En visite dans l’ancienne colonie britannique, le vice-Premier ministre chinois a présenté une série de mesures visant à faciliter les flux financiers en RMB
Le taux d’inflation annuel de la zone euro est ressorti à 2,5% en juillet contre 2,7% en juin. La variation mensuelle atteint ainsi -0,6%, conformément aux attentes du consensus Bloomberg. L’IPC de base a ralenti à 1,2% contre 1,6% projeté.
Les stocks de brut ont progressé de 4,23 millions de barils à 353,98 millions, contre 800.000 barils attendus par le consensus. Les stocks d’essence ont en revanche reculé davantage que prévu, de 3,51 millions de barils à 210,08 millions contre un consensus de -1,3 million. Le taux d’utilisation des capacités des raffineries a reculé de 0,9 point à 89,1%.
Le Venezuela prévoit de transférer 6,3 milliards de dollars de réserves de cash, jusqu’ici détenues dans des établissements tels que la Banque des Règlements Internationaux (BRI) en Suisse ou Barclays à Londres, ainsi que 211 tonnes d’or d’une valeur de 11 milliards de dollars, jusqu’ici détenues à la Banque centrale du pays à Caracas, vers des banques chinoises et brésiliennes, selon le Wall Street Journal qui cite des documents officiels.
Le président américain estime que le comité bipartite du Congrès chargé de définir les futures réductions des dépenses devra aller au-delà de l’objectif de 1.500 milliards de dollars qui lui a été fixé, a annoncé hier un responsable de la Maison blanche. Barack Obama doit proposer début septembre devant le Congrès un programme détaillé prévoyant des économies dépassant 1.500 milliards.
L’Agence France Trésor a servi 225 millions d’euros de soumissions non compétitives à l’issue de son adjudication de bons du Trésor (BTF) du 16 août. Le montant total des BTF émis dans le cadre de cette opération s'élève à 7,734 milliards. Ce volume se répartit en 2 milliards de BTF à 7 semaines, 4,078 milliards de bons à 12 semaines et 1,656 milliard de bons à 27 semaines.
Les prix à la production ont augmenté de 0,2% en juillet, après un recul de 0,4% en juin, selon les chiffres publiés mercredi par le département du Travail. Sur un an, les prix sont en hausse de 7,2%. Hors alimentation et énergie, les prix ont augmenté sur un an de 2,5%, après 2,4% en juin, soit la plus forte hausse depuis juin 2009.
L’agence de notation ne voit pas de risques immédiats susceptibles de peser sur la perspective stable attachée à la note BBB de la Russie, même si la dépendance au pétrole du pays reste préoccupante, en particulier en une période électorale. «Avec les élections législatives et présidentielles qui se rapprochent, il y aura peu de volonté pour réduire les dépenses. Ainsi, de telles pressions budgétaires se traduiraient probablement par d’importants besoins de financement», a déclaré à Reuters Kai Stukenbrock, analyste en chef chargé de la Russie chez S&P.
La facilité en dollar de la BCE a été sollicitée hier pour la première fois depuis février, signe des tensions régnant sur le marché monétaire. Une seule banque de la zone euro a emprunté 500 millions de dollars à une semaine à 1,1%, soit bien au-dessus du taux auquel les banques ayant un bon crédit peuvent emprunter sur le marché. Le coût de financement en dollar des banques de la zone euro a triplé en l’espace d’un mois, en conséquence des troubles financiers, rendant le financement de la BCE plus attrayant. La hausse du coût de financement en dollar pousse les acteurs dont la qualité de crédit est faible vers le guichet de la BCE. Cette dernière tire parti d’une ligne de swap avec la Fed pour prêter des dollars aux banques européennes, en échange de valeurs mobilières données en garantie. Les spécialistes estiment que ce type d’opération se fait au taux du contrat OIS en dollar à un mois plus 100 bp.
