La Commission européenne reproche à la France un traitement discriminant vis-à-vis des fonds d’investissement étrangers, dont les dividendes d’actions françaises sont soumis à une retenue à la source de 25%. La Cour de justice du Luxembourg devra statuer sur la question.
Le directeur général de la banque privée suisse Bank Sarasin & Cie, Joachim Straehle, a indiqué au quotidien que les cadres de la banque cherchent à racheter la part majoritaire de son capital détenue par Rabobank. Cela pour un montant de 3 milliards de francs suisses, l’équivalent de 2,4 milliards d’euros. «Je ne cache pas que nous adorerions faire un MBO» avance le dirigeant.
La société de private equity Advent International a approché Micro Focus International au sujet d’une possible prise de contrôle. C’est ce qu’avance le quotidien citant des sources proches. Advent serait le deuxième groupe de private equity intéressé, après Bain Capital. D’où une bataille d’enchères en vue selon le quotidien. Aucune offre ferme n’aurait encore toutefois été présentée.
La société d’investissement envisagerait de transférer une partie de ses activités hors de la Grande-Bretagne en réponse aux changements de réglementations du monde bancaire et financier qui devraient suivre le rapport de la commission dirigée par John Vickers, selon le quotidien qui cite des propos du directeur général d’Investec, Stephen Koseff.
La CDC va rencontrer des investisseurs obligataires les 24 et 25 mai en Grande-Bretagne en vue de réaliser une émission d’emprunt. RBC Capital Markets et RBS sont chargés d’organiser les roadshows.
L’Agence France Trésor annonce l’adjudication, le lundi 23 mai, d’un montant global de 8 milliards d’euros de bons du Trésor (BTF). Cette opération portera sur 3,5 milliards d’euros de bons à 12 semaines qui arriveront à échéance le 18 août, sur 1,5 milliard de bons à 21 semaines, à échéance du 20 octobre, sur 2 milliard de bons à 27 semaines, à échéance du 1 décembre 2011 et sur 1 milliard de bons à 49 semaines, à échéance du 3 mai 2012.
La Commission européenne a décidé de saisir la Cour de justice de l’Union européenne à l’encontre de la France pour discrimination fiscale à l’encontre des fonds de pension et d’investissement étrangers, en violation des règles de l’UE sur la libre circulation des capitaux. En particulier, la France n’accorde aucune exonération de retenue à la source sur les dividendes distribués par les sociétés françaises aux fonds de pension et d’investissement établis dans l’UE, alors qu’elle accorde une telle exonération s’ils sont établis en France.
Les ventes au détail ont augmenté plus que prévu au mois d’avril en Grande-Bretagne, dopées par le mariage du prince William et de Kate Middleton intervenu le 29 et une météo particulièrement clémente. L’Office national des statistiques a précisé que ces ventes avaient augmenté de 1,1% le mois dernier.
La Facilité européenne de stabilité financière (EFSF) et le Mécanisme européen de stabilité (ESM), qui vont devoir apporter 15,3 milliards d’euros au Portugal et à l’Irlande d’ici à mi-juillet, ont annoncé jeudi leur calendrier d'émission. Chaque structure devrait réaliser deux émissions benchmarks au deuxième trimestre. L’ESM prévoit ensuite encore deux autres émissions benchmarks de 3 à 5 milliards d’euros chacune en 2011, contre quatre opérations de cette taille pour l’EFSF. Ce dernier anticipe 13 milliards d’euros d'émissions en 2012.
Les Européens devront se rassembler pour présenter une éventuelle candidature à la tête du Fonds monétaire international après la démission de Dominique Strauss-Kahn, a déclaré la ministre de l’Economie, Christine Lagarde.
Déjà présent en Belgique et en Suisse, Rothschild & Cie Gestion annonce avoir reçu les agréments pour la distribution de ses principaux fonds sur les marchés Allemand, Espagnol, Hollandais et Luxembourgeois.
OFI Private Equity Capital annonce aujourd’hui deux opérations qui viennent renforcer son portefeuille d’actifs, le rachat par Dessange International de sa master franchise aux Etats-Unis, et l’acquisition de la société STS Rail Ltd. par Mors Smitt. OFI Private Equity Capital annonce également la cession de sa participation minoritaire dans Credirec.
