New York Life Real Estate Investors, la filiale du groupe New York Life Insurance dédiée à l’immobilier, a nommé Paul Behar en qualité de «senior director» et responsable du développement, rapporte le site Pensions & Investments qui cite une porte-parole de la société. A ce titre, l’intéressé coordonnera la communication, la stratégie marketing et les relations bâties avec les clients existants et les clients à venir. Basé à New York, il est rattaché à Mark Talgo, «senior managing director» et responsable de New York Life Real Estate Investors. Avant de rejoindre New York Life Real Estate Investors, Paul Behar était «senior vice president» en charge des acquisitions chez Hunt Cos.
Pour le premier trimestre de cette année, l’UFF a enregistré un produit net bancaire à 50,5 millions d’euros, soit une hausse de 12 % par rapport à la même période douze mois plus tôt. La collecte commerciale s’élève à 320 millions, en progression de 36% par rapport à 2014 attribuée à l’augmentation de la productivité du réseau.L’ensemble des classes d’actifs bénéficient de cette évolution: l’assurance-vie augmente de 23% avec une part des investissements en unité de compte quiprogresse à 66%. Par ailleurs, «le redressement amorcé sur les valeurs mobilières se confirme avec une croissance de 22% sur la période grâce notamment aux produits ISF», précise un communiqué. Les commissions de placement sont stables par rapport au premier trimestre 2014 avec toutefois une augmentation des valeurs mobilières et du secteur de l’entreprise. Les commissions perçues au titre de l’assurance vie sont quant à elles en léger repli de 4% du fait de la diversification de l’activité des conseillers en provenance du réseau acquis qui se tournent progressivement vers les produits immobiliers notamment.La collecte nette s’établit à 48 millions en forte progression par rapport au 1er trimestre 2014 - à 16 millions d’euros. L’UFF souligne ce trimestre la maîtrise des rachats ainsi que l’absence de remboursement de fonds qui avait pesé pour 14 millions au 1er trimestre 2014.Les actifs ont par ailleurs bénéficié de variations de cours très favorables et s’établissent à 11,6 milliards d’euros au 31 mars 2015, en progression de 9% par rapport au premier trimestre 2014.Les commissions sur encours s’élèvent à 31,5 millions contre 26,6 millions au 31 mars 2014, soit une hausse de 18% en lien avec la hausse des actifs gérés moyens et avec l’amélioration du taux de marge lié à la contribution de la société de gestion Myria AM."En 2015, la gamme de produits, fortement enrichie l’année dernière, continuera d’évoluer (notamment sur les FCP, la prévoyance patrimoniale et les programmes immobiliers) afin de poursuivre le développement commercial en répondant toujours mieux aux besoins des clients désireux de profiter des opportunités offertes par la conjoncture», précise l’UFF. «Dans le même temp"s, ajoute la banque patrimoniale, «l’année sera consacrée à la poursuite de l’intégration des nouveaux collaborateurs, à la stabilisation de la nouvelle organisation, des outils et des process (...).»