Dans l’arbitrage entre croissance et inflation, la banque d’Angleterre fait le choix de sacrifier son mandat de garantir la stabilité des prix pour soutenir la croissance. Dans ses minutes, la BoE a en effet estimé que «le ralentissement de la croissance de la demande mondiale et les tensions accrues sur les marchés financiers signifient que la balance des risques de la perspective d’inflation à moyen terme s’est clairement orientée à la baisse». Deux membres du comité, Spencer Dale et Martin Weale, qui votaient en faveur d’une hausse de taux depuis six mois, se sont résignés à voter le statu quo lors de la réunion des 3 et 4 août. Seul Adam Posen a dit souhaiter des mesures d’assouplissement quantitatif, mais d’autres ont estimé que de nouveaux rachats d’actifs pourraient être nécessaires. Le taux de chômage a atteint 7,9% fin juin et l’inflation 4,4% avec un pic qui pourrait atteindre 5% cette année selon la BoE.
Pour un montant en numéraire non divulgué, l’Union Bancaire Privée (UBP) acquiert ABN AMRO Bank (Switzerland) AG auprès du néerlandais ABN AMRO Bank N.V., sous réserve des autorisations réglementaire, la transaction devant normalement être bouclée dans le courant du quatrième trimestre 2011.ABN AMRO Bank (Switzerland) AG est une banque privée suisse dont les encours à fin mars 2011 s’élevaient à 11 milliards d’euros. Elle emploie plus de 350 collaborateurs, et dispose de succursales et de bureaux de représentation à Zurich, Genève, Lugano et Bâle.Cette acquisition permettra à l’UBP d’accroître d’un coup ses actifs sous gestion de 20 % et de développer son activité de banque privée en Suisse.
Le prestataire de services financiers AWD, filiale allemande du groupe Swiss Life, a dégagé au premier semestre un résultat d’exploitation en hausse de 7% à 21,8 millions d’euros pour un chiffre d’affaires en progression de 1% durant la période de référence à 265,5 millions d’euros (contre 262,9 millions l’année précédente), a indiqué Swiss Life le 17 août dans un communiqué.Swiss Life a par ailleurs enregistré un bénéfice d’exploitation de 452 millions de francs pour le premier semestre 2011, soit une croissance de 9% par rapport au premier semestre 2010, malgré les effets de change négatifs (contre 415millions l’année précédente). Le bénéfice net s'établit à 403 millions de francs (contre 269 millions l’année précédente); l’amélioration est ici de 50%, favorisée par une incidence fiscale exceptionnelle de 89 millions de francs. Les fonds gérés par Swiss Life atteignaient fin juin 141,4 milliards de francs (plus 6% par rapport à la fin 2010). Le secteur Investment Management du groupe SwissLife, qui a crû de 24% (57 millions de francs contre 46 millions en 2010), surtout grâce au développement et à l’activité soutenue dans le secteur immobilier, a fortement contribué au résultat.
En utilisant le quota de 100 millions de dollars qui lui a été accordé par l’Office des changes chinois (SAFE) au titre de sa licence QFII obtenue en décembre 2010, le suisse Julius Baer lance le Julius Baer China Fund qui investira en actions chinoises A (réservées au marché intérieur).
Selon Investment Week, Barings vient de recruter Ajay Argal en qualité de responsable des actions indiennes. Il sera basé à Hong Kong et devrait prendre ses fonctions en septembre.Il travaillait précédemment chez Birla Sunlife AMC où il était responsable des actions internationales et gérait les fonds India Advantage et Excel India.
Sur les 19,2 milliards de dollars de souscriptions nettes enregistrées au premier semestre par les ETF cotés en Europe, iShares (BlackRock) en a trusté 9,4 milliards et UBS Global Asset Management, 3,9 milliards. Source a attiré 2,5 milliards de dollars, Amundi ETF a drainé 2,3 milliards et Credit Suisse Asset Management 1,6 milliard. iShares et UBS Global AM ont ainsi à eux seuls enregistré 69,3 % des rentrées nettes des ETF européens, si l’on se fonde sur les statistiques publiées par BlackRock.En revanche, Lyxor Asset Management (Société Générale) a été le promoteur qui a accusé les plus fortes sorties nettes, avec 2,4 milliards de dollars, devant ETFlab (Commerzbank), qui a subi des remboursements nets de 1,5 milliard.Pour juin, les souscriptions nettes sont ressorties à 3,8 milliards de dollars, dont 1,6 milliard sont allés à iShares et 1 milliard à UBS Global AM, les remboursements nets les plus importants ayant été accusés par db x-trackers (Deutsche Bank), avec 0,4 milliard.Concernant les encours, iShares, Lyxor et db x-trackers restent en tête du palmarès avec respectivement 116,3 milliards de dollars (36,2 % du marché européen), 53,5 milliards (16,7 %) et 51 milliards (15,9 %).BlackRock a recensé à fin juin un total de 1.185 ETF cotés 1.185 fois sur 23 Bourses et lancés par 40 promoteurs. Les actifs sous gestion se situaient à 321,2 milliards de dollars, progressant ainsi de 0,9 % sur fin mai (318,2 milliards) et gonflant de 13,1 % sur les 284 milliards de fin décembre.