Le groupe suisse UBP (Union Bancaire Privée) a confié à CACEIS l’administration de ses gammes de fonds luxembourgeois et français. Ce nouveau partenariat couvrira 7 milliards d’euros d’actifs pour les fonds luxembourgeois et 550 millions d’euros d’actifs pour les fonds français.
L’AMF a donné, mercredi 18 mai, son feu vert pour la commercialisation en France du fonds luxembourgeois China Consumer Fund de Fidelity International. L’objectif de cet OPCVM lancé le 23 février dernier est de «proposer aux investisseurs de participer pour la première fois de la mutation de la Chine qui, premier exportateur mondial, devient à présent le champion du monde de la consommation». Comme l’a souligné à Paris, mardi 10 mai, le gérant Raymond Ma qui, en étant basé à Hong-Kong, bénéficie de l’assistance de cinq analystes spécialistes de la consommation en Chine, «la consommation intérieure se transforme en effet en principal moteur de la croissance économique du pays le plus peuplé de la planète. Il se situe à présent au stade qu’avaient atteint le Japon à la fin des années 60 ou la Corée du Sud à la fin de la décennie 80".Le concept de ce nouveau produit est très voisin de celui de l’Invesco Asia Consumer Demand, qui est tourné pour sa part sur l’ensemble de l’Asie : il s’appuie aussi sur la tendance à l’urbanisation; la vigueur de la croissance ainsi que des revenus et sur la montée en puissance d’une classe moyenne. Mais il se fonde aussi sur des éléments plus spécifiquement liés à la (Grande) Chine : il s’agit notamment de la politique favorable à la consommation mise en place par Pékin, avec des augmentations de salaires, des niches fiscales et des subventions, dans un environnement où la couverture sociale s’améliore. De plus, le marché chinois, plus que bon nombre d’autres pays asiatiques, offre un important potentiel pour les biens de consommation et les services. La pénétration de ces produits et services y est effectivement encore à ses débuts.Raymond Ma souligne aussi que les fonds d’autres gestionnaires sont principalement axés sur les sociétés cotées chinoises appartenant à des secteurs industriels développés ou bien sur des grands groupes de distribution internationaux, mais pas directement sur des actions de sociétés chinoises du secteur de la consommation.Le Fidelity China Consumer Fund (80-120 lignes) investit directement en actions de sociétés chinoises, hong-kongaises et taiwanaises qui développent, produisent ou vendent des biens ou services destinés aux consommateurs chinois. Ces titres ont vocation à être conservés entre 12 et 18 mois.A fin 2010, Fidelity gérait 55,7 milliards de dollars dans la région Asie-pacifique (hors Japon), dont 20 milliards en Chine.Caractéristiques Dénomination : Fidelity China Consumer FundCode Isin : LU0594300252 (part distribution)/LU0594300096 (part capitalisation)Droit d’entrée : 5,25 %Commission de gestion : 1,5 %
En place depuis un peu plus de trois ans, le partenariat entre La Banque Postale et Oddo & Cie est une réussite, indique-t-on de source interne chez Oddo. A tel point que la filiale de services financiers de La Poste a souhaité revoir les termes du partenariat développé au sein de leur filiale commune La Banque Postale Gestion Privée (BPGP), détenue à 51% par La banque Postale et 49% par le groupe Oddo & Cie, précise-t-on chez Oddo qui confirme ainsi une information du quotidien Les Echos (Newsmanagers du 18 mai).Le partenariat fonctionne en effet plutôt bien puisque depuis la création de BPGP, les actifs sous gestion ont été multipliés par environ dix à plus de 1 milliard d’euros, la collecte nette ayant progressé dans les mêmes proportions. Et on relève en interne chez Oddo que l’apport de la société de gestion à été conforme à l’accord initial, tant en termes d’expertise que de clientèle ou de reporting. Selon Les Echos, la Banque Postale voit au moins deux points d’amélioration dans ce partenariat : la répartition des coûts de BPGP, entièrement à la charge de La banque Postale, et les bénéfices commerciaux que chacune des sociétés tire du partenariat. «Nous ne sommes pas demandeurs de cette renégociation», souligne-t-on chez Oddo. «C’est une initiative du président du directoire de La banque Postale, Philippe Wahl», ajoute-t-on sans autre commentaire.
