La société de gestion alternative française Europanel Research & Alternative Asset Management (Eraam), qui compte Edmond de Rothschild Asset Management (EdRAM)parmi ses actionnaires depuis 2019, traverse une situation délicate, selon les informations de NewsManagers.Sollicités,Eraam n’a pas donné suite à nos demandes et EdRAM n’a pas souhaité communiquer sur le sujet. Depuis l’arrivée d’EdRAM, Eraam, devenue une société par actions simplifiée (SAS),a connu d’importants mouvements de dirigeants et de départs successifs. L’ancien président, administrateur et cofondateur Cyril Julliard a vu son mandat être révoqué par le conseil d’administration d’Eraamen juin 2020 de manière immédiate sans que le conseil ne motivesa décision. Il aété remplacé à son posteparCyril Lureau. Olivier Neau, qui avait succédé à Cyril Lureau au poste de directeur général, a lui démissionné et n’a pas été remplacé dans cette fonction. Quant auresponsable historique des investissements, Olivier Kintgen, il est passé responsable de la sélection dehedge funds sur la plateforme de multigestion d’EdRAM tout en restant administrateur d’Eraam. Sur le plan financier, les choses se sont par ailleurs détériorées. Des informations dévoilées au cours du jugement ce 24 novembrepar la Cour d’appel de Paris, d’un litige judiciaire entre la société de multigestion alternative et l’un de ses anciens prestataires et actionnaires, laissent ainsi entrevoir la «fragilité» de l’état de la société de gestionfondée en 1998 et jadis incubée par La Financière de l’Echiquier. Un tournanten2019 A l’origine de l’affaire, un prestataire en conseils qui avait travaillé avec la société de gestion de novembre 2016 à octobre 2019. En mai 2018, il participe à une augmentation de capital de la firme en souscrivant à 3.000 actions nouvelles d’Eraam pour un montant de 515.640 euros et consent à une promesse de vente de ses actions au profit d’Eraam à un prix équivalent à celui de la souscription (171,88 euros par action). Il soutient avoir souscrit à ces actions au motif d’une promesse de contrat de travail de la part d’Eraam. Mais en 2019, la structure d’Eraam évolue avec l’entrée à son capital d’Edmond de Rotschild AM à hauteur de 34%. Ce dernier bénéficie d’une option pour devenir actionnaire majoritaire dans les deux ans. Le prestataire vend 396 actions à EdRAM et son contrat de services n’ayant pas été renouvelé, propose à Eraam de racheter ses actions restantes, ce que la société de gestion lui refuse. Il assigne alors Eraam devant le tribunal de commerce de Paris pour que soit prononcée la résolution du contrat de cession d’actions et demande la mise sous séquestre du prix d’acquisition de ses actions. Le 17 février 2021, le tribunal de commerce de Paris lui donne raison et ordonne le séquestre d’une somme de 447.575 euros sur les comptes de la société, correspondant au prix d’acquisition des 2.604 actions encore détenues par l’ex-prestataire. Le jugement prononcé en appel le 24 novembre, dontNewsManagers a obtenu copie, a confirmé l’ordonnance du tribunal de commerce et la mise sous séquestre de la somme. Il a par ailleurs débouté l’ex-prestataire de ses demandes d’astreinte de 5.000 euros par jour de retard et d’exécution du séquestre sur les comptes d’Eraam ouverts en France. Trésorerie fragilisée En appel, l’ex-prestataire et actionnaire a justifié sa demande entre autres par un «dommage imminentdu fait de l’avenir incertain d’Eraam dont la situation financière est obérée». Eraam, qui a défendu la nullité de l’assignation et le rejet du séquestre, a balayé l’idée d’un tel dommage, arguant que la société disposait d’une trésorerie «suffisante pour faire face à une éventuelle condamnation à restitution du prix de souscription des actions, aussi improbable soit-elle». Néanmoins, la société de gestions’est émue du«caractère disproportionné» du séquestre qui pourrait avoir des conséquences lourdes sur sa trésorerie. Outre une violation du ratio de fonds propres réglementaires (qui doivent être supérieurs à 500.000 euros), Eraam a évoqué une «fragilisation disproportionnée» de la trésorerie. Dans la pire configuration, sans le séquestre, la trésorerie d’Eraam atteindrait 908.000 euros. En y ajoutant le séquestre de 447.575 euros, le niveau de trésorerie sera «insuffisant pour couvrir deux mois de frais généraux selon le rythme observé au 28 février 2021, d’où un risque de placement d’Eraam en redressement judiciaire», a fait valoir le gestionnaire d’actifs. Eraam a par ailleurs avancé qu’elle risquait aussi une déchéance du prêt garanti par l’Etat (PGE) puisque la mise sous séquestre pourrait ouvrir un cas d’exigibilité anticipée du prêt, la forçant à rembourser la somme de 800.000euros, «ce qui aurait un impact catastrophique sur son niveau de trésorerie et pourrait la conduire rapidement à un état de cessation des paiements.» Effondrement des encours sous gestion Dans sa décision, la Cour d’appel de Paris évoque des données relatives à la situation financière d’Eraam relevées par le tribunal de commerce, qui «accréditent une fragilité de l’état de cette société». Elle liste notamment une perte comptable nette de plus de 2 millions d’euros en 2019 quand le prévisionnel prévoyait + 2 millions d’euros, la dépréciation des titres Eraam dans les comptes d’EdRAM – mentionné comme actionnaire principal dans la décision – ainsi qu’une sévère diminution des encours des actifs