The American management firm William Blair Investment Management has launched a fund dedicated to emerging markets equities that complies with the European UCITS directive, Citywire reports. The Luxembourg-domiciled fund, Emerging Leaders Growth Fund, managed by Todd McClone and Jeff Urbina, will invest in shares in emerging markets funds with potential for growth and higher than average profits. The firm currently manages USD2.5bn in assets for European institutional investors, and its range of UCITS-compliant funds now runs to five products, including the new strategy.
It was a family office in Hong Kong that provided the inspiration. That investor no longer has confidence in short-term US Treasury bonds, and now is seeking to invest in a vehicle with limited risk, says Don Amstad, director of international development for Asian bond products at Aberdeen. Hence the idea for a fund which would invest in Asian government bonds, with two particular characteristics: a short duration, in order to reduce risks related to inflation and tightening monetary policy, and exposure to currencies from Asia ex Japan, in order to benefit from the appreciation of Asian currencies. The Luxembourg-registered fund, launched in early March, Aberdeen Global – Asian Local Currency Short Duration Bond Fund (as the name is a little long, investors refer to it as the Aberdeen “shorty” fund), has already collected about USD127m in investments. On a visit to Paris on 19 May as part of a European road show, Amstad pointed out that the new “plain vanilla” short-term strategy, with limited credit and interest risks, and no equities risks, is attracting lively interest from investors seeking a less risky form of exposure to the theme of Asian growth. Amstad says the strategy is virtually unique on the market, and that Asian bonds represent an asset class in its own right, which deserves a core allocation in all international portfolios. Meanwhile, investors are continuing to underweight the region, and their exposures are all too often derived from bond indices which have limited exposure to Asia. “That’s a classic, but all too common mistake. Bond managers need to change their attitudes,” says Amstad, adding that there are many reasons to invest in Asia, such as the strength of economic growth, the solidity of balance sheets, and the size of the Asian economy, whose GDP now accounts for 27% to 28% of the global economy, and which will account for 49% by 2050. Amstad also argues that Asian currencies will inevitably rise, given the desire of governments in the region to stimulate domestic demand in order to depend on exports less, the need to combat inflation, and the “de-dollarisation” of the region. “The offshore renminbi market in Hong Kong is growing fast,” says Amstad; the portfolio of the “shorty” fund currently has 23% of its assets positioned on Chinese bonds. Amstad predicts that the Chinese currency will gain at least 5% this year. In addition to the arguments for Asia, Amstad points to Aberdeen’s expertise in the region. Assets under management in Asian bonds have increased from about USD6bn at the end of 2010 to about USD6.8bn as of the end of April. Of this total, closed funds account for slightly over USD3bn.
Agefi reports that the private equity fund KKR will spend EUR240m to acquire the German telephone operator Versatel. Apax Partners, with 41.7% of capital in the firm, as well as Cyrte and United Internet, who control 25% each, have agreed to sell their stakes for EUR5.50 each. Shareholders holding the remaining 3% will be offered EUR6.70 per share.
The fund that bears John Paulson’s name, with assets totalling USD36bn, has bought a stake in the Hewlett-Packard group, with an acquisition of 25 million shares in the firm for about USD1bn, the news agency Bloomberg reports. Paulson & Co has also enlarged its stake in the capital of Transocean, with an acquisition of 17.3 million shares in one of the world’s largest offshore drilling firms, whose name is still tainted by association with the disaster in the Gulf of Mexico in April 2010. Paulson has maintained its stake of USD4.41bn in the SPDR Gold Trust, and strengthened its positions on several South African gold mines.