Raj Thamotheram, l’ex-responsable des investissements responsables d’Axa Investment Management, et actuellement conseiller senior pour l’investissement responsable, va quitter la société en juin, rapporte IPE.com. Après son départ, il va se concentrer sur le développement du Network for Sustainable Financial Markets.
Selon L’Agefi suisse, une enquête de Swisscanto indique que les caisses de pensions suisses ont réalisé l’an dernier une performance moyenne estimée à 2,95%, légèrement inférieure, de 1% environ, à celle réalisée dans le même temps par les principales compagnies d’assurances vie helvétiques. Moyennant toutefois de fortes disparités au niveau de l’allocation des actifs. Les caisses de pension autonomes et semi-autonomes comptaient en effet plus d’un quart de leurs portefeuilles en actions (27,4%, soit un demi-point de plus qu’un an plus tôt). Alors que la légère baisse de la part des obligations à 37% (-1,5 point) devrait s’expliquer par l’impact des monnaies étrangères. Cette portion de 27,4% d’actions peut être comparée avec la part congrue, souvent inférieure à 5%, d’actions dans les portefeuilles de placements des compagnies d’assurances vie.
Avec 1,2 milliard d’euros d’encours, l’Allianz Rohstofffonds, qui va de surcroît absorber un fonds analogue de l’ancienne société de gestion cominvest pesant 100 millions d’euros, sert de modèle au nouveau Allianz RCM Global Metals & Mining que le groupe a lancé le 22 février 2011 sur sa plate-forme luxembourgeoise afin de pouvoir le commercialiser plus aisément dans le monde entier, et singulièrement en Europe, ont expliqué à Newsmanagers Petra Kühl, la gérante et Holger Wehner, le product specialist. Ce fonds est en cours d’agrément en France.Pour résumer l’approche choisie par cette version luxembourgeoise ainsi que celle de son modèle, Petra Kühl souligne que «la plupart des gens, lorsqu’il s’agit de matières premières, parlent de la hausse de la demande, notamment celle de la Chine. Mais je préfère me focaliser sur l’offre, qui ne peut justement pas soutenir le rythme de cette demande, du moins assez rapidement. Parce que les réserves s'épuisent, les teneurs baissent, les nouveaux gisements sont plus difficiles et coûteux d’accès».Cela posé, il faut bien voir aussi «que la plupart des mines de fer, de cuivre ou de charbon ont des durées de vie résiduelles supérieures à 50 ans et que si les besoins en investissements sont importants, ils sont aussi moins urgents. Les sociétés bien établies sont les mieux positionnées pour augmenter la production. Elles ont des contrats de long terme avec les équipementiers, les meilleures ont une excellente réputation, elles conservent de bonnes marges et elles paient bien, ce qui leur assure un bon climat social. En outre, les flux de trésorerie sont confortables, si l’on songe par exemple que le minerai de fer se traite à 180 dollars la tonne, mais ne coûte que 30-40 dollars à produire, notamment dans les mines brésiliennes et australiennes. Cela permet de financer les investissements productifs nécessaires au remplacement et à de satisfaire la demande croissante», rappelle la gérante.De plus, insiste Holger Wehner, «pour les matières premières, la voie de la baisse est en partie coupée, vu l'évolution de l’offre et de la demande d’un point de vue macro-économique ; Et ce fonds permet à l’investisseur de se couvrir contre l’inflation en devenant lui-même par procuration producteur de matières premières !».Pour tirer le meilleur parti