Comme annoncé par Newsmanagers le 15 avril, BlackRock a fait par le 18 avril du lancement des compartiments d’obligations émergentes de sa sicav luxembourgeoise Barclays Global Funds ou BGF, le BGF Emerging Market Corporate Bond et le BGF Emerging Market Investment-Grade Bond, qui viennent s’insérer dans une gamme comprenant déjà les fonds BGF Emerging Markets Bond et BGF Emerging Markets Local Currency Bond. Ces produits sont destinés aux investisseurs européens.BlackRock a constitué en 2012 une équipe de sept gérants dédiés à la dette émergente que dirige Sergio Trigo-Paz, qui co-gère les deux nouveaux fonds, le premier avec Chris Kelly et Jane Yu, le second avec Chris Kelly et Raphael Marechal. Avant de rejoindre BlackRock en 2012, Sergio Trigo-Paz était directeur des investissements pour la gestion des obligations émergentes chez FFTW, partenaire de BNP Paribas, tandis que Chris Kelly, Raphael Marechal et Jane Yu étaient gérants dans l'équipe dette émergente de FFTW.CaractéristiquesDénomination: BGF Emerging Markets Corporate Bond Fund :ISIN : LU0843229971 (part A)Minimum d’investissement : 5 000 USD (ou équivalent)Frais de gestion annuels : 1,5%Frais d’entrée : 5%Dénomination : BGF Emerging Markets Investment Grade Bond ISIN : LU0843234039 (part A)Minimum d’investissement : 5 000 USD (ou équivalent)Frais de gestion annuels : 1,25%Frais d’entrée : 5%
Eastspring Investments, pôle gestion d’actifs de Prudential Corporation Asia, va créer une entité luxembourgeoise afin de distribuer ses fonds en Europe, selon Funds Europe. Le régulateur luxembourgeois, la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF), a accordé à la société un agrément pour Eastspring Investments (Luxembourg). Henk Ruitenberg, ancien CEO d’Eastspring Investments au Vietnam, a été transféré au Grand Duché en tant que executive board member.
Reprenant un message électronique envoyé par Mark Wilson, le directeur général du groupe Aviva, L’Agefi rapporte que l’assureur britannique Aviva va supprimer 2.000 postes, soit l'équivalent de 6% de sa masse salariale en Grande-Bretagne, en Europe, et en Asie au cours des six prochains mois. Aviva qui a déjà supprimé 2.500 postes l’an dernier employait 31.200 salariés dans le monde au 31 décembre 2012. Ces suppressions de postes s’inscrivent dans le cadre d’un plan visant 400 millions de livres (environ 468 millions d’euros) d'économies d’ici à la fin de l’année.
Rob Page, le directeur marketing d’Hermes, quitte la société pour rejoindre Henderson Global Investors, révèle Investment Week. Il deviendra responsable marketing global de la société en juillet. Il chapeautera les équipes de marketing, de relations publiques et d’e-commerce en Europe et au Royaume-Uni. Placé sous la responsabilité de Greg Jones, responsable du retail en Europe, Moyen-Orient et Afrique, il travaillera en étroite coopération avec Phil Wagstaff, responsable de la distribution globale sur la marque et de la communication interne et externe.
Credit Suisse a annoncé la nomination de Michael Strobaek en qualité de Chief Investment Officer (CIO) de Private Banking & Wealth Management (PB&WM), avec effet au 1er mai. Il prendra également la tête de la nouvelle division Investment Strategy and Research Group, indique Credit Suisse dans un communiqué publié le 18 avril. Il sera directement subordonné à Robert Shafir, responsable Private Banking & Wealth Management Products.La nouvelle division Strategy and Research Group comprend les services Global CIO Office, Research PB&WM, les CIO régionaux et d’autres groupes de la division proposant des contenus d’investissement complémentaires. Giles Keating, responsable Research PB&WM, est nommé adjoint de Michael Strobaek.Michael Strobaek était encore récemment CEO et CIO d’un family office suisse. Il a aussi passé 13 ans chez UBS, en dernier lieu en tant que responsable Investment Management pour Wealth Management.
Actif pendant plus de vingt ans en Asie avant de diriger la gestion privée mondiale de Société Générale depuis Paris, Daniel Truchi ouvre un multi-family office à Genève, rapporte L’Agefi suisse. Daniel Truchi explique au quotidien qu’il a préféré Genève à Singapour «pour le savoir-faire des hommes, la sophistication sans équivalent des systèmes en Suisse et la culture du private banking, qui lui inspirent une vraie confiance dans l’avenir de la place financière».Servant majoritairement de grandes fortunes asiatiques et européennes, le Bordelais d’origine reconnaît qu’il aurait pu exercer ce «retour aux fondamentaux de la gestion privée» à Singapour, mais il «est plus difficile d’être gérant indépendant là-bas qu’en Suisse», estime-t-il. A Singapour, «la réglementation s’est rigidifiée et la création d’une société de gestion est plus contraignante en termes de licences ou d’organisation».