Dans le cadre de la gestion des portefeuilles d’investissement dédiés à ses institutions de retraite et de prévoyance, le groupe Mornay investit depuis septembre 2009 dans deux fonds diversifiés à performance absolue, suivant une gestion active dont la seule contrainte est un maximum drawdown (écart entre les valeurs maximum et minimum du portefeuille sur une période donnée) de 20 %. « Ces deux fonds permettent d'évaluer la pertinence des choix d’allocation d’actifs de nos gérants externes au regard de la performance de notre allocation de portefeuille globale », indique Olivier Fellous, directeur des investissements du groupe Mornay. Dans la mesure où l’exposition des fonds aux différentes classes d’actifs peut varier de 0 à 100 %, le montant cible d’investissement consacré aux deux mandats a été volontairement limité afin d'éviter que les paris opérés par les gérants n’affectent les grands équilibres de l’allocation globale. La création des deux fonds diversifiés s’est inscrite dans un projet plus large d’externalisation de la gestion financière du groupe Mornay, portant sur le quart des réserves gérées pour le compte de l’Agirc-Arrco. Dans le cadre de l’appel d’offres en sélection de gérant pour ces deux fonds, le cahier des charges imposait notamment une expérience dans le domaine de l’allocation d’actifs, justifiée par un historique de performance d’au moins trois ans, la présence de groupes de protection sociale parmi la clientèle du gérant, ainsi que la connaissance des problématiques de gestion spécifiques aux institutions Agirc et Arrco. « Nous avons décidé de créer deux fonds aux styles différents. L’un est géré suivant une approche discrétionnaire basée sur l’analyse macroéconomique des marchés, tandis que la gestion de l’autre dépend d’un modèle purement quantitatif », précise Olivier Fellous. S’ils ont recours à des processus de gestion différents, les deux véhicules d’investissement ont en commun de ne pouvoir recourir qu'à des fonds indiciels cotés (ETF) ou à des OPCVM monétaires. De cette manière, l'évaluation du gérant échappe à toute considération portant sur la sélection de titres, pour se focaliser uniquement sur ses décisions d’allocation d’actifs. Ce choix contribue également à limiter les coûts de gestion. À fin décembre, après un an et demi d’expérience, si les deux gestions donnaient satisfaction, l’approche discrétionnaire tendait à surperformer. Le fonds déployant cette dernière approche présentait alors une allocation répartie entre 58 % d’actions et 42 % d’obligations, tandis que le fonds géré de façon systématique comprenait 38 % d’actions, 58 % d’obligations et 4 % d’actifs monétaires. La composition des portefeuilles a évolué en début d’année, de telle sorte qu'à fin mars le fonds discrétionnaire avait ramené son exposition action à 24 %, en raison notamment des évènements ayant affecté le Japon, le solde étant investi à 48 % en obligations (alors que l’exposition à la classe d’actifs avait été ramenée à zéro au cours des mois précédents) et à 28 % en instruments monétaires. À la même date, le fonds systématique détenait 36 % d’actions (après être monté à 58 % en février), 55 % d’obligations et 9 % d’actifs monétaires. « Il est encore un peu tôt pour tirer des conclusions », estime toutefois Olivier Fellous. « La performance doit être évaluée sur un horizon minimum de trois ans. Jusque-là, les gérants n’ont pas encore totalement exploité leur marge de man??uvre », ajoute-t-il. Par ailleurs, l’environnement économique a fortement évolué depuis le lancement des fonds, avec des conséquences sur la mise en ??uvre du processus d’investissement de type c??ur-satellite déployé dans le cadre de l’approche quantitative. Ainsi, la méfiance du marché envers les émissions de certains émetteurs souverains européens a poussé le gérant à opérer une sélection plus fine des sous-jacents utilisés pour élaborer la poche d’investissement c??ur, censée être sans risque. Article publié sur le site de Bfinance
Selon Philippe Goubeault, dans un article publié par Bfinance, les questions de construction et de diversification des portefeuilles seront traitées dans un deuxième temps. Actuellement, il existe dans la réglementation financière des régimes un quota réservé aux FCPR qui sont les véhicules éligibles pour les investissements en infrastructure non cotés. Compte tenu d’une durée de détention de 8-10 ans, ce type d’investissement n’est envisageable qu'à la marge dans les investissements à long terme. Cette question sera très probablement examinée par les instances. Pour procéder à un investissement en FCPR, une institution doit au préalable obtenir l’accord des fédérations. Cette procédure permet en premier lieu de contrôler le risque de concentration et d'éviter ainsi au niveau de l’ensemble du régime, que le taux d’emprise sur un fonds soit trop important. La réflexion sur l’investissement en actifs des pays émergents est tout juste engagée. Dans la poche taux, la diversification internationale est limitée à 5 % du portefeuille. Des contraintes de notation doivent également être prises en compte même si aujourd’hui certains pays sont aussi bien notés que certains États européens. L’investissement en actions est un peu moins contraint dans la mesure où, dans la partie action et assimilée, 10 % du portefeuille global peut être utilisé pour acquérir des OPCVM investis hors OCDE. En théorie, les marchés émergents peuvent donc représenter une proportion significative, jusqu'à un tiers de l’exposition actions. Ce thème d’investissement sera prochainement examiné par les commissions financières des régimes.
