Désormais, le fonds luxembourgeois LOF Emerging Equity Risk Parity lancé le 30 septembre 2010 dispose grâce notamment à des caisses de pension helvétiques d’un encours de 200 millions d’euros et sa performance totale nette depuis le lancement jusqu’au 31 janvier 2013 est ressortie à 9,21 % pour le fonds Emerging Equity Risk Parity contre 5 % pour le MSCI EM TR, a indiqué à Newsmanagers Jérôme Teiletche, global head, solutions group, de Lombard Odier Investment Managers (LOIM).Le temps est donc venu de prospecter le marché français pour ce produit qui suscite de l’intérêt aussi bien de la clientèle institutionnelle que de celle de distribution, puisqu’il s’agit d’une solution dite de fond de portefeuille. Le taux de rotation est faible, environ 50 % par an dans une direction, et l'écart de suivi s’est limité à 3 % tandis que le ratio d’information se situait à 0,45.Au total, LOIM gère 2,6 milliards d’euros selon l’approche de parité de risque. Le gestionnaire helvétique a constaté que, dans le cas des marchés émergents, le risque dominant est celui du pays. En optant pour une équipondération du risque-pays – tout en incluant des facteurs «d’investabilité» – il est possible de construire un portefeuille plus largement exposé aux dynamiques de croissance multiples. En revanche, les produits qui s’appuient sur les indices capi-pondérés traditionnels pour les pays émergents se concentrent sur un nombre restreint de pays, dont certains peuvent difficilement être encore tenus pour émergents.Le LOF Emerging Equity Risk Parity est chargé à 0,75 % pour les parts I et P, ce à quoi s’ajoute une commission de distribution de 0,75 % pour la part P
Le groupe Crédit Coopératif, qui compte notamment Ecofi Investissements parmi ses filiales, a fait état pour 2012 d’une progression du PNB de 4,2% à 423,3 millions d’euros. «Nous avons enregistré une activité très soutenue en 2012 avec une croissance positive dans tous les segments de clientèle», a souligné le 7 mars à l’occasion d’un point de presse le président du groupe, Jean-Louis Bancel.Le nombre de clients a augmenté de 3,9% à plus de 300.000, dont plus de 70.000 personnes morales, mojoritairement issues des secteurs de l'économie sociale (coopératives, mutuelles, associations et organismes d’intérêt général principalement).Le résultat net par du groupe a toutefois chuté à 27,2 millions d’euros contre 51,2 millions d’euros en 2011. «Cette variation résulte d’un retour à un niveau plus standard du coût du risque et d’une évaluation ajustée (-6,9 millions d’euros) de la valeur des titres BPCE détenus», explique le Crédit Coopératif.Les encours du Crédit Coopératif et de ses filiales (14,15 millairds d’euros en moyenne anuelle) sont marqués par une forte progression des ressources de bilan, dont une hausse de près de 40% pour l'épargne. Les encours d’OPCVM, en recul depuis 2009, tendent à se stabiliser. Au total, la croissance de la collecte s'établit à 3,8%, en lien notamment avec les clientèles d’intérêt général.Toujours très attentif à l’impact des métiers qu’il exerce, le Crédit Coopératif, qui va célébrer cette année ses 120 ans, a été récemment admis comme membre du GABV ou Global Alliance for Banking on Values, un réseau de 21 banques qui placent l’humain, l’environnement et la transparence au cœur de leur activité.. Il est ainsi la seule banque française membre de ce collectif international travaillant sur un modèle de banque durable efficace.Le Crédit Coopératif vient par ailleurs d’obtenir, au titre du document de référence de l’exercice 2012, la certification du Global Reporting Initiative (GRI), référentiel mondialement reconnu en matière de restitution d’informations dans le développement durable.
