La société de gestion américaine Muzinich vient de s’associer avec la compagnie espagnole Arcano afin de lancer sur le marché espagnol un nouveau fonds de prêts de 200 millions d’euros dédiés aux petites et moyennes entreprises (PME) locales, révèle le site Expansion.com. L’objectif de ce fonds est d’atteindre rapidement le seuil des 500 millions d’euros.Dans le détail, ce véhicule, baptisé Iberian Private Debt Fund, a vocation à accorder des crédits en direct aux entreprises espagnoles pour un montant unitaire pouvant aller jusqu’à 30 millions d’euros sur durée de 7 ans. Ce fonds cible aussi bien les investisseurs institutionnels et les grandes fortunes habitués à des produits plus illiquides. Le montant minimal intial est fixé à 50.000 euros et «le rendement attendu pour l’investisseur est compris entre 7% et 9 % net», a indiqué à Expansion.com Manuel Mendivil, associé chez Arcano.L’objectif des deux partenaires est d’inclure dans le portefeuille du fonds entre 15 et 25 entreprises de secteurs et de régions différentes. Le fonds recherche en particulier des entreprises affichant un ebitda compris entre 5 et 30 millions, «même si la majorité des investissements seront réalisés dans des compagnies ayant un ebitda entre 10 et 20 millions d’euros», a expliqué à Expansion.com Justin Muzinich, président de Muzinich.Ce nouveau produit en terre espagnole est une réplique d’un fonds que Muzinich a lancé le mois dernier en Italie qui a réalisé un premier «closing» de 150 millions d’euros et dont l’objectif est également fixé à 500 millions d’euros.
La Chambre des indépendants du patrimoine (CIP) a annoncé sur son site, lundi 7 avril, que son conseil d’administration a élu, à l’unanimité, Benoist Lombard président de l’organisme. Il succès à Thierry Moreau, disparu dans un accident de la route, le 3 janvier dernier. Benoist Lombard est depuis avril 2013 vice-président de la Chambre des Indépendants du Patrimoine (CIP). Il est le fondateur du groupe Witam en 1997 qui regroupe 3 sociétés de conseil en gestion de patrimoine (CIF) et a également crée Wiséam, société de gestion de portefeuille, en 2011.
Jusqu’au 23 mai 2014, LCL commercialise à destination des particuliers LCL Triple Horizon (Avril 2014). Ce fonds est éligible au compte-titres et au PEA ou éligible à l’assurance-vie.Quelle que soit leur éligibilité, ces fonds à formule (à capital non garanti) qui ont une échéance à 6 ans, permettent de connaître dès la souscription les gains potentiels avec deux sorties possibles par anticipation à 2 et 4 ans. Si l’évolution de l’indice Euro Stoxx 50®2 (dividendes non réinvestis) est positive ou nulle par rapport à son niveau initial, les fonds offrent un gain fixe de 11% à 2 ans ou 22% à 4 ans ou 33% à 6 ans. Le capital est restitué jusqu’à une baisse de l’indice de 50% à l’échéance. Au-delà d’une baisse de l’indice de plus de 50% à l’échéance, le capital n’est plus garanti et le porteur supporte une perte en capital équivalente à l’intégralité de la baisse de l’Euro Stoxx 50®. Caractéristiques : Code Isin :LCL Triple Horizon (Avril 2014) : FR0011734144LCL Triple Horizon AV (Avril 2014) : FR0011734151 Valeur liquidative de la part à l’origine : 100 euros Eligibilité : Compte-titres/PEA/contrats d’assurance vie Minimum de la première souscription : 1 partDurée de placement minimum recommandée : 6 ans, ou en cas de stabilité ou de hausse des marchés : 2 ans ou 4 ansIndice de référence : Euro Stoxx® ( dividendes non réinvestis)Valeurs de référence :Valeur Initiale de l’Euro Stoxx 50® : moyenne arithmétique des cours de clôture de l’Euro Stoxx 50® des 10,11 et 12 juin 2014.Valeurs 2 ans, 4 ans et 6 ans de l’Euro Stoxx 50® : moyenne arithmétique des cours de clôture de l’Euro Stoxx 50® : Pour la performance à 2 ans : des 17,18 et 19 mai 2016, Pour la performance à 4 ans : des 17,18 et 21 mai 2018,Pour la performance à 6 ans : des 18,19 et 20 mai 2020. Frais courants : 3% TTC maximum l’an. Le rapport annuel de l’OPCVM donnera le montant exact des frais encourus. Frais d’entrée : 2,5% maximum pour les souscriptions centralisées jusqu’au 23/05/2014 (hors assurance vie)Frais de sortie : 0% à l’échéance /1% au cours des fenêtres de sorties trimestrielles / 3% aux autres dates (2% pour l’assurance vie)
