Berlin veut une révision des traités pour consolider le lien entre coordination économique et budgétaire d’un côté et mutualisation des risques, de l’autre
Le quotidien avance que la banque américaine devrait être contrainte de nouer un accord avec les autorités américaines afin d’échapper à des poursuites pénales concernant sa gestion des comptes de Bernard Madoff. Des poursuites pénales pourraient être lancées à l’encontre de salariés de la banque ayant été en relation avec le financier architecte d’une pyramide de Ponzi.
Par décision du 18 octobre 2013, la Commission des sanctions de l’AMF a prononcé des sanctions de 14 millions d’euros à l’égard de M. Joseph Raad pour avoir utilisé l’information privilégiée relative au lancement d’une OPA de la SNCF sur Geodis, dont il a tiré profit, et de 400.000 euros à l’égard de M. Charles Rosier pour avoir transmis cette information. Il s’agit de la plus lourde sanction pécuniaire prononcée par l’Autorité des marchés financiers depuis sa création, selon un communiqué.
Le gérant britannique Aberdeen AM a annoncé discuter du rachat à Lloyds Banking Group de Scottish Widows Investment Partnership (Swip). Avec les 146 milliards de livres d’actifs gérés par Swip, Aberdeen AM porterait ses encours à 350 milliards et dépasserait son compatriote Schroders au rang des gestionnaires cotés en Bourse. Le groupe entend payer son acquisition en titres, assorti de compléments de prix en cash. Aberdeen évoque aussi la négociation d’un «partenariat stratégique» avec Lloyds.
Franklin Templeton a recruté Rod MacPhee en tant que gérant de portefeuilles spécialisé sur l’obligataire européen pour son bureau de Londres, révèle Citywire. L’intéressé travaillait précédemment comme analyste chez Western Asset Management Group. Désormais, il s’occupera des fonds obligataires aux côtés de John Beck et David Zahn.
La XXIIème table ronde amLeague-Newsmanagers qui s’est tenue la semaine dernière s’est donnée deux sujets principaux : le comportement des sociétés de gestion du mandat multi asset class depuis le début de l’année, et la question du «cost liquidation», une information que diffuse amLeague permettant d'établir le coût, exprimé en point de base, d’une liquidation d’une partie plus ou moins importante du portefeuille. Responsable de la gestion diversifiée à la Française AM, Joël Konop est d’abord revenu sur sa gestion dans le mandat multi asset class. Contrairement aux autres, il s’agit d’un mandat d’allocation d’actifs. Il n’est donc pas question de mettre en valeur le stock picking ou le bond picking du gérant. En revanche, ce dernier a toute latitude pour faire des choix sectoriels ou des choix géographiques. Et sachant qu’il n’y a pas de benchmark, il s’agit de réaliser une performance absolue. «Une seule contrainte a été établie», a rappelé Vincent Zeller, responsable des relations investisseurs chez amLeague, «qui tend à limiter le risque pris : le portefeuille ne doit pas subir un max draw down de plus de 20 %."Pour sa part, Joël Konop a indiqué qu’aucun investisseur ne donne carte blanche sans contrainte si ce n’est un max draw down de 20 %. De fait, son pilotage réplique peu ou prou celui d’un mandat que sa société de gestion destine au retail et à la distribution, avec une contrainte de volatilité ex ante de 10 %. Cela posé, le gérant a expliqué avoir eu une allocation extrêmement dynamique puisque le delta action est passé de 25 % en début d’année à près de 60 % ce mois-ci. Dans le détail la société a peu modifié la pondération internationale, mais a surtout augmenté la pondération européenne du portefeuille. «C’était une vraie conviction», a insisté le gérant dont le portefeuille affiche une progression depuis le début de l’année de 2,68 % (*), une volatilité de 7,4 % et un max draw down de -7,3 %. De son côté, Olivier Jéséquel, directeur général de Bfinance, a souligné la forte amplitude des performances au sein de ce mandat – plus de 12 points de pourcentage séparant le premier (Vivienne Investissements +11,01 %) du dernier (Fédéral Finance -1,62 %) depuis le début de l’année.Le responsable de Bfinance est également revenu sur le mandat actions full invested zone euro et sur l'écart des performances des portefeuilles. Avec un indice eurostoxx en progression de 19 % depuis le début de l’année, l’amplitude atteint 23 points de pourcentage d'écart entre le meilleur et le moins performant ! Affichant un gain supérieur à 30 %, Invesco AM fait figure de vedette. A ce titre, Jeffrey Taylor qui gère le portefeuille a indiqué que sa gestion mixait à la fois une approche top down et bottom up. «Côté macro, on essaye d’anticiper les prochaines tendances macroéconomiques, ce qui influence nos choix de secteurs», a-t-il ajouté, «mais finalement ce sont des valeurs individuelles qu’on achète». Toutefois, pour comprendre que le portefeuille est également le plus performant depuis juin 2010, le gérant a insisté sur le fait qu’il