Le groupe Bâloise, 50,8 milliards d’euros d’encours sous gestion, a augmenté ses investissements dans les actions de 46,7%. Le groupe Bâloise a expliqué dans son rapport annuel 2013 privilégier des titres satisfaisants à des critères de qualité très sélectifs et garantissant un dividende durablement élevé. La poche actions représente ainsi 5,1% de son allocation d’actifs au 31 décembre 2013. Le groupe Bâloise a également détaillé, dans son rapport annuel 2013, les performances des différentes classes d’actifs de son portefeuille : Les hedge funds ont généré une bonne performance. Dans une mesure moindre, le private equity termine également l’exercice sur une note positive. Le montant brut des correctifs de valeur nécessités par les immobilisations financières à caractère de fonds propres s'élève à 32,7millions de francs suisses, soit un niveau une nouvelle fois nettement inférieur à celui de l’année précédente. Les immeubles de rapport, dont l'évaluation a été relevée, ont à nouveau généré des revenus stables. Les hypothèques, quant à elles, se distinguent par la stabilité de leur valeur et de leur rendement. Le portefeuille du groupe Bâloise au 31 décembre 2013 :
Le ministre des Finances slovène a indiqué que Pimco a acheté les 1,5 milliard d’euros d’obligations émises par le pays en novembre dernier, juste avant le résultat de ses stress tests bancaires. De maturité 3 ans, les titres offraient un rendement de 4,7%. A l'époque, la Slovénie avait indiqué avoir placé son émission auprès d’un seul investisseur mais n’avait pas révélé son identité.
Karl Dasher, le patron de Schroders pour l’Amérique du Nord, a pour mission de doubler à 20 % la part des revenus de la société provenant des Etats-Unis sur les trois à cinq prochaines années, rapporte Financial News. Pour cela, le responsable veut changer la façon dont les investisseurs américains voient Schroders : pas uniquement comme un spécialiste des marchés émergents, des actions internationales et des matières premières, mais aussi comme un partenaire stratégique pour des classes d’actifs plus traditionnelles.
Dans les activités de gestion de fortune, les actifs sous gestion générateurs de commissions de Morgan Stanley ont progressé au premier trimestre de 17% par rapport au trimestre précédent pour s'établir à 724 milliards de dollars, a indiqué le 17 avril Morgan Stanley à l’occasion de la publication de ses résultats trimestriels. La collecte du trimestre s’est élevée à 19 milliards de dollars.Le chiffre d’affaires de la gestion de fortune a progressé au premier trimestre de 4% à 3,6 milliards de dollars, le bénéfice imposable affichant une hausse de 16% à 691 millions de dollars.Dans les activités de gestion d’investissements, les actifs sous gestion ou sous supervision sont passés de 341 milliards de dollars il y a un an à 382 milliards de dollars à fin mars 2014. La collecte nette du trimestre s’est élevée à 6 milliards de dollars.Le chiffre d’affaires de la division s’est inscrit en hausse de 15% à 740 millions de dollars, pour un bénéfice imposable de 263 millions de dollars (+41%).Le bénéfice net du groupe américain a fait un bond de 56% à 1,5 milliard de dollars.
BlackRock a enregistré au premier trimestre 2014 des souscriptions nettes hors gestion monétaire de 26,7 milliards de dollars. Cela lui a permis de porter ses encours à 4.400 milliards de dollars à fin mars, soit une hausse de 2 % par rapport à fin décembre et de 12 % par rapport au premier trimestre 2013.La principale société de gestion dans le monde a notamment collecté 14 milliards de dollars en net auprès des particuliers, dont 9,8 milliards de dollars à l’international. Sur ce segment, les flux se sont principalement dirigés vers l’offre obligataire (6,1 milliards de dollars).iShares, la plate-forme d’ETF du groupe, a de son côté engrangé 7,8 milliards de dollars nets, dont 3,2 milliards de dollars aux Etats-Unis et 4,8 milliards de dollars en Europe.Sur la clientèle institutionnelle, BlackRock a enregistré des souscriptions nettes de 4,9 milliards de dollars, la gestion indicielle compensant les rachats nets sur la gestion active (12,6 milliards de dollars).Au total, la société de gestion américaine a dégagé un bénéfice net de 762 millions de dollars au premier trimestre, en hausse de 20 % par rapport à la période correspondante de l’an passé.