Dans un entretien au Financial Times Fund Management, Thorsten Michalik, responsable mondial de db X-trackers (groupe Deutsche Bank), répond aux critiques dont les ETF font l’objet. Il regrette la stigmatisation des ETF, estimant que la plupart des problèmes identifiés par les régulateurs, dont l’utilisation de dérivés, sont pratique courante pour beaucoup d’autres produits financiers vendus aux particuliers. Thorsten Michalik s’oppose à la mise en place de restrictions à la vente d’ETF synthétiques aux particuliers. Peut-être aussi parce que db X-trackers commence à le faire en Allemagne via un partenariat avec DAB Bank aux termes duquel il offre des transactions sans frais sur les ETF aux épargnants réguliers.
En 2010, les encours sous gestion des fonds européens représentaient 5.200 milliards d’euros, selon Lipper FMI et Cerulli Associates. Un niveau certes supérieur au plus bas de 2008, mais qui reste inférieur à celui de 2007 (5,4 milliards d’euros). Ce secteur reste dominé par les sociétés de gestion captives (appartenant à des banques ou compagnies d’assurances). Ainsi, en septembre 2010, 66,7 % des encours des fonds européens étaient encore «captifs», selon un sondage réalisé par Cerulli Associates* auprès des 30 principaux groupes de gestion transfrontières en Europe. Même s’il recule depuis 2008, où la proportion était de 71,4 %, ce niveau reste élevé.Les moyennes européennes doivent toutefois être maniées avec précaution, nuance le consultant, selon lequel il convient d’aborder chaque marché individuellement. En effet, compte tenu de leur histoire, les pays ne connaissent pas la même évolution et offrent des opportunités différentes.Ainsi, pour Cerulli, l’Italie, dont le secteur des fonds représente 439,8 milliards d’euros, reste l’un des marchés clés en Europe pour les fonds internationaux et la distribution de fonds tiers, même si les actifs et les flux ont du mal à renouer avec leur vigueur passée. «Toutefois, les acteurs internationaux et transfrontières sont considérés favorablement par les investisseurs institutionnels et particuliers», indique l’étude. Les grandes banques continuent de dominer le secteur mais elles font appel à des prestataires extérieurs pour des classes d’actifs et portefeuilles spécialisés. Le consultant note enfin que les fonds de fonds et les fonds dédiés étaient le canal privilégié des investisseurs il y a cinq ans, mais que cela a changé avec l’arrivée de la directive MIF, de faibles performances et un manque de confiance. Côté espagnol, où les encours ressortaient à 205,3 milliards d’euros contre 316,7 milliards en 2006, les canaux de distribution, tout comme le système bancaire, sont en pleine refonte. Le nombre de distributeurs se réduit à coup de fusions, ce qui pourrait être une bonne nouvelle pour les sociétés de gestion non captives. Reste à convaincre les investisseurs de revenir vers les fonds, souligne Cerulli. Plus au nord, en Allemagne (472,5 milliards d’euros), l’étude observe que les investisseurs particuliers sont sous-diversifiés, ce qui n’est pas une bonne nouvelle pour les fournisseurs de fonds tiers… Résultat des courses : les banques privées, les conseillers en gestion de patrimoine et les fonds de fonds représentent la meilleure opportunité pour les sociétés qui voudraient vendre leurs fonds, indique le consultant. Au Royaume-Uni (604,2 milliards de livres), Cerulli rappelle que les commissions de vente des fonds vont être bannies chez les conseillers financiers, ce qui va avoir un certain nombre de conséquences en termes de distribution. Ainsi, pour survivre, les conseillers vont devoir réduire leurs coûts et se débarrasser des clients non rentables. Pour ce faire, ils externalisent la sélection de fonds et utilisent des