n’a jamais vraiment changé sa façon de travailler. Directeur financier chez Agrica Epargne, Sylvie Terris a salué la performance sur la durée du gérant d’Invesco AM en soulignant que 2013 a été une année incroyable en matière de retournement. «Souvent, ceux qui avaient très bien marché dans les années 2011-2012 se retrouvent à la traîne aujourd’hui, et inversement,» a-t-elle observé, en relevant qu’Agrica avait investi dans des OPCVM actions qui ont très bien performé les années passées, mais qui, de façon paradoxale devant les résultats du portefeuille de Jeffrey Taylor, «sous-performent nettement cette année, car les gérants ne changent pas leur gestion"…La seconde partie du débat a été consacrée à la question des coûts de transaction sur les marchés actions. Directeur général d’ITG, qui collabore avec amLeague, David Angel a expliqué que les sociétés de gestion accordaient désormais de l’importance aux coûts de frottement lorsqu’on exécute les ordres. En cause, la baisse des performances et le fait qu’un nombre croissant d’institutionnels demandent à leur gérant de pouvoir démontrer que si le fonds augmente en taille de manière significative, il sera capable de neutraliser l’augmentation des coûts de transaction liée au fait que les positions théoriquement vont devoir augmenter. «Sauf à ce que la société de gestion augmente le nombre de titres dans laquelle elle investit, cela change radicalement la nature du mandat», a noté David Angel qui note que peu de gérants ont intégré cette problématique très en amont directement dans la définition de leur portefeuille. Pour sa part, Sylvie Malecot, conseil en investissements financiers chez Millenium-Actuariat & Conseil, a confirmé qu’il y avait une tendance à la pression sur les frais de gestion et que les sociétés de gestion sont obligées de maîtriser leurs coûts de façon plus stricte.Dans le cadre d’amLeague, ITG est passé au thème de «cost liquidation» car «les coûts de transaction ne deviennent plus nécessairement une problématique d’exécution et de gestion, mais également une problématique de risk managment», a indiqué David Angel. «Au niveau de la gestion, il se pose un thème de plus en plus important : quel est le coût théorique de liquidation d’un fonds si on devait demain se séparer d’un pourcentage variable de son portefeuille dans un temps très limité, que ce soit 10 %, 20 % ou 50 % du fonds ", a-t-il relevé. Et ce d’autant que les régulateurs exigent des assets managers qu’ils soient capables de mesurer et d’évaluer ce risque. David Angel a néanmoins insisté sur le fait que pour collecter ces données, sa société n’a pas connaissance du contenu des portefeuilles des gérants d’amLeague. Pour des raisons de neutralité et, pour amLeague, de confidentialité.Le responsable d’ITG a rappelé que dans un modèle économétrique, il y a deux éléments importants : la modélisation du risque anticipé et le back testing. «Toutes les banques d’investissement ont un modèle économétrique permettant d’anticiper, d’estimer un coût d’exécution d’un titre à un moment donné, en fonction de sa taille, et en fonction de sa stratégie d’exécution», a indiqué David Angel. «On ne subit pas le même coût si l’on est un gérant agressif ou passif. Ces modèles économétriques doivent être «back testés» car il y de nombreux biais qui peuvent influencer la qualité du modèle économétrique».Interrogée à son tour sur la question de la liquidité du portefeuille, Sylvie Terris a avoué tenir peu compte de cet élément. «Agrica est investisseur institutionnel de long terme, qui dispose de nombreux fonds dédiés», a-t-elle expliqué. «Cela signifie que nous maîtrisons la liquidité des portefeuilles. On sait a priori si on a des sorties et le gérant est informé». Enfin, Sylvie Malécot a déclaré que des modèles démontraient qu’il y avait à peu près 1/3 de la baisse constatée en 2008 sur le marché actions qui s’expliquait uniquement parce que les actions étaient des titres liquides. «Les institutionnels étant « collés » sur leur portefeuille crédit obligataire, ils avaient deux classes d’actifs qu’ils pouvaient vendre, les ‘govies’, mais ce n’était pas forcément ce qu’ils avaient envie de vendre dans le contexte, et les actions. Beaucoup en ont vendu, car ils avaient besoin de liquidités». De fait, a conclu, Sylvie Malécot, il peut y avoir un effet boule de neige en cas de «crunch» des classes d’actifs importantes, qui se répercute sur les actifs les plus liquides… (*) Performances au 15/10/2013
Une nouvelle société vient d’être créée dans le secteur italien du conseil et de la gestion d’actifs : Advam Partners Sgr, rapporte Bluerating. La structure se propose de faire le lien entre le patrimoine personnel des entrepreneurs et les nécessités de financement de leurs entreprises. Advam Partners est née de la fusion entre Gesti-Re sgr et Finn sim et part avec un encours de 120 millions d’euros. L’objectif est de tripler ce montant à fin 2014.