Les actifs sous gestion de Jupiter ont progressé de plus de 10% au premier trimestre pour s'établir à 29,1 milliards de livres, selon le rapport intérimaire publié le 18 avril.Cette hausse de près de 3 milliards de livres par rapport à fin décembre 2012 est due pour l’essentiel à un effet marché positif de 2,66 milliards de livres. Parallèlement, la collecte nette a chuté de 70% par rapport au trimestre précédent à 209 millions de livres. Une évolution attribuée à la mise en place au 1er janvier de la réglementation RDR qui a entraîné un ralentissement des flux émanant des conseillers indépendants (IFA).Jupiter indique en outre qu’il devrait engranger un produit de 16,5 millions de livres, probablement dans le courant du deuxième trimestre, résultant de la cession de sa participation dans la plate-forme Cofunds à Legal & General. Ce produit sera affecté à la réduction de la dette.La société de gestion a par ailleurs indiqué qu’elle se renforçait en Asie avec le recrutement à Hong Kong d’un ancien de BlackRock, Peter Swarbreck, en qualité de responsable de la région Asie-Pacifique. Peter Swarbreck était précédemment managing director, responsable de Hong Kong chez BlackRock qu’il a quitté fin 2012.
Le réseau de conseillers financiers Deutsche Vermögensberatung AG (DVAG), qui compte 37.000 collaborateurs à temps plein ou à temps partiel, a affiché pour l’an dernier un bénéfice net record de 184,8 millions d’euros, soit 8,1 % que l’année précédente sur un chiffre d’affaires en augmentation de 6,7 % à 1.185,8 millions d’euros.Dans le domaine des fonds d’investissement, DVAG a intermédié des souscriptions nettes de 1,9 milliard d’euros en 2012, dont 1,7 milliard au profit du partenaire DWS Investment (groupe Deutsche Bank). Cela porte l’encours total intermédié par DVAG à 16 milliards d’euros, soit une hausse de 8,1 % en un an.
A fin décembre, les actifs gérés par le groupe hambourgeois de banque privée M.M. Warburg &Co ressortaient à 44,4 milliards d’euros, soit une hausse d’environ 16 % sur les 38,1 milliards de fin 2011.Le bénéfice avant impôt du groupe a diminué pour sa part à 39,8 millions d’euros contre 43,6 millions pour l’année précédente.
La Cour constitutionnelle d’Allemagne examinera les 11 et 12 juin un recours contre le Mécanisme européen de stabilité (MES), le fonds destiné aux pays en difficulté de la zone euro, et contre le programme de rachat illimité d’obligations de la Banque centrale européenne (BCE), a-t-elle annoncé vendredi. La Cour, basée à Karlsruhe, a jugé en septembre que le MES n'était pas contraire au droit allemand tout en exigeant que le parlement soit consulté sur les opérations et les décisions de ce mécanisme.
La société de private equity a annoncé avoir mobilisé 10,3 milliards de dollars pour son nouveau véhicule. Avec ce plus important fonds jamais mis en œuvre sur le secteur technologique, Silver Lake, qui gère désormais au total 23 milliards de dollars, frappe un grand coup. Nombre de concurrents ont en effet réduit la taille des véhicules lancés depuis l’émergence de la crise, alors que la société californienne s’est réjouie d’une «forte demande». Pour la première fois, la majorité des engagements est venue d’en dehors des Etats-Unis, selon une source citée par Reuters, qui évoque un afflux d’ordres asiatiques et moyen-orientaux.
Le directeur adjoint de la Banque Populaire de Chine, Yi Gang, a évoqué une ouverture des comptes de capitaux de la Chine, après avoir confirmé un élargissement prochain de la bande de fluctuation du yuan. «Je vois un grand nombre de conditions favorables compatibles avec une plus grande libéralisation de notre compte en capital», a-t-il indiqué à Washington. Et d’ajouter que «pour diriger une économie ouverte, les comptes de capitaux doivent être convertibles».
Le graphique ci-contre montre l'évolution de l’appétit pour le crédit, mesuré par la corrélation de rang entre les rendements des facteurs de risque des obligations et la volatilité qui leur est associée. Si la corrélation est positive, l’aversion pour le risque de crédit a baissé ; si la corrélation est négative, elle a augmenté.
Les tableaux ci-contre présentent les meilleures et plus mauvaises performances en euros des fonds sur les marchés des fonds actions américaines et actions françaises en mars 2013. Ces performances sont mises en perspective par le calcul de la volatilité, du ratio de Sharpe sur trois ans d’historique, ainsi que du rendement depuis un an.