BNP Paribas Real Estate a annoncé le 8 avril la nomination de Laurent Pavillon au poste de directeur marketing et business development, à compter d’avril 2014. Rattaché à Thierry Laroue-Pont, directeur général délégué de BNP Paribas Real Estate, il rejoint le comité exécutif. Ses missions sont d’assurer la performance du département marketing en fonction des objectifs business prioritaires des six lignes de métier de l’entreprise en France et à l’international. Laurent Pavillon s’appuie sur une équipe centrale basée au siège du groupe à Issy-les-Moulineaux et sur une équipe internationale composée des Directeurs marketing dans les 17 pays où BNP Paribas Real Estate est directement implanté. Agé de 43 ans, Laurent Pavillon était, depuis 2011, directeur marketing pour la France après avoir été, pendant 3 ans, directeur marketing des lignes de métier Advisory (Transaction, Expertise et Conseil). Diplômé de l’Ecole de Management de Lyon (EML), il a débuté sa carrière en 1995 chez Nestlé.
Le gestionnaire de fortune Evercore Wealth Management vient d’annoncer l’ouverture d’un bureau en Floride, à Tampa, dont la vocation sera d’accompagner la clientèle haut de gamme dans l’Etat de Floride et dans le sud-est des Etats-Unis.La société a par ailleurs recruté trois nouveaux associés, issus de GenSpring Family Offices et de sa société affiliée, SinTrust Bank.
Lazard a annoncé trois nominations au sein du pôle français de gestion d’actifs du groupe. Sophie de Nadaillac, responsable du développement de la gestion privée, et Régis Bégué, responsable de la recherche et de la gestion actions, jusqu’à présent associés-gérants de Lazard Frères Gestion à Paris, ont été nommés associés de Lazard Group. Pour sa part, Stéphane Jacquin, responsable de l’ingénierie patrimoniale, rejoint le collège des associés-gérants de Lazard Frères Gestion présidé par François-Marc Durand.
BFT Gestion sort enfin du bois. Evoluant jusque-là en toute discrétion dans l’ombre d’Amundi, sa maison-mère, le gestionnaire d’actifs français reconnu pour sa gestion de taux et de trésorerie affiche désormais de nouvelles ambitions. Son objectif est double: se développer sur les autres classes d’actifs et élargir sa base de clientèle.BFT Gestion ne part pas d’une page blanche. A fin 2013, elle affichait ainsi 19,4 milliards d’euros d’actifs sous gestion, «soit un doublement des encours en l’espace de dix ans», note Stefan Narbutas, directeur général de BFT Gestion. Surtout, au fil des années, ce spécialiste du monétaire a accéléré sa diversification pour devenir un gérant multi-classes d’actifs. Toutefois, alors que le monétaire représente toujours l’essentiel de ses encours (environ 80 % de ses actifs gérés), le poids des autres classes d’actifs est, a contrario, beaucoup plus modeste: 2,5 milliards d’euros d’encours sur le crédit à fin février, 1,5 milliard sur le «total return» et, enfin, 600 millions d’euros sur les actions et convertibles Europe (un chiffre qui a progressé de près de 50 % en un an). BFT Gestion n’entend pourtant pas rester l’arme au pied. «Notre ambition est d’intensifier le développement de nos gestions crédit, actions et total return», ne cache pas Stefan Narbutas. A cet égard, la société de gestion va en priorité redoubler d’efforts sur les actions. «D’ici fin 2016, nous voulons porter la gestion actions value Europe au-delà de 1,5 milliard d’euros d’encours en 2016», a annoncé Stefan Narbutas. Soit un