«Fin 2009, on était quasiment à 100% monétaire et aujourd’hui, nous revenons sur des poches plus risquées et notamment sur l’obligataire et les actions», explique d’emblée Yann Patty, trésorier au Crédit Agricole du Val de France. De ce fait l’allocation est progressive et la stratégie de la caisse est cette année, calquée sur celle de l’année dernière. La banque ne s’impose pourtant pas de règle et laisse le marché décider de ses investissements. Si la conjoncture l’influence à aller sur des actions ou des obligations convertibles, le choix reste sensiblement le même comme l’observe Yann Patty: «Nous allons à marche forcée sur les actions en modulant les risques suivant la conjoncture». «On est à Eonia + 0,62% sur notre portefeuille d’actifs, poursuit-il. Mais sur notre portefeuille titres, on a un taux de rendement de 5% et quand on fait la somme des deux, on est à Eonia + 2,56%». La caisse travaille avec cinq sociétés externes au groupe. Elle sélectionne ses partenaires sur l’ancienneté - ils doivent avoir au moins 7 ans - et sur leur taille car elle s’interdit de travailler avec des sociétés de gestion dont l’encours est inférieur à 1,5 milliards. «On ne se refuse pas de travailler avec des petites sociétés de gestion mais en règle générale elles sont très spécialisées», précise Yann Patty. Enfin, la caisse a une petite ligne d’investissement sur le Japon qui est aujourd’hui à - 17% mais elle n’est pas suffisamment lourde pour la pénaliser. La banque la conserve par solidarité.
«Notre actualité est de pouvoir passer le futur ratio de liquidité LCR imposé par Bâle 3», constate d’emblée Paul Antoine Comte, trésorier au Crédit Agricole de Franche Comté. Ainsi, pour fournir son portefeuille d’investissements, le service financier va plutôt rechercher des titres éligibles à ce nouveau ratio de façon à se constituer des réserves de liquidités et d'éviter d’avoir à se refinancer. La caisse axe notamment ses recherches sur du covered bond, des titres étatiques souverain de bonne qualité ou des titres corporates notés au minimum AA -. Elle détient aussi des OPCVM monétaire en vue de se constituer un stock de plus-values. «Le but était de se constituer un petit matelas en termes de performances pures, explique Paul Antoine Comte. A court terme on maintient ce pôle car le nouveau ratio n’est pas encore stable. Pourtant, on a déjà ouvert notre portefeuille à plus de 60% en monétaire et l’idée n’est pas d’en mettre plus». Quant au portefeuille de placements, il est valorisé en valeur de marché mais l’idée est une diversification sur des supports avec peu de risques, en actions et en gestion alternative. Le trésorier de la caisse admet que le rendement pour cette année va surtout être encadré par les limites de risques imposées. «Avec le même portefeuille, on ne passe plus les limites que l’on avait avant et de ce fait, la rentabilité espérée pour 2011 est de 2%, en sachant que plus de la moitié est du monétaire», poursuit Paul Antoine Comte.