Les résultats de la «myflow list» de février 2013 sont demeurés pratiquement inchangés en tête de liste mais les places ont été redistribuées parmi les suivants. Au sein du top 10 qui regroupe les sociétés les plus appréciées des conseillers sur myflow, les quatre premiers conservent leur position avec Carmignac Gestion, M&G, DNCA et la Financière de l’Echiquier.ComGest et Fidelity poursuivent leur progression en prenant respectivement les 5ème et 6ème places. Fidelity occupait depuis trois mois la 9ème place du classement, avec cette 6ième place elle retrouve le rang qu’elle occupait en octobre 2012. L’autre progression intéressante en février est l’entrée d’Edmond de Rothschild AM dans le top 10 à la 8ème place. C’est la première fois depuis le début de ce classement (juillet 2012) qu’EDRAM apparaît à ce niveau dans l’indice de popularité des conseillers indépendants.Dans la deuxième partie du classement, les belles progressions émanent des sociétés anglo-saxonnes : Aberdeen Asset Management qui prend la 17ème place (+6), HSBC AM à la 16ème place (+5) et JP Morgan AM la 19ème (+5).La dégringolade du mois revient à Convictions Asset Management qui perd 17 places dans le classement passant de la 27ème à la 44ème place. Mais cette société est coutumière de telles variations, relève myflow. Pictet & Cie et Schelcher Prince Gestion quittent les hauteurs pour la seconde partie du classement en occupant respectivement la 32ème et 33ème position. PIMCO Europe fait une entrée remarquée à la 20ième place en réussissant à réunir plus de 75 conseillers sur sa gamme de fonds. COGEFI avec plus d’une centaine de vues de cabinets ce mois occupe la 36ème place alors que cette société occupait la 60ème place le mois dernier
DNCA a enregistré une collecte de 160-170 millions d’euros sur les deux premiers mois de l’année, a déclaré Enrico Tarassinelli, managing director de la société de gestion française, dans un entretien au site italien Bluerating.La société va mettre en avant cette année deux fonds : le fonds actions flexible DNCA Invest Eurose et le fonds d’obligations convertibles DNCA Invest Convertibles.Enfin, DNCA compte lancer un fonds obligataire flexible.
Le new-yorkais Fred Alger Management (16 milliards de dollars d’encours fin 2012) a annoncé avoir renforcé son équipe actions internationales avec le recrutement de Pedro Marcl comme senior vice president et gérant de portefeuille ainsi que d’Ajoy Reddi et de Warren Zhang comme vice presidents et analystes.Tous trois viennent d’Allianz Global Investors (AGI), le premier ayant auparavant travaillé pour Nicholas Applegate, société de gestion acquise par AGI, et les deux autres respectivement de William Blair et Morgan Stanley Investment Management. L'équipe actions internationales compte ainsi sept membres et elle est subordonnée à Dan Chung, CEO et CIO.
Selon Pension & Investments, les fondateurs de Perkins Investment Management ont cédé le 1er février la quasi-totalité des parts qu’ils détenaient encore dans la société de gestion à Janus Capital Group, qui avait acquis 30 % du capital en 2004 puis 50 % supplémentaires en 2008.Au 31 décembre, les parts de Perkins non détenues par Janus représentaient 35,3 millions de dollars, mais la juste valeur de ces parts sera fixée le 1er août selon une formule tenant compte des performances et du chiffre d’affaires.Cette transaction ne doit rien changer à la relation opérationnelle entre Perkins et Janus, il s’agit d’une simple démarche générationnelle, a indiqué un porte-parole de Perkins.Des trois fondateurs, Thomas McDonnell, Robert Perkins et Greg Wolf, seul Robert Perkins est encore actif dans la société comme gérant de portefeuille, a précisé pour sa part Peter Q. Thomson, le CEO.
Les salaires des professionnels de la gestion d’actifs devraient continuer à croître en Asie avec la progression des flux d’investissement dans la région. Les rémunérations des spécialistes actions et fixed income se sont accrues dans des proportions similaires en 2011, les données de l’an dernier n'étant pas encore disponibles, selon l’enquête annuelle buy-side réalisée par Greenwich Associates.Les professionnels asiatiques des actions, du chief investment officer au trader, ont vu leurs rémunérations progresser en moyenne de 1,2% en 2011 à 337.000 dollars, à comparer à une hausse de 1,3% pour les spécialistes du fixed income à 316.000 dollars. A titre de comparaison, les rémunérations des gérants et conseillers spécialisés sur les actions aux Etats-Unis ont diminué de 1,4% à 690.000 dollars alors que les rémunérations des spécialistes du fixed income ont progressé de 16% dans le même temps à 490.000 dollars. Autrement dit, les professionnels asiatiques des actions gagnent en moyenne 49% de la rémunération de leurs homologues américains, les spécialistes du fixed income étant à 65%. L’enquête de Greeenwich Associates indique par ailleurs qu’aux Etats-Unis (l’enquête ne couvre pas les hedge funds asiatiques) les rémunérations des gérants de hedge funds actions ont fait un bond de 83% en 2011 à 1,28 million de dollars, les rémunérations dans le fixed income ayant reculé parallèlement de 14,3% à 890.000 dollars.