De plus en plus complexe la gestion des risques pour les investisseurs institutionnels. A tel point que, selon une enquête de BNP Paribas Securities Services (cf. document ci-joint) parue en début de semaine, pour une forte majorité des sondés (59 %), il s’agit désormais de leur préoccupation principale. C’est vrai en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, tandis que pour les institutionnels de la zone EMEA, la fidélisation des talents figure juste devant... « La complexité croissante de la gestion des risques est la principale préoccupation des investisseurs institutionnels, loin devant les traditionnelles craintes de ces dernières années qui découlaient de la réglementation », a confirmé Jean Devambez, Responsable Solutions Institutionnelles chez BNP Paribas Securities Services. De fait, les outils d’analyse du risque figurent en tête de liste des techniques de gestion des risques, avant la gestion actif-passif, la budgétisation des risques et les stratégies smart beta. 43 % des sondés ont également déclaré que la prochaine phase de gestion des risques verra l'émergence d’outils permettant d’agréger tous les aspects du risque (opérationnel, de crédit, de marché, …). Et 87 % des investisseurs interrogés croient en leur manière de gérer les facteurs de risque individuels, comme le risque de liquidité et d’investissement. A titre d’explication, le responsable de BNPPSS pointe une complexité liée à des facteurs comme la recherche de rendements dans un environnement de taux bas qui pousse les investisseurs institutionnels à se diversifier sur de nouvelles classes d’actifs ou des marchés émergents plus complexes à appréhender. «Avec la crise financière», ajoute-t-il, «les institutionnels gèrent leurs risques avec un niveau de transparence, de fréquence et de granularité plus élevé. Dans ce contexte, l’accès aux données devient crucial afin d’ alimenter les outils de risques."Logiquement, l'étude note que l’obtention d’informations adéquates pour le processus décisionnel pour les professionnels interrogées est considéré à 43 % comme un obstacle de taille. Et dans un autre genre, des facteurs comme le reporting réglementaire et les coûts de mise en conformité à la réglementation sont désormais loin derrière dans les préoccupations des institutionnels (33 % et 28 % respectivement)... (*) Réalisée avec l’aide de YouGov, l'étude a été réalisée à partir d’un panel de 177 investisseurs institutionnels (fonds de pension, compagnies d’assurance, institutions officielles, etc.) de 19 pays d’Amériques, d’Europe et d’Asie-Pacifique.
Trecento AM voit l’arrivée d’un nouvel actionnaire au sein de son capital, le groupe mutualiste Monceau Assurances, qui gère un encours de l’ordre de 6 milliards d’euros. Depuis son lancement en 2012, Trecento AM était épaulée par le groupe La Française via son pôle d’incubation Next AM/NewAlpha AM. Ce dernier se désengage aujourd’hui pour laisser la place à Monceau Assurances, qui prend 15 % du capital de la société de gestion parisienne. Le capital de Trecento AM, qui gère actuellement 170 millions d’euros dans des OPC, FIA et mandats de gestion, est désormais détenu par sa fondatrice Alice Lhabouz, des entrepreneurs, Monceau Assurances et le groupe Cyrus.Trecento AM n’est pas la première boutique entrepreneuriale dans laquelle Monceau Assurances investit. L’investisseur est déjà actionnaire de La Financière de la Cité ( 35%), Métropole Gestion (5%), Vestathena, (15%), La Financière Responsable (10%) et Alma Capital (5%).
Près de 45 % des sociétés de gestion européennes (43,2 %) ont l’intention de cibler la France en 2015, alors qu’elles n’étaient qu’un peu plus d’un cinquième l’année dernière, montre un sondage de Cerulli Associates. L’Italie est également dans le viseur des maisons européennes, puisque les deux tiers d’entre elles indiquent vouloir accentuer leurs efforts commerciaux dans la Péninsule, contre 37 % l’an passé. Une proportion supérieure d’acteurs à celle de 2014 prévoit également d’accroître ses efforts commerciaux en Espagne et en Allemagne. La concurrence en Europe est intense et les sociétés de gestion doivent faire preuve de stratégie pour vendre leurs fonds en dehors de leurs marchés, commente Cerulli. Dans ce contexte, elles s’établissent dans certains pays bien choisis.Cerulli cite l’exemple de Franklin Templeton, qui a recueilli les fruits de l’ouverture de succursales à Rome, Florence, Milan et Padoue. Depuis lors, les souscriptions nettes chaque trimestre se sont situées entre 800 millions d’euros et 1,5 milliard d’euros.« Nombre de sociétés de gestion ont lancé des fonds en Italie, essayant de les commercialiser soit à distance, soit en ouvrant une succursale à Milan. Mais la vente se joue localement et le succès est plus certain si une société bénéficie de personnel sur le terrain et pas seulement à Milan », illustre Barbara Wall, directeur de la recherche en Europe. En ouvrant des bureaux sur des territoires ciblés, les sociétés de gestion peuvent développer des liens plus étroits avec les distributeurs et améliorer leur compréhension de ces derniers. Cela est plus efficace que de réaliser des présentations régulières dans le cadre de « road show ». Autre avantage important que comporte une présence locale : un gestionnaire peut personnaliser son message en fonction des variations régionales en matière de richesse disponible, attitude à l’égard du risque et choix de produits, par exemple.