sous gestion des fonds. Selonla Cour, qui ne donne pas de période précise,le fonds Eraam Long Short Equity a vu ses actifs fondre de 97 à 28 millions d’euros (17,9 millions d’euros fin octobre selon les données de Morningstar). Ceux du fonds Eraam Premia Low Vol ont chuté de 60 à 2,4 millions d’euros (2,3 millions d’euros fin novembre selon Morningstar). Pis, les encours d’Eraam Premia, incubé à hauteur de 20 millions d’eurospar le fonds de placeEmergence entre 2016 et 2020, sont passés de 325 à 26 millions d’euros (6,2 millions d’euros fin novembre selon Morningstar). «Ces éléments, sans que l’état ponctuel de la trésorerie, invoqué par Eraam, soit un élément déterminant, sont de nature à laisser craindre un dommage imminent par la perte de valeur d’Eraam et des titres détenus par M.X et par une impossibilité de la société de faire face au paiement des actions en cas de succès de l’instance introduite au fond par M.X. La société Eraam n’est pas fondée à invoquer les conséquences manifestement excessives qu’entrainerait le séquestre demandé, alors-même qu’elle prétend être dans une situation financière saine et disposer d’une trésorerie suffisante», jugela Cour. A noter que le délai de réunion de l’Assemblée générale ordinaire appelée à statuer sur les comptes d’Eraam pour l’exercice clos le 31 décembre 2020 a été prorogée au 31 décembre 2021 par le tribunal de commerce deParis. Ce délai a déjà été repoussé à trois reprises.
BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) fait évoluer 18 de ses ETF vers des indices ESG et Paris Aligned Benchmark à compter du 1er décembre, «afin de renforcer le caractère responsable de sa gamme indicielleBNP Paribas Easy», selon un communiqué. Avec ces changements d’indices, 83% de la gamme indicielle de BNPP AM représentant 16,4 milliards d’euros d’encourssont désormais catégorisés article 8 et article 9 selon la réglementation SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation). Les indices des ETF de la gamme MSCI SRI S-Series 5% Capped adoptent, en plus des critères ISR déjà appliqués, les caractéristiques des Paris Aligned Benchmarks (PAB), dont l’objectif est notamment de réduire l’intensité carbone de l’indice d’au moins 50 % par rapport à l’univers d’investissement initial la première année et d’atteindre un objectif de décarbonation d’au moins 7% par an ensuite, en ligne avec les trajectoires des Accords de Paris. Sept ETF de la gamme indicielle de BNPP AM sont concernés par cette évolution. Ils bénéficient désormais d’un classement SFDR Article 9.Les indices des ETF de la gamme MSCI ex-CW (ex-Controversial Weapons) évoluent vers des indices MSCI « ESG Filtered Min TE ». Les critères ESG sont intégrés en sélectionnant des émetteurs ayant de meilleurs scores ESG au sein de leur univers d’investissement de référence et en excluant certains secteurs controversés(tabac, charbon, armes controversées…) tout en en minimisant la Tracking Error. Les cinq ETF concernés bénéficient d’un classement SFDR Article 8.Les indices des ETF de la gamme Smart Beta adoptent également des critères ESG, en sélectionnant des émetteurs ayant de meilleurs scores ESG au sein de leur univers d’investissement de référence, et en excluant certains secteurs controversés. Les six ETF concernés bénéficient d’un classement SFDR Article 8.En parallèle de ces changements d’indices, les ETF BNP Paribas Easy ECPI Global ESG Blue Economy et BNP Paribas Easy ECPI Circular Economy Leaders voient leur classification SFDR évoluer de l’Article 8 vers l’Article 9, pour mieux refléter leurs objectifs en matière d’investissement responsable.Les ETF de la gamme BNP Paribas Easy concernés:BNP Paribas Easy MSCI Emerging SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI Europe Small Caps SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI USA SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI World SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI Japan SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI Europe SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI EMU SRI S-Series PAB 5% CappedBNP Paribas Easy MSCI Emerging ESG Filtered Min TEBNP Paribas Easy MSCI Europe ESG Filtered Min TEBNP Paribas Easy MSCI Japan ESG Filtered Min TEBNP Paribas Easy MSCI North America ESG Filtered Min TEBNP Paribas Easy MSCI Pacific ex Japan ESG Filtered Min TEBNP Paribas Easy ESG Low Vol EuropeBNP Paribas Easy ESG Low Vol USBNP Paribas Easy ESG Momentum EuropeBNP Paribas Easy ESG Quality EuropeBNP Paribas Easy ESG Value EuropeBNP Paribas Easy ESG Dividend Europe
Schelcher Prince Gestionva gérer le fonds Pro’Action Rebond 2021 lancé par Pro’Action Retraite, une association créée à l’initiative des élus de caisses de retraite des professions libérales, notamment les notaires, les experts comptables et les vétérinaires. Il s’agit d’un fonds dédié de dette privée pour financer les PME et ETI françaises. L’objectif est de lever 200 millions d’euros, avec un premier closing de 80 millions d’euros déjà réalisé. La commercialisation est ouverte à d’autres investisseurs institutionnels qui souhaitent s’engager pour l’économie française. Pour ce fonds, Pro’Action Retraite a mandaté Insti7, spécialiste du conseil en investissements financiers, pour une mise en concurrence de sociétés de gestion. Schelcher Prince Gestion a été sélectionné pour son expertise dans le financement des PME/ETI françaises.
