale, selon des sources proches du dossier. Le fonds soutiendrait des entreprises qui se créent dans l’intelligence artificielle. Il prendrait aussi des participations majoritaires dans des entreprises qui pourraient profiter de ces technologies. Le fonds vise à lever entre 500 et 900 millions de dollars cette année et compte Steven Cohen comme principal investisseur.
Natixis Investment Managers annonce un renforcement son partenariat avec Banca Generali dans un communiqué du 6 mars. L’accord prévoit, pour la première fois, la distribution directe de six fonds de la gamme actions et obligations de Mirova, la société affiliée dédiée à l’investissement durable du groupe français. Banca Generali est la première banque privée d’Italie, avec 69 milliards d’euros sous gestion au 31 décembre 2019. La banque commercialise déjà des fonds gérés par Natixis IM, dont ceux de H2O Asset Management, et propose des stratégies de Loomis Sayles, Seeyond et Ostrum au sein de solutions.
Frédéric Buzaré quitte La Financière de l’Echiquier (LFDE), moins de deux ans après son arrivée. Le gérant «a souhaité quitter la société afin de poursuivre un projet professionnel différent», indique la société de gestion du groupe Primonial dans un communiqué. Frédéric Buzaré avait rejoint LFDE en octobre 2018 pour y gérer le fonds Agressor «en relation étroite» avec Didier Le Menestrel, fondateur de La Financière de l’Echiquier et d’Echiquier Agressor en 1991. Didier Le Menestrel, qui a depuis quitté l’entreprise, se réjouissait à l’époque d’avoir trouvé le «bon pilote» pour le fonds emblématique de LFDE, après une période de sous-performance et le deux départs de gérants. Il semblerait que le fonds d’actions européennes n’ait pas retrouvé le succès qu’il avait autrefois. D’après son rapport annuel à fin février, il perd en cumulé 18,4 % sur trois ans et 15,8 % sur cinq ans, alors que son indice de référence gagne 9,5 % et 11,1 % sur ces périodes. Depuis le début de l’année, le fonds abandonne 13,2 %, contre une baisse de 9,6 % de l’indice. Le fonds, qui avait été fermé en 2004 parce qu’il était considéré comme trop gros, a fondu et représente désormais 564 millions d’euros d’encours. La gestion du fonds évolue Dans ce contexte, LFDE annonce qu’elle va faire évoluer la gestion d’Echiquier Agressor. Désormais, La Financière de l’Echiquier «va s’appuyer sur ses pôles d’expertise reconnus en actions – sur les grandes capitalisations croissance et value, et les petites et moyennes valeurs européennes – pour mettre en œuvre une gestion reposant sur une sélection des plus fortes convictions des gérants de Major, Agenor, Value, Positive Impact Europe et World Equity Growth notamment», explique un communiqué. La gestion sera pilotée à compter du 23 mars 2020 par Olivier de Berranger, directeur de la gestion d’actifs, accompagné de Louis Porrini, analyste actions senior, et de l’ensemble des gérants senior de La Financière de l’Echiquier. «Depuis son lancement en 1991, Echiquier Agressor repose sur une gestion contrariante et opportuniste investissant en actions européennes de tous styles et de toutes capitalisations. Cette approche, après avoir été longtemps un important vecteur de performance, s’est révélée moins efficace dans ce contexte de marché», reconnait LFDE.
Frédéric Buzaré quitte La Financière de l’Echiquier (LFDE), moins de deux ans après son arrivée. Le gérant « a souhaité quitter la société afin de poursuivre un projet professionnel différent », indique la société de gestion du groupe Primonial dans un communiqué. Frédéric Buzaré avait rejoint LFDE en octobre 2018 pour y gérer le fonds Agressor « en relation étroite » avec Didier Le Menestrel, fondateur de La Financière de l’Echiquier et d’Echiquier Agressor en 1991.
L’annonce surprise de la baisse du taux directeur de la Réserve fédérale américaine (Fed) mardi n’aura pas empêché les rachats sur une grande partie des fonds d’investissement. Les investisseurs continuent de craindre les effets du coronavirus et d’une potentielle récession sur les valorisations des différentes classes d’actifs. Même les fonds d’obligations d’entreprises de qualité («investment grade») ne sont plus épargnés.