RBC Global Asset Management, la société de gestion de Royal Bank of Canada, a annoncé le lancement de trois fonds dans le cadre de sa Sicav luxembourgeoise : RBC funds (Lux) – Emerging Markets Value Equity fund, RBC funds (Lux) – Emerging Markets Small Cap Equity fund and RBC funds (Lux) – European Equity Focus Fund. Les compartiments sont gérés par les équipes de gestion de la société basées à Londres.RBC Funds (Lux) –Emerging Markets Value Equity, investi dans des actions décotées des marchés émergents, est géré par Laurence Bensafi, responsable adjointe des actions émergente et gérante senior. RBC Funds (Lux) – Emerging Markets Small Cap Equity, investi sur des petites capitalisations des pays émergents, est géré par Philippe Langham, responsable des actions émergentes et gérant senior. Enfin, RBC Funds (Lux) – European Equity Focus est géré par Dominic Wallington, gérant senior et CIO de RBC Global Asset Management (UK) Limited et David Lambert, gérant senior. Il s’agit d’un fonds de conviction sur l’Europe.Ces lancements portent le nombre de compartiments de la Sicav luxembourgeoise de RBC GAM à 16.
Amundi lance en Europe deux fonds indiciels ouverts et un ETF sur des indices « low carbon » de MSCI. Il s’agit des fonds Amundi Index Equity Global Low Carbon et Amundi Index Equity Europe Low Carbon, et de l’ETF Amundi ETF MSCI World Low Carbon Ucits ETF.Le premier fonds indiciel et l’ETF visent à répliquer l’indice de stratégie MSCI World Low Carbon Leaders, tandis que le second fonds indiciel vise à répliquer l’indice de stratégie MSCI Europe Low Carbon Leaders. Ces deux indices ont été lancés en septembre dernier par MSCI, en collaboration avec Amundi et deux grands fonds de pensions européens.La méthodologie des indices de stratégie MSCI Low Carbon Leaders vise à réduire de 50% minimum le niveau des émissions carbone (émissions actuelles et réserves représentant les émissions potentielles futures) par rapport à celles des indices parents, tout en maintenant une très faible tracking error par rapport à ceux-ci. Toutefois, chaque indice de stratégie conservera une composition sectorielle et géographique similaire à son indice parent.Les fonds Amundi Index Equity Global Low Carbon et Amundi Index Equity Europe Low Carbon sont disponibles en plusieurs parts, conçues pour répondre à différents profils d’investisseurs, et proposées avec différents niveaux de souscription minimum et des frais courants allant de 0,09% à 0,60%.L’ETF est proposé avec un TER de seulement 0,25%.
Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock vient de lancer le fonds BlackRock Dynamic Allocation visant à aider les régimes de retraites à contributions définies à construire de solutions d’investissements respectant les nouvelles exigences réglementaires en matière de charge en capital, rapporte Investment Europe. Ce nouveau véhicule investit dans une gamme de classes d’actifs, comprenant les actions des marchés développés, les matières premières, la dette des marchés émergents et les obligations d’entreprises, tout en recourant à des expositions dites «low cost» dans le cadre d’une stratégie d’allocation d’actifs dynamique.Ce produit a été conçu sur la base du fonds BlackRock Dynamic Diversified Growth, lancé en 2001. De fait, ces deux véhicules sont gérés par Adam Ryan, aidé d’une équipe dédiée aux stratégies diversifiées qui supervise et gère 18 milliards de dollars d’actifs à l’échelle mondiale.