La société de private equity Altor pourrait fusionner deux de ses entreprises, la société de gestion Carneo et la banque d’investissement Carnegie, a appris le quotidien suédois Dagens Industri. Le projet derrière ces discussions est la cotation en Bourse du groupe ainsi créé par la fusion. A court terme, l’idée est qu’un rapprochement devrait permettre une meilleure offre pour les clients.
Janus Henderson Investors doit annoncer ce 1er décembre six nominations au sein de son équipe d’investissement ESG. Basés à Londres, les nouveaux employés seront rattachés à Paul LaCoursiere, responsable mondial des investissements ESG. Dan Raghoonundon est nommé en tant que responsable de la recherche ESG. Au sein de ce nouveau poste, il sera chargé de diriger les efforts de l’équipe pour établir et créer un centre d’expertise technique spécialisé dans la recherche sur les investissements ESG. Dan Raghoonundon revient chez Janus Henderson après trois années, pendant lesquels il a obtenu un doctorat en finance à la Rotterdam School of Management. Auparavant, il y fut gérant de portefeuille dans l’équipe actions marchés émergents. Il a également travaillé en tant qu’analyste senior chez Morgan Stanley Investment Management entre 2006 et 2014. Janus Henderson Investors a également embauché trois analystes: Charles Devereux, Olivia Jones (analyste junior), Jesse Verheijen (analyste des données ESG). Charles Devereux et Olivia Jones vont mener des recherches thématiques, sectorielles et souveraines indépendantes et évolutives, afin d’aider les équipes d’investissement dans toutes les classes d’actifs. Jesse Verheijen sera chargé de travailler avec les équipes d’investissements dans toutes les catégories d’actifs, pour approfondir l’intégration des données, de la recherche, de l’analyse et de la gestion ESG dans les processus d’investissement. Charles Devereux arrive d’Aviva Investors, où il était dernièrement analyste sectoriel ESG dans la gestion des investissements. Pour sa part, Olivia Jones arrive de Kukua, une société de conseil spécialisée dans ESG, où elle était analyste ESG et durabilité. Jesse Verheijen arrive d’Aviva Investors, où il était data scientist. Auparavant, il fut consultant senior en risques chez EY. Bhaskar Sastry a été nommé au poste de responsable du contenu ESG. Il sera chargé de la création et la gestion du contenu de l’approche ESG de Janus Henderson. Il arrive de State Street Global Advisors, où il travaillait en tant que spécialiste du contenu ESG depuis 2019. Janus Henderson Investors a également nommé Blake Bennett en tant qu’analyste de la gouvernance et de la gestion du bureau de Denver aux Etats-Unis. Au sein de ce poste nouvellement crée, il sera chargé de soutenir les équipes d’investissement mondiales, notamment sur les questions de gouvernance d’entreprise, y compris les votes et l’analyse des questions environnementales et sociales. Blake Bennett était dernièrement analyste des opérations et des politiques au département de la qualité environnementale de l’Etat de l’Oregon. Ces nominations suivent des mouvements internes récents. Adrienn Sarandi, la directrice ESG des obligations jusqu'à juin dernier, a été promue au poste nouvellement créé de responsable de la stratégie et du développement ESG. Xiaoyi Luo, pour sa part, vient de quitter son poste au sein du Front Office afin de rejoindre l’équipe de Paul La Coursière comme analyste de recherche ESG. Charlotte Nisbet est également devenue analyste de recherche ESG, après avoir occupé un poste similaire en interne. Janus Henderson Investors comptait 419 milliards de dollars (370 milliards d’euros) d’encours sous gestion.