triplement par rapport aux 600 millions d’euros d’encours gérés à fin février.En parallèle, alors que seuls 4 des 14 OPCVM de sa gamme ont un encours supérieur à 1 milliard d’euros, la société de gestion veut faire croître de manière significative la taille de ses fonds. «Nous voulons doubler le nombre d’OPCVM dont l’encours est supérieur à 500 millions d’euros d’ici à fin 2016», avance le directeur général. Enfin, BFT Gestion n’entend pas délaisser la gestion monétaire. De fait, la société de gestion va transformer un fonds dédié en fonds ouvert, portant ainsi à 3 le nombre de fonds monétaires dans sa gamme.Pour accélérer son développement, BFT Gestion entend surtout se lancer à la conquête de nouveaux segments de clientèle. Un impérieuse nécessité alors que les institutionnels représentent 70 % de sa clientèle et de ses encours. En France, la priorité est donc donnée à la clientèle privée via la distribution externe. Une clientèle qui ne représente que 3 % des ses encours à fin 2013. «Nous sommes actuellement peu présents sur la distribution, déplore Stefan Narbutas. A nous d’élargir notre offre et d’aller davantage vers les distributeurs. Nous pouvons compter sur notre offre existante sur le monétaire et le crédit mais à nous d’être plus présent et d’élargir notre offre.» D’où le lancement d’ici à la fin de l’année de trois nouveaux fonds flexibles (crédit, actions européennes, portefeuille mixte). L’objectif de BFT Gestion est, ainsi, de porter à 10 % la part de sa clientèle provenant de la distribution externe d’ici à fin 2016. La société de gestion s’est assigné un deuxième axe de développement: conquérir les investisseurs institutionnels à l’international. «Notre intention n’est pas de partir nous-mêmes à l’aventure, reconnaît Stefan Narbutas. En revanche, Amundi a tout le dispositif voulu et nécessaire.» C’est d’ailleurs dans cette optique que BFT Gestion a lancé, le 15 avril 2013, le véhicule Amundi Funds Absolute Global Dividend, axé sur les futures sur dividendes et logé dans la Sicav luxembourgeoise d’Amundi (Amundi Funds). «Ce fonds est enregistré dans une trentaine de pays et nous pouvons donc dés à présent le vendre à l’étranger, admet Stefan Narbutas. Etre domicilié aux Luxembourg est un atout important pour vendre des produits à l’international.» Reste maintenant à BFT Gestion de transformer l’essai.
Bank of New York Mellon a dû faire face à la colère de ses actionnaires sur ses coûts, sa rentabilité et la rémunération de ses dirigeants lors de son assemblée générale, mais Gerald Hassell, son président-directeur général a rejeté les appels à vendre l’activité de gestion d’actifs du groupe, rapporte le Financial Times. Le patron a indiqué aux investisseurs qu’une telle cession avait été envisagée. « Nous avons fait les calculs, nous l’avons fait plusieurs fois, nous continuons à le regarder », a-t-il dit.
L’Agefi rapporte que le hedge fund américain Coatue Management a annoncé à ses clients qu’il s’apprêtait à leur rendre au 30 juin entre 25 et 35% de leur mise au sein de son principal fonds, dont le montant des actifs atteint 7 milliards de dollars. Une décision «difficile» mais «nécessaire» selon le gestionnaire afin de continuer à gérer au mieux le fonds.
Thomas Saunier a été nommé au poste de délégué général de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA). Il succède à Jean-François Lequoy qui a rejoint Natixis comme membre du comité de direction générale, en charge des activités d’assurance.Âgé de 47 ans, Thomas Saunier avait rejoint en février 2006 le comité de direction générale de Generali où il était jusqu’à présent en charge de la direction des particuliers, de la direction des professionnels et des petites entreprises, de la direction des entreprises, des directions des opérations d’assurances, de l’indemnisation et des partenariats et des Dom-Tom.