Dans une tribune publiée dans le journal, le ministre des Finances japonais, Taro Aso, décline les trois piliers de la nouvelle politique du gouvernement, nommée «Abenomics» et destinée sortir le pays des deux «décennies perdues». Une politique monétaire de rachats d’actifs illimités, mais aussi une politique fiscale flexible, et une stratégie de croissance pour sortir de la «stagflation».
Dans un entretien accordé au journal, Angel Gurria, le secrétaire général de l’OCDE, estime que la politique monétaire ultra-expansionniste menée par le Japon pour sortir de la déflation est «un pari audacieux sur la reprise économique». Il tempère néanmoins en indiquant qu’il existe une «déconnexion claire entre ce que les marchés actions montrent et la réalité de ce que produit l’économie réelle».
La Suisse devrait réaliser un référendum portant sur les obligations de la banque centrale concernant ses actifs. La Banque Nationale Suisse (BNS) pourrait se voir interdire de céder ses réserves d’or et pourrait devoir conserver au moins 20% de ses réserves dans le métal précieux. L’initiative «Sauvons notre or suisse» émane du parti ultraconservateur.
L’assureur britannique Aviva a annoncé qu’il allait supprimer 2.000 postes en Grande-Bretagne, en Europe et en Asie au cours des six prochains mois. Cela correspond à 6% de sa masse salariale mondiale. En Europe, les activités françaises font partie des entités mises sous revue.
Outre le programme de recherche sur une méthodologie de notation des risques souverains, chapoté par la Caisse des Dépôts et qui sera doté de 3,8millions d’euros, qui a vu le jour la semaine dernière, le journal fait état du projet caressé par Sebastien Faijean et Jérôme Chosson qui souhaitent créer une agence de notation spécialisée dans les PME et ETI et baptisée Nota Bene Corporate. Les deux entrepreneurs, respectivement directeur associé et directeur de la recherche chez IDMidcaps, bureau d’analyse financière spécialisé dans les petites et moyennes capitalisations, seraient dans une phase de dépôt d’agrément auprès de l’Esma, le régulateur européen.
Fabrice Rossary, directeur général délégué de Scor Global Investments à la rédaction de www.institinvest.com : La gestion alternative pour nous, c’est deux choses : d’un côté, essayer d’avoir accès à des classes d’actifs décorrélantes, si possible, du reste du marché, et d’un autre côté, utiliser cette classe d’actifs pour amoindrir les chocs qu’on peut avoir sur les actions. Scor a un portefeuille actions qui représente à peu près 5% des actifs investissables du groupe. Et il est vrai que depuis déjà quelques temps, nous avons la volonté d’accroître la convexité de ce portefeuille actions, c’est-à-dire de passer en partie - et ce n’est pas une révolution, c’est une transition progressive - nos expositions directionnelles pures, en ligne à ligne, qui a un delta de un, à des expositions un peu plus convexes qui font appel notamment à des stratégies de type long short actions. Mais à quoi servent les Hedge Funds si ce n’est pour performer dans des marchés où justement il est compliqué de performer. Si c’est pour performer dans des marchés sur lesquels il y a beaucoup de visibilité et un trend clair, je ne suis pas sûr que ce type de gestion soit alors reconnue comme dégageant beaucoup de valeurs. Cela étant, nous constatons que la dispersion des performances dans l’univers des Hedge Funds a explosé. C’est à dire qu’on arrive quasiment à un jeu à sommes nulles avec des gens qui performent très bien et d’autres qui performent moins bien. Donc il y a vraiment une grosse divergence. Donc, je dirais, il y a autant de différences à l’intérieur d’une poche long-short equity qu’on peut en avoir entre la stratégie long-short equity et long only par exemple. C’est la raison pour laquelle nous sommes en train de développer une expertise sur la sélection des gérants alternatifs.