En septembre, les fonds commercialisés en Italie ont accusé des rachats nets de 343 millions d’euros, selon les statistiques d’Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion.Les fonds actions et les fonds flexibles ont toutefois enregistré des souscriptions nettes, de respectivement 236 millions d’euros et 1,323 milliard d’euros.Depuis le début de l’année, les fonds italiens affichent une collecte de près de 40 milliards d’euros et leurs encours approchent les 532 milliards d’euros. En ajoutant les fonds fermés et les gestions sous mandat, le secteur italien de la gestion d’actifs a enregistré en septembre des souscriptions nettes de 3,1 milliards d’euros, notamment sous l’effet des mandats institutionnels, en collecte nette de 3,7 milliards d’euros. A fin septembre, les encours totaux du secteur ressortaient à 1.284 milliards d’euros.
Schroders vient de nommer David Thompson en qualité de client director responsable du développement des relations avec la clientèle au sein de l'équipe Insurance AM, selon un communiqué publié le 22 octobre.Il travaillait précédemment chez ECM Asset Management en tant que responsable des ventes et du marketing depuis 2011.
Brevan Howard, société de hedge funds qui gère 41 milliards de dollars, a transféré le gros de ses activités hors du Royaume-Uni, rapporte le Financial Times. Des dizaines de postes ont été déménagés sur les Iles anglo-normandes, en Suisse, en Asie et aux Etats-Unis, afin de d’échapper à la réglementation européenne et pour croître à l’international. Trois ans après avoir ouvert un bureau satellite à Genève, Brevan n’a plus qu’une poignée de traders basés à Londres, indiquent des personnes proches du dossier. Il y a quatre ans, la plupart de ses employés étaient localisés dans la capitale britannique.
Pour le trimestre au 30 septembre, Morningstar Inc fait état d’un bénéfice net de 31,46 millions de dollars contre 27,07 millions pour la période correspondante de l’an dernier tandis que sur les neuf premiers mois de 2013, le bénéfice net affiche un gonflement de 22,8 % à 92,2 millions de dollars contre 75,09 millions. Pour janvier-juin, toutefois, le bénéfice net avait augmenté encore plus fortement, de 26,5 % à 60,7 millions de dollars.
A l’occasion d’une réunion sur les média sociaux qui s’est tenue à l’AFG le 23 octobre et a rassemblé de nombreux professionnels, l’association a annoncé l’ouverture de son compte sur Twitter (https://webmail.agefi.fr/exchweb/bin/redir.asp?URL=https://twitter.com/AFG_France).Si les sociétés de gestion sont pour beaucoup encore en phase de réflexion ou de test, les professionnels de la finance sont très utilisateurs des média sociaux. C’est ce qui ressort de deux études. La première, publiée par Caceis qui a été présentée par Claude Michaux, Deputy Group Communications Director de CACEIS et Xavier Domalain de PwC Luxembourg montre que les sociétés de gestion utilisent encore peu les réseaux sociaux en raison notamment du cadre réglementaire un peu flou . Elles n’en demeurent pas moins très intéressées et se posent de nombreuses questions : Quelle stratégie adopter ? Quels sont les impacts juridiques ? Quid de la commercialisation et du Marketing ?La seconde étude, qui vient tout juste d’être réalisée par Alban Jarry, très complémentaire de celle de Caceis, montre que les professionnels de la finance utilisent beaucoup ces outils pour s’informer (lire par ailleurs) . En conclusion, l’information et la pédagogie ont déjà leur place sur les média sociaux : sociétés de gestion et professionnels sont unanimes.
Dans un communiqué présentant les résultats estimés au titre du troisième trimestre, le groupe Boursorama a indiqué que le résultat net part du groupe devrait s’établir à environ -57 millions d’euros. La perte serait due à des dépréciations d'écarts d’acquisition et d’autres actifs incorporels au Royaume-Uni et en Allemagne pour 63 millions d’euros.La banque en ligne filiale de la Société Générale cite comme une des causes du trimestre décevant sur ces marchés le renforcement des exigences de conformité, qui impose des investissements complémentaires notamment dans les fonctions finance et risque. Par ailleurs, le marché du courtage actions pour les particuliers progresse moins vite qu’anticipé dans les pays concernés, alors même que Selftrade et OnVista tirent une partie importante de leur chiffre d’affaires de cette activité.Boursorama publiera ses résultats pour le troisième trimestre 2013 le 6 novembre 2013.