Edmond de Rothschild Asset Management (EdRAM) a lancé fin 2013 une stratégie de rendement Edmond de Rothschild Fund –Income Fund. Ce nouveau fonds « Income » qui privilégie une approche «bottom up» basée sur la sélection de titres, tire parti de la combinaison de 2 expertises phares d’Edmond de Rothschild Asset Management : la gestion Actions Européennes et la gestion Dettes d’entreprises. Il vise la distribution de revenus réguliers et l’appréciation du capital, sur un horizon moyen / long terme. Dans les conditions de marché actuelles, le fonds cherche à distribuer un revenu annuel de 5%Le fonds concentre ses investissements pour au moins 50% de l’actif dans des obligations d’entreprises européennes, quelle que soit leur notation ou leur taille. Le compartiment actions représentera quant à lui entre 0 et 50%, avec un univers d’investissement principalement constitué des titres de l’indice Stoxx 600.Ciblant les entreprises qui présentent des rendements attractifs, ce fonds donne accès à un vaste univers d’investissement constitué d’environ 1000 émetteurs et à une grande diversité d’entreprises. Dans les conditions actuelles de marché, le fonds vise à distribuer un revenu annuel de 5%.A la fin du premier trimestre 2014, le fonds (23 millions d’euros d’actifs sous gestion) affichait 25% d’actions et 75% d’obligations, avec un rendement d’un peu plus de 4% pour une volatilité de 7,9%.A noter que le fonds dispose de parts distribuant annuellement un revenu net, constitué des coupons et dividendes reçus ainsi que d’une partie des éventuelles plus-values générées chaque année par les titres détenus en portefeuille. Le montant du supplément de revenus est fixé chaque année. Les plus-values réalisées peuvent être distribuées ou provisionnées. Il est ainsi possible d’affecter au rendement distribuable, les plus-values provisionnées réalisées les années précédentes. Caractéristiques : Codes ISIN : Classe A : LU0992632538 Classe B : LU0992632611 Classe Ia : LU0992632371 Classe Id : LU0992632454 Affectation des résultats : Classe A et Ia : Capitalisation; Classe B et Id : Distribution Frais de souscription : Max. 4,5% Taxe d’abonnement (en faveur du régulateur luxembourgeois) : Classe A et B : 0,05% Classe Ia et Id : 0,01% Frais de gestion totaux : Classe A et B : Max. 1,30% Classe Ia et Id : Max. 0,65% Frais de conversion : Max. 0,5% Frais de sortie : N/A Souscripteurs concernés : Classe A et B : Tous souscripteurs Classe Ia et Id : Institutionnels Minimum de souscription initiale : Classe A et B : 1 action Classe Ia et Id : 500 000 EUR
La société de gestion allemande Metzler Asset Management vient de perdre la gérante spécialisée sur les actions émergentes Simone Beer, rapporte Citywire. Simone Beer, qui travaille chez Metzler depuis sept ans, pilotait le fonds du groupe sur les actions russes depuis son lancement en août 2010.Elle a été remplacée par Christian Geier, qui travaillait avec Simone Beer dans l'équipe actions dédiée à l’Europe orientale. Le Metzler Russia Fund a perdu 19,6% sur les trois ans à fin février 2014, l’indice de référence du fonds, le RTS CR, cédant dans le même temps 19,88%.
Henning Klöppelt, à la tête du spécialiste de l’immobilier Warburg-Henderson depuis un peu plus de dix ans, a quitté la société le 31 mars dernier, à sa propre demande, a annoncé la société le 8 avril.La recherche de son successeur est engagée, précise un communiqué de la société qui ajoute que l’intérim sera assuré par les deux autres dirigeants de Warburg-Henderson, Eitel Coridaß et Andreas Ertle.A fin décembre 2013, les actifs immobiliers sous gestion de Warburg-Henderson s'élevaient à environ 4,4 milliards d’euros.