L’indice Lyxor des hedge funds a progressé en février de 0,15%, ce qui porte ses gains sur les deux premiers mois de l’année à 1,73%, selon le Lyxor Flash du 7 mars. Sur les 14 indices entrant dans la composition de l’indice, 8 ont terminé dans le vert, entre autres les indices Fixed Income Arbitrage (2,06%), L/S Equity Market Neutral (1,65%) et L/S Equity Variable Bias (1,59%).Sur les deux premiers mois de l’année, l’indice Lyxor L/S Equity Market Neutral affiche un gain de 6,81% alors que le Lyxor L/S Equity Long Bias progresse de 4,68%. En revanche, l’indice Lyxor CTA Short Term marque un recul de 0,45% sur deux mois.
Le fonds souverain norvégien, abondé par les recettes pétrolières du pays, a réduit encore davantage son exposition à l’Europe. Ce fonds, l’un des plus importants au monde avec quelque 710 milliards de dollars (542 milliards d’euros) d’actifs, a ainsi précisé que la part de l’Europe dans son portefeuille était revenue à 48% du total à la fin de 2012, contre 53% un an auparavant. A la fin du quatrième trimestre 2012, la part des actions dans le portefeuille était de 61,2%, contre 60,3% à la fin du troisième, et celle des obligations de 38,1% (contre 39,4%).
Davantage d’hôtels devraient changer de mains cette année, avec des volumes de transactions retournant aux niveaux d’avant la crise en raison d’un financement facilité et de la présence sur le marché des acheteurs du Golfe en quête de biens d’exception. Selon HVS Hodges Ward Elliott, les transactions ont atteint 5,6 milliards d’euros l’an dernier en Europe, en recul de 21% sur un an.
Le conseil d’administration de Qualium Investissement, présidé par Jean Eichenlaub, a nommé Sabine Schimel en tant que directeur général. Egalement membre du conseil d’administration, elle prendra ses fonctions le 11 mars 2013. Sabine Schimel est actuellement directeur du Développement, Filiales et Participations de la Caisse des Dépôts.
C’est fait, selon le quotidien, qui attend une officialisation dès aujourd’hui. KKR aurait noué un accord avec Denver Gardner pour un rachat à raison de 76 dollars par action. Ce qui valorise la cible à quelque 3,74 milliards de dollars, alors que le titre a clôturé à 73,85 dollars hier soir sur le Nyse. Le conseil d’administration de KKR devait se réunir dans la nuit pour approuver la transaction.
Le quotidien croit savoir, citant des sources proches des discussions, que la famille du directeur général du promoteur chinois Soho China est en discussions pour acquérir une part de 40% de l’immeuble General Motors à Manhattan. Les fonds souverains du Qatar et du Koweït feraient partie des vendeurs. La transaction pourrait valoriser l’actif à quelque 3,4 milliards de dollars.