Le conseil de surveillance d’Eurazeo, réuni le 29 novembre 2021, a décidé à l’unanimité et sur proposition du comité des rémunérations, de sélection et de gouvernance (RSG), de renouveler le mandat de Virginie Morgon comme présidente du directoire de la société pour une durée de quatre ans à compter de mars 2022. Virginie Morgon proposera au comité RSG, lors de sa réunion du 7 mars 2022, une composition complète du directoire pour le prochain mandat. «Cette nomination témoigne de la réussite du plan stratégique conduit par Virginie Morgon et mis en oeuvre avec ses équipes à la tête d’Eurazeo depuis début 2018. Le Groupe a fortement accéléré son développement devenant, avec 27 milliards d’euros d’actifs sous gestion déployés dans trois classes d’actifs (private equity, dette privée, actifs réels), un des acteurs leader européen du private equity», commente un communiqué.
Et de dix.Cela fait maintenant dix mois que la collecte nette en assurance dépasse le milliardd’euros. Pour octobre, elles’établit à 2,7 milliards d’euros,soit 800 millions d’euros de plus que le mois de septembre.Il faut revenir à septembre 2019 pour retrouver des montants comparables.Cette collecte nettecroît de 2,4 milliards d’eurospar rapport à octobre 2020, de 1,1 milliardd’euros par rapport à octobre 2019.Depuis début 2021,elleculmine à +18,5 milliards d’euros, en hausse de 22,1 milliards d’euros par rapport à la période correspondante de 2020. Seulela comparaison avec 2019marqueun recul de 3,9 milliards d’euros. Les cotisations s’élèvent à 13,2 milliardsd’euros,un niveau«record» pour un mois d’octobre selon la Fédération française de l’assurance(FFA).Par rapport au même mois en 2020 et en 2019, cela représente +2,3 milliardsd’euros et +1,1 milliard d’euros.Lemontant des prestations versées reste, lui, stable dans le temps, à 10,5 milliards d’euros.Les encours totaux sont en progression de 6% sur un an pour s’établir à 1.861 milliards d’euros. De façon plus granulaire, les unités de compte (UC)sont aussi en progression comparativementau mois précédent, que l’on parle de cotisations (5 milliards d’euros contre 4,3 milliards d’euros) ou de collecte nette (3,4 milliards d’euros contre 2,7 milliards d’euros).Pour autant, les UCne représentent toujours que 38% des cotisations, commedepuis le début de l’année (contre 35% en 2020 et 28% en 2019).Interrogé surl’arrivée du variant du Covid Omicron,Franck LeVallois,directeur général de laFFA, estime qu’il est«difficile de prédire l’impact des différents variants qui surviennent les uns après les autres sur les choix des épargnants ». 100.000nouveauxassurés pour le PER On dénombre 140.000 souscripteursde PER pour le mois d’octobre(+55% sur un an), dont 37.000 proviennent de transferts d’autres contrats d’épargne retraite.En versements, cela représente1,1 milliard d’euros(+60% sur un an), dont la majorité (606 millions) proviennent de transferts.La collecte nette s’élève à 367 millions d’euros sur le mois, 3,3 milliards d’euros depuis début 2021.Toujours depuis début 2021, la barre du million d’assuré a été franchie– pour11,7 milliards d’euros de versements– et ramènele total de souscripteurs à 2,4 millions.
Legal & General Investment Management (LGIM) vient de nommer Philipp von Königsmarck au poste de directeur commercial pour le Luxembourg, a appris Das Investment. Il conserve parallèlement ses fonctions de directeur wholesales pour l’Allemagne et l’Autriche, poste qu’il occupe depuis 2018.
La vision défendue par la France, d’une Europe capable de fermeté pour défendre ses intérêts, a gagné du terrain. Paris aura toutefois fort à faire pour lui donner corps lors de la présidence française du Conseil, à partir du 1er janvier 2022.
Les Émirats arabes unis et la France signeront d’importants contrats lors de la visite du président Emmanuel Macron à Abou Dhabi le 3 décembre, a déclaré mardi un haut responsable émirati. Selon des informations publiées le 17 novembre par Challenges, un contrat portant sur «une trentaine, voire même une soixantaine» de Rafale de Dassault Aviation pourrait être signé. Interrogé à ce sujet par des journalistes, Anouar Gargach, conseiller diplomatique du président des EAU, a éludé mardi la question tout en entretenant le suspense.
Les autorités sanitaires brésiliennes ont déclaré mardi que deux Brésiliens ont été testés positifs au variant Omicron du coronavirus, les premiers cas rapportés officiellement en Amérique latine depuis que ce variant a été découvert en Afrique du Sud. Il s’agit d’un homme rentré à Sao Paulo après un voyage en Afrique du Sud et sa compagne, qui n’a pas voyagé.