Après avoir regroupé en 2012 ses activités d’asset management et de banque privée, le groupe Berenberg fait aujourd’hui marche arrière. Suite au départ de Markus Taubert, qui dirigeait l’ensemble, les deux activités sont à nouveau scindées en deux. Les fonctions de directeur de l’asset management ont été attribuées à Tindaro Siragusano alors que Peter Raskin prend en charge la banque privée.
Depuis le 3 avril, c’est John Schroer qui assure la gestion du fonds Allianz Biotechnologie. Le produit d’ Allianz Global Investors Europe était jusqu’alors piloté par Paul Wagner, précise Fondsweb.
Natixis Global Asset Management va lancer un fonds actions monde concentré en vue de développer sa gamme basée au Royaume-Uni, rapporte Investment Week. La société de gestion française est en négociations avancées avec sa filiale basée à Chicago, Harris Associates, pour lancer un fonds OEIC au second semestre 2014. S’il obtient l’agrément, le produit sera le quatrième de sa gamme britannique. Natixis GAM veut aussi augmenter ses effectifs à Londres d’au moins 25 % cette année.
Old Mutual Wealth est actuellement en pourparlers avec Woodford Investment Management afin d’attribuer au gérant star Neil Woodford un mandat sur sa gamme de fonds WealthSelect, rapporte Citywire. Neil Woodford, ex-gérant star d’Invesco Perpetual, a rejoint Oakley Capital pour y créer sa propre structure de gestion, Woodford Investment Management, dont le lancement officiel devrait intervenir dans le courant du mois de mai. Un porte-parole d’Old Mutual Wealth a confirmé à Citywire l’existence de discussions préliminaires avec Woodford Investment Management.Si les discussions aboutissent, Neil Woodford n’en serait pas à son coup d’essai. Le gérant a remporté la semaine dernière un mandat de 3,65 milliards de livres auprès de St James Place.
Odey Asset Management renforce ses équipes de recherche. Le hedge fund britannique a en effet recruté Simon Schafer, un ancien analyste de Goldman Sachs spécialisé sur les entreprises technologiques, rapporte eFinancial News citant une source proche du dossier. L’intéressé travaillait chez Goldman Sachs depuis 2001 où il couvrait des valeurs comme Ericsson, Nokia ou Infineon.Odey AM, qui gère 12,2 milliards de dollars, enregistre ainsi son deuxième recrutement de poids après l’arrivée le mois dernier de Didier Scemema, responsable de la recherche dédiée aux sociétés technologiques européennes de Bank of America Merrill Lynch.
La banque privée suisse Pictet envisage de développer ses activités de gestion de fortune à Londres et souhaite recruter dans cette perspective entre cinq et dix banquiers privés au cours des prochains mois, rapporte l’agence Reuters.Actuellement, la banque emploie plus de 200 personnes à Londres, où elle vient de déménager dans le quartier de Mayfair. Les effectifs de Pictet à Londres sont majoritairement engagés dans des activités de gestion d’actifs.
Morten Spenner, le directeur général d’International Asset Management, a quitté la société le mois dernier, rapporte The Wall Street Journal, citant un porte-parole. Il y travaille toujours en tant que consultant. IAM, l’une des plus anciennes sociétés de hedge funds basées à Londres, affiche des encours sous gestion et conseil de 3 milliards de dollars.
La société de gestion britannique Close Brothers Asset Management vient de renforcer son équipe actions avec le recrutement de cinq analystes, rapporte Fundweb.Les nouvelles recrues vont renforcer l’expertise de la société dans les secteurs de la consommation, de la santé, des financières, de l'énergie, des matériaux de base et des services aux collectivités.
Dans le cadre du litige portant sur des swaps de taux liés au Libor, la société Graiseley Properties, maison-mère de l’opérateur de résidences médicalisées Guardian Care Homes (GCH), a décidé d’abandonner les poursuites contre Barclays, rapporte L’Agefi. Les parties sont convenues d’une restructuration commerciale de la dette de Graiseley.Selon la banque, GCH lui devait environ 70 millions de livres, incluant des prêts. Les swaps, qui étaient destinés à réduire l’exposition de la société à la hausse des taux d’intérêts, ont fini par lui coûter 12 millions de livres.Le groupe immobilier indien Unitech bataille également contre Deutsche Bank, indique le quotidien. Un dossier qui peut déboucher, en l’absence d’un accord similaire à celui conclu par Barclays, sur un procès.