de cet environnement, le fonds se focalise sur un petit nombre de valeurs. Le portefeuille compte seulement 33 lignes et présente des convictions fortes, les dix premières lignes de titres représentant 60,7 % du total.Le cuivre, l’aluminium, le zinc, le nickel, le minerai de fer et le charbon à coke sont indispensables pour la plupart des projets en matière d’infrastructures et de développement, en Chine, en Inde ou Brésil par exemple. Petra Kühl se focalise sur les sociétés qui produisent des matières premières dont la Chine a besoin et qu’elle n’est pas en mesure de produire en quantité suffisante. Cela vaut notamment pour le cuivre et le charbon (Xstrata) ainsi que le minerai de fer (le brésilien Vale, Rio Tinto) qui sont surpondérés. «En fait, pour le minerai et fer et le charbon, il n’existe pas encore de dérivés, de sorte que les prix ne reflètent encore que la demande physique», rappelle Holger Werner.La gérante sous-pondère en revanche l’aluminium et l’acier, que la Chine peut produire ou transformer en quantité suffisante. De même, Petra Kühl sous-pondère l’or parce qu’elle est plus optimiste sur d’autres métaux industriels.CaractéristiquesDénomination : Allianz RCM Global Metals & MiningCodes Isin : LU0589944643 (part A)/LU0589944726 (part I)Droit d’entrée : 5 % (part A)/0 % (part I) Frais de gestion : actuellement 1,50 %, max. 2,50 % (part A) ; 0,75 %, max. 1,25 % (part I)Frais de gestion administrative : actuellement 0,30 %, max. 0,50 % (part A) ; 0,20 %, max. 0,50 % (part I)
Schroders renforce son activité multi classes d’actifs FUM, représentant 34 milliards de livres, avec la nomination d’Aymeric Forest. Il rejoint une équipe de plus de 60 professionnels de l’investissement multi-classes d’actifs dans le monde et sera placé sous la responsabilité de Johanna Kyrklund, responsable des investissements multi-actifs. Aymeric Forest travaillait précédemment chez BBVA Wholesale Banking & Asset Management, à Madrid, où il était responsable mondial des solutions d’investissements globales. Il avait la responsabilité globale de l’allocation d’actifs tactique, des fonds diversifiés, des solutions de retraite d’entreprises et individuelles et des solutions à horizon, représentant un encours de 14 milliards d’euros. Avant BBVA, il a travaillé chez Fortis Investments. Chez Schroders, Aymeric Forest sera gérant de l’équipe multi-asset et membre du comité d’allocation d’actifs globale.
ING Investment Management a ouvert un bureau à Londres et recruté deux commerciaux pour le marché britannique, que la société de gestion néerlandaise couvrait jusqu’ici depuis les Pays-Bas.Paul Waters a été nommé directeur des institutionnels britanniques et Peter Wilson, directeur du «wholesale» britannique. Le premier vient d’AIG Investments, où il était dernièrement responsable du développement du marché britannique. Le second était précédemment directeur des ventes au Royaume-Uni pour Invista Real Estate Management. Les deux commerciaux seront placés sous la responsabilité de Deepti Bhandoola, responsable du Royaume-Uni (country manager), qui continuera à partager son temps entre Londres et la Haye, où se trouve le siège d’ING IM. Deepti Bhandoola travaille chez ING IM depuis 10 ans. Cette ouverture porte le nombre de bureaux d’ING IM en Europe à 16.
Le gérant actions US Andrew Holliman a quitté Threadneedle où il a passé sept ans pour rejoindre la boutique Polar Capital, rapporte Citywire. Son binôme Richard Wilson quitte aussi la société.