Les cours du baril de brut ont terminé en net repli mardi à New York et affichent désormais une baisse de 22% depuis leur dernier pic de la fin octobre. «Le baril a été doublement pénalisé, par les doutes exprimés par Moderna au sujet de l’efficacité des vaccins contre le variant Omicron et par les annonces restrictives de la Fed, qui ont fait monter le dollar», commente Edward Moya chez Oanda. Le contrat sur le baril de brut léger américain WTI pour livraison en janvier a reculé de 5,4%, à 66,18 dollars, sur le New York Mercantile Exchange.
A la traîne par rapport à l’immobilier, le private equity et même la dette privée, l’infrastructure a encore du mal à se faire une place dans le non coté chez les investisseurs particuliers. En cause, la durée d’immobilisation du capital, comprise généralement entre 10ans et 15 ans, jugée trop longue par la plupart des experts dans le cadre de la gestion privée. Swen Capital Partners (CP), société de gestion spécialisée dans l’investissement durable en non coté, ne partage pas cet avis et vient de lancer un Fonds professionnel spécialisé (FPS) dédié à cette classe d’actifs. Baptisé Swen Exclusive Infrastructures, le fonds s’adresse à une clientèle d’investisseurs avertis à partir d’un engagement de souscription de 200.000 euros. Le véhicule ne gomme pas les réticences exprimées plus haut puisqu’il s’agit d’un fonds fermé d’une durée de vie de dix ans prorogeable deux fois d’un an. Aucune sortie avant la fin de vie du fonds ne sera donc possible, hors rachats dérogatoires. « Dans les infrastructures, il faut se donner du temps pour construire de la valeur durable. Elles sont adaptées au long terme et ne sont pas nécessairement corrélées aux cycles économiques», fait valoir Xavier le Blan, directeur de la gestion innovation et la gestion privée chez Swen CP, qui précise que les premières distribution devraient intervenir au bout de sept ans. Un partenariat stratégique Mais la société n’a pas foncé tête baissée. Afin de coller au mieux aux attentes des clients privés, elle s’est rapprochée du groupe Crystal, avec qui elle partage un actionnaire commun (le groupe OFI). L’un des poids lourds de la gestion de patrimoine a ainsi aidé Swen CP à construire le véhicule. La commercialisation du produit s’appuiera d’ailleurs dans un premier temps sur les conseillers de Crystal. Le fonds vise une taille cible de 60 millions d’euros et un objectif de Taux de rendement interne (TRI) net compris entre 8 % et 10 %. Il donnera accès à un portefeuille composé d’environ 40 participations dans des secteurs diversifiés tels que les télécommunications, le transport durable, la transition énergétique ou les infrastructures sociales. A noter que le fonds co-investira aux côtés du fonds Swen Infra Multi-Select 4 (SIMS 4) qui propose un programme d’investissement essentiellement européen. Le programme d’investissement du fonds comporte trois volets : - Environ 50 % investis en direct dans des projets d’infrastructure, aux côtés des partenaires d’investissement historiques de la société ; - Environ 40 % dans des fonds d’infrastructure non cotés déjà déployés en tout ou partie à travers des opérations secondaires ; - Jusqu’à 10% dans des indices cotés et fonds infrastructures ouverts (poche liquide). S’il est encore trop tôt pour donner des exemples précis, Xavier le Blanindique que : « plusieurs opportunités sont à l’étude, incluant un réseau de fibre optique en Europe du Sud, une utility nordique combinant valorisation énergétique des déchets et réseau de chaleur en Scandinavie, ainsi qu’une opportunité de secondaire sur un fonds paneuropéen core+. » Une analyse ESG est également prévue avec quatre marqueurs en la matière pour permettre d’évaluer la maturité des sociétés de gestion et des actifs. Les équipes peuvent identifier des axes d’amélioration et suivre leur évolution. Selon le profil du marqueur des actifs, une démarche d’engagement et de dialogue sera organisée par la société. Enfin, le fonds mettra progressivement en oeuvre la méthodologie « Net Environnemental Contribution » en démarrant par ses investissements directs.
En 2016, Partech levait 400 millions d’euros pour son tout premier fonds de growth. Cinq ans plus tard, le gérant réitère avec un deuxième millésime de près de 660 millions d’euros, soit 60 millions de plus qu’anticipé. Pour atteindre cette taille, il a pu compter sur de nombreux nouveaux investisseurs. Environ 40 % des 45 limited partners n’étaient pas présents au sein du premier fonds. Dans les pas de son prédécesseur, Partech Growth II a fait des entreprises en forte croissance sa priorité, que ces dernières évoluent dans les services financiers, l’éducation, les logiciels ou les technologies liées à la santé. A ce jour, cinq investissements ont d’ores et déjà été réalisés, sur un objectif d’une douzaine de participations. Deux deals l’ont été dans l’Hexagone: le logiciel de planification Skello, qui a levé 40 millions d’euros en septembre, et la marque de prêt-à-porter en ligne Rouje. Pionnier du capital-risque en France, Partech compte douze licornes dans ces précédents fonds, à savoir Alan, Bolt, Cazoo, Jellysmack, Made.com, ManoMano, People.ai, Rohlik, Sorare, Toss, Wave et Xendit.