BlackRock has announced that it has agreed to repurchase Bank of America Corporation’s remaining ownership interest in BlackRock totaling 13,562,878 of its Series B convertible preferred shares for approximately USD2.545 billion, or USD187.65 per share. The shares will be retired following the close of the transaction which will be immediately accretive to earnings per share. In connection with the transaction, Bank of America Merrill Lynch and BlackRock have worked together to strengthen their enterprise-wide collaboration and enhance their ongoing strategic partnership, according to a press release.BlackRock intends to fund the purchase of the shares through available cash and a total of USD2.0 billion of commercial paper, medium-term and long-term debt. The purchase price represents a 3.6% discount to the average closing price for the immediately preceding 15 day trading period.
The 20 regional co-operative banks of the BPCE group have concluded a strategic reflection on their positioning for 2014, Les Echos reports. By the end of the year, they will be launching an “e-bank,” a new online banking site which will be oriented to sales advising, and will emphasize large businesses, private management, and banking-insurance. In order to develop its image as a private bank, communications from the business will be more targeted, and about 300 people will be trained or recruited to this end.
The Swiss UBP group (Union Bancaire Privée) has awarded Caceis a contract for administration of its Luxembourg and French fund ranges, Caceis announced in a statement on 19 May. Under the new partnership, which covers EUR7bn in assets in Luxembourg funds, and EUR550m in French funds, Caceis will provide a complete range of fund administration services, from its offices in Luxembourg and France. In the mid-term, UBP is planning to extends the partnership to other continental European markets.
Investec Asset Management has posted record net subscriptions of GBP7.4bn in the 12 months to the end of March 2011. The asset management firm has posted an increase in its assets under management to GBP59bn, also a record. Pre-tax operating profits rose 53%, to GBP127m.
Assets under management at Cazenove Capital Management as of 31 December last year totalled GBP15.4bn, largely due to net inflows of GBP600m (compared with GBP400m in 2009) in the wealth management unit (with assets of GBP11.1bn), but a slight net outflow from the investment funds unit (GBP4.3bn in assets, of which GBP3bn were invested in long-only funds). Net profits for the fiscal year were nonetheless down 37% to GBP11.3m, as performance commissions from hedge funds fell to GBP600,000 at the end of 2010, from GBP14.7m in 2009. Excluding performance commissions, profits rose 24% due to good results in the wealth management unit.
Le gestionnaire américain lance Fidelity Funds China Consumer Fund, qui permet d’investir directement dans des entreprises de la Chine élargie (Chine, Hong Kong, Taiwan). Les valeurs du fonds comprennent des sociétés prenant part au développement, à la fabrication ou à la vente de biens ou de services destinés aux consommateurs chinois. Le gérant, Raymond Ma, s’appuie sur cinq analystes dédiés au secteur de la consommation en Chine.
La filiale de l’assureur français Axa envisage d’investir dans la privatisation des aéroports de Madrid et Barcelone, selon un article à paraître le mois prochain dans la revue Institutional Investing in Infrastructure. L’Espagne a annoncé en décembre sa volonté de privatiser partiellement l’opérateur aéroportuaire AENA, en cédant jusqu'à 49% du capital de la société pour en retirer environ 8,8 milliards d’euros.
«Lumière» sera le maître mot de la présidence française du G20, selon la ministre de l’économie Christine Lagarde, invitée hier de la célébration du centenaire de l’Agefi. La France entend ainsi s’attaquer à la régulation des produits dérivés sur matières premières, notamment agricoles, par la mise en place de limites de positions. La France souhaite également encadrer le «shadow banking», superviser le trading de haute fréquence, alors que les consommateurs entreront également dans le cadre de la régulation.