Vous avez obtenu le prix de la meilleure politique d’investissement ISR attribué par l’IPE. Comment avez-vous déterminé votre stratégie d’investissement ? Il existe plusieurs façons de pratiquer l’ISR. Par exemple, l’exclusion sectorielle convient aux fondations religieuses dont les membres ont des références communes leur permettant de se mettre d’accord sur les secteurs à exclure (alcool, armes, tabac...). Cela ne peut être le cas pour l’ERAFP, dont les 4,6 millions de cotisants (les fonctionnaires des trois fonctions publiques) ont des convictions très diverses. Une autre approche de l’ISR conduit à investir dans des fonds thématiques (fonds « verts » dédiés aux énergies renouvelables, etc.). L’ERAFP, avec déjà près de 14 milliards d’euros d’actifs sous gestion, doit investir chaque année environ 1,5 milliard d’euros. Nous ne pouvons donc pas nous concentrer sur les panneaux solaires ou les fermes éoliennes. Un grand investisseur comme l’ERAFP est obligé d’acheter le marché et sa politique d’investissement ISR doit tenir compte de la complexité du monde. Dans ce contexte, la stratégie ISR la plus adaptée est le Best in Class. Nous n’excluons donc aucune activité, dès lors qu’elle est autorisée par la France. À l’inverse, la France a ratifié la convention d’Oslo qui prohibe les armes à sous-munitions ; par conséquent, les entreprises associées à leur production sont en dehors de notre univers d’investissement. Si aucun secteur n’est exclu, investissez-vous dans l’industrie pétrolière ? Nous prenons le monde tel qu’il est. Il est illusoire de croire qu’on pourrait le changer par un coup de baguette magique. Même si on peut le regretter, le pétrole demeure une énergie essentielle. Ce que nous souhaitons, c’est contribuer à faire évoluer la situation dans le bon sens, en sélectionnant les entreprises qui font le plus d’effort pour aller vers une économie plus soutenable, donc moins intensive en carbone, plus soucieuse des hommes et offrant une meilleure gouvernance. À partir de ces trois critères ESG (Environnement, Social, Gouvernance), nous notons les entreprises du secteur pétrolier comme celles des autres secteurs. En général, les entreprises qui cherchent à maximiser le profit immédiat ignorent ou négligent les enjeux associés à ces trois critères. À l’inverse, les entreprises les mieux notées ne lésinent pas sur la sécurité, s’efforcent de maîtriser la chaîne de sous-traitance, investissent dans les énergies renouvelables etc... Elles contribuent à l'émergence d’une économie plus soutenable, tout en poursuivant également leur propre intérêt sur le long terme. Bien sûr, la notation extrafinancière, qui en est encore à ses débuts, ne nous offre pas une image parfaite de la performance ISR réelle : des angles morts demeurent et nombre d’entreprises déploient de nombreux efforts pour présenter de jolies plaquettes et « survaloriser » leurs « initiatives ISR ». Il faut être lucide et se rappeler, par exemple, que BP avait plutôt une bonne note ISR jusqu'à l’accident de Deepwater. Nous devons apprendre, notamment en tirant les leçons de tels accidents. Il y avait une dilution des responsabilités au travers de la chaîne de sous-traitance, et des économies, dérisoires au regard des risques pris, avaient été réalisées sur le coffrage du puits. Avant l’accident, certains signaux auraient pu alerter, mais dans un monde submergé d’informations, ils n’ont pas été captés. Nous regardons comment les responsables de BP réagissent. S’ils ne se remettent pas en cause, les investisseurs ISR devront en tirer les conséquences. Vous pouvez également agir en tant qu’actionnaire... Nous ne gérons directement que les obligations souveraines. La gestion des autres classes d’actifs est déléguée. Nous faisons part aux sociétés de gestion de nos consignes de vote au travers de notre guide d’engagement. Ce dernier reflète nos positions, par exemple sur le nombre de mandats que peut détenir un administrateur, sur la notion d’indépendance ou encore sur l'échelle des rémunérations. Toutefois, nous ne nous leurrons pas sur notre capacité d’influence. Avec ses 600 milliards, le fonds souverain norvégien, lui, a un poids qui lui confère une réelle capacité d’influence. Plus modestement, compte tenu de notre taille, nous pouvons par le dialogue avec les autres investisseurs de long terme en Europe promouvoir des positions communes. Une démarche ISR a-t-elle des implications pour la gestion de votre passif ? En fait, il aurait fallu commencer par là, car le risque pour un fonds de pension naît d’abord à son passif. On ne peut être un investisseur responsable