La société de gestion britannique Rubrics Asset Management, fondée en 2001 et spécialisée dans le domaine de la gestion obligataire active, a récemment reçule feu vert de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour la commercialisation en France de sa gamme de fonds domiciliés en Irlande, a appris NewsManagers. La structure irlandaise, Rubrics Global Ucits Funds Plc, comporte trois compartiments : un dédié aux obligations internationales (souverains et crédit investment grade, high yield), un dédié aux obligations émergentes en devise étrangère et locale (souverains et obligations supranationales) et un dernier dédié à la detted’entreprises (majoritairement investment grade).
Mirabaud Asset Management lance un fonds d’obligations convertibles émises par les petites et moyennes capitalisations mondiales. Cette nouvelle stratégie est dirigée par Nicolas Crémieux, co-responsable de l’équipe obligations convertibles chez Mirabaud AM. Elle cible les émetteurs dont la capitalisation boursière est inférieure à 5 milliards de dollars dans des secteurs à forte croissance, comme la santé et la technologie, qui enregistrent des taux de défaillance plus faibles et affichent de solides profils de liquidité. Elle a pour objectif d’assurer une convexité permanente. Le portefeuille se compose d’environ 50 positions et reflète une gestion de convictions sans contraintes sectorielles ni géographiques avec une exposition significative en dehors de l’indice de référence. L’équipe d’obligations convertibles de Mirabaud Asset Management se compose de cinq spécialistes basés à Paris, gérant environ 1 milliard de dollars. À l’instar des autres offres d’obligations convertibles de Mirabaud Asset Management, la nouvelle stratégie intègre les critères ESG en amont du processus de gestion et est classifiée Article 8 au sens du Règlement SFDR. « La classe d’actifs des obligations convertibles est actuellement en plein essor (…). Nous avons observé des niveaux record d’émissions d’obligations convertibles en 2020, et l’année 2021 est sur le point d’égaler ce niveau », commente Nicolas Crémieux.
Un nouveau fonds tech vient d’être créé. Barings vient de lancer le fonds Barings Global Technology Fund. Géré activement par Matthew Ward et Colin Moar à Londres, ce fonds est investi dans des actions d’entreprises technologiques mondiales. Le duo de gérants cherchera à identifier les sociétés appartenant à trois groupes: les entreprises innovantes, les «perturbatrices» et les moteurs de l’avenir.
La société de gestion alternatif LGT Capital Partners vient d’annoncer ce 30 novembre la nomination de Wael El Burji au poste de managing director et senior exécutif, pour sa division au Moyen-Orient. Au sein de son nouveau poste, il sera chargé d’élargir la présence de LGT Capital Partners dans cette région. Wael El Burji arrive d’Amundi Asset Management, où il était dernièrement le directeur chargé de la supervision des relations avec les clients institutionnels ainsi que le directeur du business de la distribution externe au Moyen-Orient. LGT Capital Partners comptait de 80 milliards de dollars (71 milliards d’euros) d’encours sous gestion.
L’industrie des fonds d’investissement en Europe s’est offert un nouveau record d’encours sous gestion au troisième trimestre 2021 selon les données de l’association européenne des gestionnaires d’actifs (Efama) publiées le 29 novembre. Leurs actifs sous gestionatteignaient un total de 20.767 milliards d’euros à fin septembre 2021 (+1,7% par rapport à fin juin 2021), dont 13.114 milliards dans des fonds Ucits (+2% par rapport au deuxième trimestre 2021) et 7.653 milliards dans des fonds alternatifs (+1,3% par rapport au deuxième trimestre 2021). L’industrie des fonds européens a battu son record d’encours pour le quatrième trimestre d’affilée. Les fonds européens ont collecté 200 milliards d’euros net durant le troisième trimestre 2021. La collecte nette des fonds Ucits s’est réduite, passant de 210 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021 à 179 milliards d’euros au troisième trimestre 2021 (dont 4 milliards d’euros chez les investisseurs français). A contrario, les fonds alternatifs (FIA) ont engrangé une collecte nette de 21 milliards d’euros (dont 1,2 milliard d’euros auprès des investisseurs français)contre 18 milliards au deuxième trimestre 2021. Sur le segment des fonds Ucits, les fonds actions tirent la collecte au entre juillet et septembre en drainant64,4 milliards d’eurosmais bénéficient cependantd’entrées moins élevées que les trois précédents trimestres.En France, les fonds actions ont décollecté 1,4 milliard d’euros au troisième trimestre soit les pire flux enregistrés en Europe pour la classe d’actifs. En outre, les investisseurs européens ont placé 60,3 milliards d’euros dans les fonds multi-actifs entre fin juin et fin septembre 2021 (dont 300 millions de la part des investisseurs français)quand les fonds obligataires ont attiré 53,7 milliards d’euros dont 3,9 milliards d’euros auprès des investisseurs français. Quant aux fonds monétaires, les investisseurs européens les ont globalementdélaissé au troisième trimestre puisqu’ils ont décollecté à hauteur de 8,6 milliards d’euros même si en France, la classe d’actifs a enregistré des flux nets positifs de 1,3milliard d’euros. Concernant les FIA, les classes d’actifs obligataire et multi-actifs ont porté la collecte avec des entrées nettes respectives de 12,1 et 15,2 milliards d’euros. Les fonds alternatifs investis en actions ont, eux, subi des rachats nets de plus de 6 milliards d’euros.