Les ETF de Fidelity doivent être lancés ce jeudi, selon Mutual Fund Wire, qui cite Barron’s et ETF Trends. Ils seront gérés par BlackRock et offriront une couverture comparable à des produits similaires de State Street, mais à un prix plus faible.
L’ancien gérant star Bill Stormont revient dans le secteur de la gestion d’actifs, près de neuf mois après avoir quitté Henderson. Citywire Global révèle qu’il est devenu consultant pour Absolute Strategy Research, une société créée à Londres en 2006 qui fournit de la recherche indépendante sur des stratégies macro au secteur des fonds. Bill Stormont sera basé à Vancouver, sa ville d’origine.
L’Agefi rapporte que la société de private equity IK Investment Partners a bouclé la levée de son nouveau fonds, IK VII Fund, d’une taille de 1,4 milliard d’euros. Le groupe avait commencé le processus de levée en décembre 2011 et annoncé un premier closing à un milliard d’euros en 2012, mais il n’a finalement pas atteint son objectif initial de 1,7 milliard.
Edmond de Rothschild Asset Management veut doper ses encours, actuellement de 55 milliards d’euros, de 36 % sur les trois prochaines années et cherche un partenaire asiatique pour lui permettre d’atteindre cet objectif, rapporte Asian Investor, qui a interrogé le responsable mondial de la gestion d’actifs du groupe, Laurent Tignard. La société française souhaite que son partenaire l’aide à élargir sa plate-forme de distribution régionale et ses capacités en matière de gestion d’actifs. EdRAM cherche des partenaires en Corée et à Singapour. Par ailleurs, EdRAM compte lancer un fonds luxembourgeois investi en actions et obligations d’entreprises.
Société Générale Maroc, filiale du groupe Société Générale, lance une offre de banque privée à destination de la clientèle patrimoniale haut de gamme résidant au Maroc. La filiale s’appuiera sur l’expertise de Société Générale Private Banking. L’offre comprend des services et conseils pour la gestion, la protection et la transmission de patrimoine. Les clients seront accueillis par des conseillers dédiés au sein d’un réseau de huit agences de banque privée localisées à travers le pays.
Pour janvier-septembre, comdirect bank (groupe Commerzbank) fait état d’un bénéfice net en baisse de 10,4 % à 48,26 millions d’euros, mais l’amélioration progressive des résultats a incité le directeur financier à revoir à la hausse l’objectif de bénéfice avant impôt pour l’ensemble de cette année.En matière d’encours, l’activité B2C (comdirect bank) a atteint fin septembre 30,49 milliards d’euros contre 27,91 milliards fin décembre tandis que le pôle B2B (ebase) affichait un encours de 22,33 milliards d’euros contre 20,95 milliards. Au total, le groupe affiche donc des actifs sous gestion ou administration à un niveau record de 52,81 milliards d’euros contre 48,85 milliards. Les souscriptions nettes ont représenté 1,7 milliard d’euros sur les 3,96 milliards d’augmentation de l’encours, le reliquat provenant donc de l’effet de marché.
Les actifs sous gestion de Credit Suisse s’inscrivaient au terme du troisième trimestre 2013 à 1.252,7 milliards de francs suisses, en progression de 3,4% par rapport à fin décembre 2012, selon les chiffres communiqués le 24 octobre par le groupe suisse.Dans la banque privée et la gestion de fortune (Private banking & Wealth Management), les résultats du groupe au troisième trimestre «ont été affectés par un environnement de taux toujours bas et des affaires clientèle faibles», souligne un communiqué.La collecte nette du trimestre s’est toutefois élevée à 8,1 milliards de francs, avec des contributions toujours soutenues des produits Asset Management à marge élevée, des marchés émergents et du segment de clientèle Ultra-High Net Worth Individuals, qui ont été partiellement neutralisées par des sorties de capitaux transfrontalières en Europe de l’Ouest.Le bénéfice avant impôts de la division Private Banking & Wealth Management s’est élevé à un peu plus d’un milliard de francs.Grâce aux progrès réalisés dans son programme de réduction des coûts, le groupe a presque doublé son bénéfice net à 454 millions de francs suisses au troisième trimestre 2013.