L’opérateur boursier allemand Deutsche Börse a annoncé cette semaine le lancement de l’indice Dax 50 ESG, composé de grandes valeurs satisfaisant des critères environnementaux, sociaux ou de gouvernance. L’indice est construit à partir du HDAX, qui regroupe 89 valeurs, dont les 30 du Dax, les valeurs moyennes du MDax, et celles du TecDax dans les technologies. Il exclut les sociétés qui ne respectent pas les PRI des Nations unies, produisent des armes controversées ou signent des contrats militaires, développent des activités liées au tabac, au charbon et à l’atome. Il prendra également en compte la capitalisation et les volumes d'échanges. La composition sera revue tous les trimestres. Parmi les principales sociétés exclues du nouvel indice de Francfort, on retrouve Volkswagen, empêtré dans le dieselgate, Eon, engagé dans l'énergie atomique, et RWE, qui exploite des centrales à charbon.
Le groupe financier helvétique Julius Baer a fermé son bureau de conseil en investissement et de gestion privéebaséà Montevideo,la capitale uruguayenne, indique Citywire Americas. Près d’un milliard de dollars de clients uruguayens étaient conseillés par cette filiale. Julius Baer a également licencié 10 personnes dans un autre bureau basé à Montevideo mais destiné à une clientèle plus internationale.
La société de gestion italienne Azimut a renforcé son équipe de distribution institutionnelle en Amérique latine (hors Brésil) avec l’arrivée de Matias Lesser au sein d’AZ Andes, rapporte Fund Society. Matias Lesser est basé à Santiago du Chili et participera à la distribution des fonds du groupe Azimut au Chili, au Pérou, en Colombie ainsi qu’au Panama. Il travaillait auparavant chez MBI.
La société de gestion espagnole Bestinver a annoncé le départ prochain de son directeur des investissementsBeltrán de la Lastra. L’intéressé quittera la firme à l’automne 2020 une fois l’intégration de Fidentiis achevée. Bestinver avait acquis la boutique spécialisée dans les actions espagnoles en juillet 2019. Beltrán de la Lastra devra respecter une clause de non-concurrence de deux ans. Luiqui étaitarrivé en novembre2014 après le départ de Francisco Garcia Paramés, s'était déjà retiré de la présidence de Bestinver après le rachat de Fidentiis. «Bestinver entredans une nouvelle phase et il est temps pour moi de me retirer et de décider de mon avenir professionnel»,a-t-il indiqué. Bestinver a également annoncé l’arrivée de Tomás Pintóau poste de responsable des actions internationales.
BlackRock a lancé un ETF sur les infrastructures de la ville intelligente (smart city) et deux autres ETF répondant à des critères ESG, rapporte Citywire Selector. Le iShares Smart City Infrastructure Ucits ETF (CITY) est un fonds cherchant à profiter de la nouvelle génération de grandes villes intelligentes offrant des manières plus durables de vivre. Le fonds suit l’indice Stoxx Global Smart City Infrastructure. Le deuxième produit est l’iShares $ Corp Bond ESG Ucits ETF (SUOU), une version ESG d’une stratégie d’obligations d’entreprises libellées en dollar. Enfin, le troisième ETF est l’iShares MSCI EMU SRI Ucits ETF (SMUA) qui fournira une exposition aux entreprises ayant la plus forte note ESG au sein du marché de l’Union monétaire européenne.
L’assureur suisse Helvetia a annoncé, dans le cadre de la présentation de ses résultats annuels 2019, la création d’une filiale de gestion d’actifs immobiliers, Helvetia Asset Management AG. La firme, qui a légalement vu le jour au troisième trimestre 2019, va lancer son premier fonds de droit suisse au cours de l’année 2020, a indiqué André Keller, le directeur des investissements de l’assureur. Helvetia AM distribuera sa gamme de fonds en externe.
Le quotidien espagnol Cinco Días rapporte que le gérant actions star espagnolFrancisco García Paramés, fondateur, directeur général et président de Cobas Asset Management, a modifié les statuts de la société de gestion. Ce changement permet àFrancisco García Paramés d'étendre son mandat de président de la boutique espagnole jusqu’en 2023, sonmandat actuel expirant en 2020. Lorsqu’il avait lancé Cobas en 2017, le gérant s'était engagé à ne rester que trois ans à la présidence de la société de gestion. Il ne pourra toutefois pas aller au-delà de six années de présidence car il s’agit du maximum autorisé par la législation espagnole sur les sociétés en vigueur, précise CincoDías.