François Marbeck, directeur du portefeuille de diversification à la Banque Postale à la rédaction de www.institinvest.com : Historiquement, quand nous sommes entrés dans la gestion alternative il y a six ans, nous avons tout d’abord découvert la matière. A l'époque, les fonds de fonds alternatifs ouverts disponible sur la place de Paris étaient le moyen le plus diversifié et le plus facile pour attaquer la matière dans la mesure où on investissait aux côtés d’autres investisseurs institutionnels dans des portefeuilles alternatifs diversifiés donc forcément reflétant la performance générique de la classe d’actifs. Cependant, ces fonds ouverts ont pas mal soufferts du désengagement de beaucoup d’investisseurs après la crise de 2008. Par conséquent, pour maitriser notre passif et éviter le problème des ratios d’emprise, nous nous sommes dirigés de plus en plus vers la création de fonds dédiés. Ces derniers nous permettent d'être maitre chez nous sans dépendre de la fidélité d’autres investisseurs institutionnels vis-à-vis des fonds ouverts. Ainsi, la création de ce troisième fonds dédié en 2012 confié à Amundi IS, reflète et confirme cette stratégie qui nous amène à remplacer petit à petit - et c’est quasiment terminé d’ailleurs - les fonds de fonds ouverts par des fonds dédiés. De plus, quand nous avions 6 ou 7 fonds ouverts, nous nous sommes rendus compte que nous étions exposés à 300 voire 350 positions sous-jacentes. Aujourd’hui, quand nous analysons nos fonds dédiés, nous sommes plutôt exposés à 100 ou 120 fonds sous-jacents. Donc, nos portefeuilles sont plus faciles à analyser que quand vous avez des myriades de petites positions. Enfin, Cela nous donne aussi la possibilité d'être mieux traité dans le cas de fonds semi fermés ou dans le cas de fonds qui décident de rembourser leurs investisseurs. Dans ce cas, nous ne sommes pas forcément les premiers remboursés. Nous avons la capacité de rester plus longtemps dans le fonds, même quand le gérant estime qu’il gère trop d’argent et qu’il doit en rendre. Finalement, pour résumer, y a une proximité avec le Hedge Fund qui est meilleure avec un fonds dédié plutôt qu’au travers d’un fonds de fonds ouvert, en étant au milieu d’autres investisseurs. Nous, la stratégie qu’on privilégie, c’est faire de la performance. Pour cela, nous croyons qu’il est intéressant d’accumuler les talents dans divers domaines et donc dans nos fonds dédiés, nous souhaitons avoir une faible redondance des choix de gérants dans nos différents fonds. Ainsi, nous faisons très attention à ne pas acheter le même fonds à plusieurs endroits et nous aimons bien aller sur plusieurs classes d’actifs différentes. Le fait d’avoir un observatoire, via les hedge funds, sur ces différents marchés nous intéresse. Et honnêtement, je crois beaucoup plus à la sélection de gérants et au côté bottom up plutôt qu’au fait de privilégier telle ou telle stratégie parce que l’environnement est porteur. Quand on fait de la gestion alternative, on reconnait le fait que, dans les marchés, il y a des gérants qui sont meilleurs que d’autres et qu’il faut les laisser s’exprimer sur leur domaine d’expertise. Et ensuite, vérifier que leur rémunération est en ligne avec ce qu’ils produisent.
Le groupe Syz & Co a augmenté à 64,3% sa participation dans la holding de Banca Albertini, qu’il détenait jusqu'à présent à parts égales avec le groupe Albertini. Cette opération s’est faite à travers la reprise des parts de Giampaolo Gamba et Ernesto Marelli, qui restent administrateurs et poursuivent leur activité actuelle au sein de la banque.
European treasurers and others investing in constant net asset value (CNAV) money market funds (MMFs) are likely to be the most impacted by the current regulatory debate around MMFs in Europe, says Fitch Ratings.Almost half (47%) of European treasurers investing in CNAV MMFs, irrespective of the amount of their cash holdings, view a regulatory shift to variable NAV (VNAV) MMFs as a potential concern as the funds’ risk profile may become less clear, according to the results of a survey of European treasurers published in conjunction with Treasury Management International (TMI) on 26 February 2013.This is consistent with the widely held view of European treasurers’ that the main strength of CNAV funds is their clear risk profile (cited by 71% of CNAV users). 50% of CNAV investors also cite their simple tax and accounting treatment as a strength (vs. 31% for the total sample of treasurers), which might disappear in VNAV funds.
P { margin-bottom: 0.08in; } The second-largest US teachers’ union, the American Federation of Teachers, will released today a list of 34 hedge fund managers and other investment firms which helped to lead or made contributions to organisations which are hostile to defined-benefit plans, the Wall Street Journal reports. The union is asking pension fund trustees to take into account these relationships when they decide to invest with these firms. “I have a problem with people who think that they can play both sides,” says Jay Rehak, chairman of the Chicago Teachers’ Pension Fund.
P { margin-bottom: 0.08in; } The Office of Fair Trading in the United Kingdom is looking into BlackRock’s agreement to acquire Credit Suisse’s exchange traded fund (ETF) business, to assess the potential effects the merger would have on the market, Citywire Wealth Manager reports. The organisation is contacting some clients of BlackRock to obtain their opinion about the operation, in order to determine how the new entity will affect competition, product selection, and price.
P { margin-bottom: 0.08in; } Fidelity Worldwide Investment on 17 April announced that its new Asia fund of the Fidelity Active Strategy (FAST) range has recently received a license from BaFin for sale in Germany (see Newsmanagers of 10 April). With the Asia Fund range, FAST now includes eight funds.