La BaFin, l’autorité allemande de supervision financière, a indiqué qu’elle attendra une réponse officielle de Deutsche Bank avant de décider de la suite à donner à son enquête sur une manipulation présumée de taux de référence tels que le Libor. Lors d’une conférence de presse mardi, Raimund Röseler, responsable de la supervision bancaire auprès de la BaFin, a déclaré que le régulateur avait achevé ses investigations et en avait consigné les conclusions dans un rapport remis à la première banque allemande. Deutsche Bank a confirmé avoir reçu le rapport d’enquête et avoir l’intention d’y répondre, sans doute dans les semaines qui viennent.Fin avril, la Deutsche Bank a accepté de verser une amende globale de 2,51 milliards de dollars aux autorités américaines et britanniques pour échapper à des poursuites pénales liées aux manipulations des taux interbancaires.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Carnegie is losing 10 experienced partners from its private banking team, the Swedish newspaper SvD Näringsliv reports. Some are joining the rival firm Söderberg & Partners. Among these are the lawyers Jerker Löfgren and Pernilla Ask-Nordström, as well as wealth management advisers Martin Poussette and Olle Eckerbom. For Carnegie, this is a significant setback, as the outgoing team handles very high net worth clients. The bank may lose between SEK80m and SEK120m in earnings. Söderberg & Partner, which confirms the recruitment, was founded by a Carnegie veteran. The firm has over SEK130bn in assets under management.
43.2% of managers surveyed by Cerulli Associates plan to target France - compared with just more than one-fifth of managers polled for last year’s report. Almost two-thirds of managers polled said they intend to increase their sales efforts in Italy - compared with 37% of last year’s respondents. More managers than last year also plan to increase sales efforts in Spain and Germany.Competition in Europe is stiff and managers must be more strategic to sell outside their home market. So asset managers are establishing roots in selected countries. Franklin Templeton reaped the rewards of setting up branches in Rome, Florence, Milan, and Padua. Net inflows every quarter since have been between €800 million (US$972 million) and €1.5 billion, according to Assogestioni."Many foreign managers launched funds in Italy, trying to sell them, either from a distance or by opening a branch in Milan. But sales is a local game and success is more likely if a firm has people on the ground-and not just in Milan,» said Barbara Wall, Cerulli’s Europe research director.By opening branches on target territory managers can develop closer ties and enhance understanding with distributors. This is more effective than making regular presentations as part of a road trip.Another significant advantage to having a local presence is that a manager can tailor its message according to regional variations in disposable wealth, attitude to risk, and product choices, for example.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Two thirds of professional investors and wealth management advisers in Europe are currently holding ETPs in their portfolios, and of the remaining 32%, 22% had used them in the past, a new Source study covering more than 750 professional investors in 11 European countries has found. 34% of respondents cited ETPs first among their preferred investments, representing the highest percentage of ‘first choices.’ In second place comes traditional funds, which received 29% of first preferences. In total, two thirds of respondents cited ETPs among the main products used. Third place goes to equities. In total, the percentage ETPs represent as a proportion of total assets as estimated by investors is about 10%. 78% of respondents say they have no intention of reducing their use of these products, while 39% are even considering increasing their use of them in the next 12 months.