Nouveau report pour l’entrée en application du niveau 2du règlement européen sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (SFDR). Celle-ci n’aura pas lieu le 1er juillet 2022mais au 1er janvier 2023. A l’origine,les normes techniques (RTS) de niveau 2précisant les obligations issues du SFDR devaient entrer en vigueur début janvier 2022 avant un premier décalage à juillet 2022 décidé en juillet dernier. La Commission européenne a informé le Parlement européen et le Conseil de l’UE dans une lettre datée de vendredi 25 novembre que les 13 RTS de niveau 2 de SFDR, qu’elle souhaite rassembler en un acte délégué unique, ne pourraientêtre adoptésdans un délai de trois mois. Depuis le 10 mars 2021, date à laquelle SFDR est entré en vigueur, les entités concernées, notamment les sociétés de gestion, doivent suivre des principes généraux (RTS de niveau 1) pour remplir leurs obligations vis-à-vis du règlement SFDR. Elles devront être en conformité avec la publication des principaux impacts préjudiciables en matière de durabilité(principal adverse impacts,ou PAI en anglais) de leurs fonds article 8 ou article 9 au sens de SFDR d’ici le 30 juin 2023 pour couvrir l’année 2022.
Vanguard annonce avoir déposé un premier dossier d’enregistrement auprès de la Securities and Exchange Commission pour lancer le Vanguard China Select Stock Fund, un fonds d’actions chinoises onshore et offshore. Le fonds sera cogéré par Wellington Management Company et Baillie Gifford Overseas, deux sociétés de gestion partenaires de longue date de Vanguard. Le fonds doit être lancé au cours du premier trimestre 2022.
GAM Investment Management (Suisse) a annoncé lundi 29 novembre la nomination de Christian Lorenz au poste de directeur clients institutionnels pour la Suisse romande. Il sera basé dans les bureaux de GAM à Genève et rattaché à Daniel Durrer, le directeur de la distribution en Europe centrale et de l’Est, au Moyen Orient et en Afrique. Christian Lorenz était précédemment directeur des ventes pour l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse chez Edmond de Rothschild (Suisse). Il était également président du comité exécutif d’Edmond de Rothschild Asset Management (Suisse) SA. Auparavant, il fut responsable des ventes institutionnelles pour la même région au sein de la Compagnie Benjamin de Rothschild.
First Sentier Investors a recruté David Allen en tant que directeur monde de la gestion des activités d’investissement. Il succédera à Perry Clausen, qui prendra sa retraite au début de l’année prochaine. David Allen vient d’AMP Capital où il était dernièrement responsable de la gestion actions basé à Londres. Avant cela, il a occupé plusieurs fonctions au sein de Sarasin and Partners, Fidelity International et Pioneer Investments. Dans le cadre de ses fonctions, David Allen dirigera les équipes d’investissement de First Sentier Investors, à l’exclusion de FSSA Investment Managers et Stewart Investors, et il participera à l'élaboration et à l’exécution de la stratégie d’entreprise de la société. Il jouera également un rôle clé dans la commercialisation et la croissance des capacités d’investissement de la société.
La société de conseil Hexagone a annoncé avoir recruté Emilie Retel pour renforcer son équipe chargée du suivi des portefeuilles. Elle s’occupera du contrôle des risques via l’outil de transparisation, ainsi que de l’alimentation des reportings financiers et extra-financiers des investisseurs. Emilie Retel arrive de Portzamparc, où elle fut notamment gérante de portefeuille (2018-2020).