« Les pays émergents vont rester la principale source de croissance mondiale. Mais cette thèse est désormais connue et la surperformance de ces marchés par rapport au monde développé va ralentir voire disparaître. Parallèlement, les divergences entre secteurs et zones géographiques au sein de l’univers émergent s’accroissent », analyse Kristof Bulkai, gérant de Thames River Capital, une société qui fait partie du groupe F&C. Pour prendre en compte cette nouvelle donne, et continuer à obtenir de la performance sur les marchés émergents, une approche « longue » ne suffit plus, estime-t-il. C’est pour cette raison que Thames River va lancer en juin un fonds long/short sur les marchés émergents, conforme à la directive Ucits III, qui permettra donc aussi de prendre des positions vendeuses sur les thèmes ou zones géographiques sur lesquels les gérants, Kristof Bulkai et Hugo Rogers, seront négatifs. Le duo gère déjà ensemble le fonds Thames River Water & Agriculture. « L’émergence d’une classe moyenne en Chine et en Inde profite à de nombreuses entreprises, du côté des biens de consommation, de la santé, des secteurs sur lesquels nous sommes positifs », explique Kristof Bulkai. « Mais certaines pâtissent de cette nouvelle tendance. En effet, avec l’augmentation du niveau de vie, les salariés commencent à réclamer de meilleures conditions de travail. Or toutes les sociétés ne parviennent pas à répercuter ces hausses de coûts au consommateur final. C’est notamment le cas du secteur de l’assemblage », illustre-t-il. Kristof Bulkai compte aussi jouer les communications mobiles, un secteur qui est détesté par le marché. Il est notamment optimiste sur ce secteur compte tenu du développement de la télévision par Internet, qui va devoir passer par des investissements en fibre optique. Dans le même temps, les smartphones et les iPad conduisent à un développement de la demande pour des données. Au total, le fonds sera composé d’une cinquantaine de positions, courtes et longues, et ciblera une performance nette de frais dans les 15-20 %. Le fonds, de droit irlandais, aura une capacité de 3 à 5 milliards de dollars. Avec ce produit, Thames River compte rebâtir une offre de fonds « marchés émergents » qu’elle avait autrefois au travers de sa joint venture Nevsky qui n’a pas été incluse dans la transaction avec F&C. Cette gamme se compose d’ailleurs aussi d’un hedge fund long/short sur les émergents qui a été récemment repris à Nevsky.
La société de gestion britannique Artemis Investment Management (Artemis IM) a annoncé le 18 mai le recrutement de deux spécialistes des actions européennes, Mark Page et Laurent Millet, tous deux issus de Liverpool Victoria asset management (LVAM).Les nouveaux venus, qui prendront leurs fonctions début septembre, vont gérer des stratégies d’actions européennes hors actions britanniques ainsi qu’un nouveau fonds au format Ucits. Ce fonds, Artemis European Opportunities Fund, sera un produit long-only non contraint, qui investira dans une sélection des meilleures actions européennes. Au 29 avril 2011, les actifs sous gestion d’Artemis s'élevaient à environ 11,9 milliards de livres.
BNP Paribas Real Estate a présenté le 18 mai dans un communiqué le nouveau conseil d’administration de BNP Paribas REIM Italy nommé par l’assemblée générale des actionnaires qui s’est tenue le 12 avril dernier.Le conseil d’administration est ainsi composé de François Benfeghoul, président, Antoine Nguyen Van Buu, vice président, David Aubin, Michelo Cibrario, Cesare Ferrero et Ivano, administrateurs, et Massimo de Meo, Federico merola et Gualtiero Tamburii, administrateurs indépendants. L’organe de contrôle indépendant est présidé par Michele Carpaneda. Les membres de ces différents conseils sont mandatés jusqu'à l’assemblée générale qui statuera sur les comptes 2013. Le nouveau conseil d’administration a en outre désigné Ivano Ilardo en qualité d’administrateur délégué de la société. Il conserve son titre de directeur général.
ML Capital vient d’annoncer que Para Advisors, une société de gestion event driven basée à New York, va lancer sous peu le Para International Ucits Fund sur la plate-forme MontLake Ucits, rapporte Ucits Hedge. Le fonds sera géré de la même manière que le fonds phare de Para, un fonds event driven multi-stratégies, qui affiche un rendement net annualisé de 11,5 % depuis sa création en 1991.
Munib Islam, l’ancien responsable des actions européennes du hedge fund Highbridge Capital Management, a rejoint Third Point Partners, une société américaine d’activisme qu’il avait quittée il y a trois ans, rapporte le Financial Times. Il devient responsable de la recherche actions.
ML Capital has announced that Para Advisors, an event-driven asset management firm based in New York, will soon be launching the Para International UCITS Fund on the MontLake Ucits platform, Ucits Hedge reports. The fund will be managed with the same approach as the flagship fund from Para, a multi-strategy event-driven fund, which has earned annualised returns of 11.5% since its inception in 1991.
Il Sole – 24 Ore reports that Assogestioni, the Italian association of asset managers, has become a member of FeBAF, the Italian banking, insurance and finance federation. As a result, Domenico Siniscalco, president of the asset managers’ association, has been appointed as vice-president of the federation.