Les actifs sous gestion de bank zweiplus ont enregistré l’an dernier une progression de 9% pour s'établir à 4,9 milliards de francs suisses, selon un communiqué publié le 8 avril.Le bénéfice net de l'établissement basé à Zurich a plus que triplé à 6 millions de francs contre 1,6 million de francs l’année précédente.
Deux ans après la restructuration de sa dette, la Grèce lancer demain la syndication d’un emprunt obligataire à 5 an. Athènes cherchera à lever au moins 2 milliards d’euros sur cette maturité. La taux grec à 10 ans est passé mercredi sous le seuil des 6%, grâce à une détente de 7 points de base.
La Grèce est sur le point d'émettre son premier emprunt obligataire depuis son placement sous assistance financière internationale en 2010. L'émission syndiquée de 2 milliards d’euros à 5 ans pourrait avoir lieu demain selon le Wall Street Journal.
L’Autorité des marchés financiers vient de prononcer pour plus de 3,8 millions d’euros d’amendes – de 4.500 euros à 1 million d’euros – à l’encontre de vingt personnes physiques, CGPI et agents commerciaux ayant distribué des produits de Marble Art Invest, des placements sur des œuvres d’art. Le Collège de l’AMF avait demandé plus de 4 millions d’euros de sanctions.
L’Italie respectera les limites budgétaires fixées par l’Union européenne dans le but d'être en position plus forte pour faire pression en faveur d’une modification de ces règles, selon le ministre de l’Economie italien Pier Carlo Padoan. «Souhaitons-nous rester dans ces limites afin de changer les règles européennes? Oui, c’est vrai dans un certain sens», a-t-il avancé. Le nouveau président du Conseil Matteo Renzi a jugé dépassée la limite de 3% de déficit budgétaire fixée par l’Union européenne et noté à plusieurs reprises que des économies plus fortes que celles de l’Italie sont autorisées à passer outre. Il a dévoilé hier ses objectifs économiques et budgétaires après la ratification par le gouvernement d’un plan pluriannuel qui sera ensuite soumis à la Commission européenne. Le Document économique et financier (DEF) révise ainsi à la baisse la prévision de croissance 2014, à 0,8% au lieu de 1,1% visé par son prédécesseur Enrico Letta, et abaisse la prévision de croissance en 2015 à 1,3% au lieu de 1,7%.
Face à l’afflux de capitaux, le hedge fund américain Coatue Management a annoncé à ses clients, au sein d’un courrier consulté par Reuters, qu’il s’apprêtait tout simplement à leur rendre au 30 juin entre 25 et 35% de leur mise au sein de son principal fonds, dont le montant des actifs atteint 7 milliards de dollars. Une décision «difficile» mais «nécessaire» selon le gestionnaire afin de continuer à gérer au mieux le fonds.
Le Premier ministre a clamé lors de son discours de politique générale son intention de diviser par deux le nombre de régions (qui auront en premier lieu l’opportunité de «fusionner par délibérations concordantes») puis de supprimer les conseils généraux dans le cadre d’un programme radical de rationalisation du «millefeuille territorial» français à des fins d'économies. Il a en outre proposé de supprimer la «clause générale de compétence» qui permet aux régions, départements et communes d’intervenir dans tous les domaines qu’elles jugent nécessaires. Enfin, Manuel Valls a indiqué que les collectivités territoriales contribueraient à hauteur de 10 milliards à l’effort de réduction de 50 milliards d’euros des dépenses publiques prévu sur la période 2015-2017. Le président de l’Association des départements de France (ADF), le socialiste Claudy Lebreton, a dénoncé la «brutalité» des annonces du Premier ministre, en déplorant l’absence de concertation préalable.