plates-formes. Cerulli note aussi que des milliers de conseillers pourraient disparaître tandis que d’autres vont se concentrer sur les clients fortunés disposant d’au moins 100.000 livres. Cela va doper le canal de la vente directe au consommateur, principalement sur Internet.Enfin, pour la France (729,6 milliards d’euros), Cerulli note que les sociétés de gestion captives sont non seulement gigantesques, mais qu’elles ont aussi du succès, notamment dans la vente de leurs fonds en Europe en en Asie. Par ailleurs, si le canal des conseillers en gestion de patrimoine indépendants pouvait s’exprimer d’une seule voix, il pourrait capturer une part de marché décente.* The Cerulli Report, European Distribution Dynamics
Bank of America est en négociations exclusives pour vendre le gros des investissements immobiliers de Merrill Lynch, effectués lors de la période faste, à Blackstone, selon le Financial Times. Selon des personnes proches du dossier, la transaction serait comprise entre 800 millions de dollars et 1 milliard d’investissements immobiliers en Europe, aux Etats-Unis et en Afrique du Sud. Les négociations peuvent encore échouer, précisent les sources du FT.
Au 31 juillet, les actifs gérés par Franklin Templeton Investments ont augmenté à 747,2 milliards de dollars contre 734,2 milliards fin juin et 670,7 milliards au 31 décembre 2010. Cet accroissement est attribuable tant aux fonds d’actions, à 313,6 milliards contre 309,8 milliards au 30 juin et 296,1 milliards fin décembre, qu’aux fonds obligataires, avec 312,7 milliards contre respectivement 303,1 milliards et 262 milliards.De son côté, Invesco fait état d’un tassement de ses encours totaux à 652,8 milliards de dollars fin juillet contre 653,7 milliards un mois auparavant, bien que les actifs gérés dans des ETF, des unit investment trusts et des fonds passifs aient augmenté à 95,4 milliards de dollars contre 91,8 milliards.Pour sa part, Legg Mason a indiqué que son encours total a baissé à 655,4 milliards au 31 juillet, contre 662,5 milliards fin juin et 671,8 milliards sept mois plus tôt. La baisse est surtout imputable aux fonds monétaires, à 108,6 milliards de dollars contre 115,6 milliards au 30 juin et 131,8 milliards au 31 décembre 2010.
A fin juin, les actifs gérés par les ETF dans le monde ressortaient à 1.442,7 milliards de dollars contre 1.446,6 milliards. Malgré cette nouvelle diminution de 0,3 % (après 1,6 % en mai), le total reste supérieur de 10 % aux 1.311,3 milliards de fin décembre, révèlent les statistiques de BlackRock.Au total, on recensait au 30 juin 2.825 ETF cotés 6.229 fois sur 490 Bourses et lancés par 146 promoteurs différents. Sur les six premiers mois de l’année, le nombre d’ETF a augmenté de 14,3 %, avec 393 lancements, 8 radiations et 20 fusions. Actuellement, il existe des projets de lancement pour 1.037 ETF.Vu l'écart par rapport à leurs poursuivants, les trois promoteurs de tête restent solidement à leur place (lire notre article du 15 juin). iShares (BlackRock) reste premier avec 474 ETF, un encours de 620,7 milliards de dollars et 43 % de part de marché, devant State Street Global Advisors (SSgA), qui affiche respectivement 137 ETF, 204,2 milliards de dollars et 14,2 % de part de marché, suivi de Vanguard (69 ETF, 175,5 milliards de dollars et 12,2 % du marché).
Boyce Greer, head of Institutional Investments de Fidelity, est décédé dimanche 14 août lors d’un accident de kayak dans l’Idaho, indique le site Union Leader.com. Agé de 55 ans, marié et père de trois filles, il occupait notamment la vice-présidence de Pyramis Global Advisors. Il était par ailleurs président de Strategic Advisers et du global asset allocation group de Fidelity. Au total, Boyce Greer a passé 25 ans au sein du gestionnaire américain.