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } RBC Global Asset Management, the asset management firm of the Royal Bank of Canada, has announced the launch of three funds within its Luxembourg Sicav: RBC funds (Lux) – Emerging Markets Value Equity fund, RBC funds (Lux) – Emerging Markets Small Cap Equity fund and RBC funds (Lux) – European Equity Focus Fund. The sub-funds are managed by management teams at the firm based in London. RBC Funds (Lux) –Emerging Markets Value Equity, which invests in undervalued stocks in emerging marktes, is managed by Laurence Bensafi, deputy head of emerging market equities and senior manager. RBC Funds (Lux) – Emerging Markets Small Cap Equity, which invests in emerging market small caps, is managed by Philippe Langham, head of emerging market equities and senior manager. Lastly, RBC Funds (Lux) – European Equity Focus is managed by Dominic Wallington, senior manager and CIO of RBC Global Asset Management (UK) Limited, and David Lambert, senior manager. It is a Europe conviction fund. The launches bring the number of sub-funds in the RBC GAM Luxembourg Sicav to 16.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Berenberg private bank is scaling up its asset management activities on the Swiss market. The German group has announced that it has recruited Rüdiger Zeppenfeld, who will be director of sales for Swiss institutional clients, including banks, family offices, pension funds, insurers and businesses. Zeppenfeld joins Berenberg from State Street Global Advisors, where he had overseen Swiss activities. In a statement, Tindaro Siragusano, director of asset management, emphasizes the strategic importance of the Swiss market for asset management activities at the group. Berenberg has over EUR17bn in assets under management for institutional clients in Germany, the United States, the United Kingdom and Austria.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Trecento AM has seen the arrival of a new shareholder in its capital, the mutualist group Monceau Assurances, which has assets under management of about EUR6bn. Since its launch in 2012, Trecento AM had been backed by the La Française group via its incubation unit Next AM/NewAlpha AM. That unit, is now divesting to make way for Monceau Assurances, who will have 15% of the capital. The capital in Trecento AM, which currently has EUR170m in assets under management in OPCs, FIAs and management mandates, is now owned by its founder Alice Lhabouz, entrepreneurs, Monceau Assurances and the Cyrus group. Trecento AM is not the first entrepreneurial boutique in which Monceau Assurance has invested. The group is already a shareholder in La Financière de la Cité and Métropole Gestion.
La Grande-Bretagne présente des indicateurs macroéconomiques encourageants, selon les données de l’ONS. Le taux de chômage est tombé à 5,5% sur les trois mois à fin mars, un plus bas depuis juillet 2008, tandis que le salaire hebdomadaire moyen a augmenté de 1,9% en mars. La production industrielle a enregistré en mars sa plus forte hausse en six mois, de 0,5%. La production manufacturière a crû de 0,4% en mars. Cependant, le déficit des échanges de biens a été plus important que prévu en mars et s’est établi à 10,122 milliards de livres sterling (13,923 milliards d’euros) en mars après 10,799 milliards en février.
Les prix à la consommation ont augmenté de 0,1% en avril en France, contre 0,7% en mars, sous l’effet de la hausse des prix de certains services et produits manufacturés et du renchérissement des produits pétroliers, selon les statistiques publiées mercredi par l’Insee. Sur un an, leur progression redevient positive, à plus 0,1%, après trois mois consécutifs de baisse. L’indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, a progressé de même de 0,1% le mois dernier. L’inflation sous-jacente (hors tarifs publics et produits à prix volatils) a progressé de 0,1% en avril comme en mars et son évolution sur un an s’inscrit à 0,4%.
Le produit intérieur brut (PIB) des 19 pays membres de la zone euro a progressé de 0,4% en janvier-mars par rapport aux trois mois précédents, sa progression la plus importante depuis le deuxième trimestre 2013. Sur un an, sa hausse atteint 1,0%, selon l’estimation flash d’Eurostat. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une croissance de 0,5%, avec un PIB en hausse de 1,1% sur un an. Au quatrième trimestre, ces chiffres avaient été de +0,3% et +0,9% respectivement.