Les actifs sous gestion de GAM holding AG sont demeurés stables au troisième trimestre pour s’inscrire à 116 milliards de francs, au 30 juin 2013, selon les chiffres communiqués par la société. Une stagnation liée à l’accès de faiblesse du dollar face au franc suisse, qui a neutralisé la bonne performance des marchés financiers au troisième trimestre.Dans le détail, le pôle Investment Management affichait des actifs sous gestion inchangés sur trois mois de 72,1 milliards de francs, handicapés par la décollecte sur les marchés émergents et sur des produits à faibles marges. Les activités Private Labelling ont également fait du sur place à 44,5 milliards de francs. GAM reconnaît que la collecte nette a été dans l’ensemble «modeste». Le groupe réitère néanmoins son intention de conserver un taux de distribution du dividende de l’ordre de 50% du bénéfice net. GAM précise que l’intégration d’équipes des anciennes divisions GAM (gestion alternative) et Swiss & Global (fonds traditionnels) est en grande partie achevée. Des équipes ont ainsi été regroupées dans les fonctions de distribution et de marketing à travers le globe et les départements RH, finance et juridique ont été intégrés au niveau du groupe. A noter par ailleurs que Swiss & Global a annoncé qu’une dizaine de fonds vont être fusionnés dans cinq nouvelles stratégies. Ces changements devraient être effectifs d’ici à la fin novembre. Les cinq nouveaux fonds sont les suivants: JB Europe Focus Fund ( Julius Baer EF Europe Selection fusionne avec Julius Baer EF Europe Stock ) JB Asia Focus Fund ( Julius Baer EF Asia Stock fusionne avec Julius Baer EF Chindonesia) JB Eastern Europe Focus Fund ( Julius Baer EF Black Sea et Julius Baer EF Central Europe Stock ) JB Africa Focus Fund ( Julius Baer EF Africa Opportunities et Julius Baer EF Northern Africa) JB Health Innovation Fund (Julius Baer EF Health Opportunities et Julius Baer EF Biotech)
BNP Paribas Securities Services a annoncé le 23 octobre avoir migré avec succès un nouveau mandat de conservation globale, d’administration de fonds et de services de banque dépositaire pour le Qualifying Investor Fund (QIF) de BB Gestão de Recursos DTVM (7 milliards de dollars d’actifs). Première société de gestion latino-américaine et filiale à 100 % de Banco do Brasil, BB DTVM a fait de son expansion en Europe et en Asie une priorité majeure. C’est en 2009 que BNP Paribas Securities Services a lancé sa stratégie de développement en Amérique latine. L’année suivante, des services de compensation et de conservation locale ont été lancés au Brésil. En 2012, BNP Paribas Securities Services a ouvert des bureaux en Colombie et au Chili, avant de proposer des services de compensation locale en Colombie en octobre 2013.
For the quarter to 30 September, Morningstar Inc has reported net profits of USD31.46m, compared with USD27.07m in the corresponding period of last year, while in the nine months of 2013, total net profits are up 22.85 to USD92.2m, compared with UDS75.09m. In January-June, however, net profits increased even more sharply, by 26.5% to USD60.7m.
Société Générale Morocco, an affiliate of the Société Générale group, is launching a private banking product range aimed at high net worth clients residing in Morocco. The affiliate will rely on the expertise of Société Générale Private Banking. The range includes services and advising for the management, protection and transmission of wealth. Clients will be welcomed by dedicated advisers in a network of eight private banking branches located throughtout the country.
European parliament on Monday voted to introduce an online “fund calculator,” which will help investors to compare the costs of investment, savings and retirement products, the Financial Times reports. The calculator, which will be available via the websites of the national regulators, will include an estimate of total costs, including costs of transactions on platforms and commissions paid to financial advisers.
The Spanish asset management firm Bestinver (Acciona group) has received a license from the AMF to sell three of its main products in their Luxembourg versions in France, the funds Bestinfund (LU0389173070), Bestinver Iberian (LU0389174128) and Bestinver International (LU0389173401).The asset management firm has recently received two amLeague-Newsmanagers prizes for the Actions Europe mandate (see Newsmanagers of 11 October).According to statistics from the Spanish Inverco association of asset management firms, Bestinver in January-September achieved a share of 28% for total net inflows to equities funds (which totalled EUR1.24bn), followed by Santander AM (14%), Mutuactivos (13%) and Invercaixa Gestión.
ETFs from Fidelity are expected to be launched this Thursday, according to Mutual Fund Wire, citing Barron’s and ETF Trends. They will be powered by BlackRock and will offer coverage comparable to similar products from State Street, but at a lower price.