Début d’année difficile pour Carmignac Gestion. La société de gestion française a en effet accusé une baisse de ses encours de 6,3 % lors du premier trimestre 2014. Ses actifs sous gestion passent donc sous la barre des 50 milliards d’euros pour la première fois depuis 2011. De fait, au 31 mars 2014, ses encours s’établissent à 49,928 milliards d’euros contre 53,298 milliards d’euros à fin 2013. Le niveau des encours reste toutefois au-dessus des 45,863 milliards d’euros affichés fin 2011.Cette baisse s’explique en grande partie par une importante décollecte enregistrée sur les trois premiers mois de l’année. «Nous avons enregistré de bonnes performances sur notre gestion obligataire mais nos fonds globaux ont été plus bousculés, a reconnu Didier Saint-Georges, membre du comité d’investissement de Carmignac Gestion à l’occasion d’une conférence de presse. Il y a eu une sous-performance des gestions de conviction.» Ainsi, au cours du premier trimestre, la société de gestion a subi une décollecte nette de 2,8 milliards d’euros, soit environ 4 % de ses encours à fin 2013, malgré une collecte nette de 400 millions d’euros sur la gestion obligataire.Dans le détail, son fonds Carmignac Investissement a pâti des déceptions sur la croissance américaine liées à l’effet météo défavorable qui a pesé sur le portefeuille. «Nous étions positionnés sur la reprise de l’économie américaine mais la mauvaise météo a empêché cette reprise et a eu des effets assez démultipliés sur nos fonds actions», a reconnu Frédéric Leroux, gérant global chez Carmignac Gestion. Carmignac Patrimoine a également connu un premier trimestre «décevant» de l’aveu de Rose Ouahba, responsable de l’équipe taux, caractérisé par une décollecte de 1,8 milliard d’euros.Enfin, comme bon nombre de gestionnaire d’actifs, Carmignac Gestion a subi de plein fouet la défiance des investisseurs pour les marchés émergents, «considérés comme les parents pauvres de la croissance mondiale», selon Frédéric Leroux. Résultat: son fonds Carmignac Emergents a subi une décollecte de 300 millions d’euros au premier trimestre.Pour les trimestres à venir, Carmignac Gestion compte tirer profit de la reprise économique américaine et de l’amélioration de l’économique européenne. La société de gestion souhaite également se positionner sur les marchés émergents et le Japon où «les valorisations son particulièrement basses». Toutefois, s’agissant des pays émergents où il souhaite «réaugmenter son exposition», le gestionnaire d’actifs entend se montrer sélectif sur les valeurs.Ce 17 avril, Edouard Carmignac, l’emblématique président de la société de gestion, a également interpellé Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), par l’entremise d’une lettre ouverte. S’il a salué le travail de Mario Draghi depuis sa prise de fonction, observant qu’il «avait fait de la BCE une institution clé dans le processus de construction européenne», Edouard Carmignac en appelle à une intervention plus vigoureuse de sa part. «Je suggérerais une politique de taux d’intérêt zéro, avec une baisse symbolique de 0,25% de votre taux d’intérêt de référence, un programme de rachat des obligations souveraines de 50 milliards d’euros par mois, avec une répartition basée sur le poids économique relatif des différents Etats membres, écrit ainsi Edouard Carmignac. Ces rachats pourraient s’élever à 6 % du PIB de la zone euro sur un an et, cela va sans dire, ils ne devraient pas être stérilisés.»
Le chiffre d’affaires des activités de gestion d’investissements de Goldman Sachs s’est élevé au premier trimestre à 1,57 milliard de dollars, en progression de 20% par rapport au premier trimestre 2013, mais en repli de 2% par rapport au quatrième trimestre 2013, selon les chiffres communiqués le 17 avril par le groupe américain.Les actifs sous supervision se sont accrus de 41 milliards de dollars pour s'établir à 1.080 milliards de dollars. Les actifs de long terme notamment se sont inscrits en hausse de 54 milliards de dollars, dont une collecte nette de 40 milliards de dollars, principalement dans le fixed income.