si l’on ne gère pas son passif de manière responsable et si, par exemple, on sous-tarifie grossièrement les engagements que l’on prend, comme c’est le cas de la plupart des fonds de pension américains. Pour notre part, nous avons choisi un taux d’actualisation raisonnable, qui respecte l'équité intergénérationnelle et nous préserve de toute pression excessive sur le rendement de nos investissements. Nous ne poussons donc pas les entreprises à dégager des rendements élevés à court terme. Cela les inciterait à réduire leurs investissements de long terme ou à mal rémunérer leur personnel, autant de décisions qui ne préservent pas l’avenir. Le taux du tarif du Régime a été fixé, à l’origine, à 1,34 % en réel et pour maintenir notre ambition de revaloriser les prestations de 2 % par an, notre actif vise par conséquent un rendement minimum de 3,34 %. En ayant des exigences raisonnables de rentabilité, nous sommes en cohérence avec l’impératif de soutenabilité. Cela ne signifie pas que nous ne fixons pas d’objectifs à nos investissements. Lorsque nos fonds peuvent être comparés à un indice de référence, nous demandons au gérant de faire mieux en matière extrafinancière et, bien sûr, de faire tout son possible pour surperformer en matière financière. Cette distinction entre financier et extrafinancier, qui pour nous n’a pas grand sens, va en s’estompant, car la bonne note ISR d’une valeur permet d’espérer que ses performances vont perdurer dans le temps. Pensez-vous que la définition de l’ISR doit être clarifiée ? Il faut en effet clarifier les choses. Aujourd’hui, tout le monde se réfère à l’ISR. Il existe par exemple des Sicav monétaires ISR... cela m'étonne, car le monétaire étant par définition court terme, dès lors, on peut se demander où est l’engagement. Dans ce maquis, une définition claire et un label peuvent aider les investisseurs à s’y retrouver. Le label de Novethic, qui a une réputation de sérieux, est intéressant. Bien sûr, il est perfectible. Nous sommes au début d’un long processus et Novethic est un pionnier. Investissez-vous dans des valeurs bancaires ? Bien sûr, et nous privilégions les émetteurs qui disposent d’une bonne gouvernance. Autre critère important pour nous : nous observons ce que les banques financent lorsqu’elles octroient des prêts. De plus en plus d’investisseurs ou gérants d’actifs disent que la quasi-totalité de leur gestion intègre les critères ESG. De quelle façon votre stratégie se distingue-t-elle de la stratégie d’intégration ? En général, les sociétés de gestion parlent d’intégration pour évoquer la prise en compte par les analystes financiers d’enjeux ESG traditionnellement peu regardés dans l’analyse financière. Leur intégration est généralement peu formalisée ; elle ne se traduit pas par une notation ESG spécifique ou par des règles d’exclusion des émetteurs les moins bien évalués sur cette dimension extrafinancière. L’approche de l’ERAFP, dont la totalité des investissements sont réalisés dans le cadre d’une grille ISR qui lui est propre, se distingue de l’intégration. En effet, notre prise en compte des enjeux ESG est systématique : tous les émetteurs, dans tous les secteurs d’activité, sont concernés. Elle est formalisée à travers un référentiel détaillé de critères et des règles précises de notation et d’application du principe de Best in Class.
Julien Le Louët, responsable du service financier et immobilier de l’OCIRP dans un article paru dans Option Finance numéro 1208 : L’immobilier constitue la principale source de diversification de nos investissements. Nous possédons en direct des biens de bureaux de qualité dans Paris, situés pour la plupart dans le quartier centre affaires (QCA). Elaborée assez tôt au sein de notre organisme, cette stratégie nous a toujours donné satisfaction. Par contre, il devient de plus en plus difficile aujourd’hui de trouver des opportunités d’investissements à prix raisonnables. Ces derniers ne reflètent pas toujours les conditions macroéconomiques qui limitent la baisse des taux de vacance pour les bureaux, et maintiennent sous pression les loyers économiques depuis 2007. Nous ne nous intéressons pas encore au thème des dettes immobilières, qui manque de track record et ou l’accès a l’information est encore limité.
Les lettres de cadrage du projet de budget 2014 que s’apprête à envoyer Bercy à tous les ministères intégreront un effort d'économies supplémentaires «légèrement» supérieur à 4 milliards d’euros, a déclaré le ministre délégué en charge du Budget, Jérôme Cahuzac. Ces lettres, qui lancent la préparation du budget 2014, devraient partir vendredi.