L’inflation en Allemagne a culminé à plus de 5% en novembre, son plus haut niveau depuis 1992. L’indicateur des prix à la consommation est ressorti à 5,2%, après 4,5% en octobre, en ayant été de nouveau tiré par une hausse des coûts de l'énergie, de 22,1% sur un an, des pénuries de biens et d’un effet mécanique lié au taux de TVA provisoirement abaissé en 2020, selon un communiqué lundi de l’Office des statistiques Destatis. Sur un mois, le taux d’inflation est en baisse de 0,2%. L’indice des prix harmonisé, qui sert de référence au niveau européen, a lui affiché une hausse de 6% sur un an, atomisant l’objectif de la BCE d’une inflation à 2% dans la zone euro. Or la banque centrale européenne tient à ne pas resserrer trop vite ses taux, jugeant qu cela serait contre-productif pour l'économie.
Le groupe financier américainNorthern Trust a été sélectionné par le groupe de gestion d’actifs australien Pendal, maison mère de JO Hambro Capital Management (JOHCM), pour fournir certains services administratifs à ses fonds d’investissementen Australie, au Royaume-Uni et en Irlande. Northern Trust va aussi fournir davantage de services à Pendal aux Etats-Unis où la firme s’occupe de l’administration de fonds, de la mise en conformité et sert d’agent de transfert ainsi que de dépositaire à JOHCM depuis l'établissement de son premier fonds mutuel américain en 2009. Les nouveaux services comprennent la comptabilité des fonds, le reporting financier et réglementaire, la gestion des collatéraux ainsi que des services de gestion de devises étrangères et de middle-office. Pendal gère des encours de 139,2 milliards de dollars australiens (88,2 milliards d’euros).
Janus Henderson Group vient de nommer Andrew Hendry au poste de responsable de la distribution en Asie ex-Japon à partir de février 2022. Il remplacera Scott Steele, qui a été promu au rang de responsable mondial des gérants de portefeuilles de clients pour des obligations en avril dernier. Sur son nouveau poste, Andrew Hendry sera chargé de la supervision de la stratégie de distribution en Asie ainsi que du développement des partenariats stratégiques avec les clients institutionnels et les distributeurs. Basé à Singapour, il sera rattaché à Suzanne Cain, responsable mondiale de la distribution. Andrew Hendry arrive d’Abrdn (ex-Aberdeen Standard Investments), où il était responsable de la distribution pour l’Asie-Pacifique depuis 2018. Auparavant, il fut managing director chez Westoun Advisors, où il a conseillé des gérants d’actifs sur l’expansion stratégique, la distribution mondiale et la levée de fonds. Il fut également managing director chez M&G Investments Asia, où il fut chargé de la levée de fonds auprès des investisseurs institutionnels et des banques privés. Il a également travaillé chez The Capital Group Companies à Singapour et en Suisse, où il a géré le business de la distribution mondiale ainsi que les relations clients pour la banque privée.
WisdomTree vient d’annoncer ce 29 novembre le lancement de trois ETP, c’est-à-dire des produits cotés en bourse, physiquement adossés à des paniers de cryptomonnaies. Dénommés WisdomTree Crypto Market (BLOC), WisdomTree Crypto Altcoins (WALT) et WisdomTree Crypto Mega Cap Equal Weight (MEGA), ces produits financiers sont cotés sur la Bourse suisse Six et sur Börse Xetra. Ils bénéficient également du passeport européen. Le WisdomTree Crypto Market est pondéré par capitalisation boursière ajustée du flottant composé d’un panier diversifié d’actifs cryptos, représentant environ 70% de la capitalisation boursière du marché des cryptomonnaies. L’indice sous-jacent de l’ETP est actuellement composé de Bitcoin, Ethereum, Cardano, Bitcoin Cash, Litecoin, Polkadot et Solana. En raison de la capitalisation boursière du Bitcoin et de l’Ethereum, la pondération conjuguée de ces actifs cryptographiques dans l’ETP est plafonnée à 75 % avec des composantes individuelles plafonnées à un maximum de 45 % et une allocation minimum de 2,5 % par actif cryptographique. Le WisdomTree Crypto Altcoins est pondéré par capitalisation boursière ajustée du flottant fournissant une exposition à un panier diversifié d’altcoins. L’indice sous-jacent est composé de Cardano, Bitcoin Cash, Litecoin, Polkadot et Solana. Les composantes individuelles sont plafonnées à un maximum de 50 % et une allocation minimum de 2,5 % par actif cryptographique. Le WisdomTree Crypto Mega Cap Equal Weight offre une allocation équipondérée aux actifs cryptos de méga-capitalisation comme le Bitcoin et l’Ethereum. Le total de frais sur encours (TFE) des deux premiers ETP sont de 1,45 %, avec un rebalancement annuel. Le WALT aura un TFE de 0,95%, avec un rebalancement trimestriel. WisdomTree comptait 77,6 milliards de dollars (68,72 milliards d’euros) d’encours sous gestion