Le spécialiste du diagnostic in vitro des allergies et des maladies auto-immunes tombe dans l’escarcelle de Thermo Fisher Scientific pour 2,47 milliards d’euros. Le groupe suédois était détenu par le fonds d’investissement britannique Cinven. L’opération, qui devrait être finalisée au quatrième trimestre, doit être relutive en 2012 à hauteur de 26 à 30 cents. Barclays Capital a conseillé Thermo, tandis que Phadia a été assisté par Goldman Sachs. Cinven avait acquis Phadia, ancienne filiale de Pfizer, à PPM Capital et Triton Advisers en 2007 lors d’une transaction valorisant le groupe à 1,28 milliard d’euros. Selon le gérant, cette opération lui offre un rendement plus de trois fois supérieur à son investissement initial. Pour l’acquéreur, ce rachat lui permet d'étoffer sa gamme de produits de diagnostics après la reprise de la société californienne Dionex pour 2,1 milliards de dollars. Une opération finalisée il y a trois jours.
La société d’investissement a dégagé sur l’exercice clos le 31 mars dernier un bénéfice net de 135,2 millions d’euros, en hausse de 15% sur un an. Au total, Gimv a investi 151,7 millions d’euros sur l’exercice repris au bilan. Les désinvestissements représentaient, au 31 mars dernier, une valeur totale de 59,1 millions d’euros.
L’indice des indicateurs avancés, qui préfigure la tendance générale de l'économie américaine pour les mois à venir, a reculé au mois d’avril pour la première fois depuis juin 2010. L’indice calculé par l’organisation patronale Conference Board a reculé de 0,3% en avril, après avoir progressé de 0,7% (révisé en hausse de 0,4%) le mois précédent. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une augmentation de 0,1%.
Selon des sources citées par Bloomberg, Tony Hayward prévoit de lever au moins un milliard de livres à l’occasion de l’introduction en Bourse d’un fonds dédié à l'énergie. Ce véhicule d’investissement, soutenu par Nathaniel Rothschild et Julian Metherell (Goldman Sachs), sera coté sur le LSE dans les trois prochains mois. Tony Hayward travaille avec JPMorgan et Credit Suisse.
Le premier gérant mondial a décidé de racheter la totalité des actions entre les mains de Bank of America, mettant un terme à une longue relation capitalistique. BlackRock va verser 187,65 dollars par action, ou 2,54 milliards de dollars, pour les 13,6 millions d’actions préférentielles convertibles détenues par Bank of America. Ce prix représente une décote de 3,6% par rapport au cours de clôture moyen des 15 dernières séances.
Le fonds va consacrer 240 millions d’euros au rachat de la société allemande de téléphonie. Apax Partners, avec 41,7% du capital, Cyrte et United Internet, avec chacun 25%, ont accepté de céder leurs titres pour 5,5 euros pièce. Les actionnaires détenant les 3% restants se verront offrir 6,7 euros par action. Versatel a clôturé mercredi à 7,95 euros.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 14 mai, à 409.000 contre 438.000 (révisé) la semaine précédente a annoncé hier le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 420.000 inscriptions au chômage. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 439.000 contre 437.750 (révisé) la semaine précédente.
Le premier opérateur américain sur les contrats à terme prévoit d’ouvrir un marché sur le blé en Ukraine. Un protocole d’accord doit être signé en ce sens avec Kiev. Les contrats qui auront pour lieux de livraison les ports de la Mer Noire seront négociés sur le système électronique Globex et devraient être compensés dans un premier temps par CME.
L’indice des conditions d’activité de la Réserve fédérale de Philadelphie est ressorti en forte baisse en mai et a largement manqué les attentes, atteignant un plus bas depuis octobre 2010. Cet indice s’inscrit à 3,9 en mai contre 18,5 en avril. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient à 20,0.