A fin mars 2014, les fonds autrichiens géraient 146,8 milliards d’euros, soit une hausse d'1 % depuis le début de l’année, indique l’association autrichienne VÖIG des sociétés de gestion. La hausse a été soutenue par l’effet marché alors que les demandes de rachat sur la période ont représenté 300 millions d’euros. Les remboursements nets ont atteint 255 millions d’euros rien qu’au mois de mars. Depuis fin 2008, les encours des fonds autrichiens ont enregistré une croissance de 16,5 %, note VÖIG, soulignant qu’il manque encore 10 points de pourcentage pour revenir au niveau d’actifs gérés en 2007 avant la crise financière.
Le groupe Blackstone a dégagé au premier trimestre un résultat net économique, qui prend en compte la valorisation au prix de marché de son portefeuille, de 813,9 millions de dollars, contre 628,3 millions de dollars, selon un communiqué publié le 17 avril. Les bénéfices distribuables ont progressé de 24% au premier trimestre à 485 millions de dollars.Le private equity a été l’activité phare du trimestre avec une appréciation de 7% sur le trimestre alors que les commissions de surperformance latentes et réalisées ont fait un bond de 413%. Le portefeuille immobilier s’est pour sa part apprécié de 3,8% alors que les commissions de surperformance ont reculé de 5%.Les actifs sous gestion ont atteint le niveau record de 272 milliards de dollars à fin mars 2014, en hausse de 25% sur un an. Les seuls actifs sous gestion générateurs de commissions se sont accrus de 19% à 203,6 milliards de dollars.
La gestion diversifiée d’OFI AM sait user du contre pied. C’est en tout état de cause, ce que Frederic Cohen s’est attaché à démontrer au cours d’une conférence de presse dédiée au fonds OFI Performance Absolue Diversifié (OPAD) qu’il gère depuis 2009. La spécificité du fonds réside en effet dans son « approche contrariante » qui l’a conduit notamment à investir dans des produits ou des titres « value ». « A l’image des telecoms en général et plus précisément de Telecom Italia qui se payait seulement 4 fois les bénéfices il y a encore un an » explique Frédéric Cohen. Par ailleurs, ce dernier scrute ce qu’il nomme « les asymétries en termes de risques/rendements caractérisées, selon lui, «par un stress excessif d’une part et par une probabilité de gain supérieure au risque de perte d’autre part». Bien souvent cela consiste à identifier « des ruptures de corrélations comme par exemple, la perte de statut d’une valeur refuge » explique le gérant, qui cite le cas de l’or dont le cours a fortement corrigé sur les 18 derniers mois. «Ces ruptures de corrélation ne sont pas modélisables», relève Frédéric Cohen.En pratique, OFI Performance Absolue Diversifié, dont l’encours s’élevait à fin mars à 218 millions d’euros, est un fonds international diversifié qui, outre des investissements en titres vifs et en produits dérivés combine différents types de stratégies long/short et directionnelles sur toutes les classes d’actifs (actions, taux, crédit, devises, matières premières...), et une sélection d’OPCVM. Dans ce cadre, l’approche contrariante revendiquée par le gérant se retrouve aussi dans sa sélection d’OPCVM. Ainsi, à titre d’exemple, OPAD est actuellement exposé à hauteur de 6% à Pensato Capital, un fonds UCITS long/short equity-Europe basé à Londres et géré par Graham Clapp. Ce fonds a nettement sous-performé les marchés actions sur les 6 derniers mois mais, fidèle à son style, OPAD en a profité pour faire passer son « alpha » de 2 à 7 sur ce fonds. Parmi les OPCVM sélectionnés par l’équipe de Frédéric Cohen, figurent également des fonds français : OPAD est actuellement exposé à hauteur de 7% au fonds Exane Archimedes géré par Gilles Lenoir. « Nous privilégions les fonds dont les gérants n’hésitent pas à faire varier fortement leur exposition nette », précise le gérant. Car pour lui, ceux qui ont un style de gestion agressif seront les plus à mêmes de tirer leur épingle du jeu quand la situation va se compliquer sur les marchés. « Et cela pourrait ne pas tarder », poursuit Frédéric Cohen, qui estime que beaucoup de signes militent aujourd’hui pour une correction imminente sur les actions américaines. Dans cette optique, OPAD s’est récemment positionné sur une stratégie d’arbitrage long S&P 500 / short Russell 2000 qui représente 7.5% de son exposition. Ce biais doit être profitable dans un marché baissier notamment au regard des niveaux de PE du Russell 2000 et du S&P 500 respectivement 49 et 17. En mars 2000, juste avant l’éclatement de la bulle internet, le Russell 2000 affichait un PE de 39, pas très rassurant… sauf pour le gérant du fonds. OPAD affiche une performance annualisée sur 5 ans glissants de 5.74% avec une volatilité de 3.82%.