Davantage d’hôtels devraient changer de mains cette année, avec des volumes de transactions retournant aux niveaux d’avant la crise en raison d’un financement facilité et de la présence sur le marché des acheteurs du Golfe en quête de biens d’exception. Selon HVS Hodges Ward Elliott, les transactions ont atteint 5,6 milliards d’euros l’an dernier en Europe, en recul de 21% sur un an.
La Grèce a décidé de prélever pour la première fois de son histoire un impôt sur l’exploitation minière du pays, afin d’augmenter les recettes de l’Etat et réduire son déficit public. Bien que l’exploitation minière ne représente qu’une part minime dans l'économie, elle constitue un des premiers secteurs d’exportation.
Selon le département du Travail, la productivité non agricole des Etats-Unis s’est contractée au quatrième trimestre à son rythme le plus soutenu depuis quatre ans mais ce recul devrait être éphémère dans la mesure où l’on s’attend à ce que la croissance économique s’accélère après avoir stagné fin 2012. Elle a diminué de 1,9% en rythme annuel.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué de façon inattendue aux Etats-Unis lors de la semaine au 2 mars, à 340.000 contre 347.000 (révisé) la semaine précédente, suggérant une accélération de la reprise du marché du travail, a indiqué le département du Travail. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 348.750, son plus bas niveau depuis mars 2008.
Le déficit commercial des Etats-Unis s’est creusé plus que prévu en janvier, selon les statistiques, corrigées des variations saisonnières, du département du Commerce. Ce déficit s’est établi à 44,45 milliards dollars lors du premier mois de 2013, contre 42,6 milliards attendu par les économistes. Les exportations ont baissé de 1,2%, tandis que les importations ont augmenté de 1,8%.
«Les marchés, passée une première excitation immédiatement après les élections, sont revenus plus ou moins à ce qu’ils étaient auparavant... Les marchés comprennent qu’on vit en démocratie», a déclaré le président de la BCE Mario Draghi, lors de la traditionnelle conférence de presse suivant la décision de l’institut d'émission de ne pas modifier ses taux directeurs. «(...) La contagion à d’autres pays a été étouffée cette fois, contrairement à ce qui aurait pu se produire il y a un an et demi environ; voici là encore un signe positif», a-t-il ajouté. Le scrutin italien, caractérisé par un rejet massif des mesures d’austérité de la part de l'électorat, n’a pas produit de majorité suffisante pour former un gouvernement stable, avec tous les risques que cela peut comporter pour les réformes économiques et les mesures de réduction de la dette.
P { margin-bottom: 0.08in; } Swiss & Global Asset Management has launched an investment grade emerging market debt fund for Enzo Puntillo, the head of emerging market debt at the asset management firm, according to exclusive reports by Citywire Global. The Luxembourg-registered JB Emerging Markets Investment Grade Bond Fund will invest in bonds denominated in hard currencies.
P { margin-bottom: 0.08in; } The head of prime brokerage for the past decade, Philip Vasan, has been promoted at Credit Suisse to become head of the private banking division for the Americas (United States, Canada and Latin America), the Wall Street Journal reports. From April, Vasan will report to Rob Shafir, based in New York and global co-head of private banking & wealth management.As head of prime brokerage, the Swiss group has chosen Paul Germain, who was recruited by Vasan from Goldman Sachs in 2010.Anthony DeChellis, head of private banking, Americas, will also be leaving that position to serve in other roles in the division, according to sources familiar with the matter.
P { margin-bottom: 0.08in; } Primonial REIM on 6 March announced the acquisition of the Darty store, located at Place de la Madeleine (Paris, 9th district), at the heart of the “Opéra - Madeleine - Grands Magasins Haussmann” triangle, from the city of Paris, on behalf of funds under its management.Darty has been operating since 1975, with total floor area of over 2,000 square metres. An institutional lease with a fixed 9-year term has been signed with the Darty brand.
P { margin-bottom: 0.08in; } Bruce Karpati, head of supervision for asset management, including hedge funds, at the Securities & Exchange Commission (SEC), is rumoured to be departing, the Wall Street Journal reports.The newspaper states that Karpati has been in talks with Prudential Financial, where he may take up a position as head of professional ethics next month.