Fidelity Investments a annoncé que son pôle Institutional Services a été renommé Financial Advirsors Solutions afin de mettre en exergue la fourniture de solutions de gestions pour les conseillers financiers et les investisseurs institutionnels. Cette division travaille avec plus de 4.000 institutions financières et 54.000 conseillers financiers ; elle gère 385 milliards de dollars.Financial Advisors Solutions aura Scott Couto pour président, un poste dont il assurait jusqu'à présent l’intérim. Auparavant, il a été executive vice president, product management & marketing ; il a rejoint le groupe Fidelity en 2009 après plusieurs années dans des postes de direction chez Evergreen Investment Management, en dernier lieu comme COO. Il est subordonné à Gerard J. McGraw, president de Fidelity Institutional.
La filiale allemande du groupe suédois SEB lance pour le compte du prestataire indépendant de services financiers Deutsche Forst Invest GmbH un fonds d’investissement spécialisé de droit luxembourgeois, le Forst Invest - Waldfonds S.C.A. SICAV-SIF qui investira exclusivement dans des forêts situées en Allemagne.SEB assure l’administration, la comptabilité, la valorisation et le reporting du fonds pendant que Forst Invest prend en charge la gestion. Le premier closing pour ce produit institutionnel accessible moyennant une souscription minimale de 0,5 million d’euros est fixé au 31 octobre.Les revenus du fonds seront générés par la vente de bois et par l’appréciation liée à la transformation progressive des parcelles en forêts à essences multiples (résineux et feuillus).
L’allemand Universal-Investment vient de lancer avec le danois Global Evolution un nouveau compartiment de la sicav luxembourgeoise Saxo Invest, le Saxo Invest-Global Evolution Frontier Markets (Fixed Income) qui se spécialise sur les obligations souveraines des pays frontières (actuellement 33 pays différents). Les valeurs en portefeuille affichent une notation moyenne de «B» (single B) et un rendement à échéance de 11 %, l’objectif de performance étant une fourchette de 10 à 12 % annuels. Le risque de change du dollar contre euro est couvert, mais l'équipe de gestion table exclusivement sur des gains de change pour les émissions dans les autres monnaies des pays concernés.Le nouveau fonds bénéficie déjà d’un agrément de commercialisation en Allemagne, en Autriche, au Royaume-Uni et en Suède. Il sera suivi d’autres fonds marchés émergents de Global Evolution.CaractéristiquesDénomination : Saxo Invest-Global Evolution Frontier Markets (Fixed Income)Codes Isin : LU0501220429 (parts R retail)LU0501220262 (parts I institutionnelles)Droit d’entrée : maximum 5 % (parts R)Frais de gestion : 1,5 % (parts R) et 1 % (parts I)Commission de performance : 10 % avec high watermarkSouscription minimale : 300 euros (parts R)1 million d’euros (parts I)
Membre du directoire de Commerz Real, Heiko Beck a rejoint le comité directeur du gestionnaire de fonds immobiliers Union Investment Real Estate (UIRE), où il prend la responsabilité du contrôle de gestion, de la comptabilité, des affaires juridiques et des questions fiscales. De plus, il sera chargé de la gestion centrale des immeubles.Avec l’arrivée de Heiko Beck, l'équipe dirigeante d’UIRE compte cinq personnes sous la présidence de Reinhard Kutscher, qui se trouve désormais déchargé du contrôle de gestion et de la gestion centrale des immeubles.
Cristobal Mendez de Vigo, le responsable de la distribution institutionnelle de F&C Asset Management, a quitté la société à la fin de la semaine dernière, selon Financial News. Il compte se tourner vers un projet entrepreneurial.
L’assureur néerlandais Aegon NV a annoncé le 16 août la cession de sa filiale britannique Guardian Financial Services (contrats vie et retraites) à un fonds du capital-investisseur Cinven pour 275 millions de livres. Aegon Asset Management continuera de gérer 7,4 milliards de livres pour Guardian.