Il a progressé de 0,6% sur les trois premiers mois de l'année, selon l'Insee, grâce à la consommation des ménages et aux variations de stocks des entreprises
Moody’s a annoncé hier soir avoir placé la note de crédit de Chicago en catégorie spéculative, en relevant que la ville américaine disposait d’une faible marge de manœuvre pour alléger le déficit grandissant du fonds de retraite de ses employés suite à une décision judiciaire rendue la semaine dernière. Cette dégradation qui porte sur 8,1 milliards de dollars (7,2 milliards d’euros) de dette pourrait entraîner le remboursement anticipé de 2,2 milliards de dollars, précise l’agence.
La Banque centrale européenne (BCE) a relevé de 1,1 milliard d’euros le plafond des liquidités d’urgence (ELA) versées au bénéfice des banques grecques, le portant à 80 milliards, ont déclaré hier deux sources bancaires à Reuters. «Cela laisse un matelas de liquidités non utilisé de l’ordre de 3,5 milliards d’euros», a dit l’une des sources. Athènes a annoncé la veille avoir honoré une échéance de 750 millions d’euros du Fonds monétaire international (FMI) mais les ministres des Finances de la zone euro ont maintenu la pression pour accélérer les discussions sur les réformes.
Les Etats-Unis ont dégagé en avril un excédent budgétaire de 157 milliards de dollars, en hausse de 47% sur un an et au plus haut depuis 2008, montrent les chiffres publiés hier soir par le département du Trésor. Les économistes s’attendaient en moyenne à un surplus de 154,8 milliards de dollars. A ce stade de l’exercice fiscal, le déficit budgétaire ressort à 283 milliards de dollars, en baisse de 8% par rapport à la période correspondante de 2014.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a relevé hier sa prévision de demande mondiale pour ses livraisons, grâce à une prévision de production légèrement abaissée pour les producteurs non Opep. Dans son rapport mensuel, l’Opep a révisé en hausse de 50.000 barils par jour (bpj) le niveau attendu de la demande de pétrole adressée à ses pays membres en 2015. «Malgré un début d’année poussif dans certains pays, la croissance économique mondiale pourrait se renforcer encore à mesure que l’année progresse, entraînant une amélioration de la demande de pétrole brut en 2015», relève le rapport. Il ajoute que la chute de près de moitié des cours du brut par rapport à leurs plus hauts à 115 dollars le baril en juin 2014 a aussi stimulé la demande. La production de l’Opep a encore augmenté de 18.000 bpj en avril à 30,84 millions de bpj, maintenant ainsi le surapprovisionnement du marché.
La violente correction survenue depuis fin avril, alimentée par les hedge funds, illustre les dysfonctionnements dus au QE et à la raréfaction de la liquidité.
La correction actuelle, en lien avec des tensions sur les taux, ne devrait pas durer dans un contexte d’administration des prix des actifs orchestrée par la BCE.
Selon le journal, l’Insee devrait annoncer aujourd’hui une croissance de 0,6% du PIB en France au premier trimestre 2015, ce qui représenterait la plus forte progression de l’activité depuis le deuxième trimestre 2013 (+0,7%), grâce notamment à la chute des prix du pétrole. Début avril, l’Insee avait revu sa prévision à la hausse à 0,4% pour le trimestre écoulé, contre 0,3% précédemment.
Le fonds souverain sud-coréen National Pension Service (NPS) projette d’ouvrir un bureau à Singapour au second semestre 2015 dans la cadre de sa stratégie de diversification d’un portefeuille totalisant 430 milliards de dollars (383 milliards d’euros) d’encours, rapporte le site spécialisé. Initialement, ce bureau devrait compter une poignée de collaborateurs, couvrant principalement l’Asie du Sud et du Sud-Est.
Elles ne cultivent pas seulement l’art de faire fructifier l’argent. Certaines sociétés de gestion s’impliquent de plus en plus dans le sponsoring artistique.
L’UFF a annoncé un produit net bancaire du premier trimestre 2015 à 50,5 millions d’euros, en croissance de 12% par rapport à celui du premier trimestre 2014. Il comprend un produit financier de 0,5 millions d’euros correspondant à des plus-values réalisées sur des placements.