Baring Asset Management a recruté deux personnes pour son développement commercial au Canada et aux Etats-Unis, rapporte Investment Europe. Michael Annis a ainsi rejoint la société en tant que responsable commercial et développement pour le Canada. Basé à Toronto, il vient de JP Morgan Asset Management. Kieran Stover a été embauché en tant que vice president, en charge des ventes et du développement basé à Portland. Il vient de Kleinwort Benson Investors International.
Et de quatre ! Après avoir annoncé trois milliards d’actifs sous gestion au 31 décembre dernier, la société de gestion de Bruno Crastes, H2O AM vient d’enregistrer en l’espace d’un trimestre une progression de son encours de l’ordre de 33 %. Le milliard supplémentaire s’explique par les succès de la société auprès de banques centrales en Asie. Dans le détail, l’apport est dû à de nouveaux clients, «mais surtout à des clients ayant renouvelé leur confiance» , a indiqué Bruno Crastes à Newsmanagers. Par ailleurs, les actifs sous gestion ont également progressé du fait du succès de certains fonds ouverts de la gamme. Notamment H2O Multibonds qui représente désormais 420 millions d’euros et H2O Adagio dont l’encours est de 160 millions d’euros.
Au premier trimestre de cette année, Fidelity en France a enregistré une collecte nette de 465 millions de dollars, portant les actifs sous gestion à 9,315 milliards de dollars. Les fonds ayant le plus collecté sont FF Iberia Fund avec 235 millions de dollars, FF America Fund (200 millions), FF Emerging Markets Fund (190 millions), a indiqué la société de gestion à Newsmanagers. Compte tenu de la forte demande pour les fonds investis sur des pays d’Europe du Sud comme l’Italie et l’Espagne, ces derniers ont été fermés temporairement à de nouveaux souscripteurs à la fin de l’année dernière. Côté investisseurs institutionnels, la société de gestion a récemment été retenue par le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) au terme d’un appel d’offres restreint lancé le 17 mai 2013 portant sur la sélection d’un mandat de gestion active - « Actions de petites capitalisations européennes ». Ce lot pour lequel Fidelity a été sélectionné avec trois autres sociétés de gestion, porte sur 500 millions d’euros environ.
BlackRock a selon Citywire fermé le fonds BlackRock Mining Opportunities. Lancé il y a deux ans le fonds géré par Evy Hambro était investi dans des petites et moyennes sociétés spécialisées dans le secteur minier. Victime de rachats importants, l’encours du fonds était descendu à moins d'1 million de livres (1,22 million d’euros), précise Citywire.
All Funds Bank, la plate-forme de distribution de fonds espagnole, vient de recruter Chris Edge en provenance de JP Morgan pour prendre la direction de son activité au Luxembourg, rapporte Funds Europe. Chris Edge était précédemment «managing director» chez JP Morgan, où il a passé 20 ans occupant différentes fonctions notamment au Royaume-Uni et en Afrique du Sud. Il a récemment quitté la banque américaine pour, dans un premier temps, poursuivre une activité entrepreneuriale. Ce recrutement confirme les ambitions internationales d’All Funds Bank qui est aujourd’hui présente en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Chili, à Dubaï, en Suisse et au Luxembourg. Selon son site internet, la plateforme offre des services provenant de 450 gérants de fonds et distribue plus de 38.000 fonds.
ING IM prépare une version agressive de son fonds multi-classes d’actifs à rendement absolu, croit savoir Citywire Global. Ce fonds, appelé First Class Multi Asset Premium, sera ajouté à la gamme luxembourgeoise de la société de gestion. La gestion du fonds incombera à l’équipe multi-classes d’actifs d’ING IM.
Aberdeen Asset Management Deutschland AG a annoncé pour le 25 avril prochain le versement d’une nouvelle tranche d’indemnisation de 161,9 millions d’euros aux investisseurs dans le fonds immobilier ouvert Degi International.Les fonds ainsi versés aux investisseurs représentent désormais un montant cumulé de près 730 millions d’euros. Soit 20,25 euros la part contre 46,56 euros le 14 octobre 2010, soit un an avant la décision de liquidation du fonds.Le prochain versement aux investisseurs devrait intervenir le 15 octobre prochain.
Le gestionnaire des caisses d'épargne allemandes Deka a fait état pour l’exercice 2013 d’une collecte nette de 4,8 milliards d’euros contre 87 millions d’euros l’année précédente, selon les chiffres publiés le 16 avril.Une évolution due pour beaucoup à un doublement de la collecte institutionnelle à 5,4 milliards d’euros contre 2,6 milliards d’euros l’année précédente. Parallèlement, le pôle retail a réduit la décollecte à 0,7 milliard d’euros contre 2,5 milliards d’euros l’année précédente.Les actifs sous gestion de Deka ont ainsi progressé d’environ 7 milliards d’euros pour s'établir à 169,8 milliards d’euros.Le bénéfice économique (bénéfice aux normes IFRS avant impôt, plus résultat de la valorisation des instruments financiers) s’est inscrit à 502 millions d’euros contre 519 millions d’euros l’année précédente.
La collecte de Rothschild sur le marché allemand s’est accélérée, a indiqué au quotidien Börsen Zeitung Reinhard Krafft, responsable de Wealth Management Rothschild Deutschland. Les actifs sous gestion, qui s'élevaient à environ 1 milliard d’euros en septembre 2012, ont depuis doublé pour atteindre la barre des 2 milliards d’euros, a précisé Reinhard Krafft. Le responsable souligne toutefois que Rothschild reste outre-Rhin un acteur de petite taille qui actuellement concentre ses activités sur la gestion de patrimoine à destination d’une clientèle de PME et renonce à développer son réseau afin d’asseoir durablement sa rentabilité.
Anima Holding a enregistré en mars des souscriptions nettes de 1,3 milliard d’euros, ce qui porte la collecte nette du premier trimestre à environ 2,4 milliards d’euros.L’annonce a été faite au lendemain de l’introduction en Bourse de la société de gestion italienne.
FinecoBank, la banque directe multicanaux du groupe UniCredit, a présenté à la Bourse de Milan sa demande d’admission à la cote de ses actions ordinaires, rapporte Milano Finanza. A l’issue de l’introduction en Bourse, UniCredit restera actionnaire majoritaire de FinecoBank.
Le groupe Sarasin a supprimé les commissions de surperformance et réduit les frais de gestion annuels sur son fonds AgriSar qui va changer de nom, rapporte Investment Week.Le fonds sera renommé Sarasin Food and Agriculture Opportunities fund à compter du 16 juin, après avoir obtenu le feu vert des autorités de tutelle.Le fonds, dont les actifs s'élèvent à quelque 133 millions de livres, a dégagé une performance de 48% sur les cinq ans au 16 avril mais de seulement 0,6% sur trois ans.
Predica, la filiale d’assurance vie du Crédit Agricole vient d’acquérir la part de 7,4 % du capital de la Société Foncière Lyonnaise (SFL) détenu depuis 2009 par Royal Bank of Scotland, banque créancière de SFL depuis 2009, selon un communiqué de SLF en date du 17 avril. Cette opération permet à Predica de porter sa participer de 5,09 % à 12,34%, devenant ainsi le second actionnaire de SFL derrière le groupe espagnol Colonial, actionnaire de contrôle à 53,1%Quelques jours plus tôt, le fonds DIC Holdings LLC, contrôlé par l’Etat du Qatar, avait acquis hors marché auprès de Crédit Agricole CIB son bloc de 8,55% au capital de SFL.
Le fonds de pension californien CalPERS a annoncé le 16 avril avoir approuvé une nouvelle hausse des contributions de l’Etat de Californie ainsi que des enseignants.L’Etat de Californie devrait ainsi débourser quelque 4,3 milliards de dollars et les enseignants 1,2 milliard de dollars. Ces montants représentent des augmentations de plus de 450 millions de dollars pour l’Etat et de 55 millions de dollars pour les enseignants.CalPERS relève que le taux de couverture des pensions de l’Etat s'élève à 66% à fin juin 2013 alors que celui des enseignants atteint environ 80%.