Amundi Immobilier a dévoilé, ce 5 mars, une collecte nette de 5,36 milliards d’euros pour l’exercice 2019. Les encours sous gestion s'élèvent désormais à 37,6 milliards d’euros (à fin 2019). La collecte nette a été principalement nourrie par les investisseurs institutionnels (3,6 milliards d’euros). Vient ensuite le secteur retail avec les SCPI (1,8 milliard d’euros de collecte nette) et les OPCI (629 millions). Les investisseurs institutionnels représentent 53% des encours gérés, soit près de 20 milliards d’euros. Le groupe Crédit Agricole demeure le principal client avec un peu plus de cinq milliards d’euros investis. Les institutionnels externes français représentent eux près de 7,5 milliards d’euros, tandis que les Européens ont investi à peine plus de 1,4 milliard. Les fonds de club-deal drainent la majeure partie des encours institutionnels, avec 9,2 milliards d’euros logés dans 43 véhicules. Les quatorze fonds dédiés gèrent pour leur part cinq milliards. Amundi Immobilier gère aussi sept mandats pour un montant de 2,5 milliards d’euros d’encours, et trois fonds thématiques ouverts (700 millions). De nouveaux produits retail pour 2020 Amundi Immobilier a par ailleurs présenté ses principaux projets pour l’année en cours. L'équipe compte notamment lancer un fonds retail ELTIF (European long-term investment funds) principalement investi en immobilier, proposé à l’ensemble des distributeurs partenaires d’Amundi. Pour ce faire, la structure s’appuiera sur les expertises de leurs collègues du Pôle Actifs Réels et Alternatifs. Elle va également créer son premier Groupement Forestier d’Investissement faisant appel public à l’épargne. Il sera investi dans les plus grandes forêts domaniales françaises, et pourra à terme investir en dehors de l’Hexagone. De plus, la société va proposer deux nouveaux services sur ses trois SCPI de rendement chez ses distributeurs externes. D’une part, elle permettra des versements programmés mensuels ou trimestriels, et d’autre part, elle mettra en place l’option de réinvestissement automatique des dividendes. 22 milliards de transactions cumulées ces cinq dernières années Côté deals, Amundi Immobilier a réalisé 4,3 milliards d’euros de transactions pour le compte des fonds et mandats qu’elle gère en 2019. Cela porte à 22 milliards d’euros le montant des transactions cumulées sur les cinq dernières années. Amundi Immobilier a effectué 24 acquisitions en 2019 pour un montant de 3,8 milliards d’euros, principalement des bureaux (68%), des actifs mixtes (27%) et logistiques (4%). Dans le cadre de la gestion active des portefeuilles des fonds qu’elle gère, la société a également procédé à plusieurs arbitrages en 2019 pour un montant global de 476 millions d’euros, essentiellement en France (316 millions d’euros) mais aussi en Belgique, Finlande, Espagne et au Portugal. A fin décembre 2019, le portefeuille d’actifs immobiliers géré par Amundi Immobilier regroupe 750 immeubles répartis dans 10 pays, majoritairement en France (87%), Italie (5%), Allemagne (4%), Espagne (1%) et Pays-Bas (1%). Parallèlement, Amundi a levé plus de 1 milliard sur le marché de la dette privée immobilière senior en zone euro, activité lancée en 2018. Le fonds Amundi Commercial Real Estate Loans (ACREL) totalise 250 millions d’euros dont 90% ont déjà été déployés. Deux mandats institutionnels dédiés ont été par ailleurs confiés à Amundi pour un montant de 600 millions d’euros. Enfin, Nest, premier fonds de pension anglais, a sélectionné Amundi à la suite d’un appel d’offres pour se déployer sur cette classe d’actifs à hauteur de 500 millions d’euros sur 3 ans avec une approche multi-stratégie de dette immobilière en Europe, aux États-Unis et en Asie.
La société de gestion italienne Azimut a enregistré des souscriptions nettes de 4,6 milliards d’euros en 2019, soit un peu plus qu’en 2018. Plus de la moitié de cette somme provient de l’international, qui représente désormais 29 % des encours totaux. Les encours sous gestion sont ressortis fin décembre à 46 milliards d’euros. Les encours administrés et gérés par des tiers s’établissent à 59,1 milliards d’euros, contre 50,8 milliards un an plus tôt. L’activité internationale, qui représente 17,1 milliards d’euros, se répartit entre l’Europe, Moyen-Orient et Afrique (28 %), les Amériques (36 %) et l’Asie-Pacifique (36 %). Le bénéfice net consolidé a augmenté de 203 % en 2019 à 370 millions d’euros.