AG2R La Mondiale accélère son développement sur le terrain de l’épargne et de l’assurance-vie. En 2013, le groupe paritaire de protection sociale a ainsi réalisé un chiffre d’affaires de 4,88 milliards d’euros dans cette activité, soit une croissance de 21,5 % par rapport à 2012.Dans le détail, AG2R La Mondiale a enregistré 2,72 milliards d’euros de cotisations épargne en France (contre 2,59 milliards d’euros en 2012) et 2,15 milliards d’euros au Luxembourg (contre 1,42 milliard d’euros). Son activité d’assurance-vie/épargne au Luxembourg a ainsi progressé de 51,1% sur un an grâce à «une offre unique coordonnée en assurance vie épargne patrimoniale entre la France et le Luxembourg» et une plus grande «mobilité de la clientèle patrimoniale depuis la crise 2011/2012» qui manifeste un intérêt plus grand pour le Luxembourg, note le groupe de protection sociale.En 2013, sa collecte nette en assurance-vie/épargne s’élève à 2,918 milliards d’euros, dont 2,176 milliards d’euros sur des fonds euros (contre 1,360 milliard d’euros en 2012) et 742 millions d’euros sur les unités de comptes (contre 285 millions d’euros en 2012). Désormais, les unités de compte représentent 28 % de ses encours contre une moyenne de 16,5 % pour le marché de la Société française des sociétés d’assurances (FFSA).En prenant en compte l’ensemble de ses activités, AG2R La Mondiale a bouclé l’exercice 2013 avec un chiffre d’affaires de 17,6 milliards d’euros, soit une progression de 6%, tiré par ses activités assurancielles qui ont dégagé 9,3 milliards d’euros de revenus (+9,1 % sur un an). Son résultat net s’établit à 243 millions d’euros en 2013, «conformes aux années précédentes», selon le groupe paritaire.
Amundi projette de lancer cinq produits destinés aux gérants discrétionnaires et aux multi-gérants en vue d’asseoir sa marque au Royaume-Uni, rapporte FT Adviser. Le groupe français compte lancer les produits sur les plates-formes retail une fois qu’il aura gagné du terrain auprès des professionnels, a indiqué Jerry Devlin, responsable de la distribution au Royaume-Uni. Amundi est reconnu outre-manche pour ses ETF, mais la société a monté une équipe de distribution britannique pour promouvoir ses produits gérés activement, indique FT Adviser.
Le groupe britannique 3i a annoncé le 17 avril qu’il avait réalisé un produit de 67,6 millions de livres à l’occasion de l’introduction en Bourse du spécialiste de la santé des animaux, Phibro Animal, sur le Nasdaq.3i a notamment réduit sa participation au capital de la société à 7% contre 30% précédemment. Un prêt de 24 millions de dollars a par ailleurs été remboursé à 3i.
La société de gestion britannique Brooks Macdonald a publié, ce 17 avril, des encours de 5,92 milliards de livres pour ses fonds discrétionnaires à fin mars, soit une croissance de 4,2 % par rapport au 31 décembre 2013 (5,68 milliards de livres). Cette progression a été tirée à la fois par un effet marché positif de l’ordre de 30 millions de livres et une collecte nette de 215 millions de livres sur le trimestre écoulé. «Sur un an, les fonds discrétionnaires sous gestion ont augmenté de 16%», a précisé Chris Macdonald, directeur général de Brooks Macdonald, dans un communiqué.En parallèle, les fonds conseillés sous gestion ressortent à 413 millions de livres, soit une hausse de 10,5% par rapport à fin 2013 (374 millions de livres). Enfin, les actifs immobiliers sous gestion de l’entité Braemer Estate atteignent 1,13 milliard de livres au 31 mars, soit une croissance de 6,27 % par rapport à fin décembre 2013 (1,07 milliard de livres).
BNP Paribas Investment Partners vient de recruter Cynthia Sweeney en qualité de responsable de la région EMEA (Europe, Moyen Orient et Afrique) et de quatre grands segments de clientèle au niveau mondial, entreprises et fondations, compagnies d’assurances, fonds de pension et institutions officielles.Basée à Londres, Cynthia Sweeney prendra ses fonctions le 13 mai 2014 et sera notamment responsable du développement des activités auprès de la clientèle institutionnelle.Cynthia Sweeney a notamment travaillé pour Aetna et JP Morgan, et, depuis 2001, pour HSBC Global Asset Management où elle était responsable des activités de distribution auprès